Cantalamessa a répété avec approbation l'affirmation de Pelikan selon laquelle "la tradition est la foi vivante des morts - c'est-à-dire la foi des pères que je continue à vivre. Le traditionalisme est la foi morte des vivants".
"Je répète. La tradition est la foi vivante des morts et le traditionalisme est la foi morte des vivants."
Dans la vraie vie, ces églises que Cantalamessa balaie du revers de la main en les qualifiant de "traditionalistes", sont pleines de vie, d'avenir, d'enfants, de familles et de vocations, alors que la "tradition vivante" de Cantalamessa est synonyme d'abandon de la tradition et nous donne l'Église de Rome dans son état actuel.
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