C'est Elle !
. Le père oblat chevauche, chapelet en main, à travers les hautes montagnes de Lesotho ( Afrique du Sud ) Il visite les chrétiens disséminés dans les villages ici et là. Soudain, un coup de tonnerre …Plus
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Le père oblat chevauche, chapelet en main, à travers les hautes montagnes de Lesotho ( Afrique du Sud )
Il visite les chrétiens disséminés dans les villages ici et là. Soudain, un coup de tonnerre le jette à terre. Il se relève péniblement aidé de son catéchiste qui le supplie de ne pas continuer sa route. " Si ! dit le père, le démon est fâché, parce qu'il y a une âme à sauver. " Et ils continuent la route en priant.
Après un bon moment de chevauchée dans la montagne, des cris d'appels partent d'un village voisin. Le père s'arrête : " On nous appelle, dit-il, allons-y - Non ! répond le catéchiste, c'est un village de sorcières, on nous tend un piège. - Il y a peut-être une âme à sauver, j'y vais. " Et le père se dirige vers le village, suivi de son assistant plus mort que vif.
Dès qu'ils arrivent, les femmes entourent le père et l'entraînent vers la hutte où se meurt une jeune fille de seize à dix-huit ans. " Elle te réclame, disent-elles, pour aller vers une belle dame ! "
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Le père oblat chevauche, chapelet en main, à travers les hautes montagnes de Lesotho ( Afrique du Sud )
Il visite les chrétiens disséminés dans les villages ici et là. Soudain, un coup de tonnerre le jette à terre. Il se relève péniblement aidé de son catéchiste qui le supplie de ne pas continuer sa route. " Si ! dit le père, le démon est fâché, parce qu'il y a une âme à sauver. " Et ils continuent la route en priant.
Après un bon moment de chevauchée dans la montagne, des cris d'appels partent d'un village voisin. Le père s'arrête : " On nous appelle, dit-il, allons-y - Non ! répond le catéchiste, c'est un village de sorcières, on nous tend un piège. - Il y a peut-être une âme à sauver, j'y vais. " Et le père se dirige vers le village, suivi de son assistant plus mort que vif.
Dès qu'ils arrivent, les femmes entourent le père et l'entraînent vers la hutte où se meurt une jeune fille de seize à dix-huit ans. " Elle te réclame, disent-elles, pour aller vers une belle dame ! "
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En achetant ma voiture, quelqu’un m’a offert deux médailles miraculeuses, que je déposai, sans y accorder grande importance, dans la boîte à gants.
Deux ans plus tard, voulant faire un dépassement sur l’autoroute et sur un pont très élevé, je suis entré en collision et j’ai été jeté par-dessus le pont. Ma voiture a fait sept fois des tonneaux sur une hauteur de 32 mètres. Les témoins étaient …Plus
En achetant ma voiture, quelqu’un m’a offert deux médailles miraculeuses, que je déposai, sans y accorder grande importance, dans la boîte à gants.
Deux ans plus tard, voulant faire un dépassement sur l’autoroute et sur un pont très élevé, je suis entré en collision et j’ai été jeté par-dessus le pont. Ma voiture a fait sept fois des tonneaux sur une hauteur de 32 mètres. Les témoins étaient persuadés de la mort des deux occupants.
Arrivé en bas, je dis à mon compagnon : as-tu quelque chose ? – Non, je n’ai rien. Quelle ne fut pas notre émotion et notre stupéfaction en voyant que chacun de nous avait sur ses genoux une des deux médailles miraculeuses ! La Vierge venait de nous sauver d’un danger de mort…
Un père Jésuite missionnaire
Deux ans plus tard, voulant faire un dépassement sur l’autoroute et sur un pont très élevé, je suis entré en collision et j’ai été jeté par-dessus le pont. Ma voiture a fait sept fois des tonneaux sur une hauteur de 32 mètres. Les témoins étaient persuadés de la mort des deux occupants.
Arrivé en bas, je dis à mon compagnon : as-tu quelque chose ? – Non, je n’ai rien. Quelle ne fut pas notre émotion et notre stupéfaction en voyant que chacun de nous avait sur ses genoux une des deux médailles miraculeuses ! La Vierge venait de nous sauver d’un danger de mort…
Un père Jésuite missionnaire
Dès le début de la mobilisation, un jeune lazariste, tout juste ordonné prêtre, quitte Rome où il terminait ses études pour rejoindre la France. Le 20 août 1914, il reçoit son paquetage et gagne son unité. Au cours des affrontements de la journée du 5 septembre, il se trouve dans un petit bois près de Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Tandis que les combats font rage autour de lui, une balle …Plus
Dès le début de la mobilisation, un jeune lazariste, tout juste ordonné prêtre, quitte Rome où il terminait ses études pour rejoindre la France. Le 20 août 1914, il reçoit son paquetage et gagne son unité. Au cours des affrontements de la journée du 5 septembre, il se trouve dans un petit bois près de Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Tandis que les combats font rage autour de lui, une balle ennemie le touche. Il sent qu’elle l’atteint au cou, autour duquel il porte une médaille de la Vierge Marie. La balle sectionne la chaîne, fait tomber la médaille et pénètre dans son corps selon une trajectoire inexpliquée : elle entre à la base du cou pour ressortir au-dessous de l’épaule sans perforer ni le poumon, ni les veines, ni aucun organe vital. Le soldat, qui perd beaucoup de sang, est recueilli par les brancardiers et conduit dans le train qui descend les blessés vers un hôpital de Perpignan. C’est là qu’il est soigné. Sa blessure suscite l’étonnement des médecins et de tous les soignants. On vient voir celui qui est surnommé par tous « le miraculé ». Quant au soldat, il rend grâce à la Vierge Marie pour cette protection extraordinaire due au port de la Médaille miraculeuse que Lazaristes et Filles de la Charité ont largement diffusée depuis 1832.
Vite, vite, on est pressés !!! le chef il est assis là, il a dit, si tu vas pas chercher la bouffe, on va tirer du canon, tans ta poutique !!!
Ne nous laissez pas sucomber
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@apvs Merci touts ce qui vient de vous ,n'est que bénédiction amour et Sainteté ,nos Âmes vous disent MERCI .
En 1830, lors d’apparitions rue du Bac à Paris, la Sainte Vierge donne la médaille à Ste Catherine Labouré et fait cette promesse :
– « Toutes les personnes qui la porteront recevront de grandes grâces en la portant au cou. Les grâces seront abondantes pour les personnes qui la porteront avec confiance».
– « Toutes les personnes qui la porteront recevront de grandes grâces en la portant au cou. Les grâces seront abondantes pour les personnes qui la porteront avec confiance».