Qui est le responsable de ces inversions ? Vatican II !
Article précédent : Six excellentes réflexions de Crouan dont la première est une bombe à retardement
* * *
Selon le cardinal Schönborn, « lorsque le cardinal Jorge Bergoglio a été élu pape il y a cinq ans, il a apporté un vent nouveau dans l’Église. Il n’y a plus de splendeur, pas de vêtements somptueux dans la liturgie. Il souhaite une Église pauvre pour les pauvres. »
N’en déplaise au cardinal Schönborn, on a jamais vu qu’infliger la pauvreté à la liturgie due à la majesté divine ait un jour attiré plus de monde dans les églises. C’est même l’exact contraire qui s’est produit à chaque fois qu’on a dépouillé la liturgie. Saint François d’Assise lui-même exigeait que tout soit beau, noble et riche en liturgie...
* * * *
Comme le fait remarquer l’écrivain juif Ben Shapiro, pour ce qui concerne les scandales sexuels, les médias s’attaqueraient à l’Église si celle-ci avait à sa tête un pape jugé “conservateur” comme par exemple Benoît XVI. Mais aujourd’hui, les médias s’abstiennent de le faire car François est réputé “progressiste” et que sa “politique” convient parfaitement à ceux qui n’ont que faire de la doctrine de l’Église.
Aujourd’hui, les principaux médias ne cherchent pas à savoir si les allégations de Mgr Viganò dirigées contre la gouvernance de l’Église sont vraies ou fausses, mais s’emploient à présenter les faits comme relevant d’une attaque des “conservateurs” contre le pape François. , mais a présenté son mémorandum comme une attaque conservatrice contre François. Le “New York Times” parle clairement d’une lutte pour le pouvoir au Vatican menée par les conservateurs.
Les journalistes s’emploient donc à focaliser les esprits sur une soi-disante colère des “catholiques traditionalistes” opposés au pape actuel qui souhaiterait ouvrir l’Église en en mettant l’accent sur des “questions de société” telles que l’avortement, le divorce et le remariage, l’homosexualité...
« L’agence de presse Reuters et le journal britannique “The Telegraph” ont également adopté la même attitude et présentent François comme la victime d’une attaque de conservateurs frustrés. La recherche des fautes n’est donc intéressante que si elle correspond aux intérêts politiques des principaux médias », conclut Ben Shapiro.
* * * *
Dans le sillage du Pape François, les voix de quelques évêques s’élèvent aujourd’hui pour demander pardon pour les souffrances infligées par des prêtres pédophiles. Il s’agit bien sûr de mettre en lumière ceux qui, dans la hiérarchie ont couvert les agissements de ces prêtres. Mais curieusement, on fait reposer une certaine responsabilité sur l’ensemble des fidèles, leur demandant de dénoncer les abus qu’ils découvriraient autour d’eux, sous-entendant par là qu’à l’époque des faits, ils n’ont pas été assez attentifs, qu’ils auraient eux-aussi, par leur silence, participé à la propagation de cette dérive. Un peu facile, non ? A une époque où tout paroissien était censé mettre une confiance absolue en Monsieur le Curé, on demandait surtout aux fidèles de se taire et d’obéir : et aujourd’hui ce serait eux les responsables, et par extension nous tous ?
Transposons au problème de la décomposition actuelle de la liturgie : ne viendra-t-il pas un moment où l’on accusera les fidèles dans leur ensemble de n’avoir rien dit en constatant le délabrement accéléré que subissent les célébrations liturgiques paroissiales, délabrement orchestré en premier lieu par ceux qui sont chargés dans l’Église de les maintenir dans leur dignité et leur vérité, à savoir nos évêques et nos prêtres ? Lorsque tout finira de s’écrouler, lorsque les églises seront totalement désertées, il se trouvera certainement de belles âmes pour dénoncer le silence et le suivisme des fidèles de base : avec raison sans doute face à ceux qui auront tout accepté sans réagir, mais en commettant une grave injustice face à tant d’autres qui auront dénoncé à temps et à contretemps toutes les aberrations liturgiques qui se répandaient dans l’Église, sans être ni entendus, ni reconnu, et souvent contraints de se taire ou de partir ! Transformer les victimes en bourreaux : un système de défense utilisé aujourd'hui par ceux qui oublient un peu facilement qu’au regard de Dieu aucune génération n’est répréhensible des mauvais choix de la génération précédente : “En ces jours-là, on ne dira plus : les pères ont mangé des raisins verts et les dents des enfants en ont été agacées.” (Jérémie 31, 29).
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Pro Liturgia, Samedi 8 septembre 2018)
* * * * * * * * * * * * *
Album ACTU
>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
* * *
Selon le cardinal Schönborn, « lorsque le cardinal Jorge Bergoglio a été élu pape il y a cinq ans, il a apporté un vent nouveau dans l’Église. Il n’y a plus de splendeur, pas de vêtements somptueux dans la liturgie. Il souhaite une Église pauvre pour les pauvres. »
N’en déplaise au cardinal Schönborn, on a jamais vu qu’infliger la pauvreté à la liturgie due à la majesté divine ait un jour attiré plus de monde dans les églises. C’est même l’exact contraire qui s’est produit à chaque fois qu’on a dépouillé la liturgie. Saint François d’Assise lui-même exigeait que tout soit beau, noble et riche en liturgie...
* * * *
Comme le fait remarquer l’écrivain juif Ben Shapiro, pour ce qui concerne les scandales sexuels, les médias s’attaqueraient à l’Église si celle-ci avait à sa tête un pape jugé “conservateur” comme par exemple Benoît XVI. Mais aujourd’hui, les médias s’abstiennent de le faire car François est réputé “progressiste” et que sa “politique” convient parfaitement à ceux qui n’ont que faire de la doctrine de l’Église.
Aujourd’hui, les principaux médias ne cherchent pas à savoir si les allégations de Mgr Viganò dirigées contre la gouvernance de l’Église sont vraies ou fausses, mais s’emploient à présenter les faits comme relevant d’une attaque des “conservateurs” contre le pape François. , mais a présenté son mémorandum comme une attaque conservatrice contre François. Le “New York Times” parle clairement d’une lutte pour le pouvoir au Vatican menée par les conservateurs.
Les journalistes s’emploient donc à focaliser les esprits sur une soi-disante colère des “catholiques traditionalistes” opposés au pape actuel qui souhaiterait ouvrir l’Église en en mettant l’accent sur des “questions de société” telles que l’avortement, le divorce et le remariage, l’homosexualité...
« L’agence de presse Reuters et le journal britannique “The Telegraph” ont également adopté la même attitude et présentent François comme la victime d’une attaque de conservateurs frustrés. La recherche des fautes n’est donc intéressante que si elle correspond aux intérêts politiques des principaux médias », conclut Ben Shapiro.
* * * *
Dans le sillage du Pape François, les voix de quelques évêques s’élèvent aujourd’hui pour demander pardon pour les souffrances infligées par des prêtres pédophiles. Il s’agit bien sûr de mettre en lumière ceux qui, dans la hiérarchie ont couvert les agissements de ces prêtres. Mais curieusement, on fait reposer une certaine responsabilité sur l’ensemble des fidèles, leur demandant de dénoncer les abus qu’ils découvriraient autour d’eux, sous-entendant par là qu’à l’époque des faits, ils n’ont pas été assez attentifs, qu’ils auraient eux-aussi, par leur silence, participé à la propagation de cette dérive. Un peu facile, non ? A une époque où tout paroissien était censé mettre une confiance absolue en Monsieur le Curé, on demandait surtout aux fidèles de se taire et d’obéir : et aujourd’hui ce serait eux les responsables, et par extension nous tous ?
Transposons au problème de la décomposition actuelle de la liturgie : ne viendra-t-il pas un moment où l’on accusera les fidèles dans leur ensemble de n’avoir rien dit en constatant le délabrement accéléré que subissent les célébrations liturgiques paroissiales, délabrement orchestré en premier lieu par ceux qui sont chargés dans l’Église de les maintenir dans leur dignité et leur vérité, à savoir nos évêques et nos prêtres ? Lorsque tout finira de s’écrouler, lorsque les églises seront totalement désertées, il se trouvera certainement de belles âmes pour dénoncer le silence et le suivisme des fidèles de base : avec raison sans doute face à ceux qui auront tout accepté sans réagir, mais en commettant une grave injustice face à tant d’autres qui auront dénoncé à temps et à contretemps toutes les aberrations liturgiques qui se répandaient dans l’Église, sans être ni entendus, ni reconnu, et souvent contraints de se taire ou de partir ! Transformer les victimes en bourreaux : un système de défense utilisé aujourd'hui par ceux qui oublient un peu facilement qu’au regard de Dieu aucune génération n’est répréhensible des mauvais choix de la génération précédente : “En ces jours-là, on ne dira plus : les pères ont mangé des raisins verts et les dents des enfants en ont été agacées.” (Jérémie 31, 29).
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Pro Liturgia, Samedi 8 septembre 2018)
* * * * * * * * * * * * *
Album ACTU
>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.