Dans nos jours de ténèbres, le seul fait de professer que la Religion Catholique est le SEUL et UNIQUE Chemin qui mène à Dieu et à son Royaume éternel, en passant obligatoirement par Notre-Seigneur Jésus-Christ et, maintenant presqu'obligatoirement par Notre-Dame, vous fait qualifier de dangereux "fondamentaliste" ou de "fanatique". Voltaire a bien gagné et il ne reste plus, pour nous, qu'à attendre les torches, les lions et les croix, comme il y a presque 2000 ans...

Jésus est-il fondamentaliste ?
"Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi" "Il n'y a de salut en aucun autre car il n'y a sous le ciel aucun nom qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devions être sauvés " "Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n'a point Dieu, celui qui demeure dans cette doctrine à le Père et le Fils".
Jésus n'est pas mort sur la croix pour que nous disions amen et alleluia à n'importe qui ou quoi.

"Le pape François a condamné lundi le fondamentalisme en assurant qu'il n'était "pas religieux", même si c'était "une maladie de toutes les religions", à commencer par le catholicisme qui n'a pas compté que des saints. "Le fondamentalisme est toujours une tragédie (...). Il n'est pas religieux, il lui manque Dieu, il est idolâtre", a déclaré le pontife argentin à la presse dans l'avion qui le ramenait à Rome après une tournée en Afrique. Interrogé sur la menace qui s'est encore une fois concrétisée dans les attentats du 13 novembre à Paris, le pape a insisté sur le fait que l'islam n'était pas la seule religion concernée. "Nous, catholiques, nous en avons quelques-uns, et même beaucoup, des fondamentalistes. Ils croient avoir la vérité absolue et salissent les autres, avec les diffamations, ils font du mal. Et je dis cela parce que c'est mon Église", a-t-il déclaré.

Si ces fondamentalistes catholiques s'expriment encore, ils ont aussi laissé des traces sanglantes dans l'Histoire : "Catherine de Médicis n'était pas une sainte", a ainsi relevé le pape au sujet de cette reine de France ayant ordonné le massacre de la Saint-Barthélémy contre les protestants en 1572" : Plutôt que de proférer des âneries aussi monumentales, le Saint-Père ferait mieux de s’intéresser à Ce que Notre-Dame de Fatima lui demande, à lui et à personne d’autre, depuis si longtemps et avec insistance mais manifestement en vain. De fait, s’il y a bien un personnage historique qui était tout sauf une « fondamentaliste » religieuse, c’est bien la reine Catherine de Médicis dont les seules religions étaient l’Astrologie et, surtout la politique, au sens moderne et démocratique, c’est à dire le plus bas et le plus vil. Semblable en cela à nos modernes « élites », maçonniques et diaboliques, la florentine a toujours excité la guerre religieuse entre Catholiques et prétendus réformés dans le seul but d’asseoir son pouvoir, relevant un parti lorsqu’il s’affaiblissait et s’appuyant sur l’autre selon ses calculs du moment. Cette sinistre politique, dite « de balancier » a entretenu le feu de la guerre religieuse la plus grave de notre histoire, pendant des dizaines d’années, jusqu’à… sa mort à elle, en 1589. Enfin, rappelons tout de même à ceux qui l’ignorent ou ne le savent pas, même Catholiques, et même Catholiques… très haut placés, que le Royaume de France comptait, au plus fort des Guerres de Religion, plus de 90% de Catholiques et moins de 10% de prétendus « réformés ». Les protestants étaient le plus souvent issus de la Noblesse ou des milieux riches, oisifs ou commerçants, les « élites » sociales, intellectuelles et économiques de l’époque. Même s’il y eut quelques Catholiques violents, notamment dans la Ligue, il le furent, après une longue et coupable tolérance, désespérés et légitimement horrifiés par les agressions et les crimes protestants jamais châtiés (depuis le règne de François I°), par l’appel à l’invasion massive du Royaume par les frères « réformés » de l’est (reitres, barbares etc…) et, enfin, par les tentatives acharnées des élites protestantes d’attacher la famille royale à leur secte. Avec ce rapport de 1 à 10, si les Catholiques avaient été réellement des fanatiques ou des « fondamentalistes », comme le prétend un Pape très mal inspiré ici, les « Guerres de religion » n’auraient pas duré presque 40 ans mais auraient été « pliées » en moins de 4 mois, comme en Espagne. Mais, la Vérité n’intéresse plus personne de nos jours sinistres, même dans l’Eglise !