Don Reto Nay
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Deux mille religieux de moins par an, s’inquiète le Vatican

Depuis Sao Paulo, le préfet de la Congrégation pour les religieux, le cardinal Braz de Aviz, a indiqué que le nombre de personnes consacrées dans le monde diminuait d’environ 2 000 personnes par an.

continuer:
www.la-croix.com/…/Deux-mille-reli…
avecrux.avemaria
Bonjour dvdenise, Des Saints ont été trompés par le démon. Paix et bien dans les Coeurs unis de Jésus Marie Joseph +
dvdenise
Sr. Emmanuel Maillard de Medjugorje a rencontré le Père Amorth, le célèbre exorciste de Rome. Le Père Amorth raconte comment le démon exprime sa haine lorsqu’on invoque certains saints pour faciliter l’exorcisme.
Par exemple Satan ne supporte pas que l’exorciste invoque l’intercession de St-Jean Paul II. Et comme le Père Amorth lui demandait pourquoi, Satan répondit:’Parce qu’il m’a …
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Sr. Emmanuel Maillard de Medjugorje a rencontré le Père Amorth, le célèbre exorciste de Rome. Le Père Amorth raconte comment le démon exprime sa haine lorsqu’on invoque certains saints pour faciliter l’exorcisme.

Par exemple Satan ne supporte pas que l’exorciste invoque l’intercession de St-Jean Paul II. Et comme le Père Amorth lui demandait pourquoi, Satan répondit:’Parce qu’il m’a volé tant de jeunes! »
avecrux.avemaria
C'est dommage que vous n'ayez pas comparé le nombre de vocation sacerdotale sous le règne de sa Sainteté le Pape Pie X à celui sous JP 2. Oh comme vous seriez étonnés des chiffres. Il n'y a pas photo. Un Saint attire dans le Christ tout à lui et un homme populaire juste un bain de foule. Paix et bien dans le Coeurs unis de Jésus Marie Joseph + 🙏
theflix26
Et vos 360 millions de catholiques en 1913 ?
Quid sub sole
??? 🚬
Francesco I
L'article que vous avez mentionné confirme les données que j'ai communiquées:
1,6 milliard de personnes sur la terre au début de 1900; 6, 5 milliards en 2005 !
en.wikipedia.org/wiki/World_population_estimates
theflix26
En cherchant on trouve que 17% des habitants du monde sont catholiques en 1914, ce qui ferait 306 millions
Si c'est le cas, les catholiques ont augmenté sous St Pie X de 2%, même "score" que sous JP II
Le tragique par contre , c'est la France catholique il semblerait ... !!!Plus
En cherchant on trouve que 17% des habitants du monde sont catholiques en 1914, ce qui ferait 306 millions
Si c'est le cas, les catholiques ont augmenté sous St Pie X de 2%, même "score" que sous JP II

Le tragique par contre , c'est la France catholique il semblerait ... !!!
moniquemaman
ok Francesco sauf que vos 75% sont FAUX !! Et vos - 25% n'en parlons pas !
discussion statistiques ?
chiffres en.wikipedia.org/wiki/World_population_estimates
Les miens ne donnaient pas la précision +48, 84 % de population mondiale sur le trajet pontifical JP II oct78 à avril2005
OK la proportion des baptisés a très légèrement augmenté, mais le nombre malgré la crise culture de mort mondiale et …Plus
ok Francesco sauf que vos 75% sont FAUX !! Et vos - 25% n'en parlons pas !
discussion statistiques ?
chiffres en.wikipedia.org/wiki/World_population_estimates

Les miens ne donnaient pas la précision +48, 84 % de population mondiale sur le trajet pontifical JP II oct78 à avril2005

OK la proportion des baptisés a très légèrement augmenté, mais le nombre malgré la crise culture de mort mondiale et la propagande athée généralisée .... a augmenté spectaculairement

Merci pour les chiffres sous St Pie X : Cependant là aussi on a eu : + 7% population mondiale /// 275 millions catholiques en 1903 et je ne vois nulle part qu'on ait plus de 360 millions de catholiques en 1914 : Où diantre sont vos sources, Francesco ?
dvdenise
Prière pour notre terre
Dieu Tout-Puissant
qui es présent dans tout l’univers
et dans la plus petite de tes créatures,
Toi qui entoures de ta tendresse tout ce qui existe,
répands sur nous la force de ton amour pour que
nous protégions la vie et la beauté.
Inonde-nous de paix, pour que nous vivions
comme frères et sœurs
sans causer de dommages à personne.
Ô Dieu des pauvres,
aide-nous à secourir …Plus
Prière pour notre terre

Dieu Tout-Puissant
qui es présent dans tout l’univers
et dans la plus petite de tes créatures,
Toi qui entoures de ta tendresse tout ce qui existe,
répands sur nous la force de ton amour pour que
nous protégions la vie et la beauté.
Inonde-nous de paix, pour que nous vivions
comme frères et sœurs
sans causer de dommages à personne.
Ô Dieu des pauvres,
aide-nous à secourir les abandonnés
et les oubliés de cette terre
qui valent tant à tes yeux.
Guéris nos vies,
pour que nous soyons des protecteurs du monde
et non des prédateurs,
pour que nous semions la beauté
et non la pollution ni la destruction.
Touche les cœurs
de ceux qui cherchent seulement des profits
aux dépens de la terre et des pauvres.
Apprends-nous à découvrir
la valeur de chaque chose,
à contempler, émerveillés,
à reconnaître que nous sommes profondément unis
à toutes les créatures
sur notre chemin vers ta lumière infinie.
Merci parce que tu es avec nous tous les jours.
Soutiens-nous, nous t’en prions,
dans notre lutte pour la justice, l’amour et la paix.

Prière chrétienne avec la création

Nous te louons, Père, avec toutes tes créatures,
qui sont sorties de ta main puissante.
Elles sont tiennes, et sont remplies de ta présence
comme de ta tendresse.
Loué sois-tu.
Fils de Dieu, Jésus,
toutes choses ont été créées par toi.
Tu t’es formé dans le sein maternel de Marie,
tu as fait partie de cette terre,
et tu as regardé ce monde avec des yeux humains.
Aujourd’hui tu es vivant en chaque créature
avec ta gloire de ressuscité.
Loué sois-tu.
Esprit-Saint, qui par ta lumière
orientes ce monde vers l’amour du Père
et accompagnes le gémissement de la création,
tu vis aussi dans nos cœurs
pour nous inciter au bien.
Loué sois-tu.
Ô Dieu, Un et Trine,
communauté sublime d’amour infini,
apprends-nous à te contempler
dans la beauté de l’univers,
où tout nous parle de toi.
Éveille notre louange et notre gratitude
pour chaque être que tu as créé.
Donne-nous la grâce
de nous sentir intimement unis à tout ce qui existe.
Dieu d’amour, montre-nous
notre place dans ce monde
comme instruments de ton affection
pour tous les êtres de cette terre,
parce qu’aucun n’est oublié de toi.
Illumine les détenteurs du pouvoir et de l’argent
pour qu’ils se gardent du péché de l’indifférence,
aiment le bien commun, promeuvent les faibles,
et prennent soin de ce monde que nous habitons.
Les pauvres et la terre implorent :
Seigneur, saisis-nous
par ta puissance et ta lumière
pour protéger toute vie,
pour préparer un avenir meilleur,
pour que vienne
ton Règne de justice, de paix, d’amour et de beauté.
Loué sois-tu.
Amen.

Donné à Rome, près de Saint-Pierre, le 24 mai 2015, solennité de Pentecôte, en la troisième année de mon Pontificat.
Franciscus
Abramo
Quel désastre! Mais beaucoup d'évêques continuent à ne faire rien.
dvdenise
La Bonne Nouvelle à l'approche du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde
A mon vénéré frère
Mgr Rino Fisichella
président du Conseil pontifical
pour la promotion de la nouvelle évangélisation
L’approche du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde me permet de me concentrer sur certains points sur lesquels je considère qu’il est important d’intervenir afin de permettre que la célébration de …Plus
La Bonne Nouvelle à l'approche du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde

A mon vénéré frère
Mgr Rino Fisichella
président du Conseil pontifical
pour la promotion de la nouvelle évangélisation

L’approche du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde me permet de me concentrer sur certains points sur lesquels je considère qu’il est important d’intervenir afin de permettre que la célébration de l’Année Sainte soit pour tous les croyants un véritable moment de rencontre avec la miséricorde de Dieu. Je désire en effet que le Jubilé soit une expérience vivante de la proximité du Père, permettant presque de toucher du doigt sa tendresse, afin que la foi de chaque croyant se renforce et que le témoignage devienne ainsi toujours plus efficace.

Ma pensée va, en premier lieu, à tous les fidèles qui, dans chaque diocèse ou comme pèlerins à Rome, vivront la grâce du Jubilé. Je désire que l’indulgence jubilaire soit pour chacun une expérience authentique de la miséricorde de Dieu, qui va à la rencontre de tous avec le visage du Père qui accueille et pardonne, oubliant entièrement le péché commis. Pour vivre et obtenir l’indulgence, les fidèles sont appelés à accomplir un bref pèlerinage vers la Porte Sainte, ouverte dans chaque Cathédrale ou dans les églises établies par l’évêque diocésain, ainsi que dans les quatre basiliques papales à Rome, comme signe du désir profond de véritable conversion. De même, j’établis que l’on puisse obtenir l’indulgence dans les sanctuaires où est ouverte la Porte de la Miséricorde et dans les églises qui sont traditionnellement identifiées comme jubilaires. Il est important que ce moment soit uni, avant tout, au Sacrement de la Réconciliation et à la célébration de la sainte Eucharistie par une réflexion sur la miséricorde. Il sera nécessaire d’accompagner ces célébrations par la profession de foi et par la prière pour ma personne et pour les intentions que je porte dans mon cœur pour le bien de l’Eglise et du monde entier.

Je pense, en outre, à ceux qui, pour divers motifs, n’auront pas la possibilité de se rendre à la Porte Sainte, en premier lieu les malades et les personnes âgées et seules, que leurs conditions empêchent souvent de sortir de chez eux. Pour ces personnes, il sera d’une grande aide de vivre la maladie et la souffrance comme expérience de proximité au Seigneur qui, dans le mystère de sa passion, mort et résurrection, indique la voie maîtresse pour donner un sens à la douleur et à la solitude. Vivre avec foi et espérance joyeuse ce moment d’épreuve, en recevant la communion ou en participant à la Messe et à la prière communautaire, également à travers les divers moyens de communication, sera pour elles la façon d’obtenir l’indulgence jubilaire. Ma pensée va aussi aux détenus, qui font l’expérience de la restriction de leur liberté. Le Jubilé a toujours constitué l’opportunité d’une grande amnistie, destinée à toucher de nombreuses personnes qui, bien que méritant une peine, ont toutefois pris conscience de l’injustice qu’elles ont commise, et désirent sincèrement s’insérer à nouveau dans la société en apportant leur contribution honnête. Qu’à toutes ces personnes parvienne de façon concrète la miséricorde du Père qui désire être proche de ceux qui ont le plus besoin de son pardon. Dans les chapelles des prisons, elles pourront obtenir l’indulgence et, chaque fois qu’elles passeront par la porte de leur cellule, en adressant leur pensée et leur prière au Père, puisse ce geste signifier pour elles le passage de la Porte Sainte, car la miséricorde de Dieu, capable de transformer les cœurs, est également en mesure de transformer les barreaux en expérience de liberté.

J’ai demandé que l’Eglise redécouvre en ce temps jubilaire la richesse contenue dans les œuvres de miséricorde corporelle et spirituelle. L’expérience de la miséricorde, en effet, devient visible dans le témoignage de signes concrets comme Jésus lui-même nous l’a enseigné. Chaque fois qu’un fidèle vivra l’une ou plusieurs de ces œuvres en première personne, il obtiendra certainement l’indulgence jubilaire. D’où l’engagement à vivre de la miséricorde pour obtenir la grâce du pardon complet et total en vertu de la force de l’amour du Père qui n’exclut personne. Il s’agira donc d’une indulgence jubilaire plénière, fruit de l’événement lui-même qui est célébré et vécu avec foi, espérance et charité.

Enfin, l’indulgence jubilaire peut être obtenue également pour les défunts. Nous sommes liés à eux par le témoignage de foi et de charité qu’ils nous ont laissé. De même que nous les rappelons dans la célébration eucharistique, ainsi, nous pouvons, dans le grand mystère de la communion des Saints, prier pour eux afin que le visage miséricordieux du Père les libère de tout résidu de faute et puisse les accueillir dans ses bras, dans la béatitude qui n’a pas de fin.

L’un des graves problèmes de notre temps est sans aucun doute le changement du rapport à la vie. Une mentalité très répandue a désormais fait perdre la sensibilité personnelle et sociale adéquate à l’égard de l’accueil d’une vie nouvelle. Le drame de l’avortement est vécu par certains avec une conscience superficielle, qui semble ne pas se rendre compte du mal très grave qu’un tel acte comporte. Beaucoup d’autres, en revanche, bien que vivant ce moment comme un échec, considèrent ne pas avoir d’autres voies à parcourir. Je pense, en particulier, à toutes les femmes qui ont eu recours à l’avortement. Je connais bien les conditionnements qui les ont conduites à cette décision. Je sais qu’il s’agit d’un drame existentiel et moral. J’ai rencontré de nombreuses femmes qui portaient dans leur cœur la cicatrice de ce choix difficile et douloureux. Ce qui a eu lieu est profondément injuste; pourtant, seule sa compréhension dans sa vérité peut permettre de ne pas perdre l’espérance. Le pardon de Dieu à quiconque s’est repenti ne peut être nié, en particulier lorsqu’avec un cœur sincère, cette personne s’approche du Sacrement de la Confession pour obtenir la réconciliation avec le Père. C’est également pour cette raison que j’ai décidé, nonobstant toute chose contraire, d’accorder à tous les prêtres, pour l’Année jubilaire, la faculté d’absoudre du péché d’avortement tous ceux qui l’ont provoqué et qui, le cœur repenti, en demandent pardon. Que les prêtres se préparent à cette tâche importante en sachant unir des paroles d’authentique accueil à une réflexion qui aide à comprendre le péché commis, et indiquer un itinéraire de conversion authentique pour pouvoir obtenir le pardon véritable et généreux du Père qui renouvelle tout par sa présence.

Une dernière considération s’adresse aux fidèles qui, pour diverses raisons, désirent fréquenter les églises où les offices sont célébrés par les prêtres de la Fraternité Saint Pie X. Cette Année jubilaire de la Miséricorde n’exclut personne. Certains confrères évêques m’ont fait part en plusieurs occasions de leur bonne foi et pratique sacramentelle, unie toutefois à la difficulté de vivre une situation pastorale difficile. J’espère que dans un proche avenir, l’on pourra trouver les solutions pour retrouver une pleine communion avec les prêtres et les supérieurs de la Fraternité. Entre temps, animé par l’exigence de répondre au bien de ces frères, j’établis, par ma propre disposition, que ceux qui, au cours de l’Année Sainte de la Miséricorde, s’approcheront, pour célébrer le Sacrement de la Réconciliation, des prêtres de la Fraternité Saint Pie X recevront une absolution valide et licite de leurs péchés.

M’en remettant à l’intercession de la Mère de la Miséricorde, je confie à sa protection la préparation de ce Jubilé extraordinaire.

Du Vatican, le 1er septembre 2015.

FRANCISCUS

Source :press.vatican.va/…/01386.html
avecrux.avemaria
Bonjour dvdenise, je m'incline devant la réponse de Francesco Federico et même je la fais mienne tout en rajoutant ceci :
Pères de l'Église
L'expression de la doctrine de l'Immaculée Conception s'opère progressivement. Sans employer exactement la formulation moderne, de nombreux Pères expriment déjà le contenu de la doctrine catholique. Par exemple:
Éphrem le Syrien (306-373): « Pleine de grâce …Plus
Bonjour dvdenise, je m'incline devant la réponse de Francesco Federico et même je la fais mienne tout en rajoutant ceci :

Pères de l'Église
L'expression de la doctrine de l'Immaculée Conception s'opère progressivement. Sans employer exactement la formulation moderne, de nombreux Pères expriment déjà le contenu de la doctrine catholique. Par exemple:
Éphrem le Syrien (306-373): « Pleine de grâce,… toute pure, toute immaculée, toute sans faute, toute sans souillure, toute sans reproche, toute digne de louange, toute intègre, toute bienheureuse, … vierge d'âme, de corps et d'esprit,… arche sainte… belle par nature, tabernacle sacré que le Verbe... a travaillé de ses mains divines, … complètement étrangère à la toute souillure et à toute tache du péché. »3
Ambroise (340-397) : « Marie est sans défaillance, immaculée. »4
Augustin (354-430) : « De la sainte Vierge Marie, pour l’honneur du Christ, je ne veux pas qu’il soit question lorsqu’il s’agit de péchés. Nous savons en effet qu’une grâce plus grande lui a été accordée pour vaincre de toutes parts le péché par cela même qu’elle a mérité de concevoir et d’enfanter celui dont il est certain qu’il n’eut aucun péché. »5
Dans la Vulgate, Jérôme (347-420) emploie l'expression inmaculata (Ct 5,2; cf. 4,7) et attribue à Marie le rôle d'écraser le serpent (Gn 3,15).
Jacques de Saroug (450-521) : « Sa nature originelle était préservée, avec une volonté pour les choses bonnes. »6
Les Églises de langue grecque appellent Marie la Panaghia: Toute sainte7.
Romain le Mélode (493-565): « [Marie a été] le Temple saint dès sa naissance... Anne a enfanté l'Immaculée. »8
Anastase d'Antioche (avant 599): « Le Verbe est descendu dans un sein virginal exempt de toute corruption. »9
Sophrone de Jérusalem (560-638) : « Marie, pure, sainte, sans tache, resplendissante, aux sentiments divins, sanctifiée, libre de toute souillure du corps, de la pensée, de l'âme. »10
Par la suite, les Pères grecs rivalisent d'éloges dans l'affirmation en Marie de l'absence de tout péché11.

Origine et développement de la croyance
Avant d'être un dogme, l'Assomption de Marie était une croyance reposant sur la tradition patristique et non sur des bases scripturaires reconnues des premiers temps de l'Église. En effet, aucun texte du Nouveau Testament n'évoque la fin de Marie, et ce sont des textes apocryphes et des légendes qui ont comblé ce vide1.
En 373 [ap. J-C.], Saint Ephrem2 évoque le concept selon lequel le corps de Marie serait resté, après son décès, intact — à savoir non atteint par « l'impureté » de la mort (La Torah étant « une Torah de vie », la mort et ceux qui la portent sont considérés comme impurs, pour tous.).
Au IVe siècle, Épiphane de Salamine envisage plusieurs hypothèses sur ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie. Il conclut qu'on ne peut pas se prononcer3, mais laisse ouverte la possibilité que certains milieux hétérodoxes à ses yeux en savaient davantage. Puisqu'une tradition écrite existe dès le Ve siècle, elle remonte vraisemblablement au IVe siècle4.
En Occident, Grégoire de Tours est le premier à en faire mention, à la fin du VIe siècle5. Il s'appuie apparemment sur un corpus de textes apocryphes, appelés collectivement le Transitus Mariæ, généralement rattaché au Ve siècle. Cet ensemble de textes est explicitement désigné par Gélase Ier en 495-496, comme étant « à ne pas retenir » car apocryphe, jugement qui porte sur cette compilation et non sur la croyance en elle-même. Selon cette tradition, Marie rencontre sur le mont des Oliviers un ange qui lui remet une palme de l'arbre de vie et lui annonce sa mort prochaine. Marie rentre chez elle et fait part de la nouvelle à son entourage. Miraculeusement, les apôtres reviennent des différents endroits où ils sont partis prêcher, afin de l'entourer. Jésus apparaît entouré d'anges pour recevoir l'âme de sa mère, qu'il confie à l'archange Michel. Les apôtres enterrent le corps au pied du mont des Oliviers. Quelques jours plus tard, Jésus apparaît de nouveau et emporte le corps au Paradis, où l'âme et le corps de Marie sont réunis.
En Orient, Jean Damascène rapporte la tradition de l'Église de Jérusalem à ce sujet : selon lui, Juvénal, évêque de Jérusalem, se voit demander lors du concile de Chalcédoine le corps de Marie par le couple impérial, Marcien et Pulchérie. Juvénal répond que Marie est morte entourée de tous les apôtres, sauf Thomas, qui est en retard. À son arrivée, quelques jours plus tard, Thomas demande à voir la tombe, mais celle-ci s'avère vide ; les apôtres en déduisent alors qu'elle a été emportée au ciel6.
Une autre tradition rapporte que l'Assomption a lieu à Éphèse, dans la maison connue aujourd'hui comme la « Maison de la Vierge Marie », accompagnée de l'apôtre Jean, à qui le Christ, sur la croix, avait confié Marie7. La première allusion attestée ne date que de la fin du IXe siècle, dans un manuscrit syriaque qui rapporte que Marie suit Jean à Éphèse et qu'elle y meurt8. Les seules autres sources pré-modernes sont trois auteurs syriaques des XIIe et XIIIe siècles8.
Une fête avant d'être un dogme

Gravure en tête du Paroissien complet selon le rite romain à l'usage du diocèse de Rouen, 1877.
Au VIe siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la Dormition de la Vierge Marie chaque année à la date du 15 août, semble-t-il pour commémorer l'inauguration d’une église dédiée à la Vierge montée au ciel, le Sépulcre de Marie9.
La fête est introduite en Occident sous l'influence du pape Théodore au VIIe siècle et prend le nom d'Assomption à partir du siècle suivant10. Elle est citée sous ce nom en 813 par le Concile de Mayence parmi les fêtes d'obligation11.
En 1637, le roi Louis XIII désirant un héritier consacre la France à la Vierge Marie et demande à ses sujets de faire tous les 15 août une procession dans chaque paroisse afin d'avoir un fils. Comme Louis XIV naît l'année suivante, la fête célébrée par le Vœu de Louis XIII prend une importance particulière en France12.
En 1854 la proclamation du dogme de l’Immaculée conception entraîne de nombreuses pétitions à Rome pour que soit officiellement défini le dogme de l’Assomption. « De 1854 à 1945, huit millions de fidèles écriront en ce sens. Il faut y ajouter les pétitions de 1 332 évêques, de 83 000 prêtres, religieuses et religieux. Face à ces demandes répétées, Pie XII demande aux évêques du monde de se prononcer. 90 % des évêques y sont favorables. 10 % des évêques s’interrogent sur l’opportunité d’une telle déclaration »13.

Protonotaire apostolique, Monseigneur Louis Duchesne (1843-1922) préside une procession du 15 août à Saint-Malo, en France.
Le 1er novembre 1950, Pie XII officialise en quelque sorte la fête mariale qui existe depuis quatorze siècles en proclamant que l'Assomption doit être désormais considérée comme un dogme de foi divinement révélé par Dieu. Marie, ayant été préservé du péché originel et n'ayant commis aucun péché personnel a été élevée à la gloire du ciel, après la fin de sa vie terrestre, en corps et en en âme. Rien n'obligeait, en effet, son enveloppe charnelle à attendre la résurrection des corps à la fin des temps. (Constitution Munificentissimus Deus, 1er novembre 1950).

J'affirme que les premiers adorateurs du Coeur Sacré de Notre Seigneur Jésus-Christ et les premiers à vénérer le Coeur Immaculé et Douloureux de Marie soient les apôtres eux-mêmes ! Ils ont vécu auprès d'elle donc... 🙏

Paix et bien dans les Coeur unis de Jésus Marie Joseph +
dvdenise
Francesco, ce n'est pas à vous que je répondais, c'est à avecrux qui a écrit:
Voici l'extrait des oeuvres de M. l'Abbé BANDEVILLE (1799-1853) page 71 - "Car ne croyez pas que l'Eglise vienne jamais vous donner de nouveaux dogmes à croire, de nouvelles lois morales à suivre ; non : elle n'a d'autre mission que de conserver le dépôt de la vérité tel qu'elle l'a reçu de son divin fondateur."
Francesco Federico
@dvdenise
Les dogmes de l'Eglise ne se posent pas quand ils sont annoncés!
Sa Sainteté le Pape Pie XII, avant la constitution apostolique "Munificentissimus Deus" interpella tous les évêques du monde pour afficher que l'Assomption au ciel corps et âme de la Sainte Vierge eût été toujours crue dans chaque diocèse. Donc, le pape ne peut pas "inventer" les dogmes, mais il peut proclamer les vérités …Plus
@dvdenise

Les dogmes de l'Eglise ne se posent pas quand ils sont annoncés!
Sa Sainteté le Pape Pie XII, avant la constitution apostolique "Munificentissimus Deus" interpella tous les évêques du monde pour afficher que l'Assomption au ciel corps et âme de la Sainte Vierge eût été toujours crue dans chaque diocèse. Donc, le pape ne peut pas "inventer" les dogmes, mais il peut proclamer les vérités qui ont toujours été crues tels par le peuple de Dieu, donc ils (les dogmes) fonctionnent "ex tunc" et non "ex nunc"!

Proclamation du dogme de l'Assomption 1er Novembre 1950 - Le pape Pie XII
dvdenise
Le 7 décembre 1935, Notre Seigneur dit à Sœur Consolata Betrone:
Une mère, toute laide que soit sa progéniture, ne la considère point comme telle ; elle la garde toujours belle dans son cœur.
Ainsi se comporte mon cœur vis-à-vis des âmes : mêmes celles qui sont laides, ténébreuses et hideuses, mon Cœur les regarde toujours comme belles.
Je souffre lorsqu’on me confirme leur laideur ; Plus
Le 7 décembre 1935, Notre Seigneur dit à Sœur Consolata Betrone:
Une mère, toute laide que soit sa progéniture, ne la considère point comme telle ; elle la garde toujours belle dans son cœur.

Ainsi se comporte mon cœur vis-à-vis des âmes : mêmes celles qui sont laides, ténébreuses et hideuses, mon Cœur les regarde toujours comme belles.

Je souffre lorsqu’on me confirme leur laideur ; inversement, j’éprouve du contentement lorsqu’on entre dans mes sentiments maternels en affirmant que ces âmes gardent leur beauté… Ces âmes m’appartiennent, je leur ai fait don de tout mon sang !

Aussi suis-je blessé par tout jugement sévère, blâme, condamnation reposant même sur la vérité ; comme, inversement, me soulage tout sentiment de compassion, d’indulgence et de miséricorde !

Abstiens-toi de juger qui que ce soit, et de proférer, et de proférer des paroles dures ; console mon Cœur et arrache-le à sa tristesse en me faisant voir par ton ingénieuse charité le seul beau côté d’une âme coupable : je te croirai, j’écouterai ta prière en sa faveur et t’exaucerai. Faire justice me peine. Mon Cœur a besoin de croire que mes créatures ne sont pas ingrates. Si tu cherches à me faire voir la gratitude, la bonté et la fidélité d’une âme, je le croirai. Que veux-tu, mon Cœur recherche le réconfort, il veut la miséricorde et non la justice !

Le 15 décembre 1935, notre Seigneur lui dit : Il arrivera souvent, Consolata, que des âmes très religieuses, surtout de celles qui me sont consacrées, me blessent dans l’intime de moi-même par cette phrase défiante : « Qui sait si je me sauverai ? »

Ouvre l’évangile et tu verras ce que j’ai promis à mes brebis : « Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. »

As-tu compris Consolata ? Personne ne peut me ravir une âme.

Lis plus loin : « Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père.

As-tu compris Consolata ? Personne ne me ravira une âme… elles ne périront jamais, car je leur donne la vie éternelle.

À qui s’adressent ces paroles ? A toutes les âmes.

Pourquoi, dès lors me causer cet affront : « Qui sait si je serai sauvé ? » quand, dans l’Evangile, je donne la pleine assurance qu’aucune âme ne me sera ravie, que je leur donnerai la vie éternelle et qu’ainsi personne ne sera perdu ?

Crois-moi Consolata, va en enfer qui veut bien y aller ; car, bien que personne ne puisse m’arracher une âme, néanmoins, l’âme dotée du libre arbitre peut s’enfuir, me trahir et me renier et par conséquent se livrer au démon.

Si seulement, au lieu de me blesser par défiance, vous pensiez un peu au paradis promis ! C’est au paradis et non à l’enfer que je vous ai vouées en vous créant, à la jouissance d’un éternel amour et non à la compagnie infernale des démons.

Oui, va en enfer qui veut bien y aller. Futile est votre crainte de vous damner : n’ai-je pas versé mon sang pour vous sauver ?

Je veillerais sur vous durant toute votre existence terrestre en vous donnant grâce sur grâce ; et, au dernier instant de votre vie, alors que je n’aurais plus qu’à recueillir les fruits de ma Rédemption, que l’âme serait à la veille de jouir de sa béatitude, je permettrais au démon, mon pire ennemi, de me ravir cette âme ? Que deviendraient alors les promesses de vie éternelle exprimées dans mon évangile ? Comment peut-on croire, Consolata, de pareilles monstruosités ?

L’impénitence finale ne se rencontre que chez les personnes qui veulent aller en enfer, de propos délibéré, et par conséquent refusent ma miséricorde ; car, pour ce qui est de moi, jamais je ne refuse mon pardon : ma miséricorde illimitée embrasse l’univers entier, car pour tous, j’ai versé mon sang.

La multitude des péchés ne damnera pas une âme – puisque mon pardon prévient son repentir, mais bien l’obstination à refuser mon pardon et à vouloir se damner.
dvdenise
avecrux, est-ce à dire que vous reniez les dogmes établis par l'Église...
1854 : Immaculée Conception de Marie, dogme établi par une bulle pontificale Ineffabilis Deus de Pie IX). Il signifie que Marie, mère de Jésus de Nazareth, fut conçue sans le péché originel.
1870 : Concile Vatican I - Infaillibilité pontificale; le concile est interrompu par la guerre de 1870.
1950 : Assomption …Plus
avecrux, est-ce à dire que vous reniez les dogmes établis par l'Église...

1854 : Immaculée Conception de Marie, dogme établi par une bulle pontificale Ineffabilis Deus de Pie IX). Il signifie que Marie, mère de Jésus de Nazareth, fut conçue sans le péché originel.

1870 : Concile Vatican I - Infaillibilité pontificale; le concile est interrompu par la guerre de 1870.

1950 : Assomption de Marie, dogme établi par la constitution apostolique Munificentissimus Deus de Pie XII. Il signifie que Marie, mère de Jésus de Nazareth, est montée au ciel avec son corps, suivant en cela l'apocryphe La Mort de Marie.
avecrux.avemaria
Voici l'extrait des oeuvres de M. l'Abbé BANDEVILLE (1799-1853) page 71 - "Car ne croyez pas que l'Eglise vienne jamais vous donner de nouveaux dogmes à croire, de nouvelles lois morales à suivre ; non : elle n'a d'autre mission que de conserver le dépôt de la vérité tel qu'elle l'a reçu de son divin fondateur."
"La doctrine que je vous enseigne, nous dit-elle, n'est pas la mienne (1) ; c'est …
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Voici l'extrait des oeuvres de M. l'Abbé BANDEVILLE (1799-1853) page 71 - "Car ne croyez pas que l'Eglise vienne jamais vous donner de nouveaux dogmes à croire, de nouvelles lois morales à suivre ; non : elle n'a d'autre mission que de conserver le dépôt de la vérité tel qu'elle l'a reçu de son divin fondateur."

"La doctrine que je vous enseigne, nous dit-elle, n'est pas la mienne (1) ; c'est celle que m'ont transmise Pierre le prince des apôtres, Jean le disciple bien-aimé, Paul le docteur des nations, et tous ceux qui ont conversé avec le Fils de Dieu fait homme. Les paroles de salut qu'ils ont reccueillis, les merveilles dont ils ont été témoins, et qui leur attestaient la divinité de leur maître ; ce qu'ils ont entendu, ce qu'ils ont vu, ils l'ont publié par toute la terre ; moi, le corps des pasteurs, je n'ai fait que garder avec une scrupuleuse fidélité ce qu'ils ont enseigné ; depuis plus de 1800 ans pas une lettre, pas un accent n'a été retranché ou changé dans ce qu'ils m'ont transmis. Ils m'ont donné la parole de J.-C, je vous la remets dans toute son intégrité."

"Mais en religion, on ne peut rien découvrir, rien changer, rien innover, parce qu'elle vient de plus haut. Flétrissez, j'y consens, toute croyance qui porte un nom d'homme : ce nom seul est une preuve que la croyance en question sort d'une source toute humaine ; mais une doctrine qui n'a d'autre nom que celui de catholique, et qui justifie ce nom par un cachet d'universalité, de perpétuité, ne la dédaignez pas : elle provient d'une source respectable, c'est-à -dire, des apôtres et apr conséquent de J.-C.

Les écrits de tous les docteurs qui ont développé la parole apostolique depuis l'origine jusqu'aux temps rapprochés du nôtre, sont pour l'Eglise comme de vastes archives où sont consignées les preuves de son enseignement immuable, comme une série non interrompue de témoins qui attestent la pertétuité de sa foi. Interrogez séparément toutes les Eglises qui portent le nom de catholiques, et surprenez, s'il vous est possible, une sale trace de variation sur un point de la croyance. Remontez toute la suite des siècles ; il vous sera facile d'assigner une date, un nom d'auteur aux doctrines de Luther ou de Calvin, aux rêveries d'Arius ou de Pélage, à toutes les erreurs qui ont surgi à différentes époques ; mais nous vous défions d'assigner à un seul article de notre foi une autre origine que la prédication des apôtres, une autre source que J.-C lui-même."
Qu'une doctrine inouïe jusqu'ici vienne à se répandre en matière de foi, un cri de réprobation ne tardera pa à s'élever ; ce cri, bientôt répété par une multitude d'échos, sera : Point de nouveauté ; anathème à celui qui fabrique de nouveaux dogmes ! On opposera au novateur la croyance antique et universelle : la VIEILLE MAJESTE DES PERES ET LE TEMOIGNAGE DE TOUTE L'EGLISE. Ce n'est pas ainsi, dira-t-on, que croyaient ceux qui nous ont devancés ; ce n'est pas là ce qu'enseignaient les Augustin, les Athanase, les Cyprien, les Irénée et tant d'autres qui, rapprochés des temps apostoliques,
🙏
Roy-XXIII
Mission presque accomplie ► Baisse de fréquentation aux audiences générales
À l’occasion de la centième audience générale du pontificat du pape François, la Préfecture de la Maison pontificale a communiqué les chiffres de fréquentation de ces audiences du mercredi. Au total, 3 147 600 personnes y ont assisté. Pour les 30 audiences de 2013 : 1 548 500 personnes. Pour les 43 audiences de 2014…Plus
Mission presque accomplie ► Baisse de fréquentation aux audiences générales

À l’occasion de la centième audience générale du pontificat du pape François, la Préfecture de la Maison pontificale a communiqué les chiffres de fréquentation de ces audiences du mercredi. Au total, 3 147 600 personnes y ont assisté. Pour les 30 audiences de 2013 : 1 548 500 personnes. Pour les 43 audiences de 2014 : 1 199 000 personnes. Pour les 27 premières audiences de cette année, sauf celle d’hier : 400 100 personnes. En gros, la moyenne des participants par audience générale s’établit comme suit : 2013 : 51 617 personnes ; 2014 : 27 883 personnes (- 46 %) ; 2015 : 14 818 (- 47,8 % par rapport à l’année précédente ; - 71,3 % par rapport à 2013). Et ce ne sont pas les chiffres de la centième audience générale d’hier mercredi 26 août qui seront susceptibles de faire remonter la moyenne de cette année, puisque les assistants y étaient « plus de 10 000 » selon une information officielle du Vatican.
Francesco I
@moniquemaman
Sous le pontificat de Jean-Paul II la population mondiale est passée de 4 milliards à 7 milliards de personnes!
Une augmentation donc du 75% si les baptisés ont seulement augmenté de 50%, cela signifie une baisse réelle de 25% !
Pendant le pontificat de saint Pie X, à l'ère pré-antibiotique, la population mondiale est restée stable à 1,65 milliards de personnes avec une augmentation …Plus
@moniquemaman

Sous le pontificat de Jean-Paul II la population mondiale est passée de 4 milliards à 7 milliards de personnes!

Une augmentation donc du 75% si les baptisés ont seulement augmenté de 50%, cela signifie une baisse réelle de 25% !

Pendant le pontificat de saint Pie X, à l'ère pré-antibiotique, la population mondiale est restée stable à 1,65 milliards de personnes avec une augmentation réelle de 32% des baptisés

Avant le Concile Vatican II environ 100.000 personnes par an aux Etats-Unis se convertirent du protestantisme au catholicisme après l'adoption de la nouvelle messe, la situation c'est complètement inversée!