LE BUDGET D UN ÉTAT.

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LE BUDGET D UN ÉTAT, EST AFFAIRE DE CHOIX, PAS UNE AFFAIRE ÉCONOMIQUE, NI MÊME FINANCIÈRE.

Il s’agit du choix de moyens de toutes sortes, qui forment un plan de développement  qui permet de déterminer, chiffrer une demande et donc une enveloppe, cela se nomme un Budget d’État.

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Le Budget d’État se déclare.

Au début d’un exercice, après chiffrage du plan et publication des modalités de déroulement.

Il ne se constate pas.

L’État n’est tributaire, d’aucune comptabilité, la comptabilité n’est pas une affaire d’État, la gestion, la tenue de compte et la vérification du versement effectif des sommes allouées ou reçues est un exercice, qui n’a rien de comparable à celui d’un particulier ou d’un industriel.

Le Budget d’État est corrigé, cela n’est pas toujours nécessaire, en fonction des entrés de l’an précédent, mais ne dépend pas de l’exercice précédent, il ne dépend que de la prise en compte des demandes et de l’évaluation de moyens capables de répondre à la demande.

La capacité d’État est Légale et Constitutionnelle, il incombe à un État de Déclarer un Budget et de faire jouer les institutions de façon, à ce que le compte d’État se trouve crédité de sommes par la Banque Nationale.

Il n’est pas indispensable, que la Banque Nationale ait une contre partie en Or correspondant, à tout ou partie de ce budget. Cela peut être utile, mais pas indispensable.

Pour une unique raison, le Budget d’État est la cristallisation des efforts d’une Nation, c’est à dire un ensemble de Peuples sur un Territoire Souverain et qui estime par anticipation et pour une année* un certain niveau de création de richesse, ramené à un seul moment en début d’année politique.

Le Budget d’État est approximé, à la création de richesse possible sur un an par les peuples formant la Nation.

Les peuples, par l’exercice de leurs pouvoirs politiques, ont donné mandats aux représentants élus, qui deviennent responsables devant les Peuples de la Nation, dés le moment de la formation du gouvernement.

Le plan politique approuvé, il  se trouve estimé et porté au crédit de l’État, qui par l’intermédiaire du gouvernement et des administrations, prennent en charge l’exécution du plan.

L’État est souverain, l’État n’est pas un particulier, il n’est pas un mineur légal, il est dépendant de personne en particulier et d’aucune administration, civile, militaire ou de lobby.

S’agissant d’un Budget d’État, il est représentatif de la capacité de création de richesses de millions de personnes, qui ont donné mandat à des responsables connus de façon à gérer et promouvoir la création de richesses, pas de création de monnaie, tout cela est défini par la Constitution.

La richesse, se créée par la production de biens essentiels et possédant la capacité à produire outre des salaires, aussi des effets à vocation d’investissement et d’autres à vocation de bénéfices. Dans ce cas précis il s’agit de comptabilité, stricto census. Encore une fois; la comptabilité est un ensemble de règles qui ne s’appliquent pas et cela ne se comparent pas à l’exercice d’un état, par l’intermédiaire des responsables, chef de l’état et les ministres commandent les Institutions Souveraines Nationales.

En contre partie, le budget d’une ménagère,  se constate,  il ne se déclare pas, c’ est bien dommage, c’est cette différence, énorme,  qui fait la capacité d’État.

Une fois ceci bien compris, le gouvernement n’a qu’a impulser, sa politique en distribuant aux institutions d’état, les ordres, défini en Conseil des Ministres et suivant  les modalités qui découlent de la Constitution et les lois de la Nation.

C’est ce distingo, qui souvent incompris, fait que régulièrement les chefs d’états, non formés aux prérogatives des états nations, croyant être des particuliers et pouvoir recourir aux financements Inconstitutionnels, légalement réservés au secteur privé.

Il suffit de voir les catastrophes économiques, qui nous entourent et la catastrophe économique, que nous vivons, pour comprendre que la monnaie, n’est pas la richesse d’une nation. C’est la capacité à produire, qui est la richesse d’une Nation.

Dans cet article, il expressément question de responsables connus et repérables, non de personnalités politiques dont certaines sont affidés à des corps anonymes, et qui une fois élues, font leurs bon vouloir ou exercent une capacité de nuisance.

Il suffit que l »État décide, deux options:

– maintenir les bénéfices aux systèmes financiers et appauvrir les peuples,

-maintenir les prix bas dans la consommation en faisant la promotion de la création de richesses et proposant une politique de plein emploi.

l’État, revenant à son rôle de Manager National :

EST SOUVERAIN, EN MOYENS POLITIQUES,

SUR SON TERRITOIRE.

* L’année est bien sûr fonction de la date de prise de fonction, en cas de crise majeure le calendrier est ajourné pas les politiques.

Il faut bien comprendre, que la soit disant règle d OR, tout est d’OR pour ces braves gens, cette règle imposant un déficit contrôlé est le moyen de contrôler l’avenir des Français et de les ramener à l’âge de pierres.

Car l’État ne fait pas de déficit, une société artisanale, industrielle, oui, l’État, non, par nature et par principe, je viens de vous expliquer. l’État est au dessus des lois comptables, vu que l’État est le gérant d’une population et aussi celui qui garantit l’avenir, le meilleur avenir pour cette population. L’État, c est pas le bistrot du coin, avec des dorures, c est une émanation Politique,  de dizaines de millions de gens, qui lui font confiance.

Prendre de l’argent pour effectuer des travaux, comme Défense Nationale, enseignement Publique etc… cela s’appelle INVESTISSEMENT DE LA NATION, pas un déficit.

Corrompez le langage et vous corromprez toute une population qui finalement sera trahie.

Or, si je peux le dire, moi aussi ;o), sans Investissement de l’État pas d’avenir que de la décroissance, que de la misère, que la disparition programmée de la FRANCE.

S. CARVAJAL

Management Stratégique

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