Macron entend interdire aux Français la messe jusqu’à « mi-juin » ! Les évêques se couchent, « François » s’en fiche

Deux militants politiques au service d’un même projet

Quel insupportable abus de pouvoir contre les droits des Chrétiens et les devoirs envers Dieu ! Du jamais vu en… 1500 ans !
Il n’y a même pas de discussion sur les solutions possibles pour que les cérémonies aient lieu de façon prudente !
Alors que les rassemblements jusqu’à 100 personnes sont autorisés…(1)

« Mardi, à sa demande, Emmanuel Macron s’est entretenu pendant trois quarts d’heure avec le pape François. Il était 16 heures. Le chef de l’Église catholique s’est exprimé en espagnol, le président en français.

Un peu plus tard, à 17 heures, toujours depuis l’Élysée, le chef de l’État – cette fois aux côtés du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner – a «réuni» par visioconférence les six responsables des religions en France ainsi que les responsables des grandes obédiences maçonniques, comme il l’avait fait, le 23 mars dernier. » (Le Figaro)

Macron donne une place beaucoup plus visible aux sectes maçonniques que ses prédécesseurs… Mais après tout, ce n’est pas plus mal…

Cependant, faut-il rappeler à la France ignorante d’aujourd’hui que le culte catholique n’a rien à voir avec les réunions de prières qui ont lieu dans les édifices protestants, juifs ou mahométans, ni avec les réunions bavardeuses ou les cérémonies grotesques et infernales qui se déroulent dans les temples maçonniques ?!
Les catholiques considèrent la sainte Messe comme ce qu’il y a de plus important, de plus précieux au monde : non pas une simple réunion d’hommes mais Jésus-Christ qui se rend présent et renouvelle son sacrifice. Leur participation à la messe est un devoir grave.

Évidemment, pour réagir vigoureusement, il ne faut pas compter sur les évêques français, acquis eux-mêmes au laïcisme et presque tous au mondialisme et couchés devant le régime. Ils ont même parfois devancé les mesures de ce dernier ces semaines-ci.

Il ne faut pas non plus compter sur Bergoglio :

« Quant à l’entretien avec le pape François, il n’a pas fait l’objet de communication, comme il est d’usage de la part du Saint-Siège. Mais selon des sources élyséennes, il a porté sur les questions internationales. On se félicite ainsi de «convergences» entre la diplomatie vaticane et française sur quatre sujets clés: la préservation de l’unité et de la solidarité européenne, le soutien du continent africain, sur le plan médical notamment, l’abolition de la dette des pays les plus pauvres, la demande d’un arrêt total des conflits guerriers en cours. » (Le Figaro)

C’est fabuleux, il tient un discours purement horizontal, le président laïc d’une association mondialiste ne s’exprimerait pas autrement, alors que l’Eglise, piétinée par les gouvernements, vit un évènement parmi les plus extraordinaires et dramatiques de son histoire.
Mais le pape a ses priorités, ses lubies, ses obsessions (euro-mondialisme, submersion et tonte des Européens…).

(1) Cf. l’art. 7 du décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 : https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041746694&categorieLien=id