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Une lutte à mort.
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dvdenise
Spina, le Pape savait très bien à qui il s’adressait quand il a dit ses paroles, et vous le savez très bien ; mais c’est plus fort que vous on dirait bien. Il vous faut toujours passer à la moulinette ses paroles, ses écrits, ses gestes, ses actions, afin de les dénigrer et leur donner un autre sens qu’il leur donne.
Spina Christi 2
dvdenise les musulmans égorgeurs pensent suivre le Bien (la parole d'Allah) et combattre le Mal (les mécréants associateurs) selon l'idée qu'ils s'en font. Ont-ils raison et oeuvrent-ils à un monde meilleur dans la charia ?
Les athées pensent suivre le Bien (les "lumières", la science etc.) et combattre le Mal (la Religion et plus particulièrement la nôtre qui vient du Seigneur Jésus) selon …
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dvdenise les musulmans égorgeurs pensent suivre le Bien (la parole d'Allah) et combattre le Mal (les mécréants associateurs) selon l'idée qu'ils s'en font. Ont-ils raison et oeuvrent-ils à un monde meilleur dans la charia ?

Les athées pensent suivre le Bien (les "lumières", la science etc.) et combattre le Mal (la Religion et plus particulièrement la nôtre qui vient du Seigneur Jésus) selon l'idée qu'ils s'en font. Ont-ils raison et œuvrent-ils à un monde meilleur sans Dieu Le Christ ?

Les juifs (de la synagogue de Satan) pensent suivre le Bien (le Talmud) et combattre le Mal (le Christianisme) selon l'idée qu'ils s'en font. Ont-ils raison et œuvrent-ils à un monde meilleur où règnerait le chaos dans l'attente du Messie ?

Les franc-maçons pensent suivre le Bien (le Grand Architecte, le syncrétisme noachique, Lucifer) et combattre le Mal (l'Eglise Catholique) selon l'idée qu'ils s'en font. Ont-ils raison et œuvrent-ils à un monde meilleur où les 9/10 ème de la population mondiale serait exterminée par des guerres civiles religieuses et raciales, les avortements, les épidémies, les vaccins, les médicaments ... ?
dvdenise
Voici les paroles du Pape François
« Chacun de nous a une vision du Bien, et aussi du Mal. Notre tâche est d'inciter chacun à aller dans la direction de ce qu'il estime être le Bien »
.
« Et je le répète ici. Chacun a une idée à lui du Bien et du Mal et chacun doit choisir de suivre le Bien et combattre le Mal selon l'idée qu'il s'en fait. Cela suffirait pour vivre dans un monde meilleur ».Plus
Voici les paroles du Pape François

« Chacun de nous a une vision du Bien, et aussi du Mal. Notre tâche est d'inciter chacun à aller dans la direction de ce qu'il estime être le Bien »
.

« Et je le répète ici. Chacun a une idée à lui du Bien et du Mal et chacun doit choisir de suivre le Bien et combattre le Mal selon l'idée qu'il s'en fait. Cela suffirait pour vivre dans un monde meilleur ».
jean pierre aussant
@Spina Christi 2
Merci pour le complément d’information. En effet, les propos du Pape sont extrêmement malheureux. Notons cependant que le Pape François pose tout de même le postulat de la conscience universelle devant servir de base à toute recherche de la vérité (or la conscience universelle, venant de Dieu, ne peut être « qu’une »), ce qui dans une certaine mesure « relativise » son dérapage …Plus
@Spina Christi 2

Merci pour le complément d’information. En effet, les propos du Pape sont extrêmement malheureux. Notons cependant que le Pape François pose tout de même le postulat de la conscience universelle devant servir de base à toute recherche de la vérité (or la conscience universelle, venant de Dieu, ne peut être « qu’une »), ce qui dans une certaine mesure « relativise » son dérapage. Notons aussi que le Saint Père n’a pas relu cette interview (que nous devons donc apprécier avec la plus grande prudence). Enfin, contrairement à une encyclique, une interview n’engage pas l’infaillibilité du Pape. Cependant nous ne pouvons que regretter avec tristesse et consternation qu’en ces temps de triomphe de la culture de mort le Pape François, contrairement à Saint Jean Paul II et Benoît XVI, s’obstine à refuser un combat frontal contre la culture de mort.
Spina Christi 2
@ JP Aussant :
NEWS.VA (Official Vatican Network)
Entretien du Pape François

www.news.va/…/entretien-du-pa…Plus
@ JP Aussant :

NEWS.VA (Official Vatican Network)

Entretien du Pape François


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Spina Christi 2
@ JP Aussant :
la vie
Malaise dans la communication
publié le 04/10/2013 à 01:47
François multiplie les interviews choc, suscitant la perplexité sur sa stratégie de communication. Se pose le problème des différents statuts de sa parole, et notamment lorsque la parole intime se trouve élevée à l'état de parole officielle.
Le Père Federico Lombardi en a vu d'autres. Mais, ce mardi 2 octobre, à …Plus
@ JP Aussant :

la vie
Malaise dans la communication

publié le 04/10/2013 à 01:47

François multiplie les interviews choc, suscitant la perplexité sur sa stratégie de communication. Se pose le problème des différents statuts de sa parole, et notamment lorsque la parole intime se trouve élevée à l'état de parole officielle.

Le Père Federico Lombardi en a vu d'autres. Mais, ce mardi 2 octobre, à la salle de presse du Vatican, il avait du mal à cacher son embarras devant les questions des journalistes, au lendemain de l'interview du pape par le journaliste Eugenio Scalfari dans la Repubblica. Un embarras, voir un malaise, qui est partagé par nombre de témoins que j'ai pu rencontrer au fil de deux journées et demie, au Vatican et ailleurs dans Rome, alors que se déroulait la première rencontre du G8, le « Conseil des Cardinaux » destiné à réformer la gouvernance de l'Eglise.
Une interrogation sur le contenu
L'interview est parue onze jours après la publication de l'interview du pape dans la Civilta Cattolica, au propos très fort, dans lequel le pape s'en prenait aux catholiques rigides d'un point de vue dogmatique, repliés sur des formes du passé, attachés à une vision monolithique, à une Eglise du « laboratoire ». Une véritable charge dans laquelle certains ont pu lire un désaveu du pontificat précédent, à travers différentes « touches » (notamment l'évocation du Vetus Ordo en matière liturgique, avec un ton un peu condescendant, donne l'impression que François désavoue Benoît), et donc une réhabilitation d'un catholicisme de nature progressiste, selon une lecture « politique », toujours difficile à écarter.

L'interview de Scalfari, si rapprochée dans le temps, renforce l'ambiance de l'interview « des jésuites », notamment avec la dénonciation virulente du cléricalisme et de l'esprit de cour, du narcissisme de certains puissants de l'Eglise. Elle peut donner l'impression que le pape en fait trop, alors même que l'interview précédent n'a pas été encore totalement assimilée, et que la lettre à Scalfari est récente... puisqu'elle date du 11 septembre.

De plus, François, à la demande de son interlocuteur athée, revient sur la question de la vérité du bien et du mal. Dans sa lettre à Scalfari, François faisait preuve d'une stupéfiante ouverture face à la question de l'obéissance à sa conscience, en expliquant que « Le péché, même pour celui qui n’a pas la foi, c’est d’aller contre sa conscience. Écouter et obéir à celle-ci signifie, en effet, se décider face à ce qui est perçu comme bien ou comme mal. Et c’est sur cette décision que se joue la nature bonne ou mauvaise de nos actions ».

Devant Scalfari en personne, qui voulait s'assurer de ce qu'il pensait, le pape a enfoncé le clou : « Tout être humain possède sa propre vision du bien, mais aussi du mal. Notre tâche est de l'inciter à suivre la voie tracée par ce qu'il estime être le bien. (…) Chacun a sa propre conception du bien et du mal et chacun doit choisir le bien et combattre le mal selon l'idée qu'il s'en fait. Il suffirait de cela pour vivre dans un monde meilleur."

De telles paroles pourraient faire conclure à une vision relativiste, ou du moins opposée à celle promue par les deux papes, Jean Paul II et surtout Benoît XVI, qui a dénoncé le relativisme.
Le problème déontogique
La dimension polémique des paroles du pape, sa dénonciation de certaines réalités – même si les deux tiers de la conversation avec Scalfari ne sont pas de nature polémique – ont conduit les journalistes à poser des questions de nature technique sur cet interview. Très embarrassé, le père Lombardi a expliqué, par petites touches, que le texte n'a pas été relu par le pape – au contraire de l'interview de la Civilta Cattolica (et des revues jésuites). L'interview s'est fait « à la confiance », aucun témoin n'y a assisté, et d'après nos sources, Scalfari n'aurait pas fait d'enregistrement. De plus, le Père Lombardi s'est montré incapable d'expliquer la logique d'une publication de l'interview de Scalfari si rapidement après l'interview donné aux revues jésuites. Le pape, en effet, a pris sur lui l'initiative d'inviter Scalfari à venir le rencontrer, sans demander son avis à quiconque. Et pas à Lombardi, apparemment...
La question récurrente dans la salle de presse était de savoir si les propos du pape ont été prononcés tels quels ? La question n'est pas vaine de la part de journalistes dont c'est le métier de faire des interviews, et qui savent qu'une bonne « ITV » n'est pas la pure et simple retranscription d'un échange, mais le fruit d'un travail de type éditorial.
C'est pour cela que l'on fait relire le texte final à l'intéressé, pour être sûr de ne pas trahir sa pensée, voire lui permettre de revenir sur certains mots qui « passent » à l'oral mais revêtent à l'écrit une dimension plus solennelle, et peuvent avoir un impact disproportionné. Voire aussi parce que des propos échangés dans l'intimité d'une conversation n'ont pas forcément à être publiés sur la place publique, ou bien sous une forme plus atténuée, moins polémique.
En tout état de cause, Scalfari a recomposé l'interview à partir de ses notes - il n'a pas enregistré le pape. Le journaliste Andrea Tornielli a même émis des doutes sérieux sur l'exactitude des propos rapportés, mettant en valeur une anecdote rapportée sur le Conclave dont les détails circonstanciés ne corrrespondent pas au déroulement des faits du 13 mars dernier. On sait aussi que le pape n'a pas eu l'occasion de relire, crayon en main, son interview choc, et donc de préciser sa pensée. Mais le Père Lombardi a assuré que le pape n'avait pas sourcillé face au texte paru. De plus, le quotidien du Saint Siège, l'Osservatore Romano, a repris le texte dans ses pages, ce qui vaut pour validation implicite. Mais l'on s'interroge tout de même : le propos du pape, parce qu'il est pape, peut-il être traité "à la confiance", alors que les enjeux sont si importants ? On retrouve ici les enjeux que j'ai exposés sur les risques encourus lorsque le pape court-circuite les médiations institutionnelles, qui sont garantes d'une communication sereine et sans controverse possible.
Le statut de la parole du pape
Devant les journalistes de la salle de presse du Vatican, le Père Lombardi a expliqué qu'il existe des niveaux différents d'expression de la parole du pape. Une encyclique n'a pas même valeur qu'une conversation au téléphone ou en tête à tête. Ce qui est évident... Or la planète médiatique, elle, ne fait aucunement la différence entre ces différents niveaux de parole. Le problème ici est que le pape ne semble pas être conscient que les medias mettent tout sur le même niveau. François s'était déjà laissé aller à des confidences sur le lobby gay du Vatican face à des religieux sudaméricains qui se sont retrouvées sur le web, suscitant une tempête sur internet.
Un prêtre français rencontré à Rome, m'a donné son éclairage, et notamment sur l'impression que le pape donne d'être trop accommodant face à ses interlocuteurs (voir mon blog sur le pape est il démago ?) ou relativiste sur la question du Bien et du Mal (si tant est que nos choix se fassent entre le bien et le mal, c'est plus souvent entre deux maux !) « En tant que prêtres, nous sommes obligés de nous adapter à notre interlocuteur. Il est fort possible que face à un athée, je sois obligé de sortir de mes lignes pour aller chercher mon interlocuteur là où il en est, quitte à en rabattre sur un certain purisme, quitte à prendre des distances avec ce que je prêche habituellement en chaire, quitte à me montrer un peu laxiste, bien sûr. Car l'important est de rencontrer cette personne. C'est toute la question de la casuistique. En bon jésuite, François va très loin pour chercher la brebis perdue, si je puis dire, dans le cas de Scalfari. Il a raison de relativiser un peu la vérité au profit de la miséricorde. Le problème ici est que cette « casuistique » est rendue publique, et qu'elle revête le statut d'une parole officielle de l'Eglise par le biais des médias, alors qu'elle aurait dû rester entre Scalfari et le pape, comme la parole que l'on échange au confessionnal. Au confessionnal, un prêtre n'a pas la même posture face à un athée en questionnement et un catholique pratiquant déjà très engagé dans la foi. Il sera plus cool avec le premier, plus exigeant avec le second. C'est logique »
En quelque sorte, cet épisode et ce malaise posent une question sur la façon dont, à l'avenir, le Vatican doit gérer cette façon qu'a le pape de permettre que soient rendues publiques ses conversations privées, c'est à dire que sa casuistique apparaisse, sur la place publique, comme LE Magistère. On a déjà eu le problème avec les retranscriptions de ses conversations téléphoniques... Cette confusion risque de susciter une forte perplexité car le catholique est fondé à y voir une sorte de contradiction, soit avec d'autres paroles plus « réacs » de Bergoglio-François, soit avec Ratzinger. La chose est d'autant plus risquée que le pape émérite est encore vivant et que certains pourraient être tentés d'entonner l'air du « Rendez nous Benoit XVI !». Rien ne serait plus périlleux qu'une forme de schisme larvé entre deux sensibilités, l'une nostalgique du pape émérite, l'autre enthousiaste du nouveau pape. Pour l'instant, il manque à certains le logiciel qui nous permettrait de comprendre la volonté profonde du pape quand il en fait des tonnes et semble se distancier de son prédécesseur.
D'autres observateurs ont trouvé le logiciel. Ils soulignent au contraire que le pape, qui est très « politique » (=stratégique), sait très bien ce qu'il fait avec son plan média apparemment erratique, quitte à créer l'émoi chez certaines de ses troupes... La multiplication des interviews et autres coups de fil correspondrait à une très forte volonté chez François de se garantir un très fort capital de confiance et de sympathie auprès de la presse profane italienne avant de réellement passer à l'attaque pour faire le grand ménage : il est question que le pape frappe très fort au niveau de la Curie, « coupe » des têtes sans faire de sentiments, et démantèle au passage le lobby gay (paraît-il très nocif en raison des menaces de chantage qui peuvent faire s'effondrer le système). Les adversaires en interne de ce grand coup de nettoyage pourraient se déchaîner à travers la révélation des scandales, de façon à déstabiliser son entreprise. Pour se faire, le pape a besoin d'un très fort soutien médiatique pour limiter les dégâts, d'une Francescomania à toute épreuve, afin de réussir son opération « mains propres ». C'est ce qui expliquerait que ce jésuite fasse sa casuistique au grand jour, et non pas dans le secret d'un parloir, quitte à décontenancer les cathos classiques. Ceux-ci au fond, n'auraient guère de soucis à se faire, parce que le pape n'a guère l'intention de mener une politique ultra progressiste, et, même si sa rhétorique le laisse imaginer, il sera très fidèle à Benoît XVI sur le fond des choses. Qui vivra verra.
jean pierre aussant
@Spina Christi 2
Cher Monsieur,
Auriez-vous l’obligeance de me donner les références exactes du texte où ces propos du Saint Père auraient été tenus. Je voudrais, en effet, pouvoir lire le texte dans sa globalité. Vous savez comme moi que certaines phrases prises hors contexte peuvent être interprétées d'une façon erronée.
D'avance, je vous remerciePlus
@Spina Christi 2

Cher Monsieur,

Auriez-vous l’obligeance de me donner les références exactes du texte où ces propos du Saint Père auraient été tenus. Je voudrais, en effet, pouvoir lire le texte dans sa globalité. Vous savez comme moi que certaines phrases prises hors contexte peuvent être interprétées d'une façon erronée.

D'avance, je vous remercie
Spina Christi 2
L'influence de l'esprit de la maçonnerie au sein du Vatican...
"Tout être humain possède sa propre vision du Bien, mais aussi du Mal. Notre tâche est de l'inciter à suivre la voie tracée par ce qu'il estime être le Bien. (...) Et je suis prêt à le répéter. Chacun a sa propre conception du Bien et du Mal et chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l'idée qu'il s'en fait.…Plus
L'influence de l'esprit de la maçonnerie au sein du Vatican...

"Tout être humain possède sa propre vision du Bien, mais aussi du Mal. Notre tâche est de l'inciter à suivre la voie tracée par ce qu'il estime être le Bien. (...) Et je suis prêt à le répéter. Chacun a sa propre conception du Bien et du Mal et chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l'idée qu'il s'en fait. Il suffirait de cela pour vivre dans un monde meilleur." (Pape François)

VS

"Je vous ai dit ces choses, afin qu'elles ne soient pas pour vous une occasion de chute. Ils vous excluront des synagogues; et même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi."
AveMaria44
« Le Juif s’est émancipé d’une façon juive, pas seulement en gagnant du pouvoir financier, mais parce qu’à travers lui et sans lui, l’argent est devenu un pouvoir mondial et l’esprit pratique Juif est devenu le pragmatisme des nations Chrétiennes. L’émancipation des Juifs est allée si loin que les Chrétiens sont devenus des Juifs Oui, la domination pratique du Judaïsme sur le monde Chrétien …Plus
« Le Juif s’est émancipé d’une façon juive, pas seulement en gagnant du pouvoir financier, mais parce qu’à travers lui et sans lui, l’argent est devenu un pouvoir mondial et l’esprit pratique Juif est devenu le pragmatisme des nations Chrétiennes. L’émancipation des Juifs est allée si loin que les Chrétiens sont devenus des Juifs Oui, la domination pratique du Judaïsme sur le monde Chrétien a atteint l’apogée de son expression pratique en Amérique du Nord. »

« Quelle était la véritable base de la religion Juive ? Le besoin pratique, l’égotisme. Le Dieu du besoin pratique et de l’égoïsme est l’argent. L’argent est le Dieu jaloux d’Israël devant lequel aucun autre Dieu ne doit exister. L’argent rabaisse tous les dieux des hommes et les transforme en simple commodités. Le Dieu des Juifs est devenu le Dieu de l’univers. Le véritable Dieu des Juifs est l’argent. Leur Dieu n’est qu’un illusoire billet de banque. » Chaim Hirschel Mordechai. Plus connu sous le nom de Karl Marx,