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(à télécharger ici : https://gloria.tv/text/o6LQcocMafPH1SxhUE2XCaiF7>>> IMAGES des 15 MYSTÈRES & VIDÉOS à télécharger
(à retrouver ICI dans la Playlist "Florilèges")
3- La SALUTAIRE DÉVOTION au Saint ROSAIRE
4- LA DÉLIVRANCE du POSSÉDÉ ALBIGEOIS par le SAINT ROSAIRE
5- ENCYCLIQUES de Léon XIII sur le ROSAIRE
6- PIE XII RÉCITE le CHAPELET en LATIN AVEC VOUS
9- PRIÈRE à MARIE, SECOURS des CHRÉTIENS
10- EXPLICATION du ROSAIRE en CANTIQUE (St Louis-Marie Grignion de Montfort)
15 OCTOBRE
15 OCTOBRE
Écoutez et honorez aujourd’hui la plainte et l’admonition maternelle de Marie à Jésus : Mon Fils, dit-elle, que nous avez-vous fait ? Joseph, votre père, et moi, vous cherchions avec anxiété et affliction ! Ô Sainte Vierge ! que je suis aise de vous entendre parler avec cette autorité maternelle à l’Homme-Dieu ! Ah ! que voilà une grande preuve de votre Virginale Maternité !
Saint Joseph, dans le respect et la retenue d’un beau-père, ne dit
mot ; mais vous, ô véritable Mère ! vous parlez avec une autorité
respectueuse et qui marque néanmoins un pouvoir absolu ! Vous n’avez
jamais exagéré ni usé d’hyperbole, donc cette expression de votre
douleur était un naïf et véritable sentiment de votre Cœur maternel.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
glorieux thaumaturge,priez pour nous.
Écoutez et honorez aujourd’hui la plainte et l’admonition maternelle de Marie à Jésus : Mon Fils, dit-elle, que nous avez-vous fait ? Joseph, votre père, et moi, vous cherchions avec anxiété et affliction ! Ô Sainte Vierge ! que je suis aise de vous entendre parler avec cette autorité maternelle à l’Homme-Dieu ! Ah ! que voilà une grande preuve de votre Virginale Maternité !
Saint Joseph, dans le respect et la retenue d’un beau-père, ne dit
mot ; mais vous, ô véritable Mère ! vous parlez avec une autorité
respectueuse et qui marque néanmoins un pouvoir absolu ! Vous n’avez
jamais exagéré ni usé d’hyperbole, donc cette expression de votre
douleur était un naïf et véritable sentiment de votre Cœur maternel.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
glorieux thaumaturge,priez pour nous.
Écoutez et honorez aujourd’hui la plainte et l’admonition maternelle de Marie à Jésus : Mon Fils, dit-elle, que nous avez-vous fait ? Joseph, votre père, et moi, vous cherchions avec anxiété et affliction ! Ô Sainte Vierge ! que je suis aise de vous entendre parler avec cette autorité maternelle à l’Homme-Dieu ! Ah ! que voilà une grande preuve de votre Virginale Maternité ! Saint Joseph, dans le respect et la retenue d’un beau-père, ne dit mot ; mais vous, ô véritable Mère ! vous parlez avec une autorité respectueuse et qui marque néanmoins un pouvoir absolu ! Vous n’avez jamais exagéré ni usé d’hyperbole, donc cette expression de votre douleur était un naïf et véritable sentiment de votre Cœur maternel.
TRAIT
de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
glorieux thaumaturge,priez pour nous.
TRAIT de la VIE de SAINT FRANÇOIS de SALES
dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)
Le 15 octobre 1607, notre Père saint François de Sales, faisant sa visite en la paroisse de Thônes, voulut loger à la cure, nonobstant l’instance que M. le marquis de Lullin lui fit du contraire, et il usa de cette pastorale opiniâtreté, parce qu’on lui assura qu’il y a avait là dedans un esprit follet qui faisait des bruits insupportables, et que souvent ce lutin avait fait mille insultes et même frappé grièvement ceux qui s’étaient hasardés à coucher dans cette maison : « C’est pour cela même, dit le Saint, qu’il nous y faut aller pour voir ou Jésus-Christ ou Bélial. »
Le soir, le Saint s’étant retiré après la prière, on entendit donner deux grands coups sur la table qui servait de prie-Dieu au saint homme, lequel, serrant le poing, donna trois coups sur la même table et dit : « C’est au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit que je te commande de sortir de cette demeure et de nous laisser le repos de la nuit, que Dieu, notre Créateur, nous a donné pour réparer nos forces et nous délasser des travaux du jour. » L’esprit ne fit plus de bruit, et, le matin, le Saint, assisté de ses prêtres, bénit le lieu, et jamais depuis cet esprit follet n’y fut aperçu.
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »