Les femmes dans l'Opus Dei. Il y a 80 ans, le 14 février 1930, saint Josémaria voyait que les femmes avaient le même rôle et la même place que les hommes dans l'Opus DeiPlus
Les femmes dans l'Opus Dei.
Il y a 80 ans, le 14 février 1930, saint Josémaria voyait que les femmes avaient le même rôle et la même place que les hommes dans l'Opus Dei
Il y a 80 ans, le 14 février 1930, saint Josémaria voyait que les femmes avaient le même rôle et la même place que les hommes dans l'Opus Dei
Deo gratias,
Réjouis-toi Adam !
Réjouis-toi, Adam, notre Père,
Et toi, Eve, notre mère, exulte encore davantage !
Une de vos filles - et quelle fille !- va être pour vous un sujet de consolation,
Pour toi surtout qui as été la cause du malheur, et dont la honte a rejailli sur toutes les femmes.
Voici le temps venu où cette honte va être effacée ;
L'homme ne pourra plus dire de sa femme,
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Deo gratias,
Réjouis-toi Adam !
Réjouis-toi, Adam, notre Père,
Et toi, Eve, notre mère, exulte encore davantage !
Une de vos filles - et quelle fille !- va être pour vous un sujet de consolation,
Pour toi surtout qui as été la cause du malheur, et dont la honte a rejailli sur toutes les femmes.
Voici le temps venu où cette honte va être effacée ;
L'homme ne pourra plus dire de sa femme,
en s'excusant maladroitement lui-même,
et en l'accusant cruellement, elle :
« la femme que tu m'as donnée m'a donné du fruit de l'arbre et je en ai mangé ».
Allons, Eve ! Cours à Marie,
Mère, cours à ta fille !
La fille prendra la défense de sa mère, fera disparaître sa honte, et apaisera son père ;
Car c'est un fait :
Si l'homme est tombé par la femme,
Ce n'est que par la femme qu'il pourra être relevé.
O Adam, ne dis plus désormais : « la femme, que tu m'as donnée, m'a offert à manger le fruit défendu. »
Dis plutôt :
« La femme, que tu m'as donnée, m'a nourri d'un fruit béni. »
Saint Bernard de Clairvaux
docteur de l'église
Saint Bernard de Clairvaux,
docteur de l'Eglise
Réjouis-toi Adam !
Réjouis-toi, Adam, notre Père,
Et toi, Eve, notre mère, exulte encore davantage !
Une de vos filles - et quelle fille !- va être pour vous un sujet de consolation,
Pour toi surtout qui as été la cause du malheur, et dont la honte a rejailli sur toutes les femmes.
Voici le temps venu où cette honte va être effacée ;
L'homme ne pourra plus dire de sa femme,
en s'excusant maladroitement lui-même,
et en l'accusant cruellement, elle :
« la femme que tu m'as donnée m'a donné du fruit de l'arbre et je en ai mangé ».
Allons, Eve ! Cours à Marie,
Mère, cours à ta fille !
La fille prendra la défense de sa mère, fera disparaître sa honte, et apaisera son père ;
Car c'est un fait :
Si l'homme est tombé par la femme,
Ce n'est que par la femme qu'il pourra être relevé.
O Adam, ne dis plus désormais : « la femme, que tu m'as donnée, m'a offert à manger le fruit défendu. »
Dis plutôt :
« La femme, que tu m'as donnée, m'a nourri d'un fruit béni. »
Saint Bernard de Clairvaux,
docteur de l'Eglise
MULTIMEDIA :
Magnificat
(Telemann, Magnificat)
(Limbourg, Les riches heures du duc de Berry)
Réjouis-toi Adam !
Réjouis-toi, Adam, notre Père,
Et toi, Eve, notre mère, exulte encore davantage !
Une de vos filles - et quelle fille !- va être pour vous un sujet de consolation,
Pour toi surtout qui as été la cause du malheur, et dont la honte a rejailli sur toutes les femmes.
Voici le temps venu où cette honte va être effacée ;
L'homme ne pourra plus dire de sa femme,
en s'excusant maladroitement lui-même,
et en l'accusant cruellement, elle :
« la femme que tu m'as donnée m'a donné du fruit de l'arbre et je en ai mangé ».
Allons, Eve ! Cours à Marie,
Mère, cours à ta fille !
La fille prendra la défense de sa mère, fera disparaître sa honte, et apaisera son père ;
Car c'est un fait :
Si l'homme est tombé par la femme,
Ce n'est que par la femme qu'il pourra être relevé.
O Adam, ne dis plus désormais : « la femme, que tu m'as donnée, m'a offert à manger le fruit défendu. »
Dis plutôt :
« La femme, que tu m'as donnée, m'a nourri d'un fruit béni. »
Saint Bernard de Clairvaux
docteur de l'église
Saint Bernard de Clairvaux,
docteur de l'Eglise
Réjouis-toi Adam !
Réjouis-toi, Adam, notre Père,
Et toi, Eve, notre mère, exulte encore davantage !
Une de vos filles - et quelle fille !- va être pour vous un sujet de consolation,
Pour toi surtout qui as été la cause du malheur, et dont la honte a rejailli sur toutes les femmes.
Voici le temps venu où cette honte va être effacée ;
L'homme ne pourra plus dire de sa femme,
en s'excusant maladroitement lui-même,
et en l'accusant cruellement, elle :
« la femme que tu m'as donnée m'a donné du fruit de l'arbre et je en ai mangé ».
Allons, Eve ! Cours à Marie,
Mère, cours à ta fille !
La fille prendra la défense de sa mère, fera disparaître sa honte, et apaisera son père ;
Car c'est un fait :
Si l'homme est tombé par la femme,
Ce n'est que par la femme qu'il pourra être relevé.
O Adam, ne dis plus désormais : « la femme, que tu m'as donnée, m'a offert à manger le fruit défendu. »
Dis plutôt :
« La femme, que tu m'as donnée, m'a nourri d'un fruit béni. »
Saint Bernard de Clairvaux,
docteur de l'Eglise
MULTIMEDIA :
Magnificat
(Telemann, Magnificat)
(Limbourg, Les riches heures du duc de Berry)