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(Delorca.over-blog) Spéculations autour de l’Adrénochrome, des EpiPen et d’Hillary Clinton

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Voici une affaire qui agite beaucoup le Web américain : une possible politique de grande envergure pour rendre les gens dépendants à l’adrénochrome.

Commençons tout d’abord par ce qu’un site français très « mainstream », Openminded, en dit :

« L’Adrénochrome est un composé d’adrénaline qui a fait l’objet de plusieurs études dans les années 1950 et 1960 et plusieurs hypothèses sont nées à ce sujet. Certains pensent qu’il est issu d’un rituel satanique, d’autres parlent d’un composé pour schizophrènes qui procure des effets hallucinogènes hors norme, d’autres pensent qu’il est tout simplement issu d’une drogue fictive présente dans le film Las Vegas Parano (NDLR : un grand moment de la filmographie de l’occultiste Johnny Depp). Et puis il y a le documentaire « Adrénochrome »  qui nous fait part de cette substance mystérieuse et de son utilisation chez la société secrète des Illuminatis… »

Le site ajoute, pour apaiser les foules, en citant l’AFP (l’AFP qui a régulièrement véhiculé les pires intoxs pendant la guerre du Kosovo, celle d’Irak, celle de Syrie etc) :  » Je n’ai jamais entendu parler de cas d’intoxication à l’Adrénochrome. C’est un mythe. Un mythe complet.”, explique Laurent Karila, psychiatre et addictologue à l’hôpital Paul Brousse, interrogé par l’AFP. Le site Erowid recense des témoignages de personnes ayant tenté de se défoncer à l’Adrénochrome. Un utilisateur rapporte l’avoir avalée, sniffée et fumée : “Les trois tests m’ont donné exactement les mêmes effets, qui étaient très légers et vraiment inintéressants”. »

A la différence de ces chiens de garde dont le souci est toujours de tuer dans l’oeuf la moindre recherche de vérité à grands coups d’arguments d’autorité de grandes « agence de presse » et de soi-disant « scientifiques », je me contenterai d’exposer ici certains éléments de discussion avancés en ce moment.

Tout d’abord il ne faut pas perdre de vue que l’adrénochrome est associée depuis très longtemps à l’imagerie des vampires. Un groupe punk californien, The Groovie Ghoulies (les Vampires Cools) a sorti un album en 1989 rempli de connotations sataniques comme un morceau repris de l’album « Their Satanic Majesties Request » des Rolling Stones. Son titre « Appetite for Adrenochrome » (« Soif d’Adrénochrome »). Le groupe « Sisters of Mercy » a aussi composé en 1982 une chanson, Adrenochrome, qui dit notamment « Les filles catholiques maintenant/Austères dans leur noir et blanc, terrifiées dans le monochrome/ Les soeurs de la miséricorde/ Marée haute /Les  yeux écarquillés / Précipitées sur l’adrénochrome / Pour les sœurs de la miséricorde / Remplies de panique dans leurs yeux  » (pour avoir une idée de l’imagerie des Sisters of Mercy on peut aussi voir ce clip).

Le morceau a été repris sur leur album « Some girls wander » dont le nom renvoie à la chanson du chanteur occultiste Léonard Cohen de 1967 « Teachers » qui disait « Certaines filles s’égarent/ dans les problèmes que causent les scalpels /Etes vous les enseignants de mon coeur ? » (le nom des Sisters of mercy lui-même vient de Leonard Cohen). Quand on sait que l’adrenochrome pourrait être prélevé du coeur d’une victime sacrificielle arraché à sa poitrine juste après la peur de la mort…

Il peut sembler étrange que le mot scalpel soit à prendre au premier degré le mot scalpel ici, mais n’oublions pas qu’à la même époque personne n’aurait pensé qu’on pouvait saisir aussi au premier degré la couverture des Beatles sur les bébés coupés en morceaux (aujourd’hui le lien avéré de ce groupe avec l’occultisme fait considérer les choses différemment).

Tous ces morceaux sont très marqués par la couleur rose (dont les immeubles de New York ont été recouverts récemment pour célébrer le changement de la législation sur l’avortement).

En 1983, le film « The Hunger » (Les Prédateurs) avec David Bowie (un fan de Crowley), Catherine Deneuve (habituée de la thématique anti-chrétienne de Bunuel et Polanski jusqu’au « Tout nouveau Testament » de 2015, qui a chanté en duo avec Malcom McLaren en 1994, McLaren était le père du punk, il avait, selon le styliste JC de Castelbajac, l’anneau du mage sataniste Aleister Crowley – voir ce livre p. 57 – pas mal pour une des pionnières du « coming out » sur l’avortement en 71) et Susan Sarandon (qui organise maintenant des cérémonies en hommage à Timothy Leary, prophète du transhumanisme, à l’époque elle venait de faire scandale dans Pretty Baby/La Petite, film sur une enfant de 12 ans qui se prostitue) était aussi un film sur le vampirisme. Bowie et Deneuve y jouaient des rôles de vampires. Il faisait beaucoup référence au ping-pong (quand on sait à quoi renvoie aujourd’hui le Comet Ping-pong à Washington DC financé par Soros…). Le titre « The Hunger »peut être saisi comme une condensation de « The Hunger for adrenochrome », et il peut s’agir de « programmation prédictive » pour préparer les esprits à ce qui viendrait vingt ans plus tard.

L’étude de ce film qui n’eut pas un succès phénoménal lors de sa sortie (et fut vertement critiqué en Angleterre), d’autant que Bowie ne l’a pas vraiment défendu (peut-être parce qu’il était plutôt programmé pour marquer les esprits sur le long terme ?), mériterait à elle seule un billet tant il est métaphysiquement suggestif.

La journaliste Isabelle Giordano dans son livre « Catherine Deneuve film par film » paru chez Gallimard en octobre dernier, fait remarquer que Tony Scott, qui n’avait pas encore tourné Top Gun, était surtout perçu comme un ancien collaborateur de Stanley Kubrick, connaisseur intime des sociétés secrètes. Catherine Deneuve était habillée par le couturier auteur du BD sataniste sur les sacrifices humains « La vilaine Lulu » Yves Saint Laurent. Depuis lors, la scène lesbienne entre Catherine Deneuve et Susan Sarandon est devenue une icône parmi ceux qui se nomment « la communauté gay ». Isabelle Giordano note que Thomas Baurez de l’Express a insisté sur le caractère « prémonitoire »  des « images récurrentes de sang » car « la même année l’Institut pasteur le Pr Luc Montagnier identifiait des cellules à l’origine du SIDA semblables à celles que montrait le film… Mais il est vrai que dans le registre de la « programmation prédictive » c’est moins spectaculaire que la scène des Simpson qui présente l’équation du boson de Higgs quinze ans avant sa découverte… Certains évidemment diraient que cela n’avait rien de « prémonitoire » si, comme le suggérait jadis le professeur canadien Donald W Scott les autorités américaines ont inventé le SIDA dans les années 1960 et l’ont inoculé dans des vaccins dans les années 1970, auquel cas aussi bien les images de « The Hunger » que la médiatisation du Pr Montagnier ne seraient qu’une mise en scène pour aveugler les masses, mais c’est là encore un autre sujet épineux sur lequel il n’existe que peu d’éléments tangibles…

En fait l’article de Baurez auquel fait allusion sans trop de précision Giordano est encore en ligne et date du 29 janvier 2009. Intitulé « Il était une fois… les prédateurs », il permet d’en savoir encore plus sur le satanisme du film, en précisant notamment  que la musique d’arrière plan est « Bela Lugosi’s Dead », « hymne satanique par le groupe postpunk Bauhaus » : une chanson sortie en 1979 en l’honneur de l’acteur toxicomane qui avait joué Dracula dans un film de 1931 (n’oubliez pas que films et rituels sont entremêlés – voir le témoignage de Christopher Lee à ce sujet en 1975). Là encore on pourrait tirer ce fil très loin car Lugosi était un occultiste. Cindy Lee (nièce du producteur de film d’horreurs Frank Robert Saletri assassiné en 1982 dans l’ancienne maison de Lugose, elle habite à Phoenix Arizona), dans un documentaire « Deadly Possessions » de Zak Bagans datant de 2016, explique qu’elle possède le miroir qu’il utilisait pour ses rituels et la voyance qui a causé tant de problèmes à sa famille qu’elle l’a donné au musée de Zak Bagans à Las Vegas. Passer ce genre de musique dans un film ne peut pas avoir des effets anodins.

Aujourd’hui le film « A cure for life » (« A cure for wellness » outre-Atlantique) sur la recherche du sang humain pour prolonger la vie, ferait écho à « The Hunger » de même que les passages des Nouvelles aventures de Sabrina sur le cannibalisme, la sorcière Kim Kardashian qui en décembre 2015 se vante de consommer son propre placenta, etc.

Et les restaurants « Spin Ping pong » de Susan Sarandon à Londres et aux Etats-Unis organisent une sorte de culte inconscient en l’honneur de The Hunger (voir vidéo- ci-dessous). La spirale (spin) est un symbole de pedocriminalité dans les codes du FBI.

C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre toutes les discussions sur l’Adrénochrome et les Epipen (stylos auto injecteurs d’adrénaline).

Sous l’administration Obama, le jour d’Halloween 2013 exactement, le Sénat américain a adopté une loi obligeant toutes les écoles des Etats-Unis à administrer en tant que de besoin sans l’autorisation des parents aux enfants de l’Epipen, un stimulant du système cardiovasculaire cardiaque, pour soigner les problèmes d’allergies. D’autres pays allaient imiter les Etats-Unis à ce sujet.

L’EpiPen est un médicament à base d’épinéphrine (de l’adrénaline) qui, au contact de l’oxygène… devient de l’adrénochrome de couleur rose…

En 2016 EpiPen a attiré l’attention des revues économiques parce que son fabriquant Mylan a tiré profit de sa position de trust pour faire flamber les prix. Ses profits ont aussi doublé quand la Food drug Administration (FDA) a recommandé aux médecins de prescrire deux doses par personne, au cas où la première injection ne serait pas suffisante (Mylan ne les vend plus que par paires). Hillary Clinton a fait mine de s’en émouvoir sur Twitter, mais l’indignation était peu crédible : les archives de la Fondation Clinton indiquait également que Mylan lui avait versé entre 100 000 et 250 000 dollars. Il y a donc un partenariat bien établi entre les Clinton et Mylan. Quand on sait ce que les mails d’H. Clinton ont révélé sur le pizzagate et de possibles trafics d’enfants, on peut se demander si la problématique de la législation sur l’EpiPen ne se rattache pas à cette banalisation de l’adrénochrome à laquelle les films et les chansons sur le vampirisme dans les années 1980 avaient déjà ouvert la porte…

La question est devenue d’autant plus sérieuse quand certains bons esprits ont remarqué que le logo de la firme Mylan était, comme celui de la bière Monster (qui avait pour slogan « Libérez la Bête ») un triple vav, lettre hébraïque dont la valeur numérique est 6, soit, 666, nombre de la Bête dans l’Apocalypse. Les relents satanistes sont évidents…

Le cumul de facteurs triple « M », abus de position dominante sous Obama, financement de la campagne de Clinton a même conduit certaines personnes à se demander si dans les mails codés du directeur de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta l’expression « walnut sauce » (sauce de noix) pourrait désigner l’adrénochrome des enfants noirs car walnut/noix y est souvent synonyme de « noirs ». Sur les 2 060 premiers mails fuités de la collection Podesta, 47 comportent le mot « noix ». Par exemple quand on lui écrit : « We know you’re a true master of cuisine and we have appreciated that for years … But walnut sauce for the pasta? Mary, plz tell us the straight story, was the sauce actually very tasty » Les Noirs produisent (tout comme les Asiatiques) de l’adrénochrome calcifié plus dense, et donc les satanistes rechercheraient surtout leur adrénochrome. Du coup toute une littérature se développe sur la recherche de sang d’enfants noirs par l’élite proche du parti démocrate… Des suppositions qui se développent à partir de recoupements sémantiques, mais qui, bien sûr, à ce jour, n’ont pas reçu de confirmations factuelles. Beaucoup d’électeurs de Trump spéculent sur de possibles « mandats secrets d’inculpation » (sealed indictments ») que l’administration présidentielle garderait sous le coude contre Podesta, Clinton et de riches financiers qui pourraient un jour (quand le FBI sera « nettoyé ») donner lieu à enquête fédérale et démontrer la véracité de ces suppositions. Mais, pour l’heure, les annonces du groupe Q (Qanon) sur la prochaine divulgation de ces mandats ont toujours été démenties.

En France les « Epipens » sont en concurrence avec les Anapens et Jext produits par Bioprojet Pharma et ALK.