01:26
Irapuato
81,3 k
le 17 mai Saint Pascal Baylon. de l'Ordre de Saint-François (1540-1592) Saint Pascal Baylon naquit en Espagne, le 17 mai 1540, d'humbles cultivateurs, riches des vertus chrétiennes. Occupé dès l'âge …Plus
le 17 mai Saint Pascal Baylon.

de l'Ordre de Saint-François
(1540-1592)
Saint Pascal Baylon naquit en Espagne, le 17 mai 1540, d'humbles cultivateurs, riches des vertus chrétiennes. Occupé dès l'âge de sept ans, à la garde des troupeaux, il passait son temps en prières et en lectures; on dit que les Anges eux-mêmes lui donnèrent des leçons.
Le petit Pascal se plaisait surtout à réciter le Pater. Quoique pauvre, il trouvait le moyen de faire l'aumône en donnant une partie de sa nourriture à ceux qui en avaient besoin. Il était le modèle aimé et respecté de tous les bergers de la contrée. Dans un âge si tendre, il connaissait l'usage assidu des cilices, des jeûnes, des disciplines sanglantes; on le voyait marcher pieds nus à travers les ronces et les épines, en expiation de ses péchés. Le maître chez qui ses parents l'avaient placé voulait le faire héritier de tous ses biens, mais Pascal ne convoitait que l'héritage de l'amour de Dieu et la pauvreté religieuse.
A vingt ans, il entra chez les Franciscains, malgré les sollicitations de ses camarades, auxquels il prouva la réalité de l'appel divin en frappant trois fois la terre avec sa houlette et en faisant jaillir trois fontaines dans un lieu sec et aride.
Les vertus de l'enfant, déjà si extraordinaires, devinrent dans le religieux, des vertus véritablement merveilleuses. Son obéissance était aussi parfaite que possible. Traité rigoureusement par son supérieur, il disait à ceux qui le plaignaient: "Taisez-vous: le Saint-Esprit a parlé par la bouche de notre supérieur." Quand on lui proposait de faire quelque chose, il disait souvent: "Je ferai comme l'obéissance dira." Sa mortification était effrayante et ne le cédait en rien à celle des anciens solitaires. Sa charité pour les pauvres, quand il était portier, dépassait les limites; du moins ses supérieurs le blâmaient à ce sujet; mais il leur répondait naïvement: "S'il se présente douze pauvres et que je donne à dix, il est bien à craindre que l'un de ceux que je renvoie ne soit précisément Jésus-Christ."
Pascal est célèbre par sa dévotion à la Sainte Eucharistie; il passait des heures entières, souvent ravi en Dieu, devant le Tabernacle, et parfois on le voyait suspendu en l'air par l'effet du divin amour. Quand il ne pouvait être de corps devant le Très Saint-Sacrement, il y était ordinairement en esprit. Pendant la Messe de ses funérailles, on vit ses yeux s'ouvrir deux fois, à l'élévation de l'hostie et du calice. En 1897, Léon XIII l'a déclaré Patron des Oeuvres eucharistiques.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950
Irapuato
dvdenise 👍 MERCI
dvdenise
Lien pour le témoignage de Catalina, stigmatisée et histoire de la Paroisse Saint Pascal Baylon à Montréal au Québec.
www.paroissesaintpascalbaylon.virtuo.ca/fr/Catéchèses_40.html
Saint Pascal Baylon, priez pour nous.Plus
Lien pour le témoignage de Catalina, stigmatisée et histoire de la Paroisse Saint Pascal Baylon à Montréal au Québec.
www.paroissesaintpascalbaylon.virtuo.ca/fr/Catéchèses_40.html

Saint Pascal Baylon, priez pour nous.
dvdenise
Prière de Saint Pascal Baylon
Ô Seigneur, mon Dieu, créateur du ciel et de la terre. Roi puissant qui m’avez créé à votre image, qui suis-je pour que vous daigniez penser à moi? Qu'est-ce donc qu'un pauvre homme, pour que vous l’exaltiez de la sorte ? Pourquoi lui témoigner votre amour et le presser sur votre divin cœur ? À peine était-il créé que vous l’avez fait roi et vous l’avez mis dans …Plus
Prière de Saint Pascal Baylon

Ô Seigneur, mon Dieu, créateur du ciel et de la terre. Roi puissant qui m’avez créé à votre image, qui suis-je pour que vous daigniez penser à moi? Qu'est-ce donc qu'un pauvre homme, pour que vous l’exaltiez de la sorte ? Pourquoi lui témoigner votre amour et le presser sur votre divin cœur ? À peine était-il créé que vous l’avez fait roi et vous l’avez mis dans un jardin de délices, après la rédemption vous avez fait infiniment plus, vous êtes devenu, vous vous êtes fait vous-même sa nourriture ! Ô Seigneur, quelle bonté ! Quel amour que la bienveillance ! Vous êtes si grand, Ô mon Dieu, et moi, je suis si petit ! Ô Dieu infini : et comment pourrais-je vous renfermer dans mon sein ? Ô mon bon Jésus, Ô mon salut, je vous offre ma pauvre âme et mon cœur languissant ! J’ai si souvent offensé votre divine majesté ! Comme le traître Absalon, je vous ai chassé du royaume de mon cœur ! Purifiez-moi donc, source d’eau vive. Guérissez-moi, charitable médecin. Augmentez ma foi, raffermissez mon espérance, rendez-moi digne de vous posséder. Le centurion tremblait à la pensée que vous viendriez chez lui, Jean-Baptiste, sanctifié avant sa naissance, craignait de vous baptiser : et moi, misérable pécheur, je ne craindrais pas de vous offrir mon cœur, à vous le Seigneur des anges ! Ô père céleste, donnez-moi des forces pour accomplir cette grande œuvre ! Ô Fils du Père, remplissez-moi de sagesse et d’intelligence, Ô Esprit Saint, amour du Père et du Fils, enflammez mon cœur, purifiez mon âme par le feu de vos saintes ardeurs, afin que je reçoive avec une foi vive le divin Sacrement.

Roi du Ciel, mon Seigneur Jésus-Christ, moi pauvre et indigne pécheur, je viens à vous, je m’agenouille au pied de votre Tabernacle, invité par votre douce parole et confiant en votre bonté. Vous m’appelez, Ô Jésus, vous vous offrez à moi pour être ma nourriture : pauvre petit, j’oserai comme Benjamin venir au grand festin que Joseph, mon aîné, a préparé pour ses frères. Ah ! Puissé-je retirer de ce Sacrement les fruits de salut qu’il opère dans l’âme de ses fervents serviteurs !

Je suis si malade, mais vous êtes le médecin par excellence ! J’ai tant péché, mais vous êtes la miséricorde même ! Je suis pauvre, mais vous êtes la richesse infinie ! Ô Jésus, venez pour augmenter ma foi et mon amour ; pour me donner toutes les vertus qui me sont nécessaires afin que je vous serve et vous loue dignement toute ma vie...

Ô Jésus, Fils du Dieu vivant, mon Seigneur et mon Dieu, qui au jour de votre Sainte Cène, en vertu de la charité infinie par laquelle vous nous avez toujours aimés, avez institué le Sacrement de votre précieux Corps et de votre Sang très pur, en mémoire de votre douloureuse passion, et qui avez donnée vous-même à vos apôtres votre Chair très sainte en nourriture et votre très précieux Sang en breuvage, je vous supplie et vous demande humblement d’amollir la dureté de mon cœur, et de me donner les larmes d’une sincère componction, afin de purifier mon âme de toutes les souillures du péché et de la rendre plus digne de vous recevoir. Jusqu’à aujourd’hui en effet, je vous ai beaucoup offensé, en pensées, en paroles, en actions. C’est ma faute Seigneur, je l’avoue, c’est ma très grande faute. Mais, Seigneur, je sais et je crois fermement, que vous pouvez me pardonner tous mes péchés, en vertu de votre infinie bonté et miséricorde. Je vous en supplie donc, mon doux Seigneur, oubliez toutes mes iniquités : je les déteste toutes sans exception et me propose pour l’avenir de veiller plus attentivement à éviter toute imperfection.

Ô mon très doux Sauveur, donnez à votre pauvre serviteur une si grande dévotion qu’il puisse aujourd’hui vous recevoir, comme vous le méritez, avec une parfaite pureté de cœur.

Vous-même, Seigneur, vous avez dit : « Je suis le pain de vie descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. » Ô pain d’une saveur inénarrable, guérissez le palais de mon cœur afin que je sente les effets de votre amour et qu’il ne goûte plus d’autre douceur que vous, Ô mon Dieu, pain très saint, dont la saveur l’emporte sur toutes les délectations terrestres, pain merveilleux qui refaites toujours nos forces et qui ne manquez jamais à nos besoins, faites que mon cœur vous reçoive et se nourrisse de votre incomparable suavité et que toutes les profondeurs de mon âme soient remplies de votre saveur céleste.

Pain sacré, Pain de vie, Pain très pur, qui en descendant du ciel, avez donnée la vie au monde, venez, Seigneur, venez dans mon cœur et que mon âme sente la douceur de votre bienheureuse présence. Éloignez de moi tous les ennemis qui sont acharnés sans cesse à me dresser des embûches. Qu’ils fuient Seigneur devant la face de votre puissance infinie, gardez-moi vous-même de tous adversaires intérieur et extérieur, afin que je marche continuellement, sans aucun détour, vers le ciel et que j’arrive à contempler face à face votre Essence infinie dans votre vie et le bonheur éternel. Amen
Irapuato
Saturday of the Fourth week of Easter
Acts of the Apostles 13:44-52.

On the following sabbath almost the whole city gathered to hear the word of the Lord.
When the Jews saw the crowds, they were filled with jealousy and with violent abuse contradicted what Paul said.
Both Paul and Barnabas spoke out boldly and said, "It was necessary that the word of God be spoken to you first, but since you reject …Plus
Saturday of the Fourth week of Easter

Acts of the Apostles 13:44-52.

On the following sabbath almost the whole city gathered to hear the word of the Lord.
When the Jews saw the crowds, they were filled with jealousy and with violent abuse contradicted what Paul said.
Both Paul and Barnabas spoke out boldly and said, "It was necessary that the word of God be spoken to you first, but since you reject it and condemn yourselves as unworthy of eternal life, we now turn to the Gentiles.
For so the Lord has commanded us, 'I have made you a light to the Gentiles, that you may be an instrument of salvation to the ends of the earth.'"
The Gentiles were delighted when they heard this and glorified the word of the Lord. All who were destined for eternal life came to believe,
and the word of the Lord continued to spread through the whole region.
The Jews, however, incited the women of prominence who were worshipers and the leading men of the city, stirred up a persecution against Paul and Barnabas, and expelled them from their territory.
So they shook the dust from their feet in protest against them and went to Iconium.
The disciples were filled with joy and the holy Spirit.

Psalms 98(97):1.2-3ab.3cd-4.
Sing to the LORD a new song,
for he has done wondrous deeds;
His right hand has won victory for him,
his holy arm.

The LORD has made his salvation known:
in the sight of the nations he has revealed his justice.
He has remembered his kindness and his faithfulness
toward the house of Israel.

All the ends of the earth have seen
the salvation by our God.
Sing joyfully to the LORD, all you lands;
break into song; sing praise.

Holy Gospel of Jesus Christ according to Saint John 14:7-14.
Jesus said to his disciples: “If you know me, then you will also know my Father. From now on you do know him and have seen him.”
Philip said to him, "Master, show us the Father, and that will be enough for us."
Jesus said to him, "Have I been with you for so long a time and you still do not know me, Philip? Whoever has seen me has seen the Father. How can you say, 'Show us the Father'?
Do you not believe that I am in the Father and the Father is in me? The words that I speak to you I do not speak on my own. The Father who dwells in me is doing his works.
Believe me that I am in the Father and the Father is in me, or else, believe because of the works themselves.
Amen, amen, I say to you, whoever believes in me will do the works that I do, and will do greater ones than these, because I am going to the Father.
And whatever you ask in my name, I will do, so that the Father may be glorified in the Son.
If you ask anything of me in my name, I will do it.

Commentary of the day : Saint Francis of Assisi
"How can you say, 'Show us the Father'? "
dailygospel.org/main.php
3 autres commentaires de Irapuato
Irapuato
San Pasquale Baylon Religioso francescano
17 maggio
Cominciamo col dire che il nome Pasquale è di origine cristiana ed è molto usato anche nel femminile Pasqualina; veniva dato ai bambini nati il giorno di Pasqua, ma le sue lontane origini sono ebraiche (Pesah = passaggio) volendo indicare il passaggio del popolo ebraico del Mar Rosso e il passaggio dell’angelo di Iahweh che salvò, segnandone le …Plus
San Pasquale Baylon Religioso francescano
17 maggio
Cominciamo col dire che il nome Pasquale è di origine cristiana ed è molto usato anche nel femminile Pasqualina; veniva dato ai bambini nati il giorno di Pasqua, ma le sue lontane origini sono ebraiche (Pesah = passaggio) volendo indicare il passaggio del popolo ebraico del Mar Rosso e il passaggio dell’angelo di Iahweh che salvò, segnandone le case con il sangue sacro dell’agnello, i primogeniti ebrei per distinguerli da quelli egiziani destinati alla morte nell’ultima piaga d’Egitto.
Il nostro Pasquale Baylon fu un concentrato di testimonianza di quanto la Provvidenza può operare nella vita dei singoli uomini e Pasquale passò da illetterato a teologo, dalla povertà assoluta alla ricchezza degli straordinari doni dello Spirito Santo, fra cui quello della sapienza infusa, da umile portinaio e fratello laico alla santità.
Nacque il 16 maggio 1540, giorno di Pentecoste, a Torre Hermosa in Aragona, Spagna, da Martino Baylon e da Isabella Jubera; fin da bambino dimostrò una spiccata devozione verso l’Eucaristia, che sarà poi la caratteristica di tutta la sua vita religiosa.
Fu pastore prima del gregge della famiglia poi a servizio di altri padroni, la solitudine dei campi favorì la meditazione, il suo desiderio di spiritualità, la continua preghiera; prese anche a mortificare il suo giovane corpo con lunghi digiuni e flagellazioni dolorose.
A 18 anni Pasquale Baylon chiese di essere accolto nel convento di S. Maria di Loreto, dei Francescani Riformati detti Alcantarini, da s. Pietro d’Alcantara loro ispiratore, non fu accettato forse per la giovane età.
Pasquale pur di rimanere nei dintorni del convento, si occupò sempre come pastore, al servizio del ricchissimo possidente Martino García, il quale ammirato di questo suo giovane dipendente, gli propose di adottarlo così da poter diventare suo erede universale, ma Pasquale diede un deciso rifiuto, perché più che mai era deciso ad entrare tra i frati di s. Francesco.
Sebbene così giovane, si acquistò una certa fama di santità per le virtù cristiane e morali, ma anche per fatti prodigiosi di cui fu l’artefice.
Dopo due anni nel 1560, venne ammesso nel convento di S. Maria di Loreto, dove fece la sua professione religiosa il 2 febbraio 1564; non volle mai ascendere al sacerdozio, nonostante il parere favorevole dei superiori, perché non si sentiva degno e nella sua umiltà si contentò di rimanere sempre un semplice fratello laico.
Fu per anni addetto ai vari servizi del convento, specialmente come portinaio, compito che espletò sempre con grande bontà, anche nei conventi di Jatíva e Valenza.
Fu davvero ‘pentecostale’, cioè favorito dagli straordinari doni dello Spirito Santo, tra cui quello della sapienza infusa, benché illetterato era costantemente richiesto per consiglio da tanti illustri personaggi.
Anche il Padre Provinciale degli Alcantarini di Spagna nel 1576, dovendo comunicare con urgenza col Padre Generale risiedente a Parigi, pensò di mandare con la missiva frate Pasquale, ben sapendo le gravi difficoltà del viaggio per l’attraversamento di alcune province francesi, che in quell’epoca erano dominate dai calvinisti.
Infatti fra’ Pasquale fu fatto oggetto di continue derisioni, insulti, percosse e ad Orléans fu anche in pericolo di morte per lapidazione, dopo aver tenuto una serrata disputa sull’Eucaristia, tenendo testa agli oppositori e rintuzzando le loro false argomentazioni.
Al ritorno della sua delicata e pericolosa missione, Pasquale Baylon compose un piccolo libro di definizioni e sentenze sulla reale presenza di Gesù nell’Eucaristia e sul potere divino trasmesso al pontefice romano.
Per il suo desiderio di maggiore perfezione, si sottoponeva a continue pesanti mortificazioni e penitenze sempre più numerose, al punto che la sua salute era ormai ridotta male.
Aveva solo 52 anni appena compiuti, quando fu sorpreso dalla morte il 17 maggio 1592 nel convento del Rosario a Villa Real (Valenza), era il giorno di Pentecoste, così come fu per la nascita.
I funerali videro la partecipazione di una folla di fedeli, che volle fare omaggio di una sentita venerazione alla salma dell’umile fratello laico francescano, la cui santità per i miracoli che avvennero, fu conosciuta in tutto il mondo cattolico.
Particolarmente venerato fu a Napoli, soggetta alla dominazione spagnola e il cui culto si concentrò in due grandi e celebri conventi francescani alcantarini ancora esistenti, S. Pasquale a Chiaia e S. Pasquale al Granatello, piccolo porto di Portici; il suo nome fu dato a generazioni di bambini, come del resto in tutto il Sud Italia.
Viene chiamato il “Serafino dell’Eucaristia”, di questa grande devozione ci sono pervenuti i suoi pensieri personali e preghiere, che aggiungeva alle raccolte di scritti su temi eucaristici che meditava.
Fu beatificato 26 anni dopo la morte, il 29 ottobre 1618 da papa Paolo V e proclamato santo il 16 ottobre 1690 da papa Alessandro VIII; papa Leone XIII il 28 novembre 1897 lo proclamò patrono delle opere eucaristiche e dei congressi eucaristici.
I suoi resti che si veneravano con grande devozione a Villa Real, furono profanati e dispersi durante la famigerata Guerra Civile Spagnola (1936-39); una parte furono successivamente recuperati e restituiti alla città nel 1952.
La sua appassionata devozione per l’Eucaristia, ha ispirato nei secoli i tanti artisti che l’hanno raffigurato, infatti egli compare sempre nell’atto di adorare l’ostensorio, come del resto compare nelle immaginette devozionali.
È considerato patrono dei cuochi e dei pasticcieri, secondo la tradizione sarebbe l’inventore dello zabaione; è patrono anche delle nubili in cerca di marito e popolarmente delle donne in generale, secondo un detto con la rima “San Pasquale Baylonne, protettore delle donne”.
La sua festa si celebra il 17 maggio.

Autore: Antonio Borrelli
Irapuato
17. Mai Hl. Paschalis Baylon
Paschalis, Sohn armer Eltern und in seinen Jugendjahren als Hirte tätig, trat mit 17 Jahren ins Franziskanerkloster ein und wurde 1564 als Laienbruder in Monforte del Cid bei Alicante in den Franziskanerorden strenger Observanz aufgenommen. Als Pförtner und im Refektorium diente er in verschiedenen Klöstern und zeichnete sich in jeglicher Arbeit aus durch größte …Plus
17. Mai Hl. Paschalis Baylon

Paschalis, Sohn armer Eltern und in seinen Jugendjahren als Hirte tätig, trat mit 17 Jahren ins Franziskanerkloster ein und wurde 1564 als Laienbruder in Monforte del Cid bei Alicante in den Franziskanerorden strenger Observanz aufgenommen. Als Pförtner und im Refektorium diente er in verschiedenen Klöstern und zeichnete sich in jeglicher Arbeit aus durch größte Bußstrenge, Armut, Demut, Nächstenliebe und eucharistischeDie Eucharistie - von griechisch „ευχαριστειν, Dank sagen” - vergegenwärtigt das heilvolle Sterben Jesu Christi. Die Römisch-Katholische, die Orthodoxe und die Anglikanische Kirche nennen diese Mahlfeier im Anschluss an 1. Korintherbrief 11, 24 Eucharistie, die Evangelischen Kirchen sprechen von „Abendmahl” im Anschluss an Markusevangelium 14, 17 und 1. Korintherbrief 11, 23. Frömmigkeit mit reichen mystischen Erfahrungen. Im Auftrag seines Oberen reiste er in die Bretagne, um dem dortigen Ordensprovinzial einen Brief zu überbringen; unterwegs bekannte er vor den Hugenotten unerschrocken den katholischen Glauben. Er wurde am Pfingstfest bestattet - an einem Pfingstsonntag war er auch geboren worden.
An seinem Grab in der Klosterkirche von Villareal ereigneten sich zahlreiche Wunder. Im spanischen Bürgerkrieg 1936 wurden seine Gebeine verbrannt.
www.heiligenlexikon.de/BiographienP/Paschalis_Baylo…
Irapuato
May 17 Saint Paschal Baylon
Franciscan Lay Brother
(1540-1592)
From his childhood Saint Paschal seems to have been marked out for the service of God. Amid his daily labors as a shepherd, he found time to instruct and evangelize the rude herdsmen who kept their flocks on the hills of Aragon. At the age of twenty-four he entered the reformed Franciscan Order near the town of Monfort, Spain, where he …Plus
May 17 Saint Paschal Baylon

Franciscan Lay Brother
(1540-1592)
From his childhood Saint Paschal seems to have been marked out for the service of God. Amid his daily labors as a shepherd, he found time to instruct and evangelize the rude herdsmen who kept their flocks on the hills of Aragon. At the age of twenty-four he entered the reformed Franciscan Order near the town of Monfort, Spain, where he remained, out of humility, a simple lay brother, occupying himself by preference with the roughest and most servile tasks.
He was distinguished by his ardent devotion and love for the Blessed Sacrament. He would spend hours on his knees before the tabernacle, often being raised from the ground in the fervor of his prayer. And there, from the authentic and eternal Truth, he drew such stores of wisdom that, unlettered as he was, he was considered by all a master in theology and spiritual science.
Shortly after his profession he was sent to Paris on business connected with his Order. The journey was full of perils, owing to the hostility of the Huguenots, who were numerous at the time in the south of France; and on four separate occasions Paschal was in imminent danger of death at their hands. Twice he was taken for a spy; but it was not God's will that His servant should obtain the crown of martyrdom which he so earnestly desired, though he regarded himself as unworthy of it. He returned in safety to his convent, where he would later die in the odor of sanctity in 1592.
Multitudes witnessed the miracles which took place during the three days his body was exposed for veneration. He was canonized in 1690, and in 1897 declared patron of all Eucharistic congresses and confraternities.
Reflection. One day, as young Paschal was watching his sheep on the mountainside, he heard the consecration bell ring out from a church in the valley below, where the villagers were assembled for Mass. The Saint fell on his knees, when suddenly there stood before him an Angel of God, bearing in his hands the Sacred Host, offering it for his adoration. How pleasing to Jesus Christ are those who honor Him in this great mystery of His love; to them especially this promise is fulfilled: I will not leave you orphans, I will come to you. (John 14:18)
Little Pictorial Lives of the Saints, a compilation based on Butler's Lives of the Saints and other sources by John Gilmary Shea (Benziger Brothers: New York, 1894); Heavenly Friends: a Saint for each Day, by Rosalie Marie Levy (Saint Paul Editions: Boston, 1958).