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François ne croit pas à la multiplication des pains par le Christ

L'évangile de la multiplication des pains (Luc 9,16) "ne mentionne pas la multiplication en tant que telle", a dit le Pape François dans son homélie de Corpus Christi le 23 juin.

Selon François, il ne met pas l'accent sur la multiplication mais sur les mots "briser", "donner" et "distribuer" et donc "l'acte de partage", bien que ce concept ne soit jamais mentionné.

François continue en pontifiant que le Christ "n'a pas changé cinq pains en cinq mille pour ensuite annoncer : "Voilà ! Distribuez-les !" Ce sont plutôt les cinq pains qui ne s'épuisent jamais, suggère François.

Cependant, le fait qu'il reste douze paniers de restes (Lc 9,17) implique qu'il y a eu une multiplication. Tant de restes ne peuvent être expliqués par l'affirmation que les cinq pains "ne se sont jamais épuisés".

#newsPlqvynackc
avecrux.avemaria
Il est trop bizarre ce monsieur pape. C'est le premier à ne pas donner sa bénédiction papale au peuple pour ne pas froisser les autres sectes 🤨
Sylvanus
@avecrux.avemaria Elle est trop bizarre, Véronique ! :) Tu n'as pas eu la bénédiction papale Urbi et orbi, cette année ? Tu peux alors demander une bénédiction papale en ligne ! Bises. Sylvanus
Claudius Cartapus
Le jour de Noël et de Pâques, je vais sur YouTube, et je cherche 'urbi orbi 2019', et on le trouve sur la page de KTOTV sur YouTube, et même celles de Benoît XVI et antérieur selon l'année, ou sans inscrire l'année. Tiens, j'ai un Urbi & Orbi de 1933 de Pie XI ! Mais bon, à part quelques images, il y a plus complet en avançant dans le temps. J'ai déjà trouvé des images vidéo d'archives de Pie …Plus
Le jour de Noël et de Pâques, je vais sur YouTube, et je cherche 'urbi orbi 2019', et on le trouve sur la page de KTOTV sur YouTube, et même celles de Benoît XVI et antérieur selon l'année, ou sans inscrire l'année. Tiens, j'ai un Urbi & Orbi de 1933 de Pie XI ! Mais bon, à part quelques images, il y a plus complet en avançant dans le temps. J'ai déjà trouvé des images vidéo d'archives de Pie X, et même Léon XIII en cherchant bien. Voici les mots de recherche sur YouTube: papa leone xiii voce
avecrux.avemaria
@Sylvanus Paix et bien Sylvanus 🤗 comment vas-tu ? Et à quelle minute, stp ? Parce 24 mn... non merci. Merci et belle nuit en Jésus 😉
Sylvanus
@avecrux.avemaria À 16 mn 30 s et suite. Belle bénédiction papale !
avecrux.avemaria
@Sylvanus oh merci. 👍 Bon ! Je reconnais n'être pas "François" et je suis curieuse de découvrir ce que ça donne. Franchement, c'est une première pour moi. 🥴 Mince ! C'est bizarre. Ok je regarde. Merci en tout cas. 🤗
avecrux.avemaria
@Sylvanus waouh Sylvanus ! Ça paraissait tellement vrai 🥴 sans rire 😁 Je me suis sentie comme illuminée... ne l'as-tu pas vu dans ton rêve ? 🙄 mais si ! J'te dis ✍️ Le truc en lévitation style Bouddha... eh bé c'était moi ! 😀 Allez, stp ! Ne te fais pas prier... je t'ai scotché 😇 😎
2 autres commentaires de avecrux.avemaria
avecrux.avemaria
😀
avecrux.avemaria
@Sylvanus Bon ! Je reconnais que sa bénédiction est magnifiquement faite ! Pffff.... Soyons bien d'accord, toi et moi ! Ca ne valide rien ! Rien rien rien. C'est joli et c'est tout ! Pfff...
Thierry73
@Spina Christi 2 et @Sylvanus D'ailleurs, si l'on se réfère au premier miracle de Jésus à Cana, ..."il y avait là six jarres de pierre pour les purifications rituelles des Juifs ; chacune contenait deux à trois mesures, (c’est-à-dire environ cent litres).
Jésus dit à ceux qui servaient : « Remplissez d’eau les jarres. » Et ils les remplirent jusqu’au bord.
Il leur dit : « Maintenant, puisez …
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@Spina Christi 2 et @Sylvanus D'ailleurs, si l'on se réfère au premier miracle de Jésus à Cana, ..."il y avait là six jarres de pierre pour les purifications rituelles des Juifs ; chacune contenait deux à trois mesures, (c’est-à-dire environ cent litres).

Jésus dit à ceux qui servaient : « Remplissez d’eau les jarres. » Et ils les remplirent jusqu’au bord.

Il leur dit : « Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent.
Et celui-ci goûta l’eau changée en vin. Il ne savait pas d’où venait ce vin, mais ceux qui servaient le savaient bien, eux qui avaient puisé l’eau." (Evangile de St Jean),
comme pour le miracle de la multiplication des pains, Jésus se sert bien des hommes présents pour son premier miracle, selon les Evangiles. Jésus fait toujours appel à la foi des hommes et aux éléments de la Terre pour soigner, guérir et nourrir.
ne nous laissez pas succomber
D'ici qu'il vous dises que la messe c'est du bidon il n'y à qu'un pas ?
ne nous laissez pas succomber
Ce n'est pas par les théologiens que vous allez comprendre les actes de Dieu Christ et Seigneur ,ils sont trop terre à terre .
Claudius Cartapus
Effectivement, les douze paniers pleins de miettes, ça parle tout seul. Seulement ce point là frappe tellement l'imagination. On comprend ainsi que Dieu est Tout-Puissant ! Le surnaturel était à l'œuvre, comme pour le vin aux noces de Cana. Si Jésus n'avait pas demandé que l'on ramasse les miettes, le doute aurait pu subsister sur la quantité de pains distribués à une foule de 5000 hommes, sans …Plus
Effectivement, les douze paniers pleins de miettes, ça parle tout seul. Seulement ce point là frappe tellement l'imagination. On comprend ainsi que Dieu est Tout-Puissant ! Le surnaturel était à l'œuvre, comme pour le vin aux noces de Cana. Si Jésus n'avait pas demandé que l'on ramasse les miettes, le doute aurait pu subsister sur la quantité de pains distribués à une foule de 5000 hommes, sans compter les femmes et les enfants.
Claudius Cartapus
Mais à la fin, il n'y a pas l'info pour les poissons restants et les morceaux non-mangés. On aurait pu avoir aussi des quantités impressionnantes d'arêtes, de têtes de poissons et de résidus en vrac.
Sylvanus
@Claudius Cartapus À bien lire le texte de saint Luc, il n'y a effectivement pas, comme le disait notre saint Père, "multiplication" (au sens mathématique) du nombre de pains (et de poissons). Mystérieusement, ces cinq pains et deux poissons nourrirent environ 5000 hommes. Des cinq pains et deux poissons il resta même beaucoup de "morceaux" (traduction du texte grec) : douze paniers. Une première …Plus
@Claudius Cartapus À bien lire le texte de saint Luc, il n'y a effectivement pas, comme le disait notre saint Père, "multiplication" (au sens mathématique) du nombre de pains (et de poissons). Mystérieusement, ces cinq pains et deux poissons nourrirent environ 5000 hommes. Des cinq pains et deux poissons il resta même beaucoup de "morceaux" (traduction du texte grec) : douze paniers. Une première lecture de ce post de fr.news laisserait accroire que le pape ne croirait pas en ce miracle. Ce n'est pas le propos du pape. Bien à vous. Sylvanus
Spina Christi 2
Il est vrai que de Pain descendu du Ciel il n'y en a qu'Un et que c'est ce seul Pain, le Seigneur, qui s'offre à la multitude dans le Sacrifice de la Croix.
J'aurais donc tendance à penser comme le Pape -et il me semble que le miracle est bien plus grand encore !- qu'il n'y a pas eu multiplication des pains, mais que quelques pains seulement, rendus inépuisables dans le nombre de leurs fractions …
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Il est vrai que de Pain descendu du Ciel il n'y en a qu'Un et que c'est ce seul Pain, le Seigneur, qui s'offre à la multitude dans le Sacrifice de la Croix.
J'aurais donc tendance à penser comme le Pape -et il me semble que le miracle est bien plus grand encore !- qu'il n'y a pas eu multiplication des pains, mais que quelques pains seulement, rendus inépuisables dans le nombre de leurs fractions, ont suffi à nourrir toute cette foule.

L'évangéliste saint Jean, vraisemblable témoin de la scène, écrit bien "morceaux" ("klasma" = "fragment, pièce brisée, restant").
Sylvanus
@Spina Christi 2 Je partage complètement votre analyse, qui plus est très bien exprimée. Pour une fois (cela me fait très plaisir), nous sommes d'accord. Saint Luc parle aussi de "klasmatwn" (littéralement "de morceaux"), dans son Évangile. Bien à vous. Sylvanus
Claudius Cartapus
@Sylvanus Les gens ont sûrement tous mangé à la même heure. Sous-entendu que le même pain et le même poisson devait être dans bien des assiettes en même temps. Malgré un petit stock au départ, c'est la distribution au travers de la foule qui devait être inépuisable. C'est donc la conclusion du repas qui révèle le miracle. Il reste plus de miettes en volume que de pains au départ.
Sylvanus
Pour ceux qui veulent aller plus loin que les assertions de fr.news :
MESSE ET PROCESSION EUCHARISTIQUE
EN LA SOLENNITÉ DU SANG ET CORPS DU CHRIST

MESSE
HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS
Dimanche 23 juin 2019
La Parole de Dieu nous aide aujourd’hui à redécouvrir deux verbes simples, deux verbes essentiels pour la vie de chaque jour : dire et donner.
Dire. Melchisédech, dans la première Lecture, dit : « …Plus
Pour ceux qui veulent aller plus loin que les assertions de fr.news :
MESSE ET PROCESSION EUCHARISTIQUE
EN LA SOLENNITÉ DU SANG ET CORPS DU CHRIST

MESSE
HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS
Dimanche 23 juin 2019
La Parole de Dieu nous aide aujourd’hui à redécouvrir deux verbes simples, deux verbes essentiels pour la vie de chaque jour : dire et donner.
Dire. Melchisédech, dans la première Lecture, dit : « Béni soit Abram par le Dieu très-haut et béni soit le Dieu très-haut » (Gn 14, 19-20). Le dire de Melchisédech est de bénir. Il bénit Abraham, celui en qui seront bénies toutes les familles de la terre (cf. Gn12, 3 ; Ga 3, 8). Tout part de la bénédiction : les paroles de bien engendrent une histoire de bien. La même chose arrive dans l’évangile : avant de multiplier les pains, Jésus les bénit : « il prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux au ciel, il prononça la bénédiction sur eux, les rompit et les donna à ses disciples » (Lc 9, 16). La bénédiction fait des cinq pains la nourriture pour une multitude : il fait jaillir une cascade de bien.
Pourquoi bénir fait du bien ? Parce que c’est transformer la parole en don. Quand on bénit, on ne fait pas quelque chose pour soi, mais pour les autres. Bénir n’est pas dire de belles paroles, ce n’est pas utiliser des paroles de circonstance : non ; c’est dire du bien, dire avec amour. Melchisédech a fait ainsi, en disant spontanément du bien d’Abraham, sans que celui ait dit ou fait quelque chose pour lui. Ainsi a fait Jésus, en montrant la signification de la bénédiction avec la distribution gratuite des pains. Combien de fois nous aussi, nous avons été bénis, à l’église ou dans nos maisons, combien de fois nous avons reçu des paroles qui nous ont fait du bien, ou un signe de croix sur le front…Nous sommes devenus bénis le jour de notre Baptême, et à la fin de chaque Messe nous sommes bénis. L’Eucharistie est une école de bénédiction. Dieu dit du bien de nous, ses enfants aimés, et ainsi il nous encourage à aller de l’avant. Et nous bénissons Dieu dans nos assemblées (cf. Ps 68, 27), en retrouvant le goût de la louange qui libère et guérit le cœur. Nous venons à la Messe avec la certitude d’être bénis par le Seigneur et nous sortons pour bénir à notre tour, pour être des canaux de bien dans le monde.
Pour nous aussi : il est important que, nous les Pasteurs, nous nous souvenions de bénir le peuple de Dieu. Chers prêtres, n’ayez pas peur de bénir, bénir le peuple de Dieu ; chers prêtres, allez de l’avant avec la bénédiction : le Seigneur désire dire du bien de son peuple, il est heureux de faire sentir son amour pour nous. Et seulement en tant que bénis nous pouvons bénir les autres avec la même onction d’amour. C’est triste en revanche de voir avec quelle facilité aujourd’hui on fait le contraire : on maudit, on méprise, on insulte. Pris par trop de frénésie, on ne se contient pas et on déverse sa colère sur tout et sur tous. Souvent malheureusement, celui qui crie le plus et plus fort, celui qui est le plus en colère semble avoir raison et créer un consensus. Ne nous laissons pas contaminer par l’arrogance, ne nous laissons pas envahir par l’amertume, nous qui mangeons le Pain qui porte en soi toute douceur. Le peuple de Dieu aime la louange, il ne vit pas de plaintes ; il est fait pour les bénédictions, non pour les lamentations. Devant l’Eucharistie, Jésus qui s’est fait Pain, ce Pain humble qui contient le tout de l’Église, apprenons à bénir ce que nous avons, à louer Dieu, à bénir et à ne pas maudire notre passé, à offrir de bonnes paroles aux autres.
Le second verbe est donner. Au “dire” fait suite le “donner”, comme Abraham qui, béni par Melchisédech, « lui donna le dixième de tout » (Gn 14, 20). Comme pour Jésus qui, après avoir récité la bénédiction, donnait le pain pour qu’il fût distribué, en dévoilant ainsi la signification la plus belle : le pain n’est pas seulement un produit de consommation, c’est un moyen de partage. En fait, de manière surprenante, dans le récit de la multiplication des pains, on ne parle jamais de multiplier. Au contraire, les verbes utilisés sont : “rompre, donner, distribuer” (cf. Lc 9, 16). En somme, on ne souligne pas la multiplication, mais le partage. C’est important : Jésus ne fait pas de magie, il ne transforme pas les cinq pains en cinq mille pour dire après : “Maintenant distribuez-les”. Non. Jésus prie, bénit ces cinq pains et commence à les rompre, en se confiant au Père. Et ces cinq pains ne finissent plus. Ce n’est pas de la magie, c’est la confiance en Dieu et en sa providence.
Dans le monde, on cherche toujours à augmenter les gains, à gonfler les factures… Oui, mais à quelle fin ? C’est le donner ou l’avoir ? Le partager ou l’accumuler ? L’“économie” de l’Évangile multiplie en partageant, nourrit en distribuant, ne satisfait pas la voracité de quelques-uns, mais donne la vie au monde (cf. Jn 6, 33). Ce n’est pas avoir, mais donner le verbe de Jésus.
Elle est péremptoire la demande qu’il fait à ses disciples : « Donnez-leur vous-mêmes à manger » (Lc 9, 13). Essayons d’imaginer les raisonnements qu’ont dû faire les disciples : “Nous n’avons pas de pain pour nous et nous devons penser aux autres ? Pourquoi devons-nous leur donner à manger, s’ils sont venus écouter notre Maître ? S’ils n’ont pas porté à manger, qu’ils rentrent chez eux, c’est leur problème, ou bien qu’ils nous donnent de l’argent et nous achèterons”. Ce ne sont pas des raisonnements faux, mais ce ne sont pas ceux de Jésus, qui ne veut rien entendre : donnez-leur vous-mêmes à manger. Ce que nous avons porte du fruit si nous le donnons – voilà ce que veut nous dire Jésus – ; et peu importe que cela soit peu ou beaucoup. Le Seigneur fait de grandes choses avec notre petitesse, comme avec les cinq pains. Il n’accomplit pas de prodiges par des actions spectaculaires, il n’a pas de baguette magique, mais il agit avec des choses humbles. Dieu est une toute-puissance humble, faite seulement d’amour. Et l’amour fait de grandes choses avec des petites choses. L’Eucharistie nous l’enseigne : là, il y a Dieu contenu dans un morceau de pain. Simple, essentiel, Pain rompu et partagé, l’Eucharistie que nous recevons nous transmet le mode de pensée de Dieu. Et elle nous amène à nous donner nous-mêmes aux autres. C’est l’antidote contre le “ça me plaît, mais ça ne me regarde pas”, contre le “je n’ai pas de temps, je ne peux pas, ce n’est pas mon affaire”. Contre le fait de fermer les yeux.
Dans notre ville affamée d’amour et d’attention, qui souffre de dégradation et d’abandon, face à de nombreuses personnes âgées seules, à des familles en difficulté, à des jeunes qui ont du mal à gagner leur vie et à alimenter leurs rêves, le Seigneur te dit : “ Donne-leur toi-même à manger”. Et tu peux répondre : “J’ai peu de choses, je ne suis pas capable pour ce genre de chose”. Ce n’est pas vrai, ton peu de choses est beaucoup aux yeux de Jésus, si tu ne le gardes pas pour toi, si tu le mets en jeu. Toi aussi, mets-toi en jeu. Et tu n’es pas seul : tu as l’Eucharistie, le Pain du chemin, le Pain de Jésus. Même ce soir nous serons nourris par son Corps donné. Si nous l’accueillons avec le cœur, ce Pain libèrera en nous la force de l’amour : nous nous sentirons bénis et aimés, et nous voudrons bénir et aimer, en commençant par ici, par notre ville, par les rues que ce soir nous emprunterons. Le Seigneur vient dans nos rues pour dire-du bien, dire du bien de nous et pour donner du courage, nous donner du courage. Il nous demande d’être bénédiction et don.
(Source)
Etienne bis
Ceux qui ont écouté ça ont beaucoup de mérite.
Et ceux qui ont compris le message me paraissent géniaux.
Thierry73
Le nombre de fake news sur le site fr.news est absolument édifiant !
Panetier
"Devant l’Eucharistie, Jésus qui s’est fait Pain, ce Pain humble qui contient le tout de l’Église..."
Ici François tente de banaliser et même d'inverser la vérité de Jésus qui se donne dans son corps et dans son sang sous les aspects du pain.
C'est le pain qui devient corps par la transnsubstanciation et non l'inverse comme le prêche ici l'homme en blanc.
Plus
"Devant l’Eucharistie, Jésus qui s’est fait Pain, ce Pain humble qui contient le tout de l’Église..."

Ici François tente de banaliser et même d'inverser la vérité de Jésus qui se donne dans son corps et dans son sang sous les aspects du pain.
C'est le pain qui devient corps par la transnsubstanciation et non l'inverse comme le prêche ici l'homme en blanc.
Sylvanus
@Panetier Je n'ai pas bien compris votre raisonnement. Vous dites : "ce l'est pain qui devient corps par sa transsubstantiation" et non l'inverse. C'est à dire que dans l'Eucharistie, Jésus ne se ferait pas pain pour la multitude, Lui le Pain de Vie ?
« En vérité, en vérité, je vous dis : Moïse ne vous a pas donné le pain qui vient du ciel, mais mon Père vous donne le véritable pain qui vient …Plus
@Panetier Je n'ai pas bien compris votre raisonnement. Vous dites : "ce l'est pain qui devient corps par sa transsubstantiation" et non l'inverse. C'est à dire que dans l'Eucharistie, Jésus ne se ferait pas pain pour la multitude, Lui le Pain de Vie ?
« En vérité, en vérité, je vous dis : Moïse ne vous a pas donné le pain qui vient du ciel, mais mon Père vous donne le véritable pain qui vient du ciel. Car le pain de Dieu est celui qui descend du ciel, et qui donne la vie au monde… Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ; et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. » (Jean 6:32-35).
Je ne vois pas de contradiction dans ces deux approches.
Bien à vous. Sylvanus
Panetier
Je dis que François avec son langage approximatif dénature la théologie sacramentelle.
Jésus ne se fait pas pain mais il prend du pain pour qu'il devienne son corps, vraie nourriture pour la vie éternelle.
François ne parle pas du Pain de Vie, ni du pain des anges, il prononce une vérité inversée.
C'est habile, pour certains cela semble anodin mais connaissant ses objectifs, cela ne l'est …Plus
Je dis que François avec son langage approximatif dénature la théologie sacramentelle.
Jésus ne se fait pas pain mais il prend du pain pour qu'il devienne son corps, vraie nourriture pour la vie éternelle.
François ne parle pas du Pain de Vie, ni du pain des anges, il prononce une vérité inversée.
C'est habile, pour certains cela semble anodin mais connaissant ses objectifs, cela ne l'est absolument pas.
Non seulement, c'est hérétique de dire cela mais c'est aussi protestant et donc oecuménique en cherchant ainsi à désacraliser la messe catholique en vue d'une assimilation ultérieure avec la cène protestante qui n'est que symbolique.
François ne montre jamais un amour pour l'Eucharistie, bien au contraire.

Cordialement cher frère,