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Notules sur un concile

« Dans un petit essai roboratif, Notules sur un concile, Yves Daoudal montre combien, sur des points importants, Vatican II est plus « traditionnel » que Vatican I si l’on prend la peine d’embrasser l’histoire longue, au-delà du XlXe siècle et même de la Réforme. Et tout particulièrement dans la perception de l’Église. Il est vrai que Vatican I est un concile interrompu qui a principalement légiféré sur la primauté du Siège apostolique, couronnant par là une évolution somme toute assez récente menant à une centralisation romaine inconnue dans le lointain passé de l’Église. À la conception très horizontale de l’Église comme « société » dans Pastor Æternus (Vatican I), Lumen gentium oppose une définition qui insiste sur le mystère de l’Église comme Corps mystique du Christ en se référant à saint Paul et aux Pères de l’Église. Il faut lire Lumen gentium dont Yves Daoudal a raison de souligner qu’il s’agit du « texte centra] de Vatican II » (p. 13), autour duquel tous les autres gravitent. »

Christophe Geffroy, éditorial de La Nef n° 249 de juin 2013

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Association des Amis d’Yves Daoudal
B.P. 16023
56160 Guémené sur Scorff

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Commentaires

  • Vous retardez : Shakespeare nous explique comment l'Eglise romaine a explosé au XVIe siècle sous la pression des différentes revendications nationales.

    Les nations d'Europe, dont il n'est pas besoin d'avoir étudié beaucoup plus longuement l'histoire que Christophe Geffroy pour savoir qu'elles ont les mains couvertes de sang et le coeur d'abominations, sont donc les filles illégitimes de l'Eglise romaine. Celle-ci ne peut pas reconnaître ses filles, et celles-là ne peuvent reconnaître qu'elles ont hérité de leur mère sa "philosophie".

    L'Eglise romaine a perdu successivement son pouvoir politique, puis par suite son pouvoir moral à la fin du XVIIIe siècle. Il ne lui reste plus que le prestige des personnes âgées auprès des enfants.

    La charité chrétienne ne répond à aucun besoin humain, à rebours de l'ordre politique ou moral.

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