Lettre ouverte d’un catholique français vivant en Allemagne au président de la république, Emmanuel Macron
Monsieur le président,
Vivant en Allemagne depuis une dizaine d’années, j’ai sans doute cet avantage de pouvoir observer les évènements avec une certaine distance ; cela, bien évidemment, me donne cette objectivité qui en ces temps de grandes confusions n’est pas un moindre atout. Ainsi, j’ai bien conscience que très fondamentalement vous n’êtes pas plus responsable de la déchéance de notre beau pays, que vos prédécesseurs. La seule cause de cette infamie se situe, en effet, dans l’illégitimité intrinsèque et de naissance de la République Française, qui, comme vous le savez (même si vous ne pouvez le reconnaître) est issue de ce coup d’état jacobin que l’on nomme à tort Révolution Française. Le but, entre temps avoué par ses protagonistes francs-maçons, n’étant, in fine, rien d’autre que l’éradication complète des nations chrétiennes (génocide culturel des catholiques) en imposant par le truchement de fausses historiographies et autres processus plus ou moins subliminaux de lavages de cerveaux en tout genre, la négation du réel. La substantifique moelle de cette négation du réel pouvant, pour être bref, se résumer à la légalisation du meurtre des enfants à naître et au « contre Dieu et nature » mariage homosexuel. Vous conviendrez, en effet, Monsieur le président, que si votre maman avait été lesbienne ou s’était faite avortée, vous ne seriez pas venu au monde…Nier cela, c’est nier la réalité.
Or avec l’avènement des réseaux sociaux (que pour des raisons évidentes vous essayez de censurer chaque jour davantage, faisant ainsi de la France un des pays occidentaux où la liberté de parole est la plus restreinte), il devient, même pour une dictature aussi « rodée » que la république maçonnique française, de plus en plus difficile de manipuler l’opinion. Ainsi, ce mouvement des gilets jaunes créé pourtant à l’origine par vos propres services et médias afin de canaliser la colère des Français dans des voies « garages » et inoffensives pour le régime, est en train de vous échapper et pourrait même finir par se retourner contre vous-même (un peu comme Frankenstein qui se retourna contre son propre maître et créateur). Cela, vous ne l’aviez pas prévu ; l’effet « soupape de sécurité » semble cette fois ne pas avoir fonctionné. Cette fois, les thématiques que je nommerais « d’indignations placébos » dont le but est d’empêcher le peuple, en l’occupant dans des fausses priorités imbéciles (le prix du pain, du carburant et du saucisson…problème dont la banalité n’a d’égale que la chronicité au cours du temps, au-delà de tous les présidents) n’ont pas pleinement fonctionné. Il semble que le peuple, sans avoir encore hélas réalisé que la pierre angulaire de tout le mal qui nous afflige est l’illégitimité de naissance de la république maçonnique (imposée dans la terreur au peuple qui n’en voulait pas, par une infime minorité de francs-maçons et née sur le sang du génocide vendéen et des catholiques du Royaume de France), commence à percevoir cependant, et quand bien même d’une façon diffuse, qu’il se fait berner et que derrière toute cette comédie, il doit bien y avoir autre chose…
Oui Monsieur le président, c’est cela votre problème et c’est pour cette raison que vous allez probablement être obligé de démissionner. Certes, en démissionnant vous allez servir de fusible à la dictature maçonnique qui de temps à autre est obligée de sacrifier ses propres enfants afin de pouvoir, elle-même, survire....Car pour elle, c’est cela qui importe : pouvoir encore et toujours renaître de ses cendres sataniques, maçonniques et illégitimes. Certes, votre démission, hélas, ne diminuera en rien l’abomination de la culture de mort et du politiquement qui écrase la France ; car au fond, et vous le savez, tous les présidents de toutes les républiques françaises-de la première à la cinquième, (à part peut-être le général de Gaulle) sont parfaitement interchangeables. Vous, encore moins qu’un autre, n’échappez pas à cette règle.
En outre, Monsieur le président, il me semble, et ce sera mon dernier mot, que vous avez commis malgré tout une erreur qui pour les Français, qu’ils en soient conscients ou pas, est impardonnable. Je pense à votre visite, quelques semaines avant votre investiture, dans cette école de la république où, pour vous soumettre encore un peu plus aux lobbys LGBT, vous avez fait l’apologétique du mariage homosexuel auprès de petites filles en bas âge (qui en furent d’ailleurs très choquées, comme on le voit dans ce lien entretemps devenu célèbre www.youtube.com/watch ). Cela, Monsieur Macron, la France, qui en tant que Fille aînée de l’Église, garde malgré tout cette étincelle de vérité et d’éternité, ne peut pas vous le pardonner. Vous avez sous-estimé les Français. Vous allez peut-être en payer aujourd’hui le juste prix.
Mais au fond, que vous soyez, Monsieur Macron, maintenant obligé de démissionner ou pas, peu importe. Là, n’est pas l’essentiel. L'essentiel, en revanche, est que ces évènements soient le début d’une prise de conscience du peuple de France, quant à sa seule vraie priorité et son seul vrai combat qui n’est pas de renverser un des énièmes « pions-présidents » interchangeables du système mais de renverser le système lui-même : la république illégitime issue du coup d’état jacobin dans la plus grande arnaque sanguinaire de tous les temps.
Bien à vous.
Jean-Pierre Aussant, Hambourg, le 01 décembre 2018
Vivant en Allemagne depuis une dizaine d’années, j’ai sans doute cet avantage de pouvoir observer les évènements avec une certaine distance ; cela, bien évidemment, me donne cette objectivité qui en ces temps de grandes confusions n’est pas un moindre atout. Ainsi, j’ai bien conscience que très fondamentalement vous n’êtes pas plus responsable de la déchéance de notre beau pays, que vos prédécesseurs. La seule cause de cette infamie se situe, en effet, dans l’illégitimité intrinsèque et de naissance de la République Française, qui, comme vous le savez (même si vous ne pouvez le reconnaître) est issue de ce coup d’état jacobin que l’on nomme à tort Révolution Française. Le but, entre temps avoué par ses protagonistes francs-maçons, n’étant, in fine, rien d’autre que l’éradication complète des nations chrétiennes (génocide culturel des catholiques) en imposant par le truchement de fausses historiographies et autres processus plus ou moins subliminaux de lavages de cerveaux en tout genre, la négation du réel. La substantifique moelle de cette négation du réel pouvant, pour être bref, se résumer à la légalisation du meurtre des enfants à naître et au « contre Dieu et nature » mariage homosexuel. Vous conviendrez, en effet, Monsieur le président, que si votre maman avait été lesbienne ou s’était faite avortée, vous ne seriez pas venu au monde…Nier cela, c’est nier la réalité.
Or avec l’avènement des réseaux sociaux (que pour des raisons évidentes vous essayez de censurer chaque jour davantage, faisant ainsi de la France un des pays occidentaux où la liberté de parole est la plus restreinte), il devient, même pour une dictature aussi « rodée » que la république maçonnique française, de plus en plus difficile de manipuler l’opinion. Ainsi, ce mouvement des gilets jaunes créé pourtant à l’origine par vos propres services et médias afin de canaliser la colère des Français dans des voies « garages » et inoffensives pour le régime, est en train de vous échapper et pourrait même finir par se retourner contre vous-même (un peu comme Frankenstein qui se retourna contre son propre maître et créateur). Cela, vous ne l’aviez pas prévu ; l’effet « soupape de sécurité » semble cette fois ne pas avoir fonctionné. Cette fois, les thématiques que je nommerais « d’indignations placébos » dont le but est d’empêcher le peuple, en l’occupant dans des fausses priorités imbéciles (le prix du pain, du carburant et du saucisson…problème dont la banalité n’a d’égale que la chronicité au cours du temps, au-delà de tous les présidents) n’ont pas pleinement fonctionné. Il semble que le peuple, sans avoir encore hélas réalisé que la pierre angulaire de tout le mal qui nous afflige est l’illégitimité de naissance de la république maçonnique (imposée dans la terreur au peuple qui n’en voulait pas, par une infime minorité de francs-maçons et née sur le sang du génocide vendéen et des catholiques du Royaume de France), commence à percevoir cependant, et quand bien même d’une façon diffuse, qu’il se fait berner et que derrière toute cette comédie, il doit bien y avoir autre chose…
Oui Monsieur le président, c’est cela votre problème et c’est pour cette raison que vous allez probablement être obligé de démissionner. Certes, en démissionnant vous allez servir de fusible à la dictature maçonnique qui de temps à autre est obligée de sacrifier ses propres enfants afin de pouvoir, elle-même, survire....Car pour elle, c’est cela qui importe : pouvoir encore et toujours renaître de ses cendres sataniques, maçonniques et illégitimes. Certes, votre démission, hélas, ne diminuera en rien l’abomination de la culture de mort et du politiquement qui écrase la France ; car au fond, et vous le savez, tous les présidents de toutes les républiques françaises-de la première à la cinquième, (à part peut-être le général de Gaulle) sont parfaitement interchangeables. Vous, encore moins qu’un autre, n’échappez pas à cette règle.
En outre, Monsieur le président, il me semble, et ce sera mon dernier mot, que vous avez commis malgré tout une erreur qui pour les Français, qu’ils en soient conscients ou pas, est impardonnable. Je pense à votre visite, quelques semaines avant votre investiture, dans cette école de la république où, pour vous soumettre encore un peu plus aux lobbys LGBT, vous avez fait l’apologétique du mariage homosexuel auprès de petites filles en bas âge (qui en furent d’ailleurs très choquées, comme on le voit dans ce lien entretemps devenu célèbre www.youtube.com/watch ). Cela, Monsieur Macron, la France, qui en tant que Fille aînée de l’Église, garde malgré tout cette étincelle de vérité et d’éternité, ne peut pas vous le pardonner. Vous avez sous-estimé les Français. Vous allez peut-être en payer aujourd’hui le juste prix.
Mais au fond, que vous soyez, Monsieur Macron, maintenant obligé de démissionner ou pas, peu importe. Là, n’est pas l’essentiel. L'essentiel, en revanche, est que ces évènements soient le début d’une prise de conscience du peuple de France, quant à sa seule vraie priorité et son seul vrai combat qui n’est pas de renverser un des énièmes « pions-présidents » interchangeables du système mais de renverser le système lui-même : la république illégitime issue du coup d’état jacobin dans la plus grande arnaque sanguinaire de tous les temps.
Bien à vous.
Jean-Pierre Aussant, Hambourg, le 01 décembre 2018