fr.news
111,3 k

François : "Tout sera sauvé. Tout"

Le Pape François a déclaré le 11 octobre que le Jugement dernier ne doit pas être craint, car "à la fin de notre histoire, il y a le Jésus miséricordieux", et que donc "tout sera sauvé. Tout." Ces …Plus
Le Pape François a déclaré le 11 octobre que le Jugement dernier ne doit pas être craint, car "à la fin de notre histoire, il y a le Jésus miséricordieux", et que donc "tout sera sauvé. Tout."
Ces déclaration qui nient l'existence de l'enfer ont été publiées par Sandro Magister le 20 octobre.
Le 23 août, François a comparé la fin de l'histoire à "une tente immense, où Dieu accueillera toute l'humanité pour y habiter définitivement". Magister montre que François a cité à plusieurs reprises les paraboles de l'Évangile de façon sélective, ignoran les avertissements Jésus au sujet de la damnation éternelle.
Si François avait raison, personne n'aurait besoin de lui et de son Église et il n'y aurait pas de différence entre un saint et un agent du mal.
#newsXrazpwqgcr
Catholique et Français
"Le Jugement Dernier ne doit pas être craint, car "à la fin de notre histoire, il y a le Jésus miséricordieux", et que donc "tout sera sauvé ! Tout !" ou que la fin de l'histoire est comparable à "une tente immense, où Dieu accueillera toute l'humanité pour y habiter définitivement". 🥴
Si ces propos du dernier Pape sont vraiment authentiques ou n'ont pas été malignement déformés, voici …Plus
"Le Jugement Dernier ne doit pas être craint, car "à la fin de notre histoire, il y a le Jésus miséricordieux", et que donc "tout sera sauvé ! Tout !" ou que la fin de l'histoire est comparable à "une tente immense, où Dieu accueillera toute l'humanité pour y habiter définitivement". 🥴
Si ces propos du dernier Pape sont vraiment authentiques ou n'ont pas été malignement déformés, voici les Paroles terribles que le premier Pape, inspiré par le Saint-Esprit, a prononcées sur le même sujet (lisez bien tout ce terrible chapître et méditez bien surtout ce qui est souligné ! 😈 ) :
"Mes bien-aimés, voici déjà la seconde lettre que je vous écris : dans l'une et dans l'autre, je m'adresse à vos souvenirs, pour exciter votre saine intelligence à se rappeler les choses annoncées d'avance par les saints prophètes, et le commandement du Seigneur et Sauveur, enseigné par vos apôtres.
Sachez avant tout que, dans les Derniers Temps, il viendra des moqueurs pleins de raillerie, vivant au gré de leurs convoitises, et disant : "Où est la Promesse de son Avènement ? Car depuis que nos pères sont morts, tout continue à subsister comme depuis le commencement de la Création".
Ils veulent ignorer que, dès l'Origine, des cieux existaient, ainsi qu'une terre que la Parole de Dieu avait fait surgir du sein de l'eau, au moyen de l'eau, et que par là même monde d'alors périt submergé.
Quant aux cieux et à la terre d'à présent, la même Parole de Dieu les tient en réserve et les garde pour le feu, au Jour du jugement et de la Ruine des hommes impies.
Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans, "et mille ans sont comme un jour".
Non, le Seigneur ne retarde pas l'accomplissement de sa Promesse, comme quelques-uns se l'imaginent; mais Il use de Patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais que tous viennent à la Pénitence.
Cependant le Jour du Seigneur viendra comme un voleur; en ce Jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre sera consumée avec les ouvrages qu'elle renferme.
Puis donc que toutes choses sont destinées à se dissoudre, quelles ne doivent pas être la sainteté de votre conduite et votre piété, attendant et hâtant l'Avènement du Jour de Dieu, auquel les cieux enflammés se dissoudront, et les éléments embrasés se fondront
 ?
Mais nous attendons, selon sa promesse, "de nouveaux Cieux et une nouvelle Terre", où la Justice habite.
Dans cette Attente, bien-aimés, faites tous vos efforts afin d'être trouvés par Lui sans tâche et irréprochables dans la Paix.
Croyez que la longue Patience de Notre-Seigneur est pour votre Salut, ainsi que Paul, notre bien-aimé frère, vous l'a aussi écrit, selon la Sagesse qui lui a été donnée.
C'est ce qu'il fait dans toutes les lettres où il aborde ces sujets; il s'y rencontre des passages difficiles à entendre, et que des personnes ignorantes et mal affermies détournent, comme elles font les autres Ecritures, pour leur perdition,
Vous donc, bien-aimés, qui êtes prévenus, tenez-vous sur vos gardes, de peur qu'entraînés par l'égarement de ces impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté.
Mais croissez dans la Grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit la Gloire, maintenant et jusqu'au Jour de l'éternité ! Amen !
" (2° Epître de Saint-Pierre. Chapitre III).
BLANCHE HERMINE
Selon Eugénio Scalfari le pape François a livré au cours d’entretiens ceci :
« Le Pape François a aboli les lieux où les âmes sont censées aller après la mort : enfer, purgatoire et paradis. La thèse qu’il soutient, c’est que les âmes dominées par le mal et impénitentes cessent d’exister tandis que celles qui ont été rachetées du mal seront admises dans la béatitude de la contemplation de …Plus
Selon Eugénio Scalfari le pape François a livré au cours d’entretiens ceci :
« Le Pape François a aboli les lieux où les âmes sont censées aller après la mort : enfer, purgatoire et paradis. La thèse qu’il soutient, c’est que les âmes dominées par le mal et impénitentes cessent d’exister tandis que celles qui ont été rachetées du mal seront admises dans la béatitude de la contemplation de Dieu »
Le pape François veut -il liquider les « choses dernières » comme le décrit Scalfari.
Cependant dans la prédication du pape François , ce dernier omet le Jugement final et les destinées des saints ou des damnés .
Le mercredi 11 octobre, le pape François a déclaré qu’il ne fallait pas craindre un tel jugement parce qu’ « au terme de notre histoire il y a Jésus miséricordieux. Tout sera sauvé. Tout. ».
Le mercredi 23 août, François a dépeint une image totalement et uniquement consolatrice de la fin de l’histoire, évoquant une
« demeure immense, où Dieu accueillera tous les hommes pour habiter définitivement avec eux ».
Parole tirée du chapitre 21 de l’Apocalypse mais François n’a pas citer les déclarations du Christ qui suivent ce passage :
« Tel sera l’héritage du vainqueur ; je serai son Dieu, et lui sera mon fils. Quant aux lâches, perfides, êtres abominables, meurtriers, débauchés, sorciers, idolâtres et tous les menteurs, la part qui leur revient, c’est l’étang embrasé de feu et de soufre, qui est la seconde mort. »
Le
dimanche 15 octobre, le pape François a évité de citer les passages les plus inquiétants de St Matthieu 22,1-14.
Celui où « Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et incendia leur ville ».
Mais aussi le passage dans lequel, voyant
« un homme qui portait pas le vêtement de noce »,
le roi ordonna à ses serviteurs :
« Jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
Le dimanche le 8 octobre, la parabole des vignerons homicides Saint Mt 21, 33-43, qui subi le même traitement sélectif.
Dans le commentaire de la parabole, le pape n’a pas mentionner le sort réservé par le Seigneur de la vigne aux vignerons qui ont tué ses serviteurs avant de tuer son fils :
« Ces misérables, il les fera mourir misérablement ».
Ainsi que les mots de conclusion de Jésus, se désignant « la pierre d’angle » :
« tout homme qui tombera sur cette pierre s’y brisera ; celui sur qui elle tombera, elle le réduira en poussière ».
avecrux.avemaria
C'est beau de voir la vie tout en arc en ciel 😀
AveMaria44
Il contredit tout simplement la Sainte Écriture : Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. (Mt 22 1, 14)....." Luttez pour entrer par la porte étroite; car beaucoup, je vous le dis, chercheront à entrer et ne pourront pas, (Lc 13, 24).
gerard57
Pauvre François qui n'a jamais pris les Saintes Ecritures au sérieux...
apvs
"tout sera sauvé. Tout."
Et oui, tout ! Même le démon, ce bon bougre, qui n'aura fait, au fond, que "mettre son grain de sel" parmi les hommes pour que cela soit plus palpitant, alors ?
Voilà la théorie hérétique de l'apocatastase qui fait son grand retour sous vos yeux ébahis !
🤒
Le concile de Constantinople, en 543, condamna l'apocatastase, et l'anathème fut formellement soumis au cinquième …Plus
"tout sera sauvé. Tout."
Et oui, tout ! Même le démon, ce bon bougre, qui n'aura fait, au fond, que "mettre son grain de sel" parmi les hommes pour que cela soit plus palpitant, alors ?

Voilà la théorie hérétique de l'apocatastase qui fait son grand retour sous vos yeux ébahis !
🤒
Le concile de Constantinople, en 543, condamna l'apocatastase, et l'anathème fut formellement soumis au cinquième concile œcuménique de Constantinople en 553, ce qui n'empêcha pas l'autre doctrine théologique d'Origène, qui enseigne la Transmigration des âmes, ou Métempsycose, et la possibilité qu'une nouvelle chute de l'homme glorifié relance le cycle, de jouer un rôlewww.wikiwand.com/fr/Apocatastase. L'anathème contre l'apocatastase, ou plus exactement contre la croyance selon laquelle l'enfer n'est pas éternel, ne fut pas ratifié, malgré l'appui de l'empereur, et il ne figure pas parmi les anathèmes formulés contre Origène au deuxième concile de Constantinople.
GChevalier
Terrible ! Donc, en toute logique, Hitler sera au ciel, ou il y est déjà. Vous autres, les juifs, êtes-vous d'accord ?
Catholique et Français
"Après son entrée au Carmel, le 25 mars 1948, soeur Lucie continue à témoigner fermement du message de Fatima afin de faire connaître et aimer la Sainte Vierge et ainsi sauver les âmes de l’enfer. Elle impressionnait ceux qui la visitaient, comme le Père Lombardi, un jésuite italien qui fut bouleversé par son entrevue avec elle en octobre 1953, au cours de laquelle elle lui affirma que «nombreux …Plus
"Après son entrée au Carmel, le 25 mars 1948, soeur Lucie continue à témoigner fermement du message de Fatima afin de faire connaître et aimer la Sainte Vierge et ainsi sauver les âmes de l’enfer. Elle impressionnait ceux qui la visitaient, comme le Père Lombardi, un jésuite italien qui fut bouleversé par son entrevue avec elle en octobre 1953, au cours de laquelle elle lui affirma que «nombreux sont ceux qui se damnent. Beaucoup, beaucoup se perdront !"
Spina Christi 2
Ah mais ce n'est peut-être qu'une mauvaise traduction, ou une mauvaise interprétation de la pensée du pape, ou bien François a t-il voulu simplement dire par "tout serait sauvé", que ne serait sauvé que "tout" ce qui appartient au Christ, c'est à dire tout sauf les non-repentis, les rebelles, les antichrist, les meurtriers etc.
Mmmouaifff !
Sauf qu'il y a encore cette autre audience ...

w2.…Plus
Ah mais ce n'est peut-être qu'une mauvaise traduction, ou une mauvaise interprétation de la pensée du pape, ou bien François a t-il voulu simplement dire par "tout serait sauvé", que ne serait sauvé que "tout" ce qui appartient au Christ, c'est à dire tout sauf les non-repentis, les rebelles, les antichrist, les meurtriers etc.

Mmmouaifff !

Sauf qu'il y a encore cette autre audience ...


w2.vatican.va/…/papa-francesco_…

PAPE FRANÇOIS
AUDIENCE GÉNÉRALE

Mercredi 23 août 2017

Chers frères et sœurs, bonjour!
Nous avons écouté la Parole de Dieu dans le livre de l’Apocalypse, et elle dit: «Voici, je fais l’univers nouveau» (21, 5). L’espérance chrétienne se fonde sur la foi en Dieu qui crée toujours des nouveautés dans la vie de l’homme, il crée des nouveautés dans l’histoire, il crée des nouveautés dans l’univers. Notre Dieu est le Dieu qui crée la nouveauté, parce que c’est le Dieu des surprises.
Il n’est pas chrétien de marcher le regard tourné vers le bas — comme le font les cochons: ils avancent toujours ainsi — sans lever les yeux vers l’horizon. Comme si tout notre chemin finissait ici, en l’espace de quelques mètres de parcours; comme si dans notre vie, il n’y avait aucune destination ni aucune escale, et que nous étions contraints à errer éternellement, sans rien qui justifie nos nombreux efforts. Cela n’est pas chrétien.
Les pages finales de la Bible nous montrent l’horizon ultime du chemin du croyant: la Jérusalem du Ciel, la Jérusalem céleste. Elle est imaginée avant tout comme une demeure immense, où Dieu accueillera tous les hommes pour habiter définitivement avec eux (Ap 21, 3). Et cela est notre espérance. Et que fera Dieu, quand nous serons enfin avec Lui? Il fera preuve d’une tendresse infinie à notre égard, comme un père qui accueille ses enfants qui ont longtemps peiné et souffert. Jean, dans l’Apocalypse, prophétise: «Voici la demeure de Dieu avec les hommes! Il essuiera toute larme de leurs yeux: de mort, il n’y en aura plus; de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus, car l’ancien monde s’en est allé [...] Voici, je fais l’univers nouveau!» (21, 3-5). Le Dieu de la nouveauté!
Essayez de réfléchir à ce passage de l’Ecriture Sainte non pas de façon abstraite, mais après avoir lu une nouvelle actuelle, après avoir regardé le journal télévisé ou la couverture des journaux, où il y a tant de tragédies, où l’on rapporte des nouvelles tristes auxquelles tous risquent de s’habituer. Et j’ai salué certaines personnes de Barcelone: que de nouvelles tristes nous parviennent de là! J’ai salué des gens du Congo, et combien de nouvelles tristes nous parviennent de là! Et combien d’autres: Pour ne citer que deux pays dont vous provenez... Essayez de penser aux visages des enfants effrayés par la guerre, aux pleurs des mères, aux rêves brisés de nombreux jeunes, aux réfugiés qui affrontent des voyages terribles, et sont si souvent exploités... Malheureusement, la vie, c’est également cela. On a parfois envie de dire que c’est surtout cela.
Peut-être. Mais il y a un Père qui pleure avec nous; il y a un Père qui verse des larmes de pitié infinie envers ses enfants. Nous avons un Père qui sait pleurer, qui pleure avec nous. Un père qui attend pour nous consoler, parce qu’il connaît nos souffrances et nous a préparé un avenir différent. Telle est la grande vision de l’espérance chrétienne, qui enveloppe tous les jours de notre existence, et qui veut nous soulager.
Dieu n’a pas voulu nos vies par erreur, en s’obligeant, ainsi que nous, à de pénibles nuits d’angoisse. Au contraire, il nous a créés parce qu’il nous veut heureux. C’est notre Père et si nous, ici, faisons l’expérience d’une vie qui n’est pas celle qu’Il a voulu pour nous, Jésus nous garantit que Dieu lui-même accomplit son rachat. Il œuvre pour nous racheter.
Nous croyons et nous savons que la mort et la haine ne sont pas les dernières paroles prononcées sur la parabole de l’existence humaine. Etre chrétiens implique une nouvelle perspective: un regard plein d’espérance. Certains croient que la vie détient tous ses bonheurs dans la jeunesse et dans le passé et que vivre est un lent déclin. D’autres encore considèrent que nos joies ne sont qu’épisodiques et passagères, et que dans la vie des hommes est inscrit le non-sens. Ceux qui, devant tant de catastrophes, disent: «Mais la vie n’a pas de sens. Notre chemin est le non-sens». Mais nous, chrétiens, ne croyons pas cela. Nous croyons en revanche que dans l’horizon de l’homme, il existe un soleil qui illumine pour toujours. Nous croyons que nos jours les plus beaux doivent encore arriver. Nous sommes davantage des personnes de printemps que d’automne. J’aimerais demander à présent — que chacun réponde dans son cœur, en silence, mais qu’il réponde —: «Est-ce que je suis un homme, une femme, un garçon, une fille de printemps ou d’automne? Mon âme est-elle de printemps ou d’automne? Que chacun réponde. Nous percevons les bourgeons d’un monde nouveau plutôt que les feuilles jaunies sur les branches. Nous ne nous berçons pas de nostalgie, de regrets et de plaintes: nous savons que Dieu veut que nous soyons les héritiers d’une promesse et d’inlassables cultivateurs de rêves. N’oubliez pas cette question: «Suis-je une personne de printemps ou d’automne?». De printemps, qui attend la fleur, qui attend le fruit, qui attend le soleil qui est Jésus, ou d’automne, qui a toujours le visage tourné vers le bas, aigri et, comme je l’ai dit parfois, le visage des piments au vinaigre.
Le chrétien sait que le Royaume de Dieu, sa Seigneurie d’amour croît comme un grand champ de blé, même si au milieu, se trouve l’ivraie. Il y a toujours des problèmes, il y a les commérages, il y a les guerres, il y a les maladies... Il y a des problèmes. Mais le grain croît, et à la fin, le mal sera éliminé. L’avenir ne nous appartient pas, mais nous savons que Jésus Christ est la plus grande grâce de la vie: il est le baiser de Dieu qui nous attend à la fin, mais qui nous accompagne dès à présent et nous réconforte sur le chemin. Il nous conduit à la grande «demeure» de Dieu avec les hommes (cf. Ap 21, 3), avec nos nombreux autres frères et sœurs, et nous apporterons à Dieu le souvenir des jours vécus ici-bas. Et il sera beau de découvrir en cet instant que rien ne s’est perdu, aucun sourire, aucune larme. Même si notre vie a été longue, il nous semblera l’avoir vécue dans un souffle. Et que la création ne s’est pas arrêtée au sixième jour de la Genèse, mais qu’elle s’est poursuivie, inlassable, parce que Dieu s’est toujours préoccupé de nous. Jusqu’au jour où tout s’accomplira, au matin où les larmes seront séchées, à l’instant même où Dieu prononcera son ultime parole de bénédiction: «Voici — dit le Seigneur —, je fais l’univers nouveau» (v. 5). Oui, notre Père est le Dieu des nouveautés et des surprises. Et ce jour-là, nous serons véritablement heureux, et nous pleurerons. Oui: mais nous pleurerons de joie."
Spina Christi 2
Encore une fois, n'en déplaise aux vipères menteuses apostates aveugles et hypocrites, même si fr.news ne donne pas ses sources, l'info est vraie !
w2.vatican.va/…/papa-francesco_…
PAPE FRANÇOIS
AUDIENCE GÉNÉRALE
Place Saint-Pierre
Mercredi 11 octobre 2017

"Chers frères et sœurs, bonjour!
Aujourd’hui je voudrais m’arrêter sur cette dimension de l’espérance qui est l’attente vigilante. Le …Plus
Encore une fois, n'en déplaise aux vipères menteuses apostates aveugles et hypocrites, même si fr.news ne donne pas ses sources, l'info est vraie !

w2.vatican.va/…/papa-francesco_…

PAPE FRANÇOIS
AUDIENCE GÉNÉRALE

Place Saint-Pierre
Mercredi 11 octobre 2017


"Chers frères et sœurs, bonjour!
Aujourd’hui je voudrais m’arrêter sur cette dimension de l’espérance qui est l’attente vigilante. Le thème de la vigilance est l’un des fils conducteurs du Nouveau Testament. Jésus prêche à ses disciples: «Que vos reins soient ceints et vos lampes allumées. Soyez semblables, vous, à des gens qui attendent leur maître à son retour de noces, pour lui ouvrir dès qu’il viendra et frappera» (Lc 12, 35-36). Pendant la période qui suit la résurrection de Jésus, au cours de laquelle s’alternent sans cesse des moments de sérénité et d’autres d’angoisse, les chrétiens ne se reposent jamais. L’Evangile recommande d’être comme des serviteurs qui ne vont jamais dormir, tant que leur maître n’est pas rentré. Ce monde exige notre responsabilité, et nous l’assumons entièrement avec amour. Jésus veut que notre existence soit laborieuse, que nous ne baissions jamais la garde, pour accueillir avec gratitude et étonnement chaque nouveau jour que Dieu nous a donné. Chaque matin est une page blanche que le chrétien commence à écrire avec les œuvres de bien. Nous avons déjà été sauvés par la rédemption de Jésus, mais à présent, nous attendons la pleine manifestation de sa souveraineté: quand finalement Dieu sera tout en tous (cf. 1 Co 15, 28). Rien n’est plus certain, dans la foi des chrétiens, que ce «rendez-vous», ce rendez-vous avec le Seigneur, quand Il viendra. Et quand ce jour arrivera, nous chrétiens, voulons être comme ces serviteurs qui ont passé la nuit avec les flancs ceints et les lampes allumées: il faut être prêts pour le salut qui vient, prêts à la rencontre. Vous-mêmes, avez-vous pensé à comment sera la rencontre avec Jésus quand Il viendra? Mais ce sera une étreinte, une joie immense, une grande joie! Nous devons vivre dans l’attente de cette rencontre!
Le chrétien n’est pas fait pour l’ennui; plutôt pour la patience. Il sait que, même dans la monotonie de certains jours toujours pareils, se cache un mystère de grâce. Il y a des personnes qui, par la persévérance de leur amour, deviennent comme des puits qui irriguent le désert. Rien n’arrive en vain, aucune situation dans laquelle un chrétien se trouve plongé n’est complètement réfractaire à l’amour. Aucune nuit n’est longue au point de faire oublier la joie de l’aurore. Et plus la nuit est obscure, plus l’aurore est proche. Si nous restons unis à Jésus, le froid des moments difficiles ne nous paralyse pas; et même si le monde entier prêchait contre l’espérance, s’il disait que l’avenir n’apportera que de sombres nuées, le chrétien sait que, dans ce même avenir, se trouve le retour du Christ. Quand cela arrivera-t-il? Personne ne le sait, mais la pensée qu’au terme de notre histoire il y a Jésus miséricordieux, suffit pour avoir confiance et ne pas maudire la vie. Tout sera sauvé. Tout. Nous souffrirons, il y aura des moments qui susciteront la colère et l’indignation, mais la douce et puissante mémoire du Christ chassera la tentation de penser que cette vie est une erreur.
Après avoir connu Jésus, nous ne pouvons faire autre chose que scruter l’histoire avec confiance et espérance. Jésus est comme une maison et nous sommes à l’intérieur, et des fenêtres de cette maison, nous regardons le monde. C’est pourquoi nous ne nous refermons pas sur nous-mêmes, nous ne regrettons pas avec mélancolie un passé que l’on présume doré, mais nous regardons toujours de l’avant, vers un avenir qui n’est pas seulement l’œuvre de nos mains, mais qui est tout d’abord une préoccupation constante de la providence de Dieu. Un jour, tout ce qui est opaque deviendra lumière.
Et pensons que Dieu ne se dément pas lui-même. Jamais. Dieu ne déçoit jamais. Sa volonté à notre égard n’est pas nébuleuse, mais elle est un projet de salut bien tracé: «Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et accèdent à la connaissance de la vérité» (1 Tm 2, 4). C’est pourquoi nous ne nous abandonnons pas au cours des événements avec pessimisme, comme si l’histoire était un train dont on a perdu le contrôle. La résignation n’est pas une vertu chrétienne. Comme il n’est pas chrétien de hausser les épaules ou de baisser la tête devant un destin qui nous semble inéluctable.
Celui qui apporte l’espérance au monde n’est jamais une personne soumise. Jésus nous recommande de l’attendre en ne restant pas les bras croisés: «Heureux ces serviteurs que le maître en arrivant trouvera en train de veiller!» (Lc 12, 37). Il n’y a pas de constructeur de paix qui, en fin de compte, n’ait compromis sa paix personnelle, en assumant les problèmes des autres. La personne soumise n’est pas un constructeur de paix, mais elle est paresseuse, quelqu’un qui veut être tranquille. Alors que le chrétien est un constructeur de paix quand il prend des risques, quand il a le courage de prendre des risques pour apporter le bien, le bien que Jésus nous a donné, qu’il nous a donné comme un trésor.
Chaque jour de notre vie, répétons cette invocation que les premiers disciples, dans leur langue araméenne, exprimaient par les paroles Marana tha, et que nous retrouvons dans le dernier verset de la Bible: «Viens Seigneur Jésus!» (Ap 22, 20). C’est le refrain de chaque existence chrétienne: dans notre monde, nous n’avons besoin de rien, si ce n’est d’une caresse du Christ. Quelle grâce si, dans la prière, dans les jours difficiles de notre vie, nous entendons sa voix qui répond et qui nous rassure: «Voici, je viens sans tarder» (Ap 22, 7)!
Je suis heureux de saluer les pèlerins venus de France, de Suisse, du Canada et de République Centrafricaine. Que le doux et puissant souvenir du Christ nous aide à rester vigilants dans l’espérance, attentifs à sa parole. Que Dieu vous bénisse !"
Sainte Blandine
Le >Christ a cité plus de 60 fois le mot Enfer ! C'est irresponsable de dire le contraire de ce qu'a dit le Christ ! Beaucoup d'âmes tomberont en Enfer !