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Qui ne met pas sa confiance en Dieu, perd tout. lasourcedelille.blogspot.fr "Aujourd'hui, en cette journée de Carême, cela nous fera du bien de nous demander : Où est-ce que je place ma confiance ? …Plus
Qui ne met pas sa confiance en Dieu, perd tout.

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"Aujourd'hui, en cette journée de Carême, cela nous fera du bien de nous demander : Où est-ce que je place ma confiance ? Dans le Seigneur ou suis-je un païen, qui se confie dans les choses, dans les idoles que j'ai crées ? Ai-je encore un nom et ai-je commencé à perdre mon identité et est-ce que je m'appelle « Moi » ? Moi, je, avec moi, pour moi, seulement moi ? » Pour moi, pour moi, toujours cet égoïsme : « Moi ». Cela ne nous sauve pas. À la fin il y a une porte d'espérance pour tous ceux qui se sont plantés dans la confiance en l'homme ou en eux-mêmes, et qui ont perdu leur nom. Finalement, finalement, finalement, il y a toujours une possibilité. Et cet homme, quand il s'aperçoit qu'il a perdu son ...
dvdenise
Prière de Jean-Paul II en l'honneur de saint Benoît
Ô saint Patriarche, nous vous invoquons : levez vos bras paternels largement ouverts vers le Très Sainte Trinité et priez pour le monde, pour l'Eglise, et particulièrement pour l'Europe, pour votre Europe dont vous êtes le patron céleste : pour que celle-ci n'oublie pas, ne refuse pas, ne rejette pas l'extraordinaire trésor de la foi chrétienne …Plus
Prière de Jean-Paul II en l'honneur de saint Benoît

Ô saint Patriarche, nous vous invoquons : levez vos bras paternels largement ouverts vers le Très Sainte Trinité et priez pour le monde, pour l'Eglise, et particulièrement pour l'Europe, pour votre Europe dont vous êtes le patron céleste : pour que celle-ci n'oublie pas, ne refuse pas, ne rejette pas l'extraordinaire trésor de la foi chrétienne qui, pendant des siècles a animé et fécondé l'histoire et le progrès moral, civil, culturel, artistique de ses différentes nations ; que, par la vertu de sa matrice chrétienne, elle soit porteuse et génératrice d'unité et de paix parmi les peuples du continent et ceux du monde entier ; qu'elle garantisse à tous ses citoyens la sérénité, la paix, le travail, la sécurité, les droits fondamentaux, comme ceux qui concernent la religion, la vie de famille, le mariage.

Et à cette belle prière, je réponds Amen!
dvdenise
Saint Benoît établit la paix du Christ dans l’Europe envahie par les barbares.
Dans un siècle barbare et turbulent, la culture des champs, le travail manuel
et noble, et l’étude des sciences sacrées et profanes étaient dépréciés et
délaissées presque de tous. Dans les monastères bénédictins, au contraire,
croissait sans cesse une foule innombrables d’agriculteurs, d’artisans et de
savants …Plus
Saint Benoît établit la paix du Christ dans l’Europe envahie par les barbares.

Dans un siècle barbare et turbulent, la culture des champs, le travail manuel
et noble, et l’étude des sciences sacrées et profanes étaient dépréciés et
délaissées presque de tous. Dans les monastères bénédictins, au contraire,
croissait sans cesse une foule innombrables d’agriculteurs, d’artisans et de
savants. Chacun selon ses talents, ces moines parvenaient non seulement à
conserver intactes les productions de la sagesse antique mais à pacifier, à unir
et à occuper activement des peuples, vieux et jeunes, souvent en guerre entre
eux. Ils ont réussi à les faire passer de la barbarie renaissante, des haines
dévastatrices et des rapines à des habitudes de douceur humaine et chrétienne...

Mais ce n’est pas tout : car dans l’organisation de la vie monastique bénédictine,
l’essentiel pour tous...est de tendre à l’union continuelle avec le Christ et de
brûler de sa charité parfaite. En effet, les biens de ce monde, même dans leur
ensemble, ne peuvent pas rassasier l’âme humaine que Dieu a créée pour
l’atteindre lui-même... C’est pourquoi la Règle de Saint Benoît dit qu’il est
indispensable que « rien ne soit préféré à l’amour du Christ, » « que rien ne
soit estimé de plus haut prix que le Christ, » « qu’absolument rien ne soit
préféré au Christ, qui nous conduit à la vie éternelle. »

Et à cet amour ardent du divin Rédempteur doit correspondre l’amour du
prochain, que nous devons tous considérer comme des frères et aider de
toutes les façons possibles. C’est pourquoi, à l’encontre des haines et des
rivalités qui dressent les hommes les uns contre les autres, de la violence
et des innombrables maux et misères qui sont les conséquences de cette
agitation des peuples et des choses, Benoît prescrit aux siens ces très saintes
régles : « Qu’on montre les soins les plus empressés dans l’hospitalité,
spécialement à l’égard des pauvres et des pèlerins, car c’est le Christ que
l’on accueille principalement en eux. » « Que tous les hôtes qui nous
arrivent soient accueillis comme le Christ, car c’est lui qui dira un jour :
J’ai été étranger, et vous m’avez accueilli » (Mt 25, 35) « Avant tout et
par-dessus tout, que l’on ait soin des malades, afin de les servir comme le
Christ lui-même, car il a dit : J’étais malade et vous m’avez visité. » (v. 36)

Pie XII, 1939-1958
Encyclique « Fulgens radiatur » 21.03.1947