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Toujours la même soupe rouillée dont on commence à être ratatouillé...

Article précédent : L'Antéchrist chouchoute sa fifille Frate : c'est ti pas mignon ?

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Dans un article publié par « LifeSiteNews », le célèbre psychologue américain Richard Fitzgibbons démontre que, contrairement à ce qu’a affirmé le pape François et qui a été repris par le chœur des évêques, la crise des abus au sein de l’Église n’a rien à voir avec le « cléricalisme ». Ceux qui rapportent tout au cléricalisme ne font que dissimuler le problème.

Fitzgibbons rappelle que le récent rapport établi par le grand jury Pennsylvanie avait montré que le problème relève de l’homosexualité et non d’un soi-disant cléricalisme. Selon le psychologue, la crise trouve son origine dans les conflits psychologiques et spirituels qui touchent des évêques et des prêtres chez lesquels le narcissisme ajouté à une faible confiance en la personne humaine peut conduire à des relations de type homosexuel.

Dans sa clinique, Richard Fitzgibbons a traité pendant près de 40 ans des victimes de prêtres. Dans chaque cas concernant des enfants ou des adolescents, le prêtre prédateur avait déjà été impliqués dans des relations homosexuelles. Il n’était nullement question de « cléricalisme », contrairement à ce qu’on veut faire croire aux fidèles comme pour détourner leur attention du vrai problème : l’ordination d’hommes qui n’avaient pas l’équilibre requis pour assumer les exigences du sacerdoce ni, éventuellement, l’épiscopat.

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Assez d’appels à la repentance, de demande de silence, de mines contrites, de discours, de lettre pastorales laissant deviner l’immaturité de leurs auteurs... Le temps est désormais à la justice. C’est à la justice de tracer une ligne claire permettant de mettre d’un côté les coupable, et de l’autre côté des victimes.
Quant aux fidèles laïcs et prêtres qui ne sont ni coupables ni victimes, qu’on les laisse vaquer en paix à leurs occupations.

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Le pape François n’aurait-il pas avantage à se montrer aussi efficace que Mgr Aillet ?

Le diocèse de Bayonne informe qu’un prêtre diocésain a été mis en examen pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans.

Monseigneur Marc Aillet, directement informé par la famille d’une victime, a immédiatement saisi la Justice.

Dès l’annonce de sa mise en examen, à l’issue de la garde à vue dont il a fait l’objet, jeudi 13 septembre 2018, le prêtre a été suspendu de tout ministère public par Monseigneur Aillet.

Durant la durée de l’instruction, le diocèse, soucieux de ne pas gêner le travail de la Justice, s’abstiendra en revanche de tout commentaire et de toute déclaration.

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Selon le cardinal Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga interrogé à propos des relations homosexuelles de l’ex-cardinal McCarrick avec des séminaristes, « faire de quelque chose d’ordre privé un gros titre en forme de bombe qui éclate (...) ne me paraît pas correct. »

On l’aura compris : aux yeux de ce très proche collaborateur du pape François (lequel, une fois de plus se tait) dont l’arrogance est sans limites, les prédations homosexuelles relèvent uniquement du privé. Autrement dit, un évêque peut transformer son palais épiscopal en lupanar... à condition que cela ne se sache pas.
Camouflage et silence sont les deux mamelles du lobby gay qui, depuis des années, fait la pluie et le beau temps au sein même de l’Église.

Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Pro Liturgia, 16 & 17 septembre 2018)

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Cardinal Maradiaga ;
les relations homosexuelles de l’ex-cardinal McCarrick
sont « quelque chose d’ordre privé »


par Jeanne Smits, Réinformation.TV, le 14 septembre 2018

Voici peut-être le commentaire le plus éclairant sur la crise qui secoue l’Église catholique depuis le témoignage de Mgr Carlo Maria Viganò. Il nous vient du cardinal Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga qui était interrogé à propos des relations homosexuelles de l’ex-cardinal McCarrick avec des séminaristes, que le pape François a été accusé de « couvrir » et même de rétablir en grâce au point d’en faire son conseiller lorsqu’il a donné leurs chapeaux aux cardinaux Tobin et Cupich aux États-Unis. Maradiaga a déclaré lors d’un entretien avec Religión Digital : « Faire de quelque chose d’ordre privé un gros titre en forme de bombe qui éclate dans le monde et dans les fragments font du tort à la foi de nombreuses personnes ne me paraît pas correct. Je pense qu’une affaire de nature administrative devrait être évoquée en public avec des critères plus sereins et plus objectifs, et non avec une charge négative d’expressions très amères. »

On retrouve ici, mais cette fois très clairement exprimée par une des plus hautes autorités de l’Église dans l’organigramme de François, l’idée que les pratiques homosexuelles habituelles avec des adultes relèvent tout au plus de la transgression morale individuelle, du péché ordinaire qui n’a pas à être étalé sur la place publique – et encore !

Les prédations homosexuelles du cardinal McCarrick, une affaire privée ?

Car le cardinal Maradiaga ne parle nullement de péché ; il évoque de manière extrêmement neutre « quelque chose d’ordre privé », et de manière plus détachée encore une « affaire de nature administrative ». Il en ressort l’impression d’une sorte de problème de paperasserie qu’on règle entre soi, de quelque chose qu’il vaut mieux garder caché comme si l’affaire n’avait aucune incidence sur le bien commun de l’Église.

Si la prédation sexuelle sur des hommes jeunes du fait d’un évêque et d’un prince de l’église en position d’autorité n’est donc qu’une chose « d’ordre privé », on se demande à quel moment on peut parler d’affaires d’ordre public. Pour comprendre la remarque du cardinal Maradiaga il faut sans doute comprendre ces mots-là à l’aune du vocabulaire des pénalistes. Ce qui est d’ordre public, c’est le délit ou le crime dont la sanction et la réparation sont justifiées par l’atteinte à cet ordre qui dépasse les intérêts privés. La faute civile, qui porte atteinte aux droits de l’individu sans constituer la transgression d’une loi interdisant un acte délictueux ou criminel, n’est pas poursuivie par les autorités publiques. A la victime d’en faire établir l’existence et d’en demander réparation. La faute d’ordre publique est poursuivie et sanctionnée que la victime s’en plaigne ou non. Elle a causé un désordre qui atteint la société en tant que telle.

Le cardinal Maradiaga lui aussi préfère le silence !

Imposer des relations sexuelles contre nature à des hommes sur lesquels il avait autorité ou à tout le moins un ascendant avéré, quitte à obtenir leur consentement au moins apparent – ce qu’a fait, précisément, et de manière répétée, le cardinal McCarrick – ne serait à cette aune qu’un petit péché entre amis. Pas de crime au sens de la loi ? Pas de problème au sens de l’Église…

C’est une incroyable perte du sens de la chasteté sacerdotale, de la souillure que cela représente, souillure particulièrement grave dans la mesure où elle affecte des hommes qui se donnent à Dieu et qu’elle va les entraîner dans une double vie de mensonges et de minimalisation du mal.

Le cardinal Maradiaga répondait aussi à la question de savoir s’il existe un lobby gay au Vatican. « J’ai l’impression que le concept de lobby gay au Vatican est démesuré. C’est quelque chose qui existe bien davantage à travers l’encre des journaux que dans la réalité. Il est évident pour moi que l’objectif de toutes ces expressions chargées de venin, ces calomnies, et de porter atteinte au Saint-Père. S’il n’y a pas de foi, les acteurs de ce cirque médiatique ne renonceront pas à leurs calomnies. »

Les relations homosexuelles d’évêques et de cardinaux ne portent donc pas atteinte à ordre public de l’Église !

Voilà qui est totalement logique si l’activité homosexuelle entre adultes et même la prédation homosexuelle ne sont que des fautes privées pour lesquelles on n’a de toute façon pas besoin de « couverture », de protection… ou de cooptation particulières.

Ce que demande Maradiaga, c’est une adhésion sans condition au pape François, dont il précise au cours de son entretien : « Je crois que le pape est un homme de Dieu qui agit toujours avec foi et sagesse. »

Rappelons que le cardinal Maradiaga a été choisi par le pape pour faire partie de son cercle de gouvernement le plus proche, le fameux C9 dont il est d’ailleurs le président – le prélat hondurien peut être considéré comme le conseiller privilégié du pape François. Exactement sur la même ligne ?

Source : reinformation.tv/cardinal-maradi…

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Album ACTU

>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
Ne nous laissez pas sucomber
Les psy c'est comme les virus sa met des maladies partout .
Montfort AJPM
Ce genre de tête fêlée,
On l'appelle un latomisé :
Quelquefois, il nous aide davantage
Que ceux de notre aréopage.
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- Là, tu as tout à fait raison !
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Qu'un officiel tête-de-loup.
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- Je suis à pied d’œuvre : j'attends !
- Lorsque tu vois un individu
Dire des choses biscornues,
C'est-à-dire hétérodoxes, s'entend,
En non point des farfeluteries
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Cet individu travaille pour nous
Quoiqu'il n'en sache rien du tout.
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Dans le Purgatoire, les âmes louent et remercient Notre-Seigneur pour ses miséricordes infinies à leur égard ;
Je n'ai à remercier personne, dit Antéchrist, mais je veux qu'on me remercie pour tous les trucs que je fais.