LA FIN DU PATRONYME : « LE GÉNOCIDE PEUT COMMENCER ».
(Extrait du « complot inconscient », auteur Jean-Pierre Aussant.) https://t.co/9R8nFMHZFe
Cela n’est pas un hasard si dans la tradition des religions monothéistes (et dans la plupart des autres cultures) l’enfant porte le nom du père. En effet, la mère non seulement a la certitude que son enfant est bien « d’elle » mais de surcroit elle le porte pendant neuf mois. Ce temps de la gestation instaure bien évidemment une relation privilégiée entre la maman et l’enfant. Dès le début, le père est, pour ainsi dire, tenu à l’écart. Il est désavantagé. La tradition du patronyme, consciemment ou pas, a été instaurée pour compenser ce déficit paternel. Au fond, c’est un peu comme si le père disait à sa femme : « Toi, tu portes l’enfant et en plus tu sais qu’il est bien de toi ; donc en compensation, de façon à ce que je ne sois pas exclu, de façon à ce que « j’y crois », l’enfant portera mon nom ». Et cela était bien ainsi. Grâce à cet équilibre au sein de la cellule familiale, les civilisations ont pu s’épanouir. La fin du patronyme, pensée et instaurée en réalité par le féminisme lesbien, ouvre nécessairement la voie du « désengagement » et de la « démotivation » du père. C’est son vrai but. C’est qu’il convient de casser la famille, la filiation (détruire au passage la religion) et surtout de préparer psychologiquement l’homme à sa « sortie » de la communauté. De concession en concession, le père doit comprendre qu’il n’a plus sa place dans la société. L’abolition du patronyme officialise symboliquement l’exclusion de l’homme dans sa propre famille donc, par extension, de la société et de l’aventure humaine tout court.
Ma théorie du complot inconscient est trop en avance pour être comprise par le grand nombre. Pour autant, certains signes commencent, pour celui qui sait les interpréter, à corroborer mon intuition comme le démontre cette article dans le très bon site de génétique.org
www.genethique.org/fr/pma-leradicatio…
Cela n’est pas un hasard si dans la tradition des religions monothéistes (et dans la plupart des autres cultures) l’enfant porte le nom du père. En effet, la mère non seulement a la certitude que son enfant est bien « d’elle » mais de surcroit elle le porte pendant neuf mois. Ce temps de la gestation instaure bien évidemment une relation privilégiée entre la maman et l’enfant. Dès le début, le père est, pour ainsi dire, tenu à l’écart. Il est désavantagé. La tradition du patronyme, consciemment ou pas, a été instaurée pour compenser ce déficit paternel. Au fond, c’est un peu comme si le père disait à sa femme : « Toi, tu portes l’enfant et en plus tu sais qu’il est bien de toi ; donc en compensation, de façon à ce que je ne sois pas exclu, de façon à ce que « j’y crois », l’enfant portera mon nom ». Et cela était bien ainsi. Grâce à cet équilibre au sein de la cellule familiale, les civilisations ont pu s’épanouir. La fin du patronyme, pensée et instaurée en réalité par le féminisme lesbien, ouvre nécessairement la voie du « désengagement » et de la « démotivation » du père. C’est son vrai but. C’est qu’il convient de casser la famille, la filiation (détruire au passage la religion) et surtout de préparer psychologiquement l’homme à sa « sortie » de la communauté. De concession en concession, le père doit comprendre qu’il n’a plus sa place dans la société. L’abolition du patronyme officialise symboliquement l’exclusion de l’homme dans sa propre famille donc, par extension, de la société et de l’aventure humaine tout court.
Ma théorie du complot inconscient est trop en avance pour être comprise par le grand nombre. Pour autant, certains signes commencent, pour celui qui sait les interpréter, à corroborer mon intuition comme le démontre cette article dans le très bon site de génétique.org
www.genethique.org/fr/pma-leradicatio…