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News au 16 juillet 2020

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 15:27

Gilbert Chevalier
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 15:33

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 15:56

- 1 -

[Cet article du 11 avril dernier résume bien la situation quoiqu'avec des oublis notoires comme la cryptomonnaie et le rôle primordiale de la Chine communiste s'étendant au monde entier pour l'installation du règne de l'Antéchrist (pour lors Bergoglio).]

Les CONS
ÉQUENCES du CORONAVIRUS :
Une MÉGA DÉPRESSION IMMINENTE...

Quelle sera la prochaine étape ? C'est une question que beaucoup de gens se posent. Il est très probable que le monde ne sera plus jamais le même. Cela pourrait être une bonne chose, ou une moins bonne chose, selon la façon dont nous considérons cette « pandémie » désastreuse qui, selon toute vraisemblance, ne mérite pas le terme de « pandémie », qui a été involontairement attribué au SRAS-2-CoV, ou 2019-nCoV, rebaptisé par l'OMS comme COVID-19.

News au 16 juillet 2020 Coronavirus_masques_400x267

Le 11 mars, le Dr Tedros, directeur général de l'OMS, a parlé de pandémie. Cette décision a déjà été prise par le WEF (Forum économique mondial) à Davos, du 20 au 24 janvier 2020, lorsque l'OMS a enregistré 150 cas de COVID19 en dehors de la Chine. Le 30 janvier, le directeur général de l'OMS détermine que l'épidémie en dehors de la Chine continentale constitue une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). C'était une première indication qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, qu'il y avait un autre programme derrière l' »épidémie » de la maladie COVID-19.

Le 26 mars dernier, dans un article revu par des pairs et publié dans le très réputé New England Journal of Medicine (NEJM), le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, l'un des 27 instituts et centres qui composent les US National Institutes of Health - NIH), a comparé la COVID19 à une grippe commune plus forte que d'habitude :

Si l'on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas déclarés, le taux de mortalité peut être considérablement inférieur à 1 %. Cela suggère que les conséquences cliniques globales de la Covid-19 pourraient finalement s'apparenter davantage à celles d'une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d'environ 0,1 %) ou d'une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt qu'à une maladie semblable au SRAS ou au SRASM, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10 % et 36 %, respectivement. nejm.org

Cette évaluation scientifique publiée dans le New England Journal of Medicine n'a pas empêché le Dr Faucide dire exactement le contraire, lorsqu'il a été interviewé par les grands médias : voir ci-dessous.

News au 16 juillet 2020 Screen_Shot_2020_03_22_at_16_0

Santé et science: Selon un haut responsable de la santé américain, le coronavirus est 10 fois plus « mortel » que la grippe saisonnière
En attendant, d'autres scientifiques de haut niveau, des microbiologistes et des médecins du monde entier, remettent en question la fermeture draconienne des pays à cause du virus corona. Tous affirment que ces mesures draconiennes ne sont pas nécessaires pour contenir une pandémie avec un taux de mortalité relativement faible.

Même en Italie, si le comptage et la comptabilisation étaient faits plus soigneusement, plus selon les normes statistiques réelles, le taux de mortalité serait peut-être de 1 %, voire moins. Le 23 mars, le chef de la protection civile italienne, Angelo Borrelli, a déclaré au journal La Repubblica qu'il était crédible d'affirmer que pour chaque cas officiellement déclaré, il puisse y avoir au moins 10 cas infectés non déclarés, des cas asymptomatiques, ne nécessitant pas de visite chez le médecin. Si cela était vrai, le taux de mortalité réel en cas d'attaque cérébrale serait de 1 % au lieu de 10 %.

Ce que le monde vit ressemble à une déclaration et à une mise en œuvre bien planifiées de la loi martiale à l'échelle mondiale, avec des conséquences socio-économiques désastreuses, bien pires que la maladie elle-même. Personne ne bouge. L'économie s'immobilise presque.

Cela soulève la question suivante : qu'est-ce qui se cache derrière et qu'est-ce qui va suivre ?

Examinons tout d'abord un scénario pas si bon que ça.

Al-Jazeera rapporte le 2 avril que le nombre de cas de coronavirus dans le monde dépasse le million, avec 50 000 décès. Politico a déclaré le 2 avril que deux semaines seulement après le début du verrouillage dû au Coronavirus, près de 10 millions de travailleurs aux États-Unis sont sans emploi.

« Le total des pertes d'emploi en deux semaines seulement - près de 10 millions d'Américains - représente un coup dur pour les travailleurs américains jamais vu auparavant dans l'économie américaine. Dans les semaines à venir, le marché du travail pourrait dépasser les 15 millions d'emplois perdus au plus fort des 18 mois de la Grande Récession de 2007 à 2009 ».

Le 31 mars, la FED a annoncé une prévision alarmante : 32 % de chômage et 47 millions de chômeurs pour le prochain trimestre, alors que le coronavirus continue de se propager. Les faillites, en particulier celles des petites et moyennes entreprises, pourraient devenir incontrôlables d'ici un mois ou deux. Cela aurait un effet domino supplémentaire sur le chômage.

Goldman Sachs - GS (le 20 mars 2020)

« voit un arrêt sans précédent de l'activité économique, avec un recul du PIB de 24 % au deuxième trimestre Les économistes de Goldman Sachs prévoient une récession historiquement forte et rapide, le PIB du deuxième trimestre s'effondrant de 24 % après un recul de 6 % au premier trimestre ». L'économiste du GS prévoit une nouvelle baisse du PIB de 5% au deuxième trimestre.

« Les prêteurs immobiliers se préparent à faire face à 15 millions de défauts de paiement de prêts hypothécaires aux États-Unis ». C'est ce qu'affirme Bloomberg (2 avril), ajoutant que « les défauts de paiement des prêts hypothécaires seraient bien au-delà de ce qu'on a connu en 2008 ». Les prêteurs hypothécaires se préparent à la plus grande vague de délinquance de l'histoire.

Tout cela est déjà en train de se produire. Ces chiffres ne concernent que les États-Unis, et ne tiennent pas encore compte de l'Europe et du reste du monde. Ces chiffres pour l'Europe ne sont pas encore disponibles, mais les prévisions indiquent qu'ils pourraient être tout aussi sombres.

En Asie, à l'exception de la Chine, de l'Afrique et de l'Amérique latine, il existe un vaste secteur informel difficile à contrôler, mais qui échappe très certainement à tout filet de sécurité sociale fragile, dont pourraient disposer les pays.

On ne dispose pas de statistiques fiables. Mais des « estimations » montrent, par exemple au Pérou, qu'en période de prospérité, le secteur informel peut représenter jusqu'à un tiers de l'économie. Dans les périodes difficiles, comme aujourd'hui, il peut atteindre jusqu'à 50 %, voire plus.

L'image d'une méga-dépression à venir, qui n'a jamais existé dans l'histoire moderne, pourrait se poursuivre, car de nombreuses petites et moyennes entreprises en faillite - y compris les compagnies aériennes, les industries du tourisme - et autres, seront rachetées par d'énormes monopoles déjà existants (par exemple Google, Amazon, AliBaba et autres). Des fusions de proportions gigantesques pourraient avoir lieu. Il se peut que ce soit le dernier déplacement de capitaux de la base vers le sommet à notre époque de civilisation telle que nous la connaissons.

5G et l'intelligence artificielle

Entre-temps, le 5G et bientôt le 6G seront mis en place afin de développer l'intelligence artificielle (IA) qui pourrait faire avancer le développement de ces sociétés colossales, leur production, leur distribution et finalement la consommation des populations dans le monde entier.

Les sociétés de télécommunications inondent déjà le monde de champs électromagnétiques (CEM), si toxiques que de nombreuses personnes seront touchées. Il est prévu d'augmenter son intensité par des dizaines de milliers de satellites pour couvrir d'ici 2030 chaque centimètre de la planète. Mais écoutez bien, aucun des impacts de la 5G sur la santé n'a été officiellement étudié. Ni aux États-Unis, ni en Europe, ni en Chine. L'impact pourrait être désastreux pour la vie humaine, et pour la vie sur la Terre en général.

De nombreux scientifiques ont écrit à ce sujet, averti les gouvernements des effets potentiellement désastreux sur la vie - et ont lancé des pétitions pour arrêter le lancement de la 5G, ou pour mettre en place un moratoire sur la 5G jusqu'à ce que des études sérieuses aient été menées. Voir l'appel de l'UE en faveur de la 5G - Les scientifiques mettent en garde contre les effets potentiellement graves de la 5G sur la santé .

L'organisation chargée de la santé et de la prévention des atteintes à la santé est l'Organisation mondiale de la santé (OMS), une agence des Nations unies. Oui, la même qui a déclaré que COVID-19 était une urgence sanitaire mondiale, au début de février 2020, alors qu'il y avait moins de 200 « cas confirmés » officiels dans le monde, en dehors de la Chine.

À ce jour, l'OMS a étrangement gardé le silence sur les questions liées à la 5G. Pourquoi ? - Des soupçons non prouvés ont été exprimés, y compris par certains scientifiques de renom, selon lesquels la gravité de la COVID-19 pourrait, au moins dans certains cas, avoir un rapport avec la 5G.

La 5G a déjà été déployée dans le nord de l'Italie, à Rome et à Naples - et à New York.

Une parenthèse. Rapport contradictoire

Selon l'OMS, le virus COV-19 est apparenté à la grippe.

À cet égard, le Dr Cameron Kyle-Sidell, de New York, suggère que ses évaluations ne correspondent pas au schéma normal du COV-19 tel que défini par l'OMS.

Le Dr Kyle Sidell est unurgentologue basé à Brooklyn, New York, affilié au Centre médical de Maimonides. Selon le Dr. Kyle Sidell, la COVID-19 est une « maladie de privation d'oxygène » différente de la pneumonie. Tous les sites signalent des cas graves d'obstruction respiratoire qui ne peuvent être résolus avec les appareils respiratoires courants. En fait, ces blocages sont aggravés par les appareils respiratoires. - Quelles sont les causes sous-adjacentes ? https://youtu.be/jjKLVH3z82o

De retour à la calamité économique qui frappe déjà la population mondiale.

Elle est encore pire pour les personnes du secteur informel. Ils n'ont pas d'emploi fixe, ils dépendent du travail quotidien, voire du travail horaire. Ils vivent au jour le jour, ils n'ont pas d'économies. Leur survie même dépend de ces emplois sporadiques et de ces revenus modestes - des revenus bien inférieurs au salaire minimum qui leur permettent à peine de survivre - et souvent pas du tout.

Ils souffrent de la famine, de la maladie - car ils n'ont pas de logement fixe, pas d'argent pour payer le loyer - ils peuvent mourir de famine ou de pur désespoir.

La délinquance et la criminalité peuvent également augmenter de manière exponentielle. Les personnes qui ont faim n'ont rien à perdre. Ils peuvent faire des pillages dans les supermarchés et les pharmacies. Il a également été rapporté que des corps ont été retrouvés dans les rues de grandes villes d'Amérique latine.

Ils auraient pu mourir pour toutes sortes de raisons liées à la fermeture économique : faim, maladies, désolation, suicide. Leur infection (ou leur mort) est-elle attribuée à la COVID-19 ? Il en résulterait un processus d'inflation des estimations concernant les personnes qui seraient mortes du virus, ce qui contribuerait à accroître la peur et la panique.

Est-ce là l'objectif ? Faire en sorte que tout le monde ait peur. Les personnes en proie à la peur et à la panique peuvent facilement être manipulées.

Les gens vont demander la protection de la police contre un ennemi invisible. La taille du virus COVID-19 est de 70 à 90 milliardièmes de mètre, ou nano-mètre- nm (un nm = 0,000000001 m). C'est effrayant. Vous ne le voyez pas, mais les gens pourraient le transmettre - invisiblement aussi. Ils pourraient être mortels - dans le cas de la COVID-19, leur létalité est relativement faible. Cela dépend de la façon dont vous mesurez le taux d'infection et de mortalité (voir paragraphes 2 et 3, ci-dessus). Mais le facteur de peur peut être plus important que le virus lui-même.

Ce scénario catastrophe n'est pas une fiction, c'est la réalité. Il se produit déjà maintenant.

Et ce que nous voyons n'est peut-être qu'une petite partie de l'iceberg.

Nous pourrions assister à un effondrement complet de notre économie occidentale, et à une misère croissante - pour les masses. -

Qu'arrivera-t-il à ces personnes, sans emploi, sans revenus, beaucoup d'entre elles risquent aussi de perdre leur maison, car elles ne pourront pas payer leur hypothèque ou leur loyer ?

Réduction de la population

En 1974, sous l'administration Nixon, le secrétaire d'État Henry Kissinger a été chargé - sous les auspices du Conseil national de sécurité - d'esquisser les contours d'un « programme de dépeuplement » visant essentiellement les pays du Tiers-Monde. Un document intitulé « NSC Study Memorandum 200 » a été rédigé.

Le programme de dépeuplement est resté une partie intégrante de la politique étrangère étasunienne. Il a également été approuvé par plusieurs organisations caritatives et fondations d'entreprises. À cet égard, les fondations Bill et Melinda Gates et Rockefeller se sont penchées sur la relation entre l'extrême pauvreté et la dépopulation.

La réduction de la population fait-elle partie de cet exercice de pandémie en cours qui pourrait être suivi d'un programme de vaccination obligatoire ?

Bill Gates, dans une émission du TED en 2010, a parlé d'une réduction de la population de 10 à 15 % (environ 1 milliard de personnes) par la vaccination mondiale, les soins de santé, etc.

Selon William Engdahl :

« Gates a fait ses remarques à la conférence TED2010 de Long Beach, Californie, sur invitation seulement, dans un discours intitulé « Innover pour arriver à zéro ! En plus de la proposition scientifiquement absurde de réduire à zéro les émissions de CO2 produites par l'homme dans le monde d'ici 2050, environ quatre minutes et demie après le début de la conférence, M. Gates déclare : « Nous avons d'abord la population. Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards d'habitants. Ce chiffre passe à environ 9 milliards. Maintenant, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous réduisons ce chiffre de 10 ou 15 % ». (Réf. Bill Gates, « Innovating to Zero ! », discours à la conférence annuelle TED2010, Long Beach, Californie, 18 février 2010).

Cliquez ICI
pour voir la vidéo de Bill Gates (3′.55″ - 4'30 »)

Vaccination

Depuis 20 ans, la Fondation Gates a mené des programmes intensifs de vaccination des enfants en Afrique.

En 2014 et 2015, le Kenya a mené un programme massif de vaccination contre le tétanos, parrainé par l'OMS et l'UNICEF. Le gouvernement a administré un vaccin à base d'anatoxine tétanique imprégnée de gonadotrophine chorionique humaine bêta (BhCG) qui provoque une infertilité permanente chez les filles et les femmes, à environ 500 000 filles et femmes âgées de 14 à 49 ans.

Une organisation appelée GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization) est un partenariat public-privé ; la partie publique étant l'OMS et l'UNICEF ; les partenaires privés sont une série de « big-pharmas' (grandes sociétés pharmaceutiques). La GAVI distribue des vaccins gratuits aux pays pauvres, comme le Kenya.

Si un vaccin peut être implanté avec un agent de stérilisation, toute autre molécule ou protéine affectant la santé ou l'ADN peut être mise dans un cocktail de vaccination. (Voir ces références Kenya : Des milliers de personnes infertiles après une vaccination parrainée par le gouvernement et « Stérilisation de masse » : Mass Sterilization": Kenyan Doctors Find Anti-fertility Agent in UN Tetanus Vaccine? (Les médecins kenyans trouvent un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos de l'ONU)

Événement 201. L'exercice de simulation d'une pandémie

Un autre facteur important peut être lié à l'épidémie de la COVID-19. ce curieusement au début de la décennie 2020, et quelques semaines seulement après l'événement 201, le 18 octobre à New York, parrainé par - vous l'avez deviné - Bill Gates, l'Institut de santé de l'Université Johns Hopkins (fondé par la Fondation Rockefeller) et le WEF (Forum économique mondial), se réunissant chaque année en janvier à Davos, en Suisse).

L'un des points à l'ordre du jour de l'événement 201, était une simulation de pandémie - curieusement appelée 2019-nCoV - l'actuelle pandémie de coronavirus. Les résultats de la simulation étaient les suivants : après 18 mois, 65 millions de morts, un crash boursier d'au moins 30 %, des faillites massives et un chômage massif - bref, un effondrement économique que le monde n'a jamais connu dans l'histoire récente. Telle était la simulation. - Est-ce la direction que nous prenons maintenant ?

La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l'Agenda ID2020 ».

Curieusement, pour réaliser et contrôler ces différents éléments d'un « plan de jeu » ou à une plus grande échelle, il existe ce petit Agenda ID2020 - également une création de la Fondation Gates. L'une des idées de la Cabale est de doter chaque citoyen du monde d'une identité électronique, afin qu'il puisse être suivi et que ses paroles et ses actes soient contrôlés partout. C'est l'une des tâches de l'Agenda ID2020, qui sera d'abord testée - actuellement en cours - au Bangladesh.

L'idée est, en temps voulu (lorsque le programme sera prêt), d'utiliser le programme de vaccination, éventuellement forcé, pour injecter avec le vaccin une nanopuce, qui peut être injectée en même temps que le programme de vaccination. Cela pourrait se faire à l'insu de la personne et, plus tard, à distance, avec des données personnelles, du dossier médical au casier judiciaire, en passant par le compte bancaire. En fait, la Fondation Gates, en collaboration avec GAVI https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153, a déjà mis au point une puce semblable à un tatouage qui serait utilisée à la fois pour la vaccination et l'identification électronique.

Voir les références suivantes :

Pour mettre en œuvre, surveiller et contrôler ces programmes polyvalents, de puissantes ondes électromagnétiques sont nécessaires.

C'est pourquoi la 5G - totalement non étudiée, non testée - en terrain inconnu est nécessaire. Il n'y a pas de temps à perdre en faisant des tests. L'objectif de ce programme ést d'atteindre l'année 2030, comme les objectifs de développement durable déclarés par les Nations unies. (SDG)

En fait, l'Agenda 2020 est intimement lié aux SDG, en particulier au SDG 16 qui vise essentiellement à promouvoir l'État de droit.

Lors d'un sommet spécial en mai 2016 à New-York, inspiré par la Fondation Gates, le Bureau des Nations Unies pour les partenariats (UNOPS), le SDG 16.9 a été créé, correspondant à l'objectif de l'Agenda ID2020, pour :

« Fournir une identité légale à tous, y compris l'enregistrement des naissances, d'ici à 2030 .... exploiter l'identité numérique pour la communauté mondiale .... Environ un cinquième de la population mondiale (1,8 milliard de personnes) est sans identité légale, ce qui la prive d'accès aux soins de santé, aux écoles, aux abris ».

Voir aussi Coronavirus - Aucun vaccin n'est nécessaire pour la guérison

C'est un scénario sur lequel nous devons réfléchir.

La Banque mondiale et le FMI ont déjà offert leur aide sous forme de prêts importants à faible coût et même de subventions pour les plus pauvres des pays pauvres. Les chiffres initiaux de la Banque mondiale étaient de 12 milliards de dollars et ceux du FMI de 50 milliards de dollars pour des lignes de crédit visant à atténuer les dommages causés par la couronne. Dans l'intervalle, les deux ont augmenté la mise. Dans le cas du FMI, ils parlent de jusqu'à un trillion de dollars. Certains membres du conseil d'administration du FMI ont demandé la création d'un fonds spécial de droits de tirage spéciaux (DTS) pouvant atteindre 4 000 milliards de DTS. Cela démontre à quel point l'élite dirigeante ne veut pas perdre le contrôle de la mondialisation. Plus de 60 pays ont apparemment déjà demandé l' »aide » (sic) du FMI.

Ces gouvernements engagent le cœur de leurs pays et la vie de leurs populations dans l'esclavage, dans la tyrannie économique et monétaire d'une élite toujours plus audacieuse. Ces prêts sont conditionnels, comme ce qu'on appelait auparavant les « ajustements structurels » - privatisation des services sociaux et des infrastructures - ce qu'il en reste - et la concession à des sociétés étrangères pour exploiter leurs ressources naturelles : le pétrole, le gaz, les minéraux.... Tout ce que l'Occident convoite pour avancer vers la pleine domination de la planète Terre.
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 18:28

- 2 -

[Ne nous étonnons pas après cela de l'arrivée du rivotril fin mars 2020 ! Je n'hésite pas à le dire : les ARS sont des agences de mort qui méritent la pendaison en direct sur internet afin de servir d'exemple... comme pour Saddam Hussein qui n'était qu'un enfant de chœur en comparaison.]

CORONAVIRUS :
Quand l'ARS CONSEILLE de LAISSER MOURIR


Dans un document à destination des professionnels de santé, l’ARS Île-de-France délivre des consignes claires sur les admissions en réanimation et le choix des patients à sacrifier, faute de moyens.

Cette note administrative de l’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Île-de-France date du 19 mars. La sobriété de son titre tranche avec la gravité de son contenu : « Recommandations régionales Covid-19 : décision d’admission des patients en unités de réanimation et unités de soins critiques dans un contexte d’épidémie à Covid-19 ». Le même jour, selon Le Canard Enchaîné du 22 avril, une circulaire du ministère de la Santé suggérait de limiter fortement l’admission en réanimation des personnes les plus fragiles. Manifestement, l’ARS d’Île-de-France a obtempéré promptement en rédigeant cette note complémentaire…

Pour consulter l'intégralité de la note, cliquez sur ce lien [ou allez au post ci-après].

Ce document de huit pages, partiellement publié par la presse spécialisée, a « pour objectif d’aider les professionnels à coordonner le parcours du patient et à homogénéiser les pratiques entre centres ». Il est notifié qu’il a été rédigé « collégialement » par « un groupe d’experts ». Collégialement…. Le mot semble être apposé-là pour tout justifier, y compris l’injustifiable.

"Équilibre rompu" et état "d'exception"

D’emblée, les enjeux sont résumés avec froideur : « Le contexte est celui d’une pandémie mondiale inédite en taille, en extension, en gravité et en mortalité. L’afflux de patients en condition grave, voire en défaillance vitale pose la question de situations où l’équilibre entre les besoins médicaux et les ressources disponibles est rompu ». De fait, dès le 19 mars, l’ARS Île-de-France reconnaît donc un contexte de grave pénurie de moyens médicaux. Cela fait à peine deux jours que le confinement national a été décidé et mis en place par le président de la République.

Ces « experts » n’hésitent pas à évoquer un contexte « d’exception ». Alors que le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, tente alors chaque soir à la télévision de rassurer la population en expliquant que tout est sous contrôle, cette note reconnaît clairement que « les ressources humaines, thérapeutiques et matérielles pourraient être ou devenir immédiatement limitées ». Habituellement, le langage technocratique sait manier les euphémismes. Mais à la lecture de ce document, on sent que les mots manquent pour décrire l’horreur en cours : « Il est possible que les praticiens sur-sollicités dans la durée soient amenés à faire des choix difficiles et des priorisations dans l’urgence concernant l’accès à la réanimation ». 

"Éthique" et "priorisations"

« Priorisations ». Le terme semble tout droit sorti d’un rapport de logistique. Le terme n’est pas utilisé dans cette note, mais il s’agit bien ici d’encadrer un véritable tri des malades devant leur « afflux ». N’en déplaise aux autorités sanitaires, ce contexte « d’exception » est d’abord le résultat d’une pénurie qui résulte de choix politiques comptables opérés depuis une vingtaine d’années au nom de la « bonne gestion » néolibérale. Dès le début du confinement, plusieurs médecins dénoncent cette logique de « médecine de guerre ». D’autres s’indignent de cette France devenue en quelques années « un pays sous-développé en matière de santé », comme le professeur Philippe Juvin, chef de service des urgences à l’hôpital Georges Pompidou, et maire LR de La Garenne-Colombes. 

Alors, dans ce contexte terrible, la note administrative évoque « les principes éthiques ». « Ce document vise à apporter un soutien conceptuel à toutes les équipes soignantes dans la gestion de première ligne de la pandémie COVID-19 », est-il notifié. « Il s’adresse particulièrement aux médecins qui, en termes de culture, de formation ou d’expérience, ne sont pas nécessairement habitués à la démarche réflexive des limitations des traitements ». Dans cette situation, l’enjeu est de préserver « une décision personnalisée pour chaque individu », ainsi qu’une « procédure collégiale », bien que « la place laissée aux proches dans le processus décisionnel et dans l’accompagnement risque d’être limitée par ces circonstances exceptionnelles ».

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"Les principes d'une décision d'admission en unité de soins critiques".
Extrait de la note administrative de l'ARS Île-de-France.

"Sortir un patient déjà en réanimation pour faire une place"

Le document évoque alors le « cas particulier de l’absence de lit disponible chez un patient pour lequel l’admission en réanimation est retenue ». La première réponse « logique » et celle d’un « transfert dans une autre structure de réanimation qui aurait une place disponible ». Est évoqué aussi le fait « d’optimiser l’oxygénation du patient », mais une « troisième possibilité qui permettrait d’éviter de faire perdre une chance au patient nécessitant une admission en réanimation serait de faire sortir un patient déjà en réanimation pour faire une place (bumping) » (1) … 

Cette logique implacable du flux consisterait à « extuber des malades plus tôt pour les transférer en structure intermédiaire ». Dit autrement, il s’agit d’anticiper « l’éventuelle introduction des soins palliatifs ainsi que l’accompagnement des familles ». 

Autre point sensible de la note : les personnes âgées en EHPAD (Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes), et en USLD (Unités de soins de longue durée), qui sont donc, dès le 19 mars, considérées comme non prioritaires en réanimation. Il est ainsi recommandé que « les régulateurs du SAMU doivent avoir un accès facile aux éventuelles directives anticipées et aux notes écrites dans le dossier médical » et qu’un « médecin d’astreinte doit pouvoir être contacté H24 pour participer le cas échéant à la décision collégiale de non admission en réanimation ». Pour ces personnes âgées, la non admission en réanimation semble donc être la règle, et l’admission, l’exception. À la lumière de cette note, n’assiste-t-on pas, à bas bruit, à un renversement total des valeurs médicales ? 

L'âge est "particulièrement à prendre en compte pour les patients COVID"

Ces personnes âgées sont d’autant plus vulnérables socialement qu’elles sont coupées depuis le début du confinement de tout contact réel avec leurs familles. Voilà pourquoi la note rappelle qu’une « réflexion sur les modalités optimales d’information des familles doit être entreprise dans un contexte d’interdiction de visites et de possibilité de dégradation brutale ». 

Dans les éléments que les soignants doivent prendre en compte dans leur décision d’admission ou de non admission figurent notamment, on l’a vu [voir plus haut "les principes d'une décision d'admission en unité de soins critiques"], la « fragilité » et « l’âge » des patients, facteur « à prendre particulièrement en compte pour les patients COVID », est-il précisé. Autrement dit, parmi les facteurs discriminants dans la prise en charge, l’âge est particulièrement mis en avant.

Concernant la « fragilité », l’ARS Île-de-France intègre dans sa note un tableau particulièrement révélateur, intitulé « échelle de la fragilité clinique », et issu d’une étude formalisée par la Dalhouse University, une université canadienne d’Halifax.

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"Échelle de la fragilité clinique".
Extrait de la note administrative de l'ARS Île-de-France.

Le risque de "priver un autre patient d'une prise en charge en réanimation"

Mais l’insoutenable est formalisé en page 6 de la note. Il y est notifié en toutes lettres la possibilité d’une non admission en réanimation « parce que l’admission en soins critiques relèverait d’une obstination déraisonnable, définie par des thérapeutiques ne bénéficiant par au patient, disproportionnées par rapport au bénéfice attendu, qui n’auraient d’autre but qu’un maintien artificiel - et transitoire - de la vie au prix de souffrance pour le patient et ses proches, et d’une détresse des équipes ».

Pour justifier une telle recommandation, la note met immédiatement dans la balance la vie des autres patients dans un contexte de services surchargés : « Une telle admission risquerait aussi de priver un autre patient d’une prise en charge en réanimation, alors qu’elle/il aurait plus de chance d’en bénéficier. Ainsi, nous considérons licite de ne pas admettre un patient en réanimation dès lors qu’il s’agit d’une obstination déraisonnable, y compris si une place de réanimation est disponible ». 

News au 16 juillet 2020 Extrai10
Critères de sélection.
Extrait de la note administrative de l'ARS Île-de-France.

À défaut de réanimation, des soins palliatifs

Dans tout ce processus, la note enjoint aux soignants de notifier par écrit chaque décision, d’en assurer la « collégialité », et le fait de communiquer au maximum auprès des familles. Il s’agit, en effet, « d’intégrer l’exigence permanente de limiter les tensions en amont et en aval ». Les tensions en aval ? Manifestement, il s’agit pour les autorités sanitaires d’anticiper d’éventuelles attaques judiciaires des familles après l’épidémie.

En conclusion, les experts de l’ARS Île-de-France rappellent ainsi que « l’accompagnement des patients en situation de fin de vie et de leurs proches doit rester une priorité des équipes soignantes ». Ajoutant : « L'anticipation d’ouverture d’unités aiguës de soins palliatifs devant assurer cette mission doit être encouragée, dans le même temps que l’ouverture des capacitaires de soins critiques ».

Manifestement, pour la majorité des personnes âgées mourantes du Covid-19 en EHPAD, ces soins palliatifs n’ont pas pu être assurés, faute de moyens. Elles sont aujourd’hui près de 9000 à être mortes loin de leurs familles. Et comme le rappelait Le Canard Enchaîné, suite à la circulaire du ministère et à ces recommandations, le nombre de patients âgés en service de réanimation a considérablement chuté en quelques jours : le 21 mars, 19 % des patients placés en réanimation étaient âgés de plus de 75 ans ; le 5 avril, il n’étaient plus que 7 % Pour les plus de 80 ans, le taux est passé de 9 % à 2 %. 

Les bureaucrates de la santé ont semble-t-il trouvé la solution : pour évacuer un problème, mieux vaut l’effacer en amont. Et tout cela se fait dans un silence de mort.

(1) "Supplantation", en anglais managérial...

[Il est clair maintenant, ce dont je me doutais depuis longtemps, que les soins palliatifs dont les évêques conciliaires sont très friands, ne sont ni plus ni moins qu'une euthanasie déguisée. Je l'ai vécu en direct avec mon propre père, mais alors je ne comprenais pas la chose : c'était en 1993 ! Il faudra que tous ces criminels de santé en rendent compte devant le monde entier, et cela se fera lors du Jugement dernier : qu'ils le sachent et qu'ils tremblent, car leur compte sera sévère et impitoyable !]
>>> France : des vieux condamnés à mort (video)
>>> Dr Serge Rader - "On achève nos personnes âgées dans les ehpad par sédation Rivotril"
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 20:32

- 3 -

[Voir le post précédent pour plus de compréhension.]
(pour tourner les pages, maintenir un clic tout en glissant dans le sens souhaité)

>>> ABANDON des PERSONNES ÂGÉES : les IMAGES de l’HORREUR dans un EHPAD PARISIEN
>>> Un DÉCRET du 28 mars 2020 AUTORISE l’EUTHANASIE pour se DÉBARRASSER des VIEUX
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 21:47

- 4 -

[Ce qui suit est ahurissant dans les deux sens que je vais dire :
1- Il y a des moments où les évêques semblent se rappeler la doctrine catholique ; ces moments sont très rares et prouvent que les dits évêques sont bien des apostats puisque connaissant bien la doctrine catholique et la contredisant et combattant dans leurs dires, faits et gestes.
2- La doctrine hérétique de l'abbé de Nantes apparaît enfin au grand jour.
À part la conclusion idiote de ce document et sa dernière partie quelque peu faiblarde puisque conciliaire, le dit document est excellent ; c'est d'ailleurs pourquoi le frère Bruno a supplié Moulins-Beaufort de l'enlever.]

AVERTISSEMENT
concernant la DOCTRINE de la CONTRE-RÉFORME CATHOLIQUE
 
La Commission doctrinale de la Conférence des évêques de France adresse un avertissement aux fidèles catholiques qui rencontrent la « Contre Réforme catholique » (CRC) ou certains de ses membres. Au centre des préoccupations de la commission doctrinale concernant la CRC, se trouve la doctrine eucharistique de l’abbé Georges de Nantes qui comporte des erreurs et de véritables dangers pour la foi et la vie spirituelle.

« Que la parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et avertissez-vous les uns les autres en toute sagesse » (Col 3, 16).

Le terme plusieurs fois employé pour désigner les erreurs est celui de « sensualisme »[1]. Une fausse théorie du mariage mystique entre le Christ et Marie est également dénoncée. Celle-ci, qui découle de sa conception sensualiste de l’eucharistie, l’a amené à « des comportements moraux inadmissibles de la part d’un prêtre », selon les termes de la Congrégation pour la doctrine de la foi[2]. Dans un article du journal Libération, il est précisé : « Le plus insupportable pour les familles des victimes est sa pratique du “baiser mystique”, un délire érotomane où il tente d’entraîner les femmes. “N’ai-je pas le droit de chercher votre bouche en toute liberté, […] soutenant votre corps et tournant vers mes lèvres vos lèvres affamées”, a-t-il écrit, insistant : “La vraie mystique est érotique, […] pétrie du désir de jouir de l’être aimé, de ses aveux et de son don amoureux” »[3].

Le fondateur du mouvement de la Contre-Réforme catholique, Georges de Nantes, décédé en 2010, a fait l’objet de plusieurs avertissements, notifications et sanctions canoniques.

Plusieurs témoignages récents indiquent malgré tout que certains membres de la CRC sont présents et actifs dans divers diocèses de France : dans des paroisses, dans des groupes de jeunes professionnels, dans divers mouvements et associations et même parfois dans des séminaires. Sans préjuger de l’intention individuelle de chacun, il importe d’avertir les fidèles des erreurs véhiculées par ce mouvement.

Une théologie de l’eucharistie dangereuse

Pour éviter des condamnations directement contre sa doctrine, la CRC a développé une culture de l’ambiguïté qui met en avant des raisonnements spécieux et se contredisant d’une ligne ou d’un paragraphe à l’autre. Il se trouve néanmoins, en étudiant largement les documents qui circulent, les nombreux feuillets, cassettes audio ou autres supports que les enseignements souvent incohérents de Georges de Nantes, non seulement continuent d’être diffusés, mais surtout peuvent conduire ceux qui les reçoivent à s’éloigner de la foi catholique.
Précisons, car ce mot sera employé souvent dans le présent avertissement, que le Magistère vivant de l’Église désigne les évêques en communion avec le successeur de Pierre (l’évêque de Rome), en tant qu’ils ont la charge d’interpréter de façon authentique la Parole de Dieu, écrite ou transmise. Leur autorité, en cette matière, s’exerce au nom de Jésus Christ, au service de la Parole de Dieu, avec l’assistance de l’Esprit Saint. Les vérités de la foi sont unies entre elles et partent toutes d’une obéissance à la Parole écoutée (cf. He 11). C’est dans cet esprit de docilité à la Parole de Dieu transmise dans l’Église que l’on évite de s’égarer.

De fausses doctrines

Outre les ignorances feintes ou réelles qui marquent l’enseignement sur l’eucharistie dispensé dans la mouvance de la CRC et que nous évoquerons ensuite, il faut tout d’abord dénoncer des contre- vérités manifestes. Avec les années, il apparaît que l’enseignement de Georges de Nantes sur l’eucharistie a évolué vers de plus en plus d’incohérence et de fausseté, mais dès les années 1970, il développe des thèses erronées.

Est à rejeter fermement la théorie de la transformation du pain et du vin en Corps et Sang du Christ comme une prolongation de l’Incarnation : « sous l’emprise de son âme [le Christ] se faisant une extension réelle, matérielle, historique, de son Incarnation » [4]. Derrière cette formulation et d’autres semblables, transparaît la christologie inacceptable de la CRC, selon laquelle l’âme du Christ préexisterait à une première incarnation par laquelle le Christ s’empare de son corps puis, dans l’eucharistie, s’emparerait des accidents du pain et du vin qui deviendraient son corps et son sang, de sorte, finalement, que nous qui les mangeons, nous assimilions ce corps et le Christ continuerait de s’incarner, cette fois, en nous [5] ! Selon cette fausse pensée, l’humanité du Christ serait « une manière d’être de la nature divine, ou plutôt de l’existence divine », le pain et le vin en étant une autre ! Tout ceci est contraire à l’enseignement et la foi de l’Église pour laquelle le Christ est vrai Dieu et vrai homme, selon la formule du concile de Chalcédoine (451).

De plus, en prétendant que l’âme du Christ se saisit en quelque sorte de notre corps lorsque nous assimilons en nous les espèces eucharistiques, il inverse la foi traditionnelle selon laquelle c’est plutôt notre âme qui se laisse transformer par cette nourriture divine quand notre corps assimile physiquement les espèces eucharistiques [6]. Cette transformation ne change pas notre nature mais nous fait participer spirituellement à la sienne.

Avec sa théorie de l’emprise de l’âme du Christ sur le pain et le vin, Georges de Nantes tente de surmonter le problème philosophique de la permanence des accidents (à savoir les apparences du pain et du vin) lorsque change la substance à la consécration. Mais la « solution » qu’il propose renverse toute la vérité de foi. La foi en la transsubstantiation est que la parole du Christ transforme les choses offertes, de sorte que le Christ tout entier, Dieu et homme, se rende présent sous les espèces. Georges de Nantes refuse que le Christ se cache sous « le voile des espèces » et, en cela, prétend mieux assumer la foi en la transsubstantiation. Or, en réalité, en inversant le langage traditionnel, il en ferme l’accès à l’intelligence de ses auditeurs et s’oppose directement à l’expression de la foi de l’Église développée par tous les conciles œcuméniques et tous les enseignements du Magistère depuis le IVe concile du Latran en 1215.

Avec leur conception très « physique » de l’eucharistie, Georges de Nantes et ses disciples en viennent à une conception sensualiste (qui leur a été plusieurs fois reprochée) de la participation des fidèles à l’eucharistie. Selon cette spiritualité, la manducation des espèces serait vécue sur le mode du contact physique avec le corps du Christ, contact physique qui serait la condition d’un authentique réalisme de l’union mystique au Christ. La bouche du communiant embrasserait le Corps du Christ dans la communion, la sensation de contact avec l’hostie consacrée étant le lieu même de l’expérience d’union au Christ. Pareille conception, non seulement nie toute réalité à la tradition de la communion spirituelle ou communion de désir, mais surtout, en reniant le « voile des sacrements », elle prive le baptisé de la liberté d’un acte de foi pour accueillir avec fruit la grâce contenue dans les mystères sacrés. Sans doute est-il possible de trouver, dans les écrits de certains mystiques, des expressions qui pourraient être rapprochées de cette communion très sensuelle. Mais chez les mystiques chrétiens, les effets affectifs de la communion ne peuvent être goûtés que dans la foi de l’Église, avec l’humilité d’un cœur qui ne recherche pas les émotions mais peut éprouver, quand Dieu le veut, des consolations sensibles. Celles-ci ne découlent en aucun cas de la perception que les sens éprouvent en mangeant le pain ni en buvant le vin. La foi des saints et des mystiques, dans la communion eucharistique, s’oriente totalement vers la présence sacramentelle du Seigneur Jésus et non vers le ressenti d’un contact physique avec les accidents (autrement dit les apparences) du pain et du vin, qui seuls sont perceptibles directement aux sens. Or, Dieu transcende toute réalité sensible, même lorsqu’il offre sa grâce dans les sacrements. Jésus lui-même l’explique à la fin du discours du pain de vie : « C’est l’Esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien » (Jn 6, 63).

Le dérapage s’aggrave quand Georges de Nantes écrit que sa spiritualité eucharistique est une « mystique érotique » ou qu’il enseigne que Jésus, dans l’eucharistie, se donne pour recevoir un baiser du communiant. Il aurait dit aussi que le bruit de la fraction des hosties pendant l’Agnus Dei serait celui des côtes du Christ que casserait le prêtre ! Ces mots indignes contredisent les Écritures qui prennent soin d’indiquer que pas un de ses os ne fut brisé (cf. Jn 19, 36 ; Ps 34, 21 ; Ex 12, 46 ; Nb 9, 12), et ils confirment le dérèglement de cette piété.

D’étranges ignorances

Déjà en 1977 [7], il faut remarquer que l’abbé de Nantes ignore certains aspects de la foi eucharistique de l’Église :
Il oublie la signification des paroles du Christ : « Faites cela en mémoire de moi ». En effet, il rejette fermement toute théologie du mémorial qu’il suppose horizontale, comme si le « faites mémoire » ne correspondait qu’à l’évocation du souvenir des événements passés. Il feint d’ignorer la signification biblique du mémorial, telle que les conciles et la Tradition de l’Église l’ont toujours comprise. Mais plus tard, vers la fin de son exposé, comme pour lui redonner cohérence, il dit l’inverse et évoque le mémorial sacrificiel du Christ comme actualisation de l’unique sacrifice de la croix.

Probablement à cause de ce qu’il appelle par ailleurs sa « métaphysique relationnelle », il ne comprend manifestement pas le sens de la distinction classique entre matière et forme d’un sacrement qui sont fondés sur une métaphysique ontologique. De même, il change aussi le sens de la distinction, souvent utilisée par le Magistère, entre substance et accidents (ou espèces). Sans jamais les définir, il donne à ces mots des significations fausses, mêlant sans discernement ni nuances au vocabulaire classique des raisonnements basés sur la physique ou la chimie modernes.

De plus, lorsqu’il parle du sacrifice eucharistique, il ne prend pas en considération l’action de grâce pour la création à la louange du Père par le Christ qui y est intimement liée. Son affirmation absurde selon laquelle « la matière du sacrement c’est le corps et le sang du Christ » et non le pain et le vin, ignore l’offrande par l’Église du pain et du vin qui vont devenir le corps et le sang du Christ. Il dit s’appuyer sur les paroles même de Jésus dans les récits de l’institution mais il fait l’impasse sur ses gestes : « Il prit le pain, le bénit… il prit la coupe remplie de vin, la bénit. » L’offrande spirituelle de soi qui est participation des chrétiens au sacrifice de toute l’Église n’est pas prise en considération. Est ignoré le conseil de saint Paul : « Tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus, en offrant par lui votre eucharistie à Dieu le Père » (Col 3, 16-17).

Des propos équivoques, fréquents et contraires à ce qu’enseigne l’Église

L’enseignement publié sur le site internet crc-resurrection concernant l’eucharistie, sous le titre Nouvelle théologie de l’Eucharistie est emblématique des équivoques doctrinaux récurrents. Ce texte, reprenant deux articles de l’abbé de Nantes en 1977, fait diverses allusions à des abus dans la réforme liturgique voulue par le concile Vatican II, concernant la célébration de la messe dans le contexte de l’après-Concile. Ces abus semblent motiver une nouvelle théologie de l’eucharistie. Pareilles considérations commencent à dater et beaucoup d’autres ont analysé ces difficultés avec bien plus de précision et dans un esprit de docilité au Magistère vivant. Mais sur ce sujet comme sur d’autres, dans ce que publie la CRC, le vrai est mélangé avec du faux.

Concernant la foi eucharistique de l’Église, les articles cités présentent des confusions et des formules inacceptables. L’auteur prétend y avoir proposé une « refonte générale du Traité de l’eucharistie »8. La confusion où il se complaît se pose comme une nouvelle synthèse théologique, supérieure, selon lui, à ce qu’enseigne le Magistère de l’Église depuis huit siècles ou à ce qu’ont su exprimer l’ensemble des théologiens actuels et passés.

Inquiétant « mariage mystique »

Le n° 120 de la revue CRC d’août 1977 récapitule et commente la théologie des sept sacrements présentée dans les numéros précédents. On peut s’interroger également d’une façon sérieuse sur la manière dont il y prolonge sa théologie du mariage.

Après quelques considérations classiques sur le sacrement de mariage lui-même, viennent trois paragraphes sur « le mariage mystique » dans lequel il présente les vœux religieux comme une « certaine espèce du sacrement de mariage »9.

Il faut avertir les fidèles contre le danger de ce mélange flou entre l’engagement religieux et une spiritualité sponsale. Ce style de discours a fait le malheur de bien des victimes féminines d’abus par de faux maîtres spirituels des XXe et XXIe siècles.

S’appuyant sur les similitudes de formes rituelles entre vœux religieux et mariage, Georges de Nantes affirme que dans les vœux religieux, « l’un des époux est Jésus Christ, ou l’Église, selon le sexe du contactant humain et la forme de son engagement ». Cette affirmation sans correctif ecclésiologique, est non seulement légère mais dangereuse, propre à favoriser des attitudes inappropriées. L’union à Dieu dans la consécration religieuse et dans la tradition spirituelle mystique n’a jamais été attachée à un genre précis. Ce que dit la lettre aux Éphésiens de l’analogie entre les noces du Christ et de l’Église et l’union conjugale de l’homme et de la femme ne peut être appliqué ainsi, sans explication ni nuances, à la consécration religieuse. Car c’est toujours à l’intérieur du mystère de l’Église qu’un homme ou une femme fait le don de sa vie dans la pauvreté, l’obéissance et la chasteté. Pareille consécration n’est jamais une assimilation au Christ pour les hommes ni à l’Église pour les femmes.

La vocation aux ordres sacrés qui sera une configuration au Christ-tête de l’Église est reconnue non d’abord comme une consécration, mais comme la réponse à un appel du Christ et de l’Église, puis comme un ministère (un service). Par ailleurs, les vierges consacrées, dans l’Église, sont signes eschatologiques de l’Épouse du Christ et de la vie future. Dans cette vie future, il importe de rappeler ce que précise le Seigneur : « À la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel » (Mt 22, 30). Et c’est donc toute l’Église du ciel (hommes et femmes) qui sera cette Épouse et non telle ou telle consacrée prise individuellement pendant son pèlerinage sur la terre.

Georges de Nantes reprend ensuite l’idée selon laquelle les vœux religieux devraient être considérés au moins comme un sacramental à défaut d’être un sacrement, pour affirmer que la vie religieuse serait « une vocation d’amour nuptial non dans des liens charnels mais spirituels »… et il conclut que « faire du mariage mystique, une espèce supérieure du sacrement de mariage chrétien me paraît convenable et savoureux ».

Le texte en question ne précise pas le contenu des mots ni les conséquences pratiques que l’on en tire. Mais, lorsqu’on a étudié sa théorie sensualiste de l’eucharistie, on perçoit, dans le flou même de ces énoncés, qu’ils peuvent conduire, en pratique, à justifier n’importe quel abus au sein d’une communauté. D’autant plus qu’une communauté n’ayant pas de statut canonique n’est jamais visitée par l’autorité de l’Église, ce qui la prive de toute vérification et ajustement dans les relations.

Nous n’aborderons pas ici le débat sur la théologie de la Trinité et la formule malheureuse présentant le Père, le Fils et l’Esprit Saint comme « trois êtres divins ».

Plus désolante est la doctrine concernant la Vierge Marie qui serait dotée d’une âme éternelle ayant précédé non seulement sa naissance mais la création d’Adam et Ève à laquelle l’âme de Marie aurait participé, par son union mystique avec l’âme éternelle du Christ. Ces théories sont absurdes et tout à fait contraires à l’anthropologie chrétienne qui voit dans la conception naturelle d’un enfant le début de l’existence de sa personne (corps, âme et esprit) et jamais une préexistence d’une âme sans corps. Ces théories se rapprochent d’anthropologies païennes ou extrême-orientales, incompatibles avec l’anthropologie biblique. La confusion entre le Verbe éternel et son âme éternelle (ayant la faculté de s’incarner successivement de plusieurs manières) a déjà été rencontrée à propos de l’eucharistie.
De plus, penser la création des premiers humains comme l’image d’une relation conjugale éternelle unissant l’âme du Christ et celle de sa mère, apparaît fantaisiste (cf. cassettes audio de 1993). L’anthropomorphisme d’une conjugalité éternelle entre un éternel masculin et une éternelle féminine n’est pas conciliable avec la compréhension la plus ancienne du baptême chrétien, selon laquelle, en Christ, « il n’y a plus ni homme ni femme » (Gal 3, 28).

Jeux de langage et rupture avec l’Église

Georges de Nantes et ses adeptes, s’expriment souvent sur un ton acerbe, déplorant une soi- disant incapacité du Magistère et des théologiens à résoudre les problèmes auxquels ils prétendent proposer, eux, des solutions. Ils prétendent, à l’occasion, que « l’ordre épiscopal est décidément bien bas ». Mais ils sont capables d’affirmer ensuite, en cas de difficulté, que ce qu’ils ont dit reste dans le champ de la recherche théologique et qu’ils attendent même avec sérénité la contradiction et la souhaitent, sûrs qu’elle aidera à la manifestation de la vérité.

Or, dans l’ensemble des textes publiés par la CRC, on trouve une manière fausse de se situer en Église, devant le Magistère. L’enseignement de l’Église sur les vérités de la foi n’est pas accueilli religieusement mais jugé ou déformé.

Au centre des revendications de la CRC vis-à-vis de l’autorité ecclésiale se trouve la question du droit à « faire connaître aux Pasteurs sacrés son opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles de l’Église » (Code de droit canonique, n° 212 §3). Or, cela peut s’appliquer sur des questions de gouvernance, en vue du bien de l’Église, à condition toutefois de mettre en œuvre aussi le §1 du même article 212 du Code qui parle l’obéissance due aux Pasteurs sacrés en ce qui concerne la foi et les décisions prises « en tant que chefs de l’Église ». Et l’opinion à exprimer ne peut en aucun cas prévaloir sur ce qui est « contenu dans la Parole de Dieu écrite ou transmise par la Tradition, en même temps proposé par le magistère solennel ou ordinaire et universel de l’Église » (can. 750 §1). L’enseignement du Magistère sur la foi requiert des fidèles un assentiment religieux et l’obligation d’éviter toute doctrine contraire. Il existe certes, une liberté de recherche des théologiens, mais à l’intérieur de la règle de foi, ce qui suppose une conscience profonde d’avoir à être enseigné, même en ce qui concerne les doctrines énoncées par le Magistère ordinaire sans intention de les proclamer comme définitifs et solennels.

La CRC reproche souvent à saint Paul VI d’avoir dit : « Nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ! » Ces mots ont été prononcés depuis la basilique Saint-Pierre, du berceau de la foi chrétienne, lieu symboliquement parmi les plus chargés au monde de signification religieuse, à la fin du concile œcuménique ayant été célébré par le plus grand nombre d’évêques de toute l’histoire de l’Église. Ces mots s’adressaient, depuis ce lieu précis, au monde des années 1960, marqué par l’humanisme athée en plein essor. Épingler ce bout de phrase pour faire comme s’il signifiait un reniement de l’unique culte rendu au Père par le Christ dans l’Esprit qui caractérise la célébration chrétienne, n’est-ce pas faire preuve d’une mauvaise foi certaine ?

La CRC fait ainsi usage de difficultés ou d’imprécisions plus ou moins réelles dans des expressions extraites de leur contexte, pour contester telle ou telle formule et dénoncer des comportements. Elle prétend dégager des contradictions dans certains enseignements du Pape, des évêques ou d’autres prêtres ou théologiens. Plus encore, elle affirme de manière répétée, comme une sorte de mantra, n’avoir jamais reçu de condamnation quant à sa doctrine et n’avoir jamais été prise en défaut vis-à-vis du dogme ou du Magistère solennel de l’Église.

Rappelons donc que l’abbé Georges de Nantes, ordonné prêtre du diocèse de Grenoble en 1948, est suspendu de toute mission dans le diocèse de Troyes en 1963 par Mgr Le Coëdic, évêque du lieu. Puis, il est suspendu a divinis (donc de toute mission sacerdotale partout dans le monde) en 1968, par Mgr Fauchet, nouvel évêque de Troyes.

Ayant lui-même sollicité la Sacrée Congrégation pour la doctrine de la foi et souhaité l’examen de ses propres écrits, il fait l’objet de notifications en août 1969 et mai 1983. Ces notifications déplorent sa « révolte contre l’épiscopat de son pays et contre le Pontife romain lui-même ». Elles indiquent le caractère irrecevable de ses accusations contre les papes et dénoncent la violation de ses devoirs de prêtre et de chrétien par la publicité qu’il leur donne. Elles regrettent aussi son refus des rétractations qui lui ont été demandées par l’autorité romaine.

Suite à de nouvelles accusations tant doctrinales que judiciaires accompagnées du départ de plusieurs membres des « communautés » qu’il a fondées, il est frappé d’interdit en 1997 par Mgr Daucourt, évêque de Troyes. Suivent divers recours – en 1997 à Mgr Daucourt, puis à la Congrégation pour la doctrine de la foi qui confirme la condamnation en 1998, et au tribunal de la Signature apostolique, qui confirme également le jugement en octobre 2000. Si la suspense le privait du droit de célébrer les sacrements et d’exercer son sacerdoce, la peine d’interdit le prive de toute participation à une célébration liturgique, de recevoir lui-même les sacrements et du droit à une sépulture religieuse.

Georges de Nantes a bénéficié pendant des années de nombreux éclaircissements et avertissements contre sa « révolte ». Mais il n’a accepté ni les peines qui lui ont été imposées ni de se rétracter en rien. Après sa mort, ses anciens disciples continuent dans le même état d’esprit et entretiennent la conviction d’être les seuls catholiques a avoir gardé la foi. Ils n’ont jamais manifesté leur assentiment religieux au Magistère ordinaire de l’Église.

Après la mort de Georges de Nantes, la CRC qui n’a aucun statut dans l’Église, poursuit ses activités et publications. Elle continue de rassembler des fidèles, certains vivant en communauté de fait, portant un habit de type religieux. À lui seul, le titre auto- désigné de « contre-réforme catholique » exprime la conviction d’avoir mission de sauver ou du moins purifier l’Église. Ceci paraît oublier le besoin de tout baptisé d’être sauvé en Elle par son chef qui est le Christ et purifié par l’œuvre de l’Esprit Saint.

Depuis la mort du fondateur, la CRC défend toujours la même doctrine. Des textes de l’abbé de Nantes sont publiés sur son site internet, un enseignement théologique explicitement contraire à celui des papes et des évêques de l’Église catholique y est présenté.

Aujourd’hui, la CRC n’a plus de prêtre et se comporte de manière ambiguë dans son rapport à ses propres membres et à l’Église catholique. Les membres de la CRC insérés dans des paroisses ordinaires font-ils de l’entrisme idéologique ou cherchent-ils simplement à vivre leur foi ? Dieu le sait. Il arrive que leur présence devienne pesante pour certains groupes, lorsque ces personnes apportent la contradiction sur ce qu’enseigne le Magistère vivant de l’Église, fondé sur la foi des Apôtres, dont ces mêmes Apôtres continuent à témoigner à travers le ministère du Pape et des autres évêques. N’oublions pas la parole de Notre Seigneur Jésus Christ à ses apôtres : « Celui qui vous écoute, m’écoute ; et celui qui vous rejette, me rejette ; et celui qui me rejette, rejette Celui qui m’a envoyé » (Luc 10, 16).

Nous ne pouvons que renouveler, en conclusion de cet avertissement, l’expression de notre tristesse face à cet endurcissement et à ce refus d’accueillir la Parole de Dieu dans sa vraie richesse, celle de l’amour du Christ. Le Seigneur Jésus a donné sa vie pour nous sur la croix et nous appelle à le suivre en accueillant sa grâce dans l’Église qu’il a fondée sur la foi de saint Pierre et des autres Apôtres.

Chaque évêque, dans son diocèse, peut faire l’usage qu’il jugera approprié du présent avertissement pour éclairer les fidèles éventuellement troublés par les erreurs de la CRC.

Rappelons une fois encore les mots de l’Apôtre Paul qui ont guidé notre réflexion pour rédiger ce document : « Que la parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ; instruisez-vous et avertissez-vous les uns les autres en toute sagesse ; par des psaumes, des hymnes et des chants inspirés, chantez à Dieu, dans vos cœurs, votre reconnaissance. Et tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus, en offrant par lui votre eucharistie à Dieu le Père » (Col 3, 16-17).

Juin 2020

1. Cf. Gérard Daucourt, « Déclaration au sujet de l’abbé de Nantes et des communautés qu’il a rassemblées », in Église dans l’Aube, n°3, mars 1997 ; Congrégation pour la doctrine de la foi, Lettre du 24 mars 1998.
2. Lettre du 24 mars 1998.
3. Libération, 18/06/2001.
4. Revue CRC, n° 116 (1977), p. 10.
5. Cf. « Mysterium fidei, le saint sacrifice de la messe » cassette audio, série 124, 1994.
6. Cf. par exemple, saint Justin, Première apologie 1, 66 ou saint Augustin, Sermon 272.
7. Cf. revue CRC, n° 116.
8. Revue CRC n° 120, août 1977, p. 12.
9. Ibid., p. 13.
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 22:35

- 5 -
Un DÉBAT pour RIEN

[Après que Mgr Viganò eut répondu à John-Henri Westen de Life Site News (voir ici : https://catholique.forumactif.com/t36p50-l-affaire-vigano#8802 ), cela éveilla chez Sandro Magister une réplique acerbe (voir ici : http://www.diakonos.be/settimo-cielo/vigano-au-bord-du-schisme-la-lecon-non-entendue-de-benoit-xvi/ ), à laquelle répondit l'Archevêque dans le texte ci-dessous (en langage DeepL puisqu'aucun français n'a voulu traduire le texte), à la suite duquel je continuerai mes réflexions.]

RÉPONSE COMPLÈTE
de l’archevêque VIGANÒ à SANDRO MAGISTER

3 juillet 2020
Saint Irénée, évêque et martyr

Cher Monsieur Magister,

Permettez-moi de répondre à votre article “L’archevêque Viganò au bord du schisme”, publié sur Settimo Cielo le 29 juin.

Je suis conscient que le fait d’avoir osé exprimer une opinion fortement critique à l’égard du Conseil suffit à réveiller l’esprit inquisitorial qui, dans d’autres cas, est l’objet d’une exécution par des personnes sensées. Néanmoins, dans un différend respectueux entre ecclésiastiques et laïcs compétents, il ne me semble pas inopportun de soulever des problèmes qui restent non résolus à ce jour, dont le premier est la crise qui frappe l’Église depuis Vatican II et qui a maintenant atteint un point de dévastation.

Il y a ceux qui parlent de la déformation du Concile ; d’autres qui parlent de la nécessité de revenir à une lecture en continuité avec la Tradition ; d’autres encore de la possibilité de corriger les erreurs qu’il contient, ou d’interpréter les points équivoques dans un sens catholique. D’un autre côté, ceux qui considèrent Vatican II comme un plan d’action pour la révolution ne manquent pas : le changement et la transformation de l’Église en une entité entièrement nouvelle et moderne, en phase avec son temps. Cela fait partie de la dynamique normale d’un “dialogue” qui est trop souvent invoqué mais rarement pratiqué : ceux qui, jusqu’à présent, ont exprimé leur désaccord sur ce que j’ai dit ne sont jamais entrés dans le mérite de l’argument, se limitant à me coller des épithètes qui ont déjà été méritées par mes frères bien plus illustres et vénérables dans l’épiscopat. Il est curieux que, tant sur le plan doctrinal que politique, les progressistes revendiquent pour eux-mêmes une primauté, un état d’élection, qui place apodictiquement l’adversaire dans une position d’infériorité ontologique, indigne d’attention ou de réponse et liquidable de manière simpliste comme lefebvriste sur le front ecclésial ou comme fasciste sur le front socio-politique. Mais leur manque d’arguments ne les autorise pas à dicter les règles, ni à décider qui a le droit de parler, surtout lorsque la raison, même antérieure à la foi, a démontré où se trouve la tromperie, qui en est l’auteur et quel en est le but.

Il m’est d’abord apparu que le contenu de votre article devait être considéré davantage comme un hommage compréhensible au Prince, que l’on peut trouver dans les salons ornés de fresques de la troisième loggia ou dans les bureaux élégants de la rédaction ; et pourtant, en lisant ce que vous m’attribuez, j’ai découvert une inexactitude – disons cela – qui, je l’espère, est le résultat d’un malentendu. Je vous demande donc de m’accorder un espace de réponse chez Settimo Cielo.

Vous affirmez que j’ai prétendument reproché à Benoît XVI “d’avoir “trompé” toute l’Église en faisant croire que le Concile Vatican II était immunisé contre les hérésies et devait en outre être interprété en parfaite continuité avec la véritable doctrine pérenne”. Je ne pense pas avoir jamais écrit une telle chose sur le Saint-Père, bien au contraire : J’ai dit, et je réaffirme, que nous avons tous – ou presque – été trompés par ceux qui ont utilisé le Concile comme un “contenant” doté de sa propre autorité implicite et de l’autorité des Pères qui y ont participé, tout en déformant sa finalité. Et ceux qui sont tombés dans cette tromperie l’ont fait parce que, aimant l’Église et la papauté, ils ne pouvaient pas imaginer qu’au cœur de Vatican II une minorité de conspirateurs très organisés puisse utiliser un Concile pour démolir l’Église de l’intérieur ; et que ce faisant ils pouvaient compter sur le silence et l’inaction de l’Autorité, sinon sur sa complicité. Ce sont là des faits historiques, dont je me permets de donner une interprétation personnelle, mais que d’autres pourraient partager, je pense.

Je me permets également de vous rappeler, comme si cela était nécessaire, que les positions de relecture critique modérée du Conseil au sens traditionnel par Benoît XVI font partie d’un passé récent louable, alors que dans les formidables années 70, la position du théologien de l’époque, Joseph Ratzinger, était tout autre. Des études faisant autorité côtoient les mêmes admissions du professeur de Tubingen confirmant les repentirs partiels de l’émérite. Je ne vois pas non plus de “mise en accusation imprudente de Viganò contre Benoît XVI pour ses “tentatives ratées de corriger les excès conciliaires en invoquant l’herméneutique de la continuité”, car c’est une opinion largement partagée non seulement dans les milieux conservateurs mais aussi et surtout parmi les progressistes. Et il faut dire que ce que les innovateurs ont réussi à obtenir par la tromperie, la ruse et le chantage est le résultat d’une vision que nous avons trouvée plus tard appliquée au plus haut degré dans le “magistère” bergolien d’Amoris Laetitia. L’intention malveillante est admise par Ratzinger lui-même : “L’impression ne cessait de croître que rien n’était plus stable dans l’Église, que tout était ouvert à la révision. De plus en plus, le Concile apparaissait comme un grand parlement de l’Église qui pouvait tout changer et tout remodeler selon ses propres désirs” (cf. J. Ratzinger, Milestones, traduction de l’allemand par Erasmo Leiva-Merikakis, Ignatius Press, San Francisco, 1997, p. 132). Mais plus encore par les mots du dominicain Edward Schillebeecks : “Nous l’exprimons diplomatiquement [maintenant], mais après le Conseil nous en tirerons les conclusions implicites” (De Bazuin, n.16, 1965).

Nous avons confirmé que l’ambiguïté intentionnelle des textes avait pour but de maintenir ensemble des visions opposées et irréconciliables, au nom d’une évaluation de l’utilité et au détriment de la Vérité révélée. Une Vérité qui, lorsqu’elle est intégralement proclamée, ne peut manquer de diviser, tout comme Notre Seigneur divise : “Croyez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division” (Lc 12, 51).

Je ne trouve rien de répréhensible à suggérer que nous devrions oublier Vatican II : ses partisans ont su exercer avec confiance cette damnatio memoriae non seulement avec un Concile mais avec tout, jusqu’à affirmer que leur concile était le premier de la nouvelle église, et qu’à partir de leur concile l’ancienne religion et l’ancienne messe étaient terminées. Vous me direz que ce sont là les positions des extrémistes, et que la vertu se trouve au milieu, c’est-à-dire parmi ceux qui considèrent que Vatican II n’est que le dernier d’une série ininterrompue d’événements dans lesquels l’Esprit Saint parle par la bouche du seul et unique Magistère infaillible. Si tel est le cas, il convient d’expliquer pourquoi l’Église conciliaire a reçu une nouvelle liturgie et un nouveau calendrier, et par conséquent une nouvelle doctrine – nova lex orandi, nova lex credendi – qui se distancie de son propre passé avec dédain.

La simple idée de mettre le Concile de côté provoque le scandale même chez ceux qui, comme vous, reconnaissent la crise de ces dernières années, mais qui persistent à ne pas vouloir reconnaître le lien de causalité entre Vatican II et ses effets logiques et inévitables. Vous écrivez : “Attention : ce n’est pas le Concile qui a été mal interprété, mais le Concile en tant que tel et en bloc”. Je vous demande donc : quelle serait l’interprétation correcte du Concile ? Celle que vous donnez ou celle donnée – pendant qu’ils rédigeaient les décrets et les déclarations – par ses très laborieux architectes ? Ou peut-être celle de l’épiscopat allemand ? Ou celle des théologiens qui enseignent dans les universités pontificales et que l’on voit publiés dans les périodiques catholiques les plus populaires du monde ? Ou celui de Joseph Ratzinger ? Ou celui de l’évêque Schneider ? Ou celle de Bergoglio ? Cela suffirait à comprendre l’ampleur des dégâts causés par l’adoption délibérée d’un langage si obscur qu’il légitimait des interprétations opposées et contraires, sur la base desquelles s’est alors produit le fameux printemps conciliaire. C’est pourquoi je n’hésite pas à dire que cette assemblée doit être oubliée “en tant que telle et en bloc”, et je revendique le droit de le dire sans me rendre ainsi coupable du délit de schisme pour avoir attaqué l’unité de l’Église. L’unité de l’Église est inséparable de la Charité et de la Vérité, et là où l’erreur règne ou même ne fait que s’infiltrer, il ne peut y avoir de Charité.

La fable de l’herméneutique – même si elle fait autorité par son auteur – reste néanmoins une tentative de vouloir donner la dignité d’un Concile à une véritable embuscade contre l’Église, afin de ne pas discréditer avec elle les Papes qui ont voulu, imposé et reproposé ce Concile. A tel point que ces mêmes Papes, l’un après l’autre, s’élèvent aux honneurs de l’autel pour avoir été “papes du Concile”.

Permettez-moi de citer l’article que le docteur Maria Guarini a publié le 29 juin sur Chiesa e postconcilio en réaction à votre article sur Settimo Cielo, intitulé : “L’archevêque Viganò n’est pas au bord du schisme : de nombreux péchés arrivent à leur terme. Elle écrit : “Et c’est précisément de là que naît et c’est pourquoi elle risque de poursuivre – sans résultat (jusqu’à présent, sauf pour le débat déclenché par l’archevêque Viganò) – le dialogue entre les sourds, parce que les interlocuteurs utilisent des grilles de réalité différentes : Vatican II, en changeant le langage, a également modifié les paramètres d’approche de la réalité. Il se trouve donc que l’on parle de la même chose, mais avec des significations totalement différentes. La principale caractéristique de la hiérarchie actuelle est, entre autres, l’utilisation d’affirmations incontestables, sans jamais se soucier de les démontrer ou avec des démonstrations imparfaites et sophistiques. Mais elles n’ont même pas besoin de démonstrations, car la nouvelle approche et le nouveau langage ont tout subverti depuis le début. Et la nature non prouvée de la “pastoralité” anormale, sans principes théologiques définis, est précisément ce qui enlève la matière première du litige. C’est l’avancée d’un fluide informe, changeant et dissolvant à la place de la construction claire, sans équivoque, définitive et véridique : la fermeté incandescente et pérenne du dogme contre les eaux usées et les sables mouvants du néo-magistère transitoire” (ici).

Je continue à espérer que le ton de votre article n’a pas été dicté par le simple fait que j’ai osé rouvrir le débat sur ce Concile que beaucoup – trop – de personnes dans la structure ecclésiale considèrent comme un unicum dans l’histoire de l’Église, presque une idole intouchable.

Vous pouvez être certains que, contrairement à de nombreux évêques, comme ceux de la Voie synodale allemande, qui ont déjà dépassé de loin le bord du schisme – promouvant et essayant effrontément d’imposer des idéologies et des pratiques aberrantes à l’Église universelle – je n’ai aucun désir de me séparer de l’Église Mère, pour l’exaltation de laquelle je renouvelle quotidiennement l’offrande de ma vie.

Deus refugium nostrum et virtus,
populum ad Te clamantem propitius respice ;
Et intercedente Gloriosa et Immaculata Virgine Dei Genitrice Maria,
cum Beato Ioseph, ejus Sponso,
ac Beatis Apostolis Tuis, Petro et Paulo, et omnibus Sanctis,
quas pro conversione peccatorum,
pro libertate et exaltatione Sanctae Matris Ecclesiae,
précède l’effundimus, les misericors et benignus exaudi.

Recevez, cher Sandro, ma bénédiction et mes salutations, avec mes meilleurs vœux pour toute bonne chose, dans le Christ Jésus.

+ Carlo Maria Viganò

(Traduction : site "Abbatah", page 8077)

[À la suite de ce texte que Magister ne publia qu'en italien (carton rouge pour ce grand monsieur), le dit Magister fit une réponse que du coup il fit traduire en français ici : http://www.diakonos.be/settimo-cielo/les-fake-news-de-vigano-et-consorts-demasquees-par-un-cardinal/ . Enfin, une conclusion fut apportée ici : https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2020/07/pour-un-debat-honnete-et-calme-sur.html À vous de suivre tout ce truc avec les liens que j'ai mis.

Mais tout ce débat est absolument inutile car :
1- où l'on reconnaît les papes conciliaires comme catholiques, et conséquemment Vatican II approuvé par les dits-papes ;
2- où l'on rejette Vatican II et conséquemment les papes conciliaires avec lui.

Conclusion :
Un vrai catholique ne discute pas ce qui vient du Pape, du Saint-Siège ou d'un Concile reconnu par le Pontife puisqu'aucune erreur ne peut s'y glisser. Rappelons-nous le Concile du Vatican : tous les évêques, à la demande de Pie IX, furent obligés de se soumettre à ses décisions ; un seul ne le fit pas, et ce fut l'origine des vieux-catholiques. Il suffit de mettre cette règle pour Vatican II, mais en sens inverse, et tout coule de source.]
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE
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Message par Gilbert Chevalier Jeu 16 Juil - 22:46

- 6 -
FAIRE SAUVE-QUI-PEUT
est un JEU MALSAIN

À la lumière du post précédent, nous voyons que tous cherchent ce qu'ils ne doivent pas chercher, savoir, sauver Vatican II. J'en excepte Mgr Viganò qui, s'il continue de la sorte arrivera facilement à la conclusion qui s'impose ; mais alors, il sera traité de sédévacantiste et honni de toute part, mais Dieu le récompensera, et c'est bien l'essentiel. Quant aux autres, ils continueront leurs débats inutiles qui les perdront puisque c'est du toc, étant donné qu'ils ont déjà tranché.
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