Le Dalaï Lama et le Bouddhisme tibétain : aux sources de l'occultisme !
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Message  Octo Jeu 12 Jan 2012 - 12:00

Le Dalaï Lama et le bouddhisme tibétain : aux sources de l'occultisme !

Le bouddhisme tibétain n’est ni philanthropique ni tolérant, et son plus haut représentant, le Dalai Lama, n’est pas un saint. Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Dalaï Lama prix Nobel de la Paix.

Selon Herbert et Mariana ROETTGEN (de Munich), experts en études culturelles, le Dalai Lama, au lieu d’être le véritable champion de la tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef d’un système religieux dont le but est de conquérir le monde.

Pendant les années 80, Herbert Roettgen faisait partie du groupe de soutien allemand au Dalai Lama. Il publiait ses écrits et organisait ses meetings. Mariana Roettgen était activement engagée dans la promotion du dialogue inter-religieux.

Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude critique sur l’arrière-plan occulte et politique du bouddhisme tibétain. Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de Victor et Victoria Trimondi sous le titre "L’ombre du Dalai Lama".

Le Dalai Lama a récemment visité Munich et a été reçu par le Ministre de l’Intérieur allemand, Otto Schily du Parti Social Démocrate (SPD). Mariana et Herbert Roettgen, interrogés par Idea, ont critiqué le SPD pour avoir courtisé le chef d’une religion sans prendre garde à son contenu inhumain.

Le Tantra Kalachakra préféré du Dalai Lama contient "une manipulation consciente des croyants, l’usage flagrant d’images d’ennemis et d’une éthique de guerriers agressifs." Le Tantra prône également un "scénario apocalyptique qui est censé arriver en 2327 lorsqu’une ‘bouddhocratie’ sera établie après la destruction des tenants d’autres confessions." Il a inspiré des groupes fascistes aussi bien que Shoka Ashara le fameux gourou de la secte japonaise Aum Shinrikyo responsable de l’empoisonnement de foules au gaz sarin (attentat terroriste dans le métro de Tokyo).


Le Dalaï Lama et le Bouddhisme tibétain : aux sources de l'occultisme ! Dalai-10
Le Dalaï Lama et
Shoka Ashara de la secte Aum

Le bouddhisme tibétain est centré sur la magie, la croyance aux esprits et les rituels de sacrifice dans lesquels l’invocation d’esprits impurs joue un rôle vital. En fait, la " déesse protectrice personnelle " du Dalai Lama est un démon (nommé Palden Lhamo) dont le rôle est de détruire " les ennemis de la vraie doctrine ".

On dit que ce démon a tué son propre fils parce qu’il refusait d’adhérer au bouddhisme. Des illustrations iconographiques dépeignent Palden Lhamo traversant un lac de sang. " Comment un homme saint comme le Dalai Lama peut parler de tolérance religieuse s’il possède une déesse protectrice comme celle-là ? " demande Mariana Roettgen.

Selon M. et Mme Roettgen, les discours œcuméniques du Dalai Lama sont une farce à moins que les pratiques secrètes du Tantra Kalachacra soit dévoilées également. Les théologiens en vue ne prennent pas assez au sérieux les propres affirmations du bouddhisme tibétain, plaident-ils.

Lors de réunions inter-religieuses, il est parfois affirmé que les bouddhistes sont des chrétiens en mieux. Pour des raisons politiques et religieuses évidentes, les représentants officiels du bouddhisme tibétain et leurs disciples occidentaux ne tolèrent aucune critique sur le Dalai Lama et sur l’exploitation des femmes en leur sein. Les contrevenants sont calomniés et reçoivent même des menaces de mort.

(...)

"Le bouddhisme tibétain est sans doute la philosophie la plus occulte du monde. Le grand public ignore la doctrine souterraine du bouddhisme tibétain. Il y a de nos jours plusieurs types de bouddhismes qui sont de modérés à dangereux."

"Cet article est vrai. On pourrait aussi mentionner la prostitution des enfants dans les temples du bouddhisme tibétain. Les pires ennemis du Dalai Lama sont d'ailleurs les tibétains eux-même, qui l'accusent de faire de la politique avec la religion, et de la religion avec la politique."

SOURCE : http://www.info-sectes.org/religion/dalailama.htm

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Message  Octo Dim 26 Fév 2012 - 0:30

LE VRAI VISAGE DU DALAÏ LAMA ET DU BOUDDHISME : L'OCCULTISME !

Le Dalaï Lama et le Bouddhisme tibétain : aux sources de l'occultisme ! Dalai-11

LETTRE D'INFORMATIONS ECONOMIQUES STRATEGIQUES INTERNATIONALES
=====================================================
Janvier - Février 2009 (extraits)

Bouddhisme et occultisme

À l’heure où les médias sont si ami à l’égard du catholicisme traditionnel, il peut paraître surprenant de voir, en contrepartie, l’importance donnée au Dalaï Lama.

En effet, depuis de nombreux mois, tous les politiciens font des courbettes devant ce personnage et cela n’est, bien évidemment, pas innocent !

Voici ce qu’écrit Info-sectes :

« Le bouddhisme tibétain n’est ni philanthropique ni tolérant, et son plus haut représentant, le Dalaï Lama, n’est pas un saint. Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Prix Nobel de la Paix. Selon Herbert et Mariana Roettgen (de Munich), experts en études culturelles, le Dalaï Lama, au lieu d’être le véritable champion de la tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef d’un système religieux dont le but est de conquérir le monde.

Pendant les années 80, Herbert Roettgen faisait partie du groupe de soutien allemand au Dalaï Lama . Il publiait ses écrits et organisait ses meetings. Mariana Roettgen était activement engagée dans la promotion du dialogue interreligieux.

Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude critique sur l’arrière-plan occulte et politique du bouddhisme tibétain. Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de Victor et Victoria Trimondi sous le titre “L’ombre du Dalaï Lama”.

Le Dalaï Lama a récemment visité Munich et a été reçu par le Ministre de l’intérieur allemand, Otto Schily du Parti Social Démocrate (SPD). Mariana et Herbert Roettgen, interrogés par Idea, ont critiqué le SPD pour avoir courtisé le chef d’une religion sans prendre garde à son contenu inhumain.

Le Tantra Kalachakra préféré du Dalaï Lama contient “une manipulation consciente des croyants, l’usage flagrant d’images d’ennemis et d’une éthique de guerriers
agressifs”. Le Tantra prône également un “scénario apocalyptique qui est censé arriver en 2327 lorsqu’une ‘bouddhocratie’ sera établie après la destruction des tenants d’autres confessions”. Il a inspiré des groupes fascistes aussi bien que le fameux gourou de la secte japonaise Shoka Ashara, responsable de l’empoisonnement de foules au gaz sarin.

Le bouddhisme tibétain est centré sur la magie, la croyance aux esprits et les rituels de sacrifice dans lesquels l’invocation d’esprits impurs joue un rôle
vital. En fait, la “déesse protectrice personnelle” du Dalaï Lama est un démon (nommé Palden Lhamo) dont le rôle est de détruire “les ennemis de la vraie
doctrine”. On dit que ce démon a tué son propre fils parce qu’il refusait d’adhérer au bouddhisme. Des illustrations iconographiques dépeignent Palden Lhamo traversant un lac de sang.

“Comment un homme saint comme le Dalaï Lama peut-il parler de tolérance religieuse s’il possède une déesse protectrice comme celle-là ?“, demande
Mariana Roettgen.

Selon M. et Mme Roettgen, les discours oecuméniques du Dalaï Lama sont une farce à moins que les pratiques secrètes du Tantra Kalachacra soient
dévoilées également. Les théologiens en vue ne prennent pas assez au sérieux les propres affirmations du bouddhisme tibétain, plaident-ils. Lors de réunions inter-religieuses, il est parfois affirmé que les bouddhistes sont des chrétiens en mieux. Pour des raisons politiques et religieuses évidentes, les
représentants officiels du bouddhisme tibétain et leurs disciples occidentaux ne tolèrent aucune critique sur le Dalaï Lama et sur l’exploitation des femmes en leur
sein. Les contrevenants sont calomniés et reçoivent même des menaces de mort » (Source: IDEA, numéro 8).

Aujourd’hui, il est connu que les dirigeants du Parti National Socialisme ont cherché une “religion politique” et un “mouvement de culte”. Ce sujet était
particulièrement discuté au sein de l’Ahnenerbe SS.

Ses dirigeants s’interrogeaient en effet sur la forme que devait avoir une “religion national socialiste”.
Cette organisation SS avec Heinrich Himmler à sa tête se considérait selon ses propres mots comme la « troupe d’avant-garde de la recherche sur la religion
allemande ». Tous les membres dirigeants de ce « laboratoire religieux » partaient du principe que la croyance des hommes de pure race aryenne était pratiquée depuis les origines et qu’elle devait être redécouverte et restaurée.

« À l’aide de très nombreuses sources venant des archives, de la littérature de seconde main et des écrits SS, nous pouvons prouver que dans cette restauration d’une religion aryenne originelle, ses idées philosophies, mythologies, visions, dogmes et pratiques sacrées sont avant tout venues des courants religieux de l’Orient. Il se forma un milieu dévoyé scientifique et culturel, qui proclama que le
bouddhisme, les Védas, les Puranas, les Upanishads, la Bhagavad-Gîta, le yoga, et même le tantrisme étaient les fragments spirituels d’une religion originelle indo-aryenne et antisémite disparue. En outre, eurent lieu des emprunts
aux milieux culturels tibétains, mais aussi à la tradition
japonaise du Zen et des Samouraïs.

Le livre Hitler - Bouddha - Krishna développe de ce point de vue des éléments d’information très éclairants.
Le livre comprend deux parties. La première partie se concentre sur l’activité politico- religieuse à l’intérieur de l’Ahnenerbe. Là seront discutés et débattus les emprunts faits aux religions orientales, non seulement théoriques mais aussi ésotériques, car Himmler, chef de l’organisation, encourageait les deux sortes de pensée.
Cette partie du livre examine également la connexion Nazisme-Tibet.

vVoicmEto iDrn euri nKtKButdHenRU nhVI ITDeRiSciLelDtDHiHogiEcrHeNihRa AAAb T l i sriai mhneozu ntdei

La deuxième partie du livre expose le testament funeste qui fut légué par l'Ahnenerbe et donne un aperçu du néofascisme religieux, de l’après guerre jusqu’à nos jours.

Il s’agit d’un courant occulte de la sous-culture, déjà très puissant dans les mythes, les modèles religieux, les dogmes, le fantastique et la science-fiction, les visions, l’imagination, les doctrines et les superstitions ésotériques, si étroitement associés à l’idéologie et à l’histoire NS qu’ils forment un tout. En l’occurrence, l’élément culturel indo-tibétain est si marqué que l’on doit véritablement parler d’une doctrine indienne au contenu nationalsocialiste.

Hitler apparaît ici comme un avatar, comme l’incarnation du dieu hindou Krishna, comme bodhisattva et comme chakravartin (souverain sacré du monde). Dans
la deuxième partie est aussi présenté et débattu l’intérêt des milieux fascistes pour le rituel tibétain du tantra de Kalachakra. […]

Le livre Hitler - Bouddha - Krishna présente les biographies et les idées des idéologues nazis les plus importants, en prenant particulièrement en considération l’influence orientale et spécialement bouddhiste sur leur pensée et leurs projets visionnaires. Les protagonistes pour l’époque d’avant 1945 sont :

Heinrich Himmler, Reichsführer SS, admirateur de la philosophie orientale. Citation de Himmler:
“J’admire la sagesse des fondateurs de la religion hindoue”. Himmler adhérait à la doctrine bouddhiste du karma et de la réincarnation.

Walther Wüst, Standartenführer SS, Administrateur de l’Ahnenerbe SS, recteur de l’Université de Munich et orientaliste. Wüst doit être considéré comme le
véritable élément moteur du “laboratoire religieux” de I’Ahnenerbe SS. Il pensait que les fondements d’une religion NS [National Socialiste] à créer devaient se
trouver dans les textes védiques et bouddhistes de l’inde.

Le fondateur du “Mouvement de la Foi Allemande” et futur Hauptsturmftührer SS, est Jakob Wilhelm Hauer. L’indologue et sanskritiste travailla sur la
typologie d’un yogi guerrier invincible qu’il tira de la Bhagavad-Gîta et des écrits bouddhistes.

Le Brigadeführer SS Karl Maria Wiligut (le “Raspoutine de Himmler”), est l’occultiste dans l’Ahnenerbe. Il prétendait avoir des contacts mentaux
avec les lamas des monastères tibétains.

Les chercheurs SS en tibétologie Ernst Schäfer et Bruno Beger considéraient le lamaïsme comme une véritable caverne au trésor, dans laquelle était conservée la connaissance aryenne originelle.

Le livre discute aussi des rapports de Sven Hedin avec le régime NS et avec Hitler.

Le spécialiste du Japon, géopoliticien et président de l’Académie allemande, Karl Haushofer. Il considérait le fascisme d’État shintoïste comme un exemple digne d’être imité par le national-socialisme.

Les spécialistes allemands du bouddhisme Zen, Eugen Herrigel et Karlfried Dürckheim, tentèrent de relier le national-socialisme à la philosophie Zen.

Le philosophe fasciste Julius Evola, dont la pensée eut une influence durable sur la SS, et aussi jusqu’à nos jours. L’édifice de la doctrine traditionaliste d’Evola était essentiellement basé sur les doctrines du bouddhisme et du tantrisme.

Le mystique SS du Graal Otto Rahn et les milieux néo bouddhistes en France, avec lesquels il était en relation.
Sous cette influence, Rahn prétendit que le “Graal des Cathares” devait être un “symbole spirituel issu du bouddhisme [!]”.

L’orientaliste français, chef de la police secrète française (S.S.S.) et collaborateur des SS, Jean Marquès-Rivière. Il passe pour être un des chercheurs occidentaux les plus importants sur le tantra tibétain de Kalachakra.

La “prêtresse d’Hitler”, Savitri Devi, convertie à l’hindouisme, a contribué de manière décisive après la guerre à la sacralisation d’Hitler et à établir le nationalsocialisme comme une religion sectaire quasi-hindoue.

Les inventeurs des “mystères nazis”, les deux occultistes français Jacques Bergier et Louis Pauwels, ainsi que l’Anglais Trevor Ravenscroft. Les trois auteurs ont lié le national-socialisme au mythe indo-tibétain de Shambhala.

Les idéologues du “Soleil Noir”, les deux viennois WiIhelm Landig et Rudolf J. Mund ainsi que l’auteur Jan van Helsing. Ces auteurs pensent que le lamaïsme
tibéto-mongol et la doctrine ésotérique du nationalsocialisme doivent avoir une source commune dans l’Atlantide.

Miguel Serrano, diplomate chilien et fondateur de l’“Hitlérisme ésotérique”. Serrano est un connaisseur de la doctrine tantrique. Les bases de son édifice doctrinal raciste sont d’origines indo-tibétaines. Cet auteur a vénéré
Hitler comme le dixième avatar du dieu Krishna/Vishnou.
Pour cette raison, le dictateur allemand est immortel pour Serrano et réapparaîtra comme Vengeur lors de l’apocalyptique Guerre Finale [Endkrieg] pour établir la
domination mondiale de la race aryenne.

Qu’ont recherché et trouvé les idéologues nazis au Tibet ?

Les idéologues nazis étaient convaincus qu’au Tibet avaient survécu les vestiges d’une race aryenne originelle et ils organisèrent une expédition pour les retrouver,

Ils pensaient que dans les textes du lamaïsme et dans les monastères tibétains était conservée la connaissance des anciens Aryens. Les tibétologues de l’Ahnenerbe SS devaient décrypter cette connaissance par des traductions
et par l’analyse des textes. Les tibétologues SS étaient fascinés par le caractère magico-occulte de la culture lamaïste. Certains occultistes à l’intérieur de l’Ahnenerbe SS croyaient même être en contact psychique avec les lamas tibétains.

Les deux chefs de l’expédition SS au Tibet, Ernst Schäfer et Bruno Beger, se sentaient particulièrement attirés par les aspects morbides et guerriers du bouddhisme tibétain.

L’Himalaya fut un objectif de conquête privilégié de l’alpinisme SS.

Ernesto Milà écrit : “Aucune expédition de l’Ahnenerbe n’a autant fait parler d’elle que celle qu’entreprit, avant le commencement de la guerre mondiale, un groupe de cinq chercheurs allemands, accompagnés de vingt volontaires des SS. Pour
certains prétendus spécialistes de l’ésotérisme, il n’y aurait aucun doute que les SS auraient été à la recherche d’un contact avec le Roi du Monde,
d’autres prétendent qu’ils faisaient des recherches sur la porte secrète de l’Agartha... Cette mission fut dirigée par le Standartenführer Schaeffer et, comme
l’écrivirent quelques chercheurs, il s’agissait d’étudier les origines de la race nordique.

Julius Evola, qui connaissait parfaitement le monde ésotérique à la périphérie du nazisme, se faisait une piètre idée de cette expédition. Il écrivit :

Les SS organisèrent une expédition au Tibet, avec des alpinistes et des ethnologues chevronnés, et une expédition dans l’Antarctique, à des fins, semble-t-il, d’exploration et aussi pour étudier l’éventuelle création de bases militaires. Selon des interprétations fantaisistes, la première expédition aurait cherché à entrer en contact avec un centre secret de la Tradition, l’autre aurait recherché un contact avec la Thulé hyperboréenne occulte.

Toutefois, en ce qui concerne l’expédition au Tibet, les choses sont sensiblement différentes et l’explication nous semble moins simple que ne le disait Evola. Dans l’expédition au Tibet il existait un intérêt archéologique et anthropologique, mais
n’oublions pas qu’une partie des activités de I’Ahnenerbe était centrée sur l’étude des légendes et des traditions et qu’un déplacement de cinq scientifiques SS au Tibet, secondés par une escorte, pouvait seulement être intéressé par les mythes et les légendes tibétains, le plus important d’entre eux concernant le Roi du Monde, le chakravarti ou Seigneur de la Roue.

Quinze années avant l’expédition, un Occidental chassé par les péripéties de la révolution russe, Ferdinand Ossendowsky, raconta ses aventures dans un livre remarquable intitulé Bêtes, Hommes et dieux, dans lequel il faisait explicitement référence au Roi du Monde et certifiait que le baron Ungern Khan von Sternberg avait reçu des émissaires de ce dernier et affirmait que le Dalaï Lama avait des contacts similaires.

Nous pouvons interpoler ici l’information recueillie personnellement auprès d’une communauté bouddhiste européenne dont l’instructeur, un lama tibétain aujourd’hui décédé et assez connu dans les milieux bouddhistes occidentaux, était en possession d’une fleur de Shambala.

Où tout cela nous mène-t-il ?

À démontrer que c’était au Tibet que la tradition du Roi du Monde était la plus vivante, ce qui revient à dire que la tradition tibétaine était en mesure de renouveler les contacts de l’Occident avec ce centre suprême de l’occulte.

Savitri Devi - néo-nazie européenne mariée à un brahmane - rappelle que cette expédition au Tibet ne fut pas la seule chose que les scientifiques nazis effectuèrent en Extrême-Orient. Ils multiplièrent aussi, nous dit-elle, les contacts en Inde avec les représentants des hautes castes, contacts dans lesquels son propre conjoint eut un rôle prépondérant, par le truchement de l’ambassadeur (d’Allemagne] von Salzman.

Dans Souvenirs d’une Aryenne, Savitri Devi écrivit :

… l’aspiration de Hitler était de renouer le contact avec la tradition à laquelle l’inde était fidèle.

La question est donc : “est-ce un hasard si un secteur du régime nazi (les SS) eut l’intention d’obtenir une légitimation qui serait supérieure à la légitimation
populaire et plébiscitaire ? Est-ce un hasard si ces mêmes secteurs recherchaient la légitimation du Roi du Monde ?”

Depuis quelques années, le bouddhisme tibétain, l’histoire du lamaïsme, les conditions de vie parmi les Tibétains en exil et le 14ème Dalaï Lama lui-même se retrouvent sous le feu des critiques qui ne viennent pourtant pas cette fois-ci
du côté chinois. En effet, des historiens américains remettent en question les louanges portées à l’histoire tibétaine (Melvin, C. Goldstein, A. Tom Grundfeld). Des tibétologues critiques accusent la tibétologie officielle de manipulations ciblées (Donald S. Lopez Jr.). Des chercheurs spécialisés dans l’étude du bouddhisme tibétain examinent l’influence de l’idéologie s’étant développée
fortement à travers le “mythe du Tibet” grâce à l’aide des lamas (Peter Bishop).

Des politiciennes réputées ont dû se rendre à l’évidence après avoir vu de leurs propres yeux qu’il n’existait pas de “génocide” provoqué par les Chinois, contrairement â ce qu’affirment encore et toujours les Tibétains en exil (Antje Vollmar, Mary Robinson).

D’anciennes bouddhistes dénoncent, en toute connaissance de cause, l’oppression et l’abus systématiques et raffinés subis par les femmes dans le bouddhisme tibétain après l’avoir vécu elles-mêmes, ce qui leur permet de posséder une connaissance profonde de la question (June Campbell).

Des psychologues et des psychanalystes examinent le côté agressif et morbide de la culture lamaïste (Robert A. Paul, Fokke Sierksma, Colin Goldner).

Depuis 1997, des personnes appartenant à la suite personnelle du Dalaï-lama ont apporté des preuves accablantes de l’intolérance, de la superstition et de l’autocratie régnant au sein du bouddhisme tibétain (affaire Shugden). L’univers des rites lamaïstes a également rencontré une critique sévère. Les intentions humanistes, pacifiques, tolérantes et oecuméniques du tantra du Kalachakra et du mythe du Shambhala sont remises en question par une vaste étude (Victor et Victoria Trimondi).

Des émissions télévisées allemandes, suisses et autrichiennes ont également émis de fortes critiques à l’envers du 14ème Dalaï-lama et de son système basé sur la magie (Panorama, 10 nach 10, Treffpunkt Kultur).

Lors de la visite du “prince de l’église” tibétaine à Munich (mai 2000), la décision des “pro- Dalaï-lama” d’inviter le “roi-dieu” tibétain à une manifestation de grande envergure provoqua même une division au sein du SPD (parti socialiste allemand) et partagea l’ensemble de la presse.

Les reproches suivants lui (au Dalaï-Lama) furent entre autres adressés :
modèle de pouvoir non démocratique et autocratique ;
oppression de toute opposition politique ;
répression des minorités religieuses ;
décisions politiques par décrets personnels sans dialogue ni discussion ;
falsification consciente de l’histoire du Tibet ;
relations non critiquables à ses yeux avec d’anciens SS et avec des néo-nazis ; diffamation des critiques ;
rites antiféministes.

Au travers du charisme du Dalaï-lama, de ses démarches, de ses discours et de ses écrits, apparemment politico-humanistes, s’opère une gigantesque importation de la culture orientale en Occident, le tout accepté sans réflexion approfondie.

Le leader bouddhiste interpelle l’homme dans son profond besoin d’harmonie et de paix. Cependant la propre histoire du lamaïsme, le contenu des tantras et la nature des rituels ainsi que les conditions parmi les Tibétains en exil sont tout sauf paisibles et harmonieux. Le bouddhisme tibétain est un système religieux archaïque reposant sur la magie et que les
Occidentaux n’ont pas encore commencé à sonder, ni à expliquer ». *

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SOURCE : http://trinite.1.free.fr/vos_infos/liesi_jan_fev09.pdf

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