Témoignage d’un gérant de pompes funèbres: «95% des corps étaient ceux de personnes vaccinées contre le Covid dans les 2 semaines précédant leur mort»

Par Enrico Trigoso
23 octobre 2022 14:04 Mis à jour: 23 octobre 2022 14:04

Un gérant de pompes funèbres en Nouvelle‑Zélande a affirmé qu’au moins 95% des corps reçus par ses services lors de la campagne de vaccination contre le Covid étaient ceux de personnes vaccinées dans les deux semaines précédant leur mort.

« Quatre‑vingt‑quinze pour cent des personnes décédées traitées durant mon travail avaient été vaccinées dans les deux semaines précédant leur mort », a déclaré Brenton Faithfull.

M. Faithfull travaille comme gérant de pompes funèbres depuis 41 ans et dirige sa propre entreprise de pompes funèbres depuis 26 ans. Il s’est récemment exprimé sur le lien apparent entre les vaccins Covid‑19 et les décès qu’il a observés.

« C’était très évident, ils mouraient dans les deux semaines qui suivaient la vaccination, la plupart d’entre eux… étaient morts d’anaphylaxie, ils avaient eu une réaction immédiate au rappel. »

Le choc anaphylactique est une réaction allergique très forte et très rapide de l’organisme face à une substance étrangère (antigène). Certaines personnes sont allergiques aux piqures d’abeilles ou à certaines injections et cela peut provoquer une réaction violente, une anaphylaxie.

« Ils meurent le jour même, le lendemain après avoir reçu le vaccin Covid‑19. Ce n’est pas un cas isolé, c’est la majorité des cas qui sont passés par notre établissement », a déclaré M. Faithfull dans une interview.

D’autres directeurs de pompes funèbres

D’autres directeurs de pompes funèbres avancent des chiffres similaires. John O’Looney au Royaume‑Uni et Richard Hirschman en Alabama, déjà interviewés par Epoch Times.

« Dès le moment où ces injections ont été mises en circulation, le taux de mortalité a grimpé en flèche au‑delà de ce qui était imaginable. Ils ont tous été classés décès dus au Covid, mais, en réalité, il s’agissait presque exclusivement des personnes vaccinées », a déclaré M. O’Looney à Epoch Times.

« Nous constatons maintenant un nombre record de décès chez les vaccinés et chez les jeunes. Ils meurent d’une combinaison de cancers soudains très agressifs ou de caillots sanguins, qui provoquent des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. »

Commentaire des médecins

La Dr Sherri Tenpenny, œuvrant à sensibiliser le public sur les dangers des vaccins depuis plus de vingt ans, a commenté pour Epoch Times le témoignage de M. Faithfull :

« Le 2 décembre 2020, les autorités de réglementation britanniques ont accordé une autorisation d’utilisation d’urgence au vaccin Covid‑19 de Pfizer. Dans la semaine qui a suivi, June Raine, directrice générale de la MHRA [Medicines and Healthcare products Regulatory Agency], a déclaré dans un communiqué que ‘toute personne ayant des antécédents d’anaphylaxie à un vaccin, un médicament ou un aliment ne doit pas recevoir le vaccin Pfizer BioNTech.’ Elle a ajouté que ‘les réactions allergiques n’avaient pas été testés lors des essais cliniques de Pfizer’. »

Le Dr Tenpenny a rappelé que l’anaphylaxie avait pourtant été le « premier risque identifié » lors des essais.

« En janvier 2022 un juge fédéral du Texas a contraint Pfizer à publier tout ce qui avait été trouvé durant ses essais. Dans cette première tranche de documents, on trouve le tableau 3 portant sur les « préoccupations en matière de sécurité » à la page 9 (pdf). Le premier risque identifié est l’anaphylaxie. Dans une enquête sur les risques … menée entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021, soit trois mois seulement, 1833 cas d’anaphylaxie ont été observés et quatre personnes sont décédées d’anaphylaxie dans des conditions similaires. »

Epoch Times a contacté Pfizer pour une demande de commentaires.

Dans certains cas, M. Faithfull et son équipe ont dû faire intervenir un médecin légiste.

M. Faithfull a raconté le cas d’un homme qui insistait pour que son père ne se fasse pas vacciner, alors que sa sœur faisait pression dans le sens inverse. Lorsque le père a cédé et s’est fait vacciner, il est mort quatre jours plus tard.

« Lorsque j’ai commencé à compter en août de l’année dernière, les décès se succédaient les uns après les autres, et lorsque je suis arrivée à 20, 19 de ceux‑ci étaient morts dans les deux semaines [après leur vaccin] », a déclaré M. Faithfull.

« Donc, les 20 premiers jours, j’en ai compté 19 : soit 95%. Le chiffre suivant était de 100%, toutes les personnes décédées avaient été vaccinées dans les deux semaines précédentes. »

Le Dr Sanjay Verma est un cardiologue exerçant en Californie. De son côté, il a constaté une augmentation spectaculaire des problèmes cardiaques depuis le déploiement des vaccins.

« Des travaux antérieurs du Dr Gundry ont démontré une augmentation des marqueurs de l’inflammation cardiaques après la vaccination Covid‑19. Il est intéressant de noter que de décembre 2021 à juin 2022, 100% des patients qui avaient besoin d’un cathétérisme cardiaque urgent, pour crise cardiaque, étaient vaccinés, la plupart avec des doses de rappel. Plus de la moitié d’entre eux avaient été vaccinés récemment (quelques semaines). Dans un comté où 60% de la population est vaccinée, cette tendance était inquiétante », a déclaré le Dr Verma à Epoch Times.

« Il y a eu 31.470 décès après la vaccination Covid‑19 signalés dans le VAERS. La grande majorité survient dans les sept jours suivant la vaccination. En outre, il existe d’autres tendances inquiétantes. Les données des CDC indiquent que 60.000 décès ont été enregistrés en septembre 2019 et en septembre 2020. Cependant, en septembre 2021, le nombre est passé à 90.000. »

« Nous avons également de nombreux messages sur les médias sociaux concernant des personnes, en particulier des athlètes, ‘morts soudainement’ sans cause apparente. »

Le Dr Verma estime que tout décès inexpliqué survenu quelques semaines ou même quelques mois après la vaccination devrait faire l’objet d’une « enquête avec une autopsie approfondie », évaluant spécifiquement la présence de la protéine spike dans le cerveau, les principaux vaisseaux sanguins et le cœur.

« Nous savons que la protéine spike est toxique pour les vaisseaux sanguins, provoquant un dysfonctionnement endothélial. La protéine spike est également toxique pour le muscle cardiaque, provoquant des lésions myocardiques. On a également rapporté des cas d’encéphalite (inflammation du cerveau), de myocardite et de vascularite identifiés lors des autopsies, autant de complications qui peuvent entraîner la mort. »

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