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Marie-Antoinette et le complot maçonnique – la Synagogue vs l’Église Catholique

Marie-Antoinette et le complot maçonnique – la Synagogue vs l’Église Catholique
A la mémoire de S. S. Clément XII, le premier des sept Papes qui ont
dénoncé la Maçonnerie comme l’arme principale des ennemis de l’Eglise
et de la société chrétienne, sans réussir, hélas ! à entraîner les Catholiques
dans une Croisade nouvelle, – Croisade nécessaire pourtant, si les Nations
chrétiennes veulent ne pas mourir ;
A la mémoire des pères de l’Antimaçonnisme
Les PP. Jésuites Barruel et Deschamps ;
Les grands journalistes chrétiens Crétineau-Joly et Claudio Jannet.


Nos rois avaient fait de la France la première puissance occidentale avant le coup d’état maçonnique de 1789 ; Camille Desmoulins n’écrivait-il pas dans son Histoire des Brissotins : « Nous n’étions peut-être pas à Paris dix républicains le 12 juillet 1789 » ? La République est une idéologie maçonnique. La Révolution dite Française a pour but l’éradication totale et définitive du Catholicisme et de la Monarchie par la Synagogue via les loges maçonniques (et ses « Arrières-Loges ») qui étaient plus de 700 dans tout le royaume. Qu’est devenu notre pays, la France, après plus de deux siècles d’administration judéo-maçonnique ?

Le rabbin Isaac Wise déclarait, dans The Israelite of America du 3 août 1866 : « La Franc-Maçonnerie est une institution juive dont l’histoire, les degrés, les charges, les mots d’ordre et les explications sont juifs du commencement à la fin. »

On lit en 1861 dans le journal israélite La Vérité sur la Franc-Maçonnerie : « L’esprit de la Franc-Maçonnerie, c’est l’esprit du Judaïsme dans ses croyances les plus fondamentales. Ce sont ses idées, c’est son langage, c’est presque son organisation. L’espérance qui éclaire et fortifie la Franc-Maçonnerie est celle qui éclaire et fortifie Israël. Son couronnement sera cette merveilleuse maison de prière de tous les peuples, dont Jérusalem sera le centre et le symbole triomphant. »

Dans Encyclopedia of Freemasonry en 1908, on découvre que : « Chaque loge est, et doit être un symbole du temple juif ; chaque maître dans son fauteuil, un représentant du roi juif ; chaque Franc-Maçon, un représentant du travailleur juif. »
QUI A CHANGÉ L’ÂME DES FRANÇAIS ?

Au XVIIIe siècle, la Foi catholique et la France furent ensemble comme incarnées dans un être représentatif au plus haut degré : fille des Césars catholiques d’Autriche et femme du Roi Très-Chrétien, Marie-Antoinette eut ce douloureux honneur. Elle l’a porté au comble par son martyre sur l’échafaud.
Et vingt ans auparavant, elle était l’idole de la France !
Qui avait changé l’âme des Français ? Qui avait transformé les Français catholiques en blasphémateurs et sacrilèges ? les Français amoureusement fidèles à leur dynastie séculaire en régicides ? L’agent de ces œuvres de mort fut la Franc-maçonnerie.

Lors de l’avènement de Louis XVI et de Marie-Antoinette, le peuple de France idolâtrait ses jeunes souverains. La Reine surtout avait touché son cœur.

Le 11 septembre 1774, Mercy-Argenteau, ambassadeur d’Autriche, écrivait à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette, une lettre où nous lisons :

Il n’y a pas eu, dans la conduite de la Reine, la moindre nuance qui n’ait porté l’empreinte de l’âme la plus vertueuse… Personne n’est plus convaincu de cette vérité que le Roi… Les grandes et vraiment rares qualités de la Reine ne sont pas moins connues du public ; elle en est adorée avec un enthousiasme qui ne s ‘est jamais démenti. (Lettre de Mercy-Argenteau à Marie-Thérèse, le 11 septembre 1774. – Correspondance secrète… publiée par A. d’Arneth et A. Geffroy, Paris, 1874, t. II, p. 232.)

Le 8 juin 1773 avait eu lieu l’entrée solennelle de Louis XVI, encore dauphin, dans la ville de Paris, avec la Dauphine. L’enthousiasme de la foule allait au délire. Les maisons étaient en fleurs, les chapeaux volaient dans les airs. Des acclamations ininterrompues : « Vive Monseigneur le Dauphin ! Vive Madame la Dauphine ! » se répétaient en mille échos. « Madame, disait le duc de Brissac, vous avez là deux cent mille amoureux ».

Vingt ans après, en 1793, ce n’est plus d’amour mais de haine que la France parait enivrée.

Avant d’être menée à l’échafaud dans la charrette, « cette bière des vivants », la Reine écrivit à Mme Elisabeth, sa belle-sœur, une lettre admirable. En voici le début :
Ce 16 octobre, à quatre heures et demie du matin,
C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois. Je viens d’être condamnée, non à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments.
Je suis calme, comme on l’est quand la conscience ne reproche rien. J’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants… Et vous, ma bonne et tendre sœur, vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse !
J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas ! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire ; elle ne recevrait pas ma lettre, je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra. Recevez pour eux deux, ici, ma bénédiction. (Lettre citée par Mme la comtesse d’Armaillé : Madame Elisabeth, Paris, 1886, pp. 443, 444.)
Qu’ils pensent, tous deux,
continuait la Reine, à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie. (Id., ibid., p. 444.)
Après la parole divine du Christ pardonnant à ses bourreaux du haut de la croix où ils viennent de le clouer, il est peu de paroles humaines qui, puissent venir en parallèle avec cette suprême adjuration de Marie-Antoinette :
Que mon fils n’oublie jamais les derniers mots de son père, que je lui répète expressément : qu’il ne cherche jamais à venger notre mort (Id., ibid. p. 445.)

La noble femme capable, au pied de l’échafaud, de pousser la générosité d’âme jusqu’à cet héroïsme qui l’élève au-dessus de l’humanité, c’est la même femme que l’exécrable Maçonnerie s’est efforcée de salir, jusqu’à ses derniers moments, par des pamphlets regorgeant de calomnies odieuses, afin de souiller avec elle la Monarchie française, tout en l’assassinant.

Après la Reine-Martyre, envisageons la France, la Nation-Martyre frappée, elle aussi, par la Maçonnerie.


Au commencement du XVIIIe siècle, la France était encore attachée avec ferveur à ses traditions religieuses et politiques. A la fin du même siècle, elle rompt – ou plutôt une influence cachée la fait rompre – avec toutes ses traditions à la fois. Quelle est cette influence ? Toujours celle de la Maçonnerie. Or, dès 1791, un admirable prêtre, l’abbé Le Franc, osa l’écrire. Un an plus tard, le 2 septembre 1792, à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, il paya de son sang le courage d’avoir dénoncé la Maçonnerie comme la mère de la Révolution, alors déjà toute souillée de crimes.

Les tueurs au service du Pouvoir Occulte n’eurent garde de laisser échapper aux massacres maçonniques de Septembre ce voyant, qui, arrachant leurs masques aux meneurs révolutionnaires, venait de mettre en lumière leurs faces de francs-maçons.

Écoutons donc avec respect les paroles de l’abbé Le Franc : c’est pour les avoir dites qu’il est mort.
L’Europe (écrivait-il en 1791) est étonnée du changement qui s’est opéré dans nos mœurs. Autrefois, on ne reprochait à un Français que sa gaieté, sa frivolité. Aujourd’hui qu’il est devenu sanguinaire, on l’a en horreur… Qui l’a rendu farouche, toujours prêt à attenter à la vie de ses semblables et à se repaître de l’image de la mort ? Le dirai-je et m’en croira-t-on ? C’est la Franc-maçonnerie !… C’est à l’ombre de l’inviolable secret qu’elle fait jurer à ses initiés, qu’elle a donné des leçons de meurtre, d’assassinat, d’incendie et de cruauté… (Le Voile levé… ou le Secret de la Révolution révélé à l’aide de la Franc-maçonnerie, pp. 67, 68.)

Longtemps la Maçonnerie a fait l’impossible pour effacer, sur le fumier sanglant de 89 et de 93, ses traces criminelles. Mais, aujourd’hui, mentir là-dessus serait peine perdue pour elle. La vérité se fait plus claire chaque jour et, par un enchaînement de textes écrasants, nous allons prouver à quel point l’abbé Le Franc avait dit vrai. Oui, en toute réalité, durant plus d’un demi-siècle, les Francs-maçons ont secrètement creusé la mine dont l’explosion a jeté bas l’ancienne France en 89.

Nous ne pouvons ici traiter en quelques mots l’immense question de l’origine de la Maçonnerie. Disons simplement que, quels que fussent ses créateurs, la Maçonnerie était dès le commencement l’ennemie mortelle de la Foi chrétienne, de l’ordre chrétien, de la civilisation chrétienne tout entière.

L’association « Démocratie Royale » vient de rééditer l’indispensable ouvrage de Louis Dasté « Marie Antoinette et le complot maçonnique », paru en 1910, afin de le mettre à la disposition du grand public, pour une meilleure compréhension des origines du mal qui ronge et dévaste notre France. L’ouvrage a été entièrement recomposé pour en faciliter la lecture.
Vous pouvez passer commande de l »ouvrage directement via la lien ci-dessous.
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