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Al-Qaïda en Syrie: Hollande & Obama complices ! Reportage sur la "justice" d'Al-Qaïda qui impose la charia en Syrie. Scandaleux et préoccupant !Plus
Al-Qaïda en Syrie: Hollande & Obama complices !

Reportage sur la "justice" d'Al-Qaïda qui impose la charia en Syrie. Scandaleux et préoccupant !
gerard paul
Oui et merci siloe mai si je dit( comme s'ils était) sais par espérance qu'ils ouvre les yeux avant qu'ils ne leurs soient trop tard, qu'ils ne finisses pas comme Judas pendu et sans remord 👌
siloe
@gerard paul "comme s'ils était guidé par les puissances infernal" ..... ndlr : - Ils sont guidés par les puissances infernales -. 😲
Jésus Fils de Dieu
🤮 🤮 🤮 quelle horreur ce "djihad sexuel" !!! 🙏 🙏 🙏
gerard paul
troublant quand je pense aux écritures de l’apocalypse , les cavaliers es, le rouge 1917 ,le noir 1932, et aujourd'hui le vert? avec se qui se passe dans le monde et les traitres qui nous gouverne et détruise la création en s’attaquant a la famille en couvrant toutes sortes de vices des hommes , jusqu’à massacrer les enfants de notre seigneur partout dans le monde , comme s'ils était guidé par …Plus
troublant quand je pense aux écritures de l’apocalypse , les cavaliers es, le rouge 1917 ,le noir 1932, et aujourd'hui le vert? avec se qui se passe dans le monde et les traitres qui nous gouverne et détruise la création en s’attaquant a la famille en couvrant toutes sortes de vices des hommes , jusqu’à massacrer les enfants de notre seigneur partout dans le monde , comme s'ils était guidé par les puissances infernal. que vienne la parousie et la paix de DIEU sur terre
Jésus est Dieu
Tunisie: Ennahda adoptera les enfants nés du "djihad sexuel" des Tunisiennes en Syrie
Habib Ellouze, député d'Ennahda, propose d'adopter les enfants qui naitront des Tunisiennes parties faire le "djihad sexuel" en Syrie. Plusieurs centaines de très jeunes Tunisiennes y ont été emmenées pour satisfaire les besoins sexuels des djihadistes. De ces relations multiples, garanties hallal, des enfants …Plus
Tunisie: Ennahda adoptera les enfants nés du "djihad sexuel" des Tunisiennes en Syrie
Habib Ellouze, député d'Ennahda, propose d'adopter les enfants qui naitront des Tunisiennes parties faire le "djihad sexuel" en Syrie. Plusieurs centaines de très jeunes Tunisiennes y ont été emmenées pour satisfaire les besoins sexuels des djihadistes. De ces relations multiples, garanties hallal, des enfants naitront bientôt en Tunisie, les volontaires une fois rentrées au bercail enceintes.
La première partie de l'histoire, hallucinante, est connue depuis plusieurs mois: des Tunisiennes (la plus jeune a 13 ans) ont été enrôlées dans un djihad sexuel vers la Syrie. Manipulées par les salafistes, détournées de leur famille comme le fait une secte, elles sont conduites vers les camps rebelles syriens, bénies par des fatwas de cheikhs saoudiens (Al-Arifi sur la photo) tunisiens, syriens qui leur promettent le paradis d'Allah une fois atteint le septième ciel dans les bras de valeureux guerriers assoiffés de repos charnel.
Des parents désespérés, des jeunes filles revenues de l'horreur ont témoigné à plusieurs reprises. Le ministère tunisien de l'Intérieur a confirmé la véracité des faits et précise, depuis quelques semaines, que nombre des candidates sont revenues au bercail enceintes de pères multiples et inconnus. Les fatwas de ces ébats stipulaient que le mariage était prononcé avant l'acte sexuel et dissous après, ce qui permettait à la femme d'être immédiatement remariée à un nouveau partenaire, et ainsi de suite.
La sexualité délirante, codifiée par la barbarie, ayant toujours été associée à l'intégrisme, et autres salafismes (se souvenir des souffrances des Algériennes kidnappées et violées dans les maquis ds Groupes islamiques armés entre 1992 et 1999), cette affaire est logique. Son côté spectaculaire ne fera du reste pas bouger d'un iota les positions également délirantes de nos braves bellicistes français prêts à livrer des armes à ces brigades du pire.
La seconde partie de cette affreuse saga, ce sont les enfants, nés ou à naitre des petites Tunisiennes revenues de cet enfer dépeint auparavant par les rabatteurs aux couleurs de Dieu et de l'argent. La prostitution, les mafias et les grosses primes jouent évidemment un rôle majeur dans ce business sacré. Le ministre tunisien de l'Intérieur vient d'en évoquer les conséquences. Depuis le 20 septembre, un député d'Ennahda, Habib Ellouze, qui s'était distingué naguère par ses appels au châtiment des impies, notamment de Chokri Belaid, le député de l'opposition laïque assassiné le 6 février 2013, propose d'adopter les enfants nés du pieux combat sexuel. Selon des informations du site islamiste tunisien Binanews, reprises par le site Kapitalis, il veut être le premier à leur donner son propre nom.
Cette histoire et ces déclarations recèlent, dans leur effroi, leur outrance, leur obscénité, le malheur des femmes, le malheur des enfants, l'horreur des bourreaux, l'hypocrisie puante des islamistes prétendument "modérés", l'intégralité de l'intégrisme.
www.marianne.net/martinegozlan/Tunisie-Ennahda…
Jésus est Dieu
L'autre ennemi de la Syrie (Publié le 23/09/2013)
Si Bachar el-Assad est devenu le bourreau de son peuple, l'armée toujours plus nombreuse des barbus qui le combattent menace d'être un fléau pire encore.
C'est la première fois que François Hollande se risque aussi ouvertement et précisément sur ce terrain. Jeudi dernier, dans l'euphorie de la reconnaissance du rôle déterminant joué par la …Plus
L'autre ennemi de la Syrie (Publié le 23/09/2013)
Si Bachar el-Assad est devenu le bourreau de son peuple, l'armée toujours plus nombreuse des barbus qui le combattent menace d'être un fléau pire encore.
C'est la première fois que François Hollande se risque aussi ouvertement et précisément sur ce terrain. Jeudi dernier, dans l'euphorie de la reconnaissance du rôle déterminant joué par la France dans la libération du Mali des terroristes qui menaçaient de s'emparer du pays, le président français a évoqué la crise syrienne. Et il a déclaré que la France pourrait livrer des armes "dans un cadre contrôlé et élargi" à la rébellion. Mais pas n'importe laquelle, a-t-il pris soin de préciser. "À l'Armée syrienne libre, qui représente la coalition nationale et est aujourd'hui entre le marteau des frappes du régime et l'enclume de l'islamisme fondamentaliste." Bien vu, mais malheureusement un peu tard.
L'ambition d'un califat
Car, en deux ans de guerre civile, ce sont les barbus qui sont devenus le fer de lance de l'insurrection, et pas les modérés de l'Armée syrienne libre, dont le chef, le général Selim Idriss, doit voir le président français la semaine prochaine. Arrivant depuis des mois, par groupes entiers, d'une Turquie aux frontières totalement poreuses, des combattants étrangers venus de Libye, de Tunisie ou rescapés du Mali ont rejoint, particulièrement dans le nord de la Syrie, les Irakiens de l'Isis (Islamic State of Iraq and al-Sham).
C'est une organisation sunnite, ouvertement affiliée à al-Qaida, prenant ses directives de son chef al-Zaouahiri et ne cachant pas son ambition d'établir un "califat" réunissant l'Irak et la Syrie. Alors qu'elle est ennemie tout autant de l'Occident que du régime Assad, ses hommes font régner la terreur un peu partout en Syrie, jusqu'aux rivages de la Méditerranée, où Lattaquié est devenue l'une de leurs places fortes. Appliquant la charia dans toute sa rigueur, ce sont eux qui ont posé pour les photos publiées par Paris Match où l'on voit des rebelles décapiter froidement des soldats syriens courbés et alignés devant eux. Ce sont eux aussi que l'on soupçonne de détenir plusieurs otages européens. Eux encore dont les kamikazes commettent des attentats contre les chiites de Bagdad de même que contre les Alaouites de Damas. Eux enfin qui, en juillet, ont tué Kamal Hamami, l'un des commandants de l'Armée syrienne libre. Il y a quelques jours, ils se sont d'ailleurs emparés de la ville d'Azaz, près de la frontière turque, détenue depuis mai 2012 par les combattants de l'ASL, tuant plusieurs hommes et faisant une bonne centaine de prisonniers.
Mains impures
Faut-il laisser dès lors les combattants modérés sans défense face à ces fanatiques ? Certainement pas, et François Hollande a raison de laisser entendre qu'après leur avoir livré du matériel non létal il faut que ceux qui sont les plus impliqués dans l'affaire syrienne - France, États-Unis, Royaume-Uni - leur donnent les moyens de se défendre. Contre Assad et contre les djihadistes de l'Isis. Mais ce ne sera pas aussi facile que cela pouvait l'être au début du conflit, d'armer ceux des rebelles que l'on veut aider sans risquer de voir le matériel tomber entre des mains impures.
Les Américains le savent, qui en Afghanistan avaient fourni à la rébellion islamiste la plus fanatisée des missiles sol-air pour abattre les avions et les hélicoptères soviétiques et ont été victimes de leurs propres armes quelques années plus tard quand ils ont fait la guerre aux talibans. La France n'a pas envie de tomber dans le même piège. Est-ce donc une sorte de garantie de modération des djihadistes à l'égard de l'ALS que François Hollande a tenté d'obtenir la semaine dernière ? Il a reçu en effet des émissaires du Qatar et d'Arabie saoudite qui arment et soutiennent les islamistes les plus fanatisés, notamment ceux de l'Isis. Sans trop se faire d'illusions, on l'espère. La haine des monarchies sunnites contre les chiites d'Irak ou d'Iran et les Alaouites de Syrie qui leur sont liés est, depuis des siècles, inextinguible. Elle se moque pas mal de notre souci de voir démocratie et droits de l'homme s'appliquer partout.
www.lepoint.fr/…/l-autre-ennemi-…
1 autre commentaire de Jésus est Dieu
Jésus est Dieu
SYRIE. Pourquoi des rebelles syriens rejettent la Coalition nationale
Face à l'échec de la diplomatie, treize groupes d'insurgés syriens dénoncent toute représentativité de la Coalition nationale syrienne. Explications.
D'importants groupes rebelles islamistes combattant en Syrie ont affirmé mardi 24 septembre qu'aucune organisation basée à l'étranger, y compris la Coalition nationale de …Plus
SYRIE. Pourquoi des rebelles syriens rejettent la Coalition nationale
Face à l'échec de la diplomatie, treize groupes d'insurgés syriens dénoncent toute représentativité de la Coalition nationale syrienne. Explications.
D'importants groupes rebelles islamistes combattant en Syrie ont affirmé mardi 24 septembre qu'aucune organisation basée à l'étranger, y compris la Coalition nationale de l'opposition, ne saurait les représenter. Une alliance de circonstance qu'analyse Thomas Pierret, maître de conférences à l'université d'Edimbourg.
Pourquoi cette déclaration intervient-elle aujourd'hui ?
- On n'y voit pas très clair pour le moment mais on peut dégager une conjonction de trois facteurs. Le premier, sans doute le plus évident, est qu'il n'y a plus aucune espèce d'attente des rebelles vis-à-vis des Occidentaux. L'attitude d'Obama après l'attaque chimique a été le coup de grâce pour eux. Les rebelles qui avaient fait le pari d'attendre ou d'espérer un soutien occidental sont décrédibilisés, parce que tout le monde est conscient que ce soutien n'arrivera pas. Obama a démoli ce qui pouvait rester de crédibilité aux rebelles qui misaient sur une alliance avec l'Occident, je pense en particulier à Selim Idriss, le chef de l'Armée syrienne libre (ALS). Cela déclenche cette attitude cynique des groupes rebelles signataires de ce communiqué : "on n'a de toute façon rien à attendre des Américains alors pourquoi ne pas signer un communiqué dont le premier signataire est Jahbat al-Nosra, officiellement branche d'al-Qaïda en Syrie ?"
Le deuxième élément se situe au niveau régional, dans la rivalité qataro-saoudienne.
- Comme vous le savez sans doute, l'Arabie saoudite est devenue depuis le mois de juillet le premier soutien de la rébellion syrienne. Il ne faut pas prétendre que ce communiqué est commandé par le Qatar, certains signataires ont des liens avec ce pays - en particulier celui qui a lu ce communiqué, la Brigade al-Taoufik - mais d'autres reçoivent pas mal de fonds saoudiens. Il paraît en tout cas évident que le Qatar n'a pas joué de son influence pour empêcher les groupes sur lesquels il a une influence de signer ce texte.
Il faut prendre également en compte un troisième niveau tout à fait local.
- La réunion d'où est sorti ce communiqué a été décidée après les incidents avec l'organisation de "l'Etat islamique" (EIIL) dans la région. Or, il y a certes le rejet de la Coalition nationale, mais aussi le fait que la charia doit être la seule source de loi. Mais ce n'est pas une nouveauté : les groupes signataires sont tous des islamistes. Et cette position sur la charia est celle, aussi, des Frères musulmans qui font partie de la Coalition nationale. Pour en revenir à la confrontation avec l'EIIL, en prenant cette position assez dure, ces groupes se donnent une légitimité qui pourrait leur servir à prendre position contre l'Etat islamique dans un futur proche.
Qui sont les groupes qui constituent cette alliance ?
- Ce n'est pas vraiment une alliance mais plutôt des gens qui se sont mis d'accord sur une position politique commune. Il ne faut pas oublier que ces groupes ont des sources de financement différentes et que certains se détestent mutuellement : Jahbat al-Nosra et la brigade al-Islam qui est un groupe important à Damas se détestent cordialement!
Disons que les signataires doivent représenter entre un quart et un tiers des combattants.
Il y a deux catégories dans ces groupes : tout d'abord des coalitions nationales aux branches réparties dans toutes les régions de Syrie – notamment le Front islamique syrien dirigé par Ahrar al-Cham ou le Front islamique de libération de la Syrie – qui représentent des dizaines de milliers de combattants très bien organisés. Et d'autres part, des organisations locales originaires pour la plupart de la région d'Alep et qui n'ont pas de présence en dehors. Notons aussi la "Division 19", qui se présente comme dépendant de l'ALS mais est signataire de ce communiqué.
Donc, certains des groupes signataires sont censés appartenir à l'armée syrienne libre qui elle-même est liée à la coalition nationale syrienne que le communiqué rejette… Sortent-ils de l'ALS ?
- Non parce que ce communiqué n'a rien à voir avec l'Armée syrienne libre. Tout d'abord il ne la mentionne pas. Ensuite parce que l'ALS ne peut être considérée comme le bras armé de la Coalition et d'ailleurs le mois dernier le président de la Coalition a déclaré qu'il fallait une armée nationale syrienne. Et cela a été très mal perçu par certaines figures de l'ALS ou des chefs de Fronts régionaux qui ont très vivement critiqué ce projet.
Quant aux autres groupes, ceux qui ne sont pas signataires de cet accord ?
- Et bien il y a les groupes liés à l'ALS, notamment ces divisions numérotées, outre la 19ème, basée à Alep, qui est donc signataire. ALS d'ailleurs en crise. Ensuite, il y a des groupes très identifiés pro-saoudiens, les bataillons al-Farouk et tous les groupes de Damas…
Et puis il y a l'Etat islamique, mais qui ne se perçoit pas comme un groupe insurgé comme les autres mais bel et bien comme l'Etat islamique légitime. Leur chef porte d'ailleurs le titre de commandeur des croyants. Ce n'est pas rien! Et ils définissent ceux qui ils s'opposent à eux sous le terme "bakhi" en arabe, c'est-à-dire "rebelle contre un Etat légitime". C'est dire si les divisions sont nombreuses et profondes.
Propos recueillis par Céline Lussato, le 25 septembre 2013

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