Montfort AJPM
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Le réseau Bergoglio, petite société secrète

Article précédent : Mensonge d'Antéchrist : fait brut ! On attend des commentaires appropriés : ça manque !

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Germán Arana, le jésuite qui a mal conseillé François

Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso (18/06/2018)

La première tête à sauter, dans le travail de reconstruction de la hiérarchie catholique du Chili mise en œuvre par le Pape François, c’est comme prévu celle de Juan de la Cruz Barros Madrid, qui est démis de sa charge d’évêque d’Osorno.

Pourtant, dans cette opération et ses précédents, il y a quelque chose qui ne colle pas.

La photo ci-dessus est un indice. Elle a été prise dans la cathédrale d’Osorno le 21 mars 2015, le jour de la fracassante entrée de Mgr Barros dans son diocèse, alors qu’il faisait déjà l’objet de lourdes accusations d’indignité mais qu’il était vigoureusement défendu par le Pape. Et qui trouve-t-on à côté de lui, en vêtements liturgiques et avec l’acte de nomination en main, alors la contestation gronde autour d’eux ? Un jésuite non pas chilien mais espagnol, Germán Arana, ami et guide spirituel de Mgr Barros mais surtout confident parmi les plus intimes de Jorge Mario Bergoglio.

Quand, mi-mai dernier, François a convoqué à Rome tous les évêques chiliens pour trois jours de « discernement » sur les abus sexuels qui avaient été mis en lumière ces dernières années, même Mgr Barros est venu, mais en provenance de Madrid et accompagné du même jésuite, le P. Arana.

Ce dernier a eu un rôle décisif, trois ou quatre années auparavant, dans la nomination de Barros comme évêque d’Osorno, si l’on en croit ce qu’affirme le site officieux du Vatican « Il Sismografo » et son fondateur et directeur Luis Badilla, un vaticaniste chilien et ancien journaliste de Radio Vatican qui vit à Rome, après que les premières indiscrétions sur le rôle de ce jésuite aient fait leur apparition dans certains journaux chiliens et espagnols.

Jusqu’à il y a quelques mois, le rôle d’Arana était parfaitement inconnu non seulement du grand public mais aussi des spécialistes de l’information vaticane.
Même quand François, en avril dernier, a confessé avoir « commis de graves erreurs d’appréciation et de perception de la situation, en particulier par manque d’information véritables et équilibrées », personne n’a cité le nom d’Arana parmi ceux qui auraient induit le Pape en erreur.

Au contraire, on a toujours pointé du doigt les cardinaux Franscisco Javier Errázuriz Ossa et Ricardo Ezzati Andrello, le précédent et l’actuel archevêque de Santiago ainsi que le nonce apostolique au Chili, Ivo Scapolo comme étant ceux qui étaient coupables d’avoir incité François à promouvoir le P. Barros à la tête du diocèse d’Osorno et d’avoir défendu son innocence.

Si l’on retourne cependant à l’hiver entre 2014 et 2015, au moment où cette nomination a été faite, on retrouve une lettre du Pape François qui contredit cette reconstruction.

Cette lettre – publiée par Nicole Windfield d’Associated Press en janvier de cette année, à la veille du voyage de François au Chili, porte la date du 31 janvier 2015.
A cette date, la nomination du P. Barros comme évêque dOsorno était déjà officielle et avait été rendue publique par le Saint-Siège le 10 janvier précédent. Mais le Conseil permanent de la Conférence épiscopale du Chili avait écrit au Pape en lui demandant de la révoquer « in extremis ». Et c’est à ce conseil permanent que François avait répondu par cette lettre dont nous connaissons à présent le contenu et dans laquelle il rejette leur requête.

Dans cette lettre, le Pape François mentionne que fin 2014, le Nonce lui-même s’était mis au travail pour inciter le P. Barros à renoncer à sa nomination et à plutôt prendre « un congé sabbatique », faisant la même demande à deux autres évêques chiliens impliqués dans la même affaire.

Et le P. Barros – c’est le Pape qui nous l’apprend – avait effectivement rédigé une lettre de renonciation que François n’avait pas acceptée, au motif – explique-t-il – d’une coquille présente dans cette même lettre de renonciation, dans laquelle le P. Barros citait le nom des deux autres évêques qui lui avaient été mentionnés par le Nonce, des noms qui étaient censés rester secrets.

À part que la justification donnée par François de sa propre décision soit tirée par les cheveux, il ressort de façon flagrante de la lettre du Pape que ni le Nonce ni le Conseil permanent de la hiérarchie chilienne – c’est-à-dire les plus hauts représentants à commencer par l’archevêque de Santiago – n’étaient favorables à la promotion du P. Barros comme évêque d’Osorno. Au contraire, l’un et l’autre s’étaient démenés pour s’y opposer, aussi bien avant qu’après sa publication officielle, de toute évidence parce qu’ils estimaient que les accusations portées contre lui étaient dignes de foi.

Mais il y a autre chose, dans cette lettre de François du 31 janvier 2015.
Le Pape mentionne que ces derniers jours, le P. Barros accomplissait « le mois d’exercices spirituels en Espagne ». Nous savons aujourd’hui où et avec qui il était : à Madrid et sous la direction du jésuite Arana, ancien professeur à l’Université pontificale grégorienne de Rome et depuis 2011 recteur du séminaire espagnol de Comillas où il jouit – souligne « Il Sismografo » – de la réputation d’être un « formidable formateur de prêtres et un très bon guide d’exercices spirituels ».

Et ce n’est pas tout. Au cours des derniers mois de 2014 – dans l’intervalle entre sa charge précédente d’ordinaire militaire du Chili et celle d’évêque d’Osorno – le P. Barros avait effectué plusieurs séjours à Madrid, toujours auprès du P. Arana. Et ce serait précisément ce dernier qui aurait convaincu le Pape Bergoglio du bien-fondé de sa nomination. Luis Badilla, dans « Il Sismografo », n’hésite pas à voir une référence aux « conseils » prodigués par Arana dans ces mots prononcés par François durant le vol du retour du Chili, le 21 janvier 2018, pour défendre envers et contre tout l’innocence de Barros, avant d’être forcé de faire marche arrière quelques semaines plus tard devant des preuves écrasantes :

« A présent, le cas de l’évêque Barros. C’est un cas que j’ai fait étudier, j’ai fait faire des enquêtes, j’ai fait beaucoup travaillé, et véritablement, il n’y a pas d’éléments à charge et il semble qu’on ne va pas en trouver ».

Il n’est donc pas surprenant que le P. Arana ait choisi de marcher à côté de Barros pour faire son entrée dans le diocèse d’Osorno ni qu’il lui soit resté proche les années suivantes, jusqu’à sa venue à Rome il y a un mois et à son éviction inévitable.

Une inconnue demeure. Quel sort François réservera-t-il à ce conseiller jésuite négligent ? Le maintiendra-t-il dans le cercle de ses confidents les plus intimes et les plus écoutés ? Ce n’est pas le premier incident qui lui arrive, à cause de l’un d’eux, sans qu’il s’en défasse. Le cas de Viganò fait réfléchir. Et ce cercle d’hommes de confiance constitue un sérieux point faible du pontificat de François.

D’autant qu’il y a une complication supplémentaire. Dans les dix pages que le Pape François a remises aux évêques chiliens le mois dernier comme guide pour le « discernement », il pointait du doigt ces évêques et supérieurs religieux qui confiaient « à des prêtres suspectés d’homosexualité active » les séminaires et noviciats ainsi que le recrutement des candidats. Il a également adressé un reproche similaire quelques jours plus tard – à huis clos – aux évêques italiens rassemblés à Rome en assemblée plénière. « Nous sommes remplis d’homosexuels », s’est-il plaint. Mais alors, pourquoi François ne « discerne-t-il » pas également dans le cercle des ecclésiastiques qui lui sont le plus proche ?
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En marge de cette histoire, il faut souligner que parmi les nombreux cas d’abus sexuels perpétrés par des membres du clergés chilien qui ont été révélés ces dernières années, il y a un qui n’a reçu que peu d’écho en-dehors du Chili mais qui n’en est pas moins grave. Et il implique également la Compagnie de Jésus.
C’est Edward Pentin qui en donne l’information détaillée dans le National Catholic Register :
> The Ignored Chilean Abuse Case. At a Jesuit High School

L’épicentre de cette autre affaire se situe au Colegio San Ignacio di Santiago del Cile, dirigé par des jésuites de tendance résolument progressiste, à l’opposés de la paroisse voisine de El Bosque, longtemps dirigée par ce Fernando Karadima qui est aujourd’hui le symbole des horreurs, après sa condamnation en 2011 par la Congrégation pour la doctrine de la foi mais qui pendant des décennies a été l’éducateur et le guide très écouté, en bien comme en mal, d’une foule de jeunes et de prêtres, dont certains, comme Barros, sont ensuite devenus évêques.
Le coupable dans cette dernière affaire est le jésuite Jaime Guzmán Astaburuaga, qui a perpétré ses méfaits dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, en abusant sexuellement de nombreux jeunes entre 12 et 17 ans. La province chilienne de la Compagnie de Jésus a eu connaissance de ces abus en 2010. Et elle l’a condamné en 2012.

Mais ce n’est qu’en janvier de cette année que le provincial des jésuites chiliens Cristián del Campo a rendu la condamnation du P. Guzmán publique. Ce qui n’a pas manqué de susciter la réaction de soixante élèves du Colegio qui, dans une lettre ouverte, ont qualifié d’« injustifiables » ces cinq années de silence sur la condamnation, ce qui a eu pour effet d’accroître les souffrances des victimes et d’entraver le travail nécessaire de réparation et de prévention.

Source : www.diakonos.be/…/german-arana-le…

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Germán Arana, deuxième épisode. C’est lui qui choisit les futurs nonces

Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso (22/06/2018)

L’article précédent sur le jésuite Germán Arana et ses conseils mal avisés à François ont fait beaucoup de bruit. Notamment parce que peu étaient au courant des liens étroits d’amitié et de confiance qui l’unissaient depuis longtemps au Pape.

Ce qui confirme ce lien, c’est notamment le rôle crucial que le P. Arana joue dans une organisation vaticane particulièrement chère à François ; l’Académie pontificale ecclésiastique, le cénacle de formation des futurs nonces apostoliques, les ambassadeurs du Pape auprès des États.

Ils sont une douzaine de jeunes prêtres provenant du monde entier à être admis chaque année à cette école de diplomatie d’élite. Et ils sont triés sur le volet.
Or, il se fait que le P. Arana fait partie du comité restreint qui approuve ou qui refuse l’admission de chaque candidat.

Rien de tout cela n’apparaît pourtant dans le volumineux Annuaire pontifical imprimé chaque année par la Secrétairerie d’État qui contient l’organigramme très détaillé de la Curie vaticane et de l’Église catholique mondiale toute entière. La dernière édition vient de sortir et ne cite, en ce qui concerne l’Académie pontificale ecclésiastique, que le cardinal « protecteur », c’est-à-dire Pietro Parolin en sa qualité de Secrétaire d’État et son président, l’archevêque et nonce apostolique Giampiero Gloder. Mais la commission dont le P. Arana fait partie existe, et le P. Gloder en fait naturellement partie, tout comme l’assesseur pour les affaires générales de la Secrétairerie d’État, Mgr Paolo Borgia.

Curieusement, l’annuaire pontifical passe également sous silence la nouvelle troisième section de la Secrétairerie d’État dont dépend désormais l’Académie pontificale ecclésiastique. Elle a été créée en novembre dernier et l’Annuaire se borne à mentionner son nom : « Troisième section – Personnel diplomatique accrédité du Saint-Siège », sans aucune autre spécification. On peut tout au plus y lire – mais à une autre page – qu’elle est présidée par l’archevêque et nonce apostolique Jan Romeo Pawlowski, avec le titre de « délégué pour les représentations pontificales ».

Ce qui n’enlève rien au fait que la création de cette troisième section obéit à une volonté spécifique du Pape François, celle de s’appuyer, pour gouverner la Curie romaine et l’Église universelle, sur la corporation des diplomates qui avait été temporairement écartée pendant le pontificat de Benoît XVI, à l’époque où le Secrétaire d’État était le non-diplomate – et médiocre – cardinal Tarcisio Bertone. Cette corporation occupe en revanche aujourd’hui plus que jamais le devant de la scène, même dans des rôles étrangers à ses compétences, comme dans le cas des cardinaux Lorenzo Baldisseri et Beniamino Stella, promus par le pape actuel respectivement aux fonctions de Secrétaire général du synode des évêques et de Préfet de la congrégation pour le clergé.

Jorge Mario Bergoglio les connaît et les apprécie tous les deux depuis l’époque où ils étaient tous deux nonces en Amérique latine. À la Curie, c’est Surtout le cardinal Stella que François écoute aujourd’hui le plus. De nombreuses nominations importantes au Vatican, par exemple celles de l’actuel secrétaire, Giacomo Morandi, et sous-secrétaire, Matteo Visioli, de la Congrégation pour la doctrine de la foi, sont le fruit des indications qu’il a données au Pape.

Le cardinal Stella a été nonce à Cuba en 1992 et, à partir de 1999, en Colombie. En 2007, il a participé à la conférence des évêques latino-américains d’Aparecida, dans laquelle Bergoglio a joué un rôle important. En octobre de la même année, il retournait à Rome pour prendre la tête de l’Académie pontificale ecclésiastique, avant d’être créé cardinal et nommé préfet de la Congrégation pour le clergé à la place du ratzingerien Mauro Piacenza qui a remercié du jour au lendemain par ce même Bergoglio entretemps devenu Pape.

Et qui le cardinal Stella a-t-il eu comme secrétaire personnel pendant toutes ces années ? Un diplomate espagnol qui s’appelle Fernando Chica Arellano, qui dirige depuis 2007 la section espagnole de la Secrétairerie d’état et qui, depuis l’année suivante, est également « assistant » du cardinal Stella à l’Académie pontificale ecclésiastique, une fonction qui n’existait pas et qui a été créée sur mesure pour lui dans le but d’accompagner de plus près les futurs diplomates pendant leurs années de formation.

Depuis 2015, Mgr Chica Arellano est observateur permanent auprès de la FAO, l’organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture, dont le siège se trouve à Rome. Mais son lien avec le cardinal Stella est toujours aussi étroit. Tout comme le lien d’amitié qui l’unit depuis longtemps à son compatriote jésuite Arana.
C’est là que se trouve la genèse de la présence du P. Arana à l’Académie pontificale ecclésiastique, dans le rapport confidentiel qui le lie à Mgr Chica Arellano et au cardinal Stella, en plus du lien qui le relie directement au Pape Bergoglio.

Ce dernier, au cours d’une visite à l’Académie pontificale ecclésiastique qui s’est déroulée Piazza della Minerva, à deux pas du Panthéon, le 3 mai dernier, en discutant avec des dirigeants et des élèves et en restant notamment à dîner, n’a pas manqué d’insister sur la formation spirituelle, et pas seulement diplomatique, des futurs nonces.

Une formation spirituelle dont le jésuite Arana est responsable, vu sa réputation de directeur de conscience et de grand prédicateur d’exercices ignaciens, une réputation aujourd’hui entachée par la débandade chilienne qui l’a éclaboussé avec celui qui avait cru en lui jusqu’au bout, le Pape.

Source : www.diakonos.be/…/german-arana-de…

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Album ACTU


>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez
Ludovic Denim
@AJPM On a compris votre commentaire sur le mariage. Ca fait au moins la 20ème fois, tout le monde a dû le lire au moins 5 fois. Ce n'est pas parce que dans votre famille comme vous nous l'avez raconté, vous avez ce problème entre une ou plusieurs chapelles tradis et une ou plusieurs chappelles conciliaires que toutes sont ainsi.
Vous n'êtes pas Dieu, vous ne sondez pas les reins et les coeurs. …Plus
@AJPM On a compris votre commentaire sur le mariage. Ca fait au moins la 20ème fois, tout le monde a dû le lire au moins 5 fois. Ce n'est pas parce que dans votre famille comme vous nous l'avez raconté, vous avez ce problème entre une ou plusieurs chapelles tradis et une ou plusieurs chappelles conciliaires que toutes sont ainsi.

Vous n'êtes pas Dieu, vous ne sondez pas les reins et les coeurs. Arrêtez de nier la promesse du Christ et de vous damner.
Ludovic Denim
" il pointait du doigt ces évêques et supérieurs religieux qui confiaient « à des prêtres suspectés d’homosexualité active » les séminaires et noviciats ainsi que le recrutement des candidats. Il a également adressé un reproche similaire quelques jours plus tard – à huis clos – aux évêques italiens rassemblés à Rome en assemblée plénière. « Nous sommes remplis d’homosexuels », s’est-il …Plus
" il pointait du doigt ces évêques et supérieurs religieux qui confiaient « à des prêtres suspectés d’homosexualité active » les séminaires et noviciats ainsi que le recrutement des candidats. Il a également adressé un reproche similaire quelques jours plus tard – à huis clos – aux évêques italiens rassemblés à Rome en assemblée plénière. « Nous sommes remplis d’homosexuels », s’est-il plaint. Mais alors, pourquoi François ne « discerne-t-il » pas également dans le cercle des ecclésiastiques qui lui sont le plus proche ?"

Et pourquoi aussi François nomme le Jésuite James Martin lui aussi : cruxnow.com/…/pope-taps-james…
Ne nous laissez pas sucomber
@GChevalier ,j'ais un petit livre (Dieu appelle)et je l'ouvre tout les matin ,bien souvent il me dit (Vous ne me trouverez pas chez les théologiens ,ne chercher pas la ,Alors Mr @GChevalier garder vos diatribes pour vous merci.
AJPM
- Si on se mariait chez les tradis ?
- Nous ne serions point mariés !
- Si on se confesse chez les tradis ?
- Nous ne serons pas confessés !
- Si on se mariait chez les conciliaires ?
- Ne nous serions pas mariés !
- Si on se confesse chez les conciliaires ?
- Nous ne serons pas confessés !
Montfort.
- Mais leur juridiction, d'où vient-elle ?
- Oh ! ils la prennent où ils peuvent !
En voici une ou deux preuves !
Pour faire marcher leur manivelle,
Certains invoquent l'épikie
Et d'autres la suppléance,
Ou le peuple en ayant la puissance,
Le cas par cas, le qui pour qui !
Symphytum
@GChevalier Que veux-tu on a pas tous fait 10 d’etudes sur le droit canon et la théologie, sa peut donner certaines divergences. Si c’était les chefs qui n’etaient pas d’accord entre eux, peut-être bien que ça serais pas crédible, mais ce n’est pas le cas. En attendant c’est toi qui dit des absurdités qui sont à la limite (ou pas) de l’hérésie, plus de pape plus de juridiction non mais tu …Plus
@GChevalier Que veux-tu on a pas tous fait 10 d’etudes sur le droit canon et la théologie, sa peut donner certaines divergences. Si c’était les chefs qui n’etaient pas d’accord entre eux, peut-être bien que ça serais pas crédible, mais ce n’est pas le cas. En attendant c’est toi qui dit des absurdités qui sont à la limite (ou pas) de l’hérésie, plus de pape plus de juridiction non mais tu as vu ça où... et le droit divin alors... sans blague quoi...
Puis si seulement tu étais compétent. Mais tu es à des années lumières de l’être ! Tu n’imagines même pas la grande connaissance nécessaire pour parler de ce genre de choses. Alors tu parles pour te tromper, et accessoirement pour tromper les autres ! J’espere bien que personne ne te prendras au sérieux si c’est pour se couper de la vie sacramentelle et pour se mettre en état de schisme avec le petit reste qui conserve la doctrine Catholique dans son intégralité (et preuves à l’appui).
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GChevalier
- Pourtant, ils se disent dans l’Église !
- Bien plus, ils se disent d’Église !
Mais remarque bien ce que je vais te dire,
Et surtout, essaie de ne pas rire !
En voici un qui croit et dit une chose
Et l'autre qui croit et dit autre chose,
Tout ça, pour asseoir leur juridiction,
Et pour ça, ils ont de l'imagination !
Montfort AJPM
Le châtiment est une œuvre qui est étrangère à Dieu ;
Pour moi, dit Antéchrist, c'est ma spécialité.