L'évêque de Charlotte admet que la chapelle pour le rite romain est délibérément trop petite
Désormais, toutes les messes du diocèse se dérouleront dans un seul lieu : un ancien temple protestant, la chapelle de la Petite Fleur.
Dans sa lettre de deux pages, Monseigneur Martin utilise environ deux douzaines de fois le pronom de la première personne (je, mon,..).
Dans le contexte de la suppression, l'introduction de la lettre, d'abord douce, prend un ton sinistre.
"Dieu a été à l'œuvre dans vos vies à travers cette célébration particulière, et il est difficile d'imaginer comment l'Esprit Saint pourrait vouloir qu'il en soit autrement".
L'évêque ajoute ensuite que la nouvelle chapelle est délibérément trop petite : "Cette chapelle peut accueillir environ 350 personnes et a été récemment rénovée spécifiquement pour la célébration de la messe tridentine en latin. Veuillez comprendre que la chapelle n'est pas destinée à accueillir toutes les personnes qui assistent actuellement à la messe tridentine en latin dans leurs paroisses respectives."
Il poursuit : "Il n'y aura pas d'autre programme à la chapelle Little Flower que les messes du dimanche et des jours saints, de sorte que tous les autres aspects de la vie catholique doivent être pris en charge par votre paroisse locale.
Les fidèles ne devraient assister qu'occasionnellement à la messe à cette chapelle, tout en participant régulièrement à la vie de leur paroisse enregistrée dans le Novus Ordo.
Mgr Martin conclut en demandant aux fidèles d'envisager d'assister pour la première fois à la messe un dimanche de fin octobre ou de début novembre, afin que la chapelle puisse accueillir tout le monde au mieux, compte tenu de ses limites d'occupation.
Traduction de l'IA