Prenez en pitié toutes les âmes du Purgatoire,
Spécialement celles qui ont le plus besoin de la miséricorde du Seigneur.
Intercédez pour elles,
Faites abréger leur épreuve,
Hâtez leur délivrance.
Amen !
3- MOIS des ÂMES du PURGATOIRE 2/2 : Le MYSTÈRE du PURGATOIRE
4- LITANIES de NOTRE-DAME de MONTLIGEON
3 NOVEMBRE
3 NOVEMBRE
2- LITANIES chantées des AGONISANTS & de la BONNE MORT
3- CANTIQUE sur le DÉSIR du MARTYRE
Employez ce jour à honorer la Sainte Vierge comme étant la couronne du glorieux saint Joseph,
son époux, et appuyez votre pieuse pensée sur deux passages de
l’Écriture : le premier est de Salomon, qui dit que la femme diligente
est la couronne de son mari. Ah ! qui eut jamais une Épouse si diligente, si vaillante, si vigilante et si soigneuse
que saint Joseph, puisque le Père éternel l’a choisie entre toutes les
créatures pour confier son Fils unique à ses soins maternels ! – Le
second passage est du saint Évangile, qui assigne un rang à saint Joseph
plus proche de Jésus et de Marie que celui de tous les Patriarches et
de tous les Prophètes, disant : Jacob fut père de Joseph, époux de Marie, de laquelle est né Jésus.
Cette place d’honneur et de proximité lui ayant été donné en terre dans
l’Évangile par l’Esprit de Dieu, ne lui a pas été ôtée dans le ciel.
Ainsi, ô glorieux père saint Joseph ! nous devons aujourd’hui vous
révérer parmi cette troupe glorieuse, comme tenant votre partie dans la Trinité créée : Jésus et Marie, selon les saintes Lettres, sont votre couronne : l’un comme Fils obéissant et l’autre comme Épouse fidèle.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/vWUXZYUckmJC1HRZTqFBjdYn4 
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fidèle disciple et imitateur de Jésus-Christ, priez pour nous.
Employez ce jour à honorer la Sainte Vierge comme étant la couronne du glorieux saint Joseph,
son époux, et appuyez votre pieuse pensée sur deux passages de
l’Écriture : le premier est de Salomon, qui dit que la femme diligente
est la couronne de son mari. Ah ! qui eut jamais une Épouse si diligente, si vaillante, si vigilante et si soigneuse
que saint Joseph, puisque le Père éternel l’a choisie entre toutes les
créatures pour confier son Fils unique à ses soins maternels ! – Le
second passage est du saint Évangile, qui assigne un rang à saint Joseph
plus proche de Jésus et de Marie que celui de tous les Patriarches et
de tous les Prophètes, disant : Jacob fut père de Joseph, époux de Marie, de laquelle est né Jésus.
Cette place d’honneur et de proximité lui ayant été donné en terre dans
l’Évangile par l’Esprit de Dieu, ne lui a pas été ôtée dans le ciel.
Ainsi, ô glorieux père saint Joseph ! nous devons aujourd’hui vous
révérer parmi cette troupe glorieuse, comme tenant votre partie dans la Trinité créée : Jésus et Marie, selon les saintes Lettres, sont votre couronne : l’un comme Fils obéissant et l’autre comme Épouse fidèle.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/vWUXZYUckmJC1HRZTqFBjdYn4
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fidèle disciple et imitateur de Jésus-Christ, priez pour nous.
Employez ce jour à honorer la Sainte Vierge comme étant la couronne du glorieux saint Joseph, son époux, et appuyez votre pieuse pensée sur deux passages de l’Écriture : le premier est de Salomon, qui dit que la femme diligente est la couronne de son mari. Ah ! qui eut jamais une Épouse si diligente, si vaillante, si vigilante et si soigneuse que saint Joseph, puisque le Père éternel l’a choisie entre toutes les créatures pour confier son Fils unique à ses soins maternels ! – Le second passage est du saint Évangile, qui assigne un rang à saint Joseph plus proche de Jésus et de Marie que celui de tous les Patriarches et de tous les Prophètes, disant : Jacob fut père de Joseph, époux de Marie, de laquelle est né Jésus. Cette place d’honneur et de proximité lui ayant été donné en terre dans l’Évangile par l’Esprit de Dieu, ne lui a pas été ôtée dans le ciel. Ainsi, ô glorieux père saint Joseph ! nous devons aujourd’hui vous révérer parmi cette troupe glorieuse, comme tenant votre partie dans la Trinité créée : Jésus et Marie, selon les saintes Lettres, sont votre couronne : l’un comme Fils obéissant et l’autre comme Épouse fidèle.
(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/vWUXZYUckmJC1HRZTqFBjdYn4
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
fidèle disciple et imitateur de Jésus-Christ, priez pour nous.
Le troisième jour de novembre 1600, notre Père saint François de Sales eut une longue conférence avec Mgr Aldobrandini, cardinal et légat du Pape, qui travaillait à faire la paix entre le Roi très-chrétien Henri IV et Son Altesse Royale de Savoie Charles-Emmanuel, ainsi qu’elle fut heureusement conclue au commencement de l’année 1601, par l’échange de la Bresse contre le marquisat de Saluces. Le cardinal, qui avait vu et grandement estimé le bienheureux François de Sales à Rome, dit qu’il n’avait pas tant admiré sa profonde science, parce qu’il y a plusieurs savants, ni même les grandes conversions des âmes qu’il avait catéchisées, parce que ce sont des ouvrages de la grâce, que deux autres choses qui l’avaient fort touché : la première, qu’étant gentilhomme de la principale noblesse de Savoie, il ne lui eût jamais parlé des affaires de l’État ni des nouvelles du temps ; et la seconde, qu’étant nommé coadjuteur à future succession à l’évêché de Genève, il ne lui eût jamais demandé ni faveurs ni protection pour avoir ses bulles, ne lui en faisant non plus de semblant que si la chose ne l’eût point regardé ; et que toutes ses conférences avec lui n’avaient été que des affaires du royaume de Dieu, de l’Église et des âmes ; d’où il avait tiré cette infaillible conclusion que ce jeune ecclésiastique était véritablement mort au monde et à son propre intérêt, puisque rien ne vivait en lui que l’intérêt de la gloire de Dieu et du salut des âmes.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »