Avant d’entrer en Russie, le Judaïsme pénétra en Ukraine où il acquit une grande force. Et là encore, les répressions opérées contre les hébreux eurent pour conséquence que ceux-ci se convertirent fictivement en grand nombre au Christianisme, d’abord en celui de l’Eglise Orthodoxe Grecque, puis en celui de l’Eglise Russe, devenant dans ces Eglises comme dans l’Eglise Catholique les principaux propagateurs des mouvements hérético-révolutionnaires.
L’ouvrage officiel du Judaïsme que nous avons cité, l’Encyclopédie Judaïque Castillane, nous informe de l’un des mouvements subversifs qui ébranla la Chrétienté russe : une secte qui fut précisément l’extension de celle des Pasagins. Voici ce que dit à ce sujet l’encyclopédie en question :
« L’essence juive latente chez les Pasagins resta vivante dans le développement que sa doctrine obtint chez les « shidovstvuyushtchiye » (« judaisants ») de Russie au XVème siècle. Cette secte, qui eut son premier apôtre en la personne du juif Shkariya de Kiev, et qui conquit jusqu’à des princes et des membres moscovites du haut clergé, croyait que le Christ n’était pas apparu et que lorsqu’il apparaîtrait, il ne le ferait pas comme Fils de Dieu en substance, mais au travers de ses actes bénéfiques comme Moïse et les Prophètes ». 290).
Comme on peut le constater, cette secte se propagea de par le monde catholique, et fut donc ensuite introduite par un juif dans l’Eglise Orthodoxe Russe. A l’inverse, d’autres sectes comme celle des Cathares naîtront semble-t-il dans les territoires de l’Empire Byzantin et se propageront à la Catholicité. On peut juger de la gravité de la crise provoquée alors par cette secte en Russie par cette confirmation donnée par le Judaïsme dans l’encyclopédie citée que l' »hérésie judaïsante », fondée par un juif, conquit en grande partie le haut clergé moscovite en plein XVème siècle, il y a donc environ cinq cents ans.
Au terme Russie, dans le tome IX de cette même Encyclopédie Judaïque Castillane, il est encore fait mention de ce puissant mouvement hérétique, avec cette précision que la version écclésiastique « l’attribue à l’influence directe de prédicateurs juifs » et que d’autres sources « tendent à la relier aux sectes sabataires, très répandues dans le sud et l’est de l’Europe dans l’aire de la Réforme », sectes sur lesquelles ladite encyclopédie judaïque affirme qu’elles avaient « des liens indiscutables avec le Judaïsme ».
Cette œuvre monumentale de la Synagogue poursuit en citant ce que dit Dubnow sur le sujet :
« Durant la même période s’éleva à Moscou, comme résultant d’une propagande secrète du Judaïsme, un mouvement religieux connu sous le nom d’hérésie judaïsante. D’après les chroniqueurs russes, l’initiateur de cette hérésie fut le docte juif Sjaria (Zejarya), qui avec quelques uns de ses coreligionnaires avait émigré de Kiev vers la vieille cité russe de Novgorod. Profitant de l’inquiétude religieuse qui régnait alors à Novgorod, une nouvelle secte, celle des strigolniki (appelée ainsi du nom de son fondateur Carp Strigolnik) avait fait son apparition dans la ville, proclamant la dérogation aux rites chrétiens, et même niant la divinité du Christ. Zejaryia eut des contacts avec divers représentants du clergé orthodoxe, et réussit à les convertir au Judaïsme.
« Les chefs de l’apostasie de Novgorod, les prêtres Denis et Aleksei s’installèrent en 1490 à Moscou, où ils convertirent un grand nombre d’orthodoxes grecs, dont certains allèrent jusqu’à se soumettre au rite de la circoncision. Très vite, l’hérésie judaïsante se fixa dans la noblesse de Moscou et parmi les cercles de la Cour. Parmi ses adeptes figura Hélène, la nièce du Grand Duc.
« Henadius, l’Archevêque de Novgorod, dénonça la dangereuse propagation de cette hérésie des judaïsants et fit de courageux efforts pour l’extirper de ses diocèses. A Moscou, la lutte contre la nouvelle doctrine fut extrêmement difficile. On parvint cependant à la contenir grâce à l’action vigoureuse d’Hénadius et d’autres fanatiques de l’Orthodoxie. Par décision du Concile Ecclésiastique de 1504, épaulé par les ordres d’Ivan III, les principaux apostats furent brûlés vifs et ses partisans furent emprisonnés ou enfermés dans des couvents. Ces mesures eurent pour résultat que l’hérésie judaïsante cessa d’exister… »
Et l’Encyclopédie juive mentionnée termine par ce très intéressant commentaire :
« Les tendances judaïsantes ne disparurent cependant jamais parmi le peuple russe, et occasionnellement elles se manifesteront des siècles plus tard sous une forme qui alarmera le gouvernement impérial ». 291)
La cinquième colonne juive dans l’Eglise Orthodoxe Russe alla ensuite se fortfiant par les conversions successives simulées de juifs au Christianisme russe. Au XVIIème siècle, il y eut de grandes conversions apparentes de juifs, qui feignirent de devenir bons chrétiens, mais qui dans le fond du cœur et en secret continuaient de demeurer juifs et haïssaient la Russie traditionnelle. Ces juifs souterrains furent connus dans le Judaïsme sous le nom de Shobatniks, et différentes études leur ont été consacrées, parmi lesquelles on peut citer celle d’un éminent dirigeant du Judaïsme, le distingué Chacham Joseph Israel Benjamin, qui fit une compilation de faits historiques sur les Shobatniks et la publia à Tlemsan en Argélie, sous le titre : « Four Years War of the Poles again The Russian and Tartars 1648-1652 « .
Le tsar Nicolas Ier pensa résoudre le problème juif récurrent, mais en commettant la tragique erreur de faire pression sur les hébreux pour qu’ils se convertissent au Christianisme, ce qui eut pour résultat désastreux que dans leur immense majorité ces conversions furent feintes, les israélites s’étant mis alors à suivre en public la pratique d’un Christianisme insincère, pendant qu’en secret ils demeuraient aussi juifs qu’avant, mais faisaient ordonner Popes leurs fils, les infiltrant ainsi dans les hiérarchies du clergé orthodoxe, à l’égal de ce que faisaient leurs frères crypto-juifs parmi les clercs catholiques et protestants.
Il est juste de reconnaître qu’autant les tsars que l’Eglise Orthodoxe et le peuple russe résistèrent autant qu’ils le purent à l’entrée des juifs en Russie, et que ces derniers au début s’introduisirent clandestinement depuis l’Ukraine, couverts d’un masque de Christianisme. Et bien qu’ensuite ils y vinrent en grandes foules, surtout à partir du moment où la Russie conquit une grande partie de la Pologne, l’Eglise orthodoxe, l’Etat et le peuple continuèrent à lutter héroïquement contre les communautés juives, qui cependant parvinrent à devenir les plus nombreuses du monde, pour finir enfin par triompher avec l’aide du Judaïsme international, d’abord par la révolution de mars 1917, puis par la révolution bolchevique d’Octobre, et dont le triomphe sous sa forme décisive est également dû à l’appui de la cinquième colonne juive infiltrée dans l’Eglise Orthodoxe Russe. Autrement, il eût été impossible qu’un Parti Communiste aussi rachitique, qui tenait un pays de cent millions d’habitants avec seulement quelques milliers de membres, pût triompher aussi rapidement et facilement. S’il fut vainqueur, c’est parce que les infiltrés crypto-juifs, maîtres de positions clefs dans le clergé orthodoxe et dans les partis et organisations droitières, centristes et de gauche, sabotèrent les défenses de la Russie traditionnelle, et par des intrigues malveillantes surent déposséder de tout prestige et audience ceux qui auraient pu la sauver. Au moment décisif, le juif Kerenski et ses complices remirent le pouvoir aux mains de la bande de criminels qui depuis lors et jusqu’à ce jour tyrannisent le peuple russe.
Dès que la bande juive de Lénine imposa en Russie sa dictature sanglante, elle ordonna d’assassiner les Archevêques, Evêques, Popes et clercs de tous rangs sincères dans leur foi, et les mêmes furent aidés et soutenus par des juifs habillés en soutanes, comme l’ont dénoncé au monde libre les intellectuels échappés des pays dominés par la bête. Ces juifs communistes sous habit sacerdotal, dont nous prouverons l’existence dans le second tome de cet ouvrage, accaparent le Patriarcat et les Episcopats de l’antique et héroïque Eglise Orthodoxe Russe, qui bien que, par malheur pour nous Catholiques, elle ait épaulé le lamentable schisme de Constantinople, lutta avec acharnement pour sauver cette nation et l’empêcher de tomber sous les griffes de la Synagogue de Satan.
Comme l’ont dénoncé à toute l’humanité les Evêques exilés de l’authentique Eglise Orthodoxe, actuellement aussi bien le Patriarche de Moscou que les autres clercs sont de simples agents communistes revêtus d’habits cléricaux, qui utilisent l’investiture sacrée pour faire la propagande bolchevique dans le but de faciliter de diverses manières le triomphe du Communisme, en affaiblissant les défenses du monde libre et en cherchant à tromper avec le mythe que le Communisme ne persécute pas l’Eglise, et que l’on peut parvenir à une coexistence pacifique avec le marxisme athée. Cette cœxistence, comme nous le savons bien, n’a pas plus de sens que de pousser la Sainte Eglise à conclure un pacte avec l’Antéchrist, mais ils la prétendent pour démoraliser et neutraliser l’action des Russes exilés et des patriotes de Pologne, de Hongrie, de Roumanie, de Yougoslavie et des autres pays tyrannisés, qui sont engagés dans une lutte sourde et tenace pour libérér leurs pays du joug criminel et sanglant des juifs marxistes. Ces pactes avec le démon achèveraient également de démoraliser les chrétiens des Etats-Unis, qui font tant de sacrifices et paient de si lourds impôts pour la défense du monde libre.
Le peuple nord-américain, déjà très ébranlé par les trahisons de nombre de ses gouvernants, risquerait de se décourager s’il s’apercevait que la Sainte Eglise jette ses brebis dans la gueule du loup et pactise avec le diable. Or tel est bien le plan des juifs et des communistes avec le prochain Concile œcuménique (Vatican II), et comme nous l’avons su, ils vont employer à cette fin les communistes ensoutanés qui usurpent les hiérarchies de l’Eglise Orthodoxe Russe, tout comme ils font à ce Conseil Mondial des Eglises qui contrôle une grande partie des Protestants, maintes fois accusé dans la presse des Etats-Unis par des patriotes même protestants de ce pays, dénonçant cet organisme pour trahison du protestantisme, des Etats-Unis et du monde libre, car la politique de ce Conseil Mondial des Eglises a été celle d’une complicité notoire avec le Kremlin et de trahison du monde libre. *)
Mais l’assistance de Dieu Notre-Seigneur à Sa Sainte Eglise fera échouer une fois de plus, nous en sommes certains, les entreprises du dragon infernal et de sa Synagogue, en faisant se lever dans le Saint Concile de nouveaux Saints Athanases, Saints Ambroise, Saints Jean Chrysostome ou Saints Bernard, qui en ce moment de crise fassent sombrer les plans sinistres du Communisme judaïque et de sa cinquième colonne dans le clergé, même de ceux qui chantent déjà victoire, pensant assurée leur prise en mains du Concile, et qui affirment qu’ils feront approuver des réformes pour détruire définitivement l’Eglise et faire triompher le Communisme international.
Parmi les manœuvres qu’ils ont ourdies pour préparer la dérogation à la bulle d’excommunication du Communisme et l’instauration de la cœxistence pacifique avec l’Antéchrist, la juiverie du Kremlin en association avec les clercs de la cinquième colonne infiltrée (dans l’Eglise Catholique) ont projeté que les autorités communistes libèrent subitement des Evêques et des clercs qu’ils ont tenus emprisonnés depuis des années, et que ceux-ci soient conduits en triomphe par les rues de Rome, avec l’envoi de la part des autorités communistes de félicitations à Sa Sainteté le Pape et au Saint Concile, et autres gestes d’amitié semblables, qui, par leur flagornerie pompeuse, seront à même d’ébranler la volonté des Pères du Concile de poursuivre la lutte contre le Communisme, afin que ceux-ci donnent leur approbation à la politique de cœxistence pacifique que le Judaïsme et ses satellites dans le haut clergé cherchent à imposer à l’Eglise.
Les communistes sont très bons commerçants, et, en échange de quelques gestes de bonne volonté, ils désirent que l’on détruise les défenses de l’Eglise contre le Marxisme et que s’établisse une prétendue cœxistence pacifique qui n’ait d’autre objectif que de retirer la Sainte Eglise de la lutte contre le Communisme athée, afin que celui-ci puisse étendre plus facilement sa domination sur le monde. En échange de concessions de relativement faible importance, ils cherchent à obtenir des avantages substantiels qui leur permettent d’assurer leur victoire sur le monde libre. Mais s’ils avaient vraiment la volonté de faire la paix avec la Sainte Eglise, pourquoi ne suppriment-ils pas du Communisme son matérialisme athée ? Pourquoi ne libèrent-ils pas les Catholiques de Pologne et de Tchécoslovaquie du joug de l’esclavage qu’ils leur ont imposé, et ne retirent-ils pas de leurs territoires les troupes soviétiques pour permettre de procéder à des élections libres ? Pourquoi ne font-ils pas de même avec les autres nations chrétiennes qu’ils ont vassalisées ? Pourquoi ne suppriment-ils pas la diffusion de leur propagande antichrétienne et antireligieuse, destinée à priver de leurs croyances les fidèles chrétiens ?
Mais ils cherchent à ce que l’Eglise se lie pratiquement les pieds et les mains et laisse la bête rouge aller dévorer le monde entier, en échange de quelques petits gestes qu’ils prétendent de bonne volonté, et qui sont sans aucune proportion avec les concessions qu’ils cherchent à obtenir d’elle.
Un savant universitaire roumain qui a fui la tyrannie communiste pour se réfugier en Occident nous fournit une information intéressante sur la situation actuelle de l’Eglise Orthodoxe Russe que nous citons ici :
« Parmi les milliers de clercs assassinés par les juifs en Russie, on compte :
– le Métropolite Beniamin de Petrograd,
– l’Evêque Pantelimon de Polosky,
– l’Evêque Nikodim de Bielgorod,
– le Métropolite Grigory d’Ekaterinenbourg,
– l’Archevêque Leontie d’Arkhangelsk,
– l’Archevêque Tikhon de Voronej,
– le Métropolite Wladimir de Kiew,
– l’Evêque Mitrofanis de la province d’Arkhangelsk,
– l’Archevêque Vassili de la Chernikovsky,
– l’Evêque Makarie Orlovsky de l’Evêché Russe du Nord,
– l’Archevêque Andronik de Perm,
– l’Evêque Ambrosie de Wiatka,
– l’Evêque Ermoghene de Tobolsk,
– l’Evêque Grigorie de Novgorod,
– le Vicaire Isidor de Novgorod,
– l’Evêque Pimin du Turkestan,
– l’Evêque Ephrem de Vladivostok,
– l’Evêque Laurentius de Nijinovgorod. »**)
« De même que les églises, ont été fermés tous les couvents, les séminaires et les œuvres de l’Eglise. Toute l’organisation ecclésiastique a été détruite, et tout culte chrétien a été prohibé. La religion (sauf la juive évidemment) était considérée par les juifs comme l’avait dit Lénine, comme « l’opium du peuple ».
« Après avoir tout détruit et avoir assassiné des millions et des millions de chrétiens, les satrapes juifs de la Russie communiste se trouvèrent face à la nécessité politique d’une apparente revendication de la liberté religieuse comme étant à même de tromper les peuples chrétiens encore libres, afin d’amoindrir l’hostilité des chrétiens envers le régime communiste.
« Les assassins du Kremlin poursuit l’informateur et écrivain roumain Traian Romanescu trouvèrent à cet effet l’un des leurs capable d’interpréter le rôle de « Patriarche de Moscou » et de donner l’illusion de la renaissance de l’Eglise Orthodoxe Russe. Ce communiste, que l’on avait affublé d’une barbe et d’une soutane pour le transformer en « Patriarche » n’est pas chrétien. Le « Patriarche » Alexei de Moscou s’appelle en réalité Rubin. C’est un juif d’Odessa en Ukraine, et sa famille était avant la révolution propriétaire d’une maison de tolérance près du port d’Odessa. L’Eglise Orthodoxe Russe actuelle n’est rien d’autre qu’un instrument déguisé du régime communiste et de ses représentants, à usage de l’étranger, tout comme les Evêques Russes orthodoxes d’Amérique du Nord, de Paris et de Jérusalem sont des membres des services secrets soviétiques, et sont aussi dangereux que les espions soviétiques qui viennent en Occident comme diplomates ». 292)
L’exposition des faits que nous venons de tirer de « La grande Conspiration juive » écrite par l’universitaire roumain Traian Romanescu nous fait clairement voir comment les juifs assassinèrent d’abord en masse les Evêques vraiment chrétiens, pour ensuite confier manu militari la direction de l’Eglise Orthodoxe à la cinquième colonne juive qui était infiltrée dans ses rangs. Il n’est pas étonnant alors que la même cinquième colonne juive infltrée dans le clergé catholique puisse s’entendre facilement avec ses frères crypto-juifs du clergé orthodoxe. Les faits scandaleux auxquels nous allons assister dans les prochains mois ne pourront surprendre que ceux qui ignorent « ce qui se passe dans les coulisses » pour employer l’expression heureuse de Benjamin Disraéli.
290) Encyclopédie Judaïque Castillane, ed. cit., t.III, terme Christianisme.
291) Encyclopédie Judaïque Castillane, ed. cit., t.IX, terme Russie.
*) NDT :Le mythe de la « défense du monde libre » martelé devant l’opinion européenne et américaine réussit à la tromper pendant que les hauts cercles dirigeants du Gouvernement Judéo-US développaient le Communisme dans le monde entier, l’implantant et lui donnant armes, voix médiatique, appui financier, industriel et même militaire, développant parallèlement les organisations mondialistes lucifériennes qu’ils contrôlent, auxquelles obéissent tous les gouvernements et à qui sont destinées toutes les armes payées par le peuple américain et les peuples occidentaux, au profit unique de l’impérialisme mondial du Nouvel Ordre Judéo-US ! (Cf les ouvrages « Pions sur l’échiquier » et « Red fog over America » de William Carr, ceux d’Anthony Sutton; en France ceux de Jacques Bordiot,de Georges Virebeau, de Yann Moncomble et de Pascal Bernardin (diffusion DPF Chiré), et enfin la synthèse remarquable sous le titre « Franc-Maçonnerie et Sectes secrètes, le côté caché de l’Histoire » sous la signature d’Epiphanius, parue aux Editions Ichtys, 45 via Trilussa, I-00041 Albano Laziale, Roma (édition française du Courrier de Rome, diffusion DPF, BP 1-86 Chiré en Montreuil).
**) NDT : D. Petrovski dans son livre « La Russie sous les juifs » (Paris, 1931, chap II) indique encore les martyrs suivants, avec d’épouvantables détails sur leurs supplices infligés par les bourreaux juifs : parmi le haut clergé russe : l’Archimandrite Cheine à Petrograd, l’Evêque Anatole à Irkousk, l’Evêque Isidore à Saratow, l’Evêque Platon à Reval (ce dernier congelé vivant !). Selon Petrowski et ses sources russes, plus de cent cinquante évêques furent tués dans des contitions atroces ou emprisonnés et déportés et plus de deux mille prêtres torturés et fusillés et un grand nombre de religieuses torturées dans la seule année 1923. Les persécutions et le martyrologe s’allongea ensuite encore en 1925 avec les déportations concentrationnaires au pénitencier de Solovski et les assassinats (par exemple celui de l’Evêque Pierre de Tambow), puis en 1927, en 1929 et continuèrent ensuite.
292) Traian Romanescu : « La Grande Conspiration Juive« , édit. espagnole citée, pp 222-223.
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