Gänswein est victime de la "colère" de François

La journaliste Giansoldati (IlMessaggero, 6 février) ne croit pas que l'archevêque Gänswein ait été destitué de son poste de préfet de la Maison pontificale pour une "redistribution normale du travail".

Elle sait que la relation entre François et Gänswein "était au plus bas".

Cette fois, François était "en colère" contre Gänswein pour la façon dont il avait géré la publication du livre de Ratzinger/Sarah sur le célibat.

Après que Gänswein ait cessé de se présenter au travail, on a cru qu'il avait "attrapé une mauvaise grippe", mais il a ensuite été vu avec Benoît à la grotte de Lourdes au Vatican.

Giansoldati nie également les rumeurs sur la santé de Benoît : "Il va bien pour son âge".

Elle ajoute les informations que le cardinal Sarah s'est présenté à François avec tous les documents prouvant que les accords éditoriaux autour du livre de Ratzinger/Sarah étaient clairs pour tout le monde, en particulier pour Benoît et Gänswein.

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GChevalier

6 févr. 2020

Il ne faut pas oublier que l'Antéchrist tire les ficelles de toute cette affaire et qu'il agit en conséquence de ce qu'on lui rapporte. Sarah en toute bonne foi lui a dit les choses comme elles sont, et comme il pense que Bergoglio est comme lui, le dit Bergoglio a agi apparemment en conséquence et il a ainsi trompé Sarah qui ne s'en rend bien sûr pas compte. Rappelez-vous l'affaire Zen : c'était pareil, et idem pour Schneider. Pour Gänswein, il est en plein accord avec l'Antéchrist et lui aussi joue le jeu. Et qui profite du crime ? Toujours le même, savoir, l'Antéchrist qui profite de tout cet imbroglio.