Montfort AJPM
13169

Cinquième article au bon endroit : Merci Valli pour ton formidable humour !

Article précédent : Je ne suis pas Gilet Jaune

* * *

Les bons hommes aux bons endroits
(mais aussi les femmes !) / 5


Blog d’Aldo Maria Valli, le 31 décembre 2018

Bonjour tout le monde, et nous revoilà ! Après la suspension de Noël, la colonne La bonne personne au bon endroit est de retour aujourd’hui plus urgent que jamais et commence avec un jésuite, le Père Rafael Velasco, le nouveau chef de la province de l’Argentine et de l’Uruguay. Parce que c’est l’homme qu’il faut au bon endroit ? Simple : parce qu’il est en faveur du sacerdoce féminin, de la communion avec les couples homosexuels et de la théologie de la libération. D’un autre côté, pour un lieu aussi prestigieux, on ne pouvait nommer aucun autre.

La nomination vient du Supérieur Général des Jésuites, le Père Arturo Sosa Abascal (à son tour l’homme juste au bon endroit à l’énième pouvoir) et a reçu une évaluation sobre de la part du journaliste espagnol Francisco Fernandez de La Cigoña, qui l’a qualifiée de « la pire des pires ».

Ancien recteur de l’Université catholique de Cordoue (UCC) jusqu’en 2014, le nouveau provincial soutient la reconnaissance de l’homosexualité ainsi que l’introduction du sacerdoce féminin et assure qu’il continuera à adhérer à la théologie marxiste de la libération.

Le Père Velasco dit : « Il y a des réformes très importantes à faire, par exemple pour que les divorcés puissent être admis à la communion, comme quand un homosexuel vit en permanence avec son partenaire. Ce sont là des signes importants. Dans l’Église, nous disons qu’il ne doit pas y avoir de différence entre l’homme et la femme, nous disons que la femme est importante, mais nous l’excluons du ministère du sacerdoce. » Et puis : « J’adhère à la théologie de la libération, à cette façon de penser la foi, à partir de la réalité, en lisant la Parole de Dieu des pauvres. La théologie de la libération affirme que la théologie est fondée sur des valeurs concrètes et jamais abstraites et que le salut, dans un contexte d’oppression, doit inévitablement être compris dans la perspective de la libération, une libération politique, sociale et économique des peuples d’Amérique latine. Et de cette libération viendra la libération religieuse. »

Après ce bon départ, passons à autre chose. Notre rubrique est large d’esprit. Donc, pas seulement les bons hommes au bon endroit, mais les bonnes femmes au bon endroit ! Comme dans le cas des deux religieuses américaines qui ont travaillé pendant des décennies dans une école catholique en Californie, où elles ont volé une somme "substantielle" d’argent. Quel est l’intérêt ? Allez jouer à Vegas !

Le détournement de fonds a eu lieu à l’école catholique Saint-Jacques de Torrance et semble avoir continué pour la banalité de dix ans, comme l’a rapporté le directeur des relations avec les médias de l’archidiocèse de Los Angeles, Adrian Marquez Alarcon.

A cette époque, Sœur Mary Margaret Kreuper était la directrice de l’école et Sœur Lana Chang enseignait aux élèves de huitième année. Toutes deux se sont retirées au début de cette année et aucune d’elles n’a encore été inculpée. Le montant retiré des frais de scolarité et d’autres fonds est encore en cours de définition, mais pensez à quelque chose comme 500 000 $.

Les bonnes femmes aux bons endroits, pourraient-elles résoudre les problèmes de l’Église ?

La théologienne Marie-Jo Thiel en est convaincue, à son tour une femme juste au bon endroit puisqu’elle a été nommée par le Pape François membre de l’Académie Pontificale pour la Vie.

Professeur de théologie catholique et directrice du Centre Européen d’Enseignement et de Recherche en Éthique de l’Université de Strasbourg, la théologienne Thiel a publiquement déclaré que les enseignements de l’Église sur la sexualité ont été un « échec total ». Elle rejette également le Catéchisme dans la mesure où il affirme que les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés et ne peuvent jamais être approuvés, et s’oppose fermement aux interdictions de l’Église sur la contraception.

Or, puisque l’Académie pontificale pour la Vie a précisément pour objectifs de réaffirmer et de défendre l’enseignement de l’Église, il est clair que la professeur Thiel, contrairement à ce qu’elle appelle « l’intransigeance universaliste » ( ?) est vraiment la bonne femme au bon endroit. En fait, elle a déclaré publiquement que l’exhortation du Pape François Amoris laetitia « donnait plus de liberté aux catholiques », que l’enseignement de l’Église sur la sexualité et la famille devait être totalement revu et que les opportunités offertes par François devaient maintenant être utilisées. En outre, selon elle, il y a beaucoup de place pour les initiatives locales, à la lumière de la « saine décentralisation », de l’autodétermination et de la conscience individuelle. Il est temps pour l’Église, conclut-elle, de « mettre fin à son règne sur le corps et les âmes ».

Chers amis, je pense que c’est assez pour aujourd’hui ! Merci de votre attention, meilleurs vœux pour la nouvelle année et n’oubliez pas d’envoyer des suggestions pour les bons hommes (et les bonnes femmes) au bon endroit !

Source Catholique-Forum avec les Articles précédents : catholique.forumactif.com/t79-voila-des-a…

* * * * * * * * * * * * *
Album ACTU

>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
GChevalier partage ceci
23
ACTU.
ActualitéPlus
ACTU.

Actualité
GChevalier
Certes, tu ne liras pas
Tout ce que je t'écris là,
Non plus que Béatrice d'ailleurs
Puisque je suis un piètre auteur.
Mais ce qui est dit est dit
Et vraiment je le pense ainsi ;
Ton humour me réjouit le cœur :
Merci, cher ami, de tout cœur !
AJPM
Aldo Maria Valli,
Vraiment, je te remercie
Pour tes articles que je traduis :
Béatrice le fait aussi
Trouvant en toi un cœur droit,
Et je pense pareillement.
Elle ne me démentira pas,
Ayant comme moi même sentiment.
Montfort AJPM
Le sens de la promesse de Marie est donc que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et …Plus
Le sens de la promesse de Marie est donc que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie ;
Cette fois, me dit Antéchrist, ton speech est trop long pour ma carte mémoire : Cortana est perdue !