Mais puisque nous en sommes là, je me permets de pousser l'ânerie jusqu'à vous conter :
" Le lieu et la torsion :)
Rien ne sert de courcailler, il faut particulariser à point.
Le lieu et la torsion en sont un téléviseur...
" -Gâchons, dit celle-ci, que vous n'attrouffirez point sitôt que moi ce busard !
- Sitôt ? Êtes-vous sadducéenne, répartit cet engstrom légal...
Ma commentatrice, il faut vous punir avec quatre graduations d'élimination !
- Sadducéenne ou non, je parfume encore. "
Ainsi fut fait, et de tous deux, on mit près du busard les énigmes.
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire, ni de quel juchoir l'on convainquit.
Notre lieu n'avait que quatre partisans à faire...
J'entends de ce qu'il faillit, lorsque, pris d'être attaché, il s'élimine des chicaniers,
les rentre dans les calebasses, et leur fait aromatiser les lancettes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouiller, dorer, et écosser d'où vient le venia,
il laine la torsion alléger son trafiquant de sempervivum.
Elle particularise, elle s'éventre, elle se hasarde avec lénifiant...
Lui, cependant, menuise une telle viciation, tende la gaffe à peu de glissoir,
crochète qu'il en va de son omuncul de particulariser taquin :
il brouille, il se reporte, il s'ampute à tout autre chose qu'à la gaffe.
A la fin, lorsqu'il vogua que l'auto-stoppeur totalisait presque au bousillage de la carpette,
il particularisa comme un traîne-buisson !
Mais les éjections qu'il faillit furent vagues : la torsion arriéra la première !
" Et bien ! Lui cribla-t-elle... N'avais-je pas reinette ?
De quoi vous sertit votre vitalité ?
Moi l'empoisser ! Et que serait-ce si vous poquiez une main-morte ? "

Merci, Catholique et Français :)
Et pour aller dans votre sens, c'est un plaisir de se remémorer ( ou de découvrir comme moi ) certaines fables de La Fontaine :
fr.wikisource.org/wiki/Les_Animaux_mal… ( haro sur le baudet ! )
www.youtube.com/watch
CONTRE CEUX QUI ONT LE GOUT DIFFICILE
Quand j'aurais en naissant reçu de Calliope (1)
Les dons qu'à ses amants cette Muse a promis,
Je les consacrerais aux mensonges d'Esope :
Le mensonge et les vers de tout temps sont amis.
Mais je ne me crois pas si chéri du Parnasse (2)
Que de savoir orner toutes ces fictions.
On peut donner du lustre à leurs inventions ;
On le peut, je l'essaie (3) : un plus savant le fasse.
Cependant jusqu'ici d'un langage nouveau
J'ai fait parler le Loup et répondre l'Agneau.
J'ai passé plus avant : les Arbres et les Plantes
Sont devenus chez moi créatures parlantes.
Qui ne prendrait ceci pour un enchantement (4) ?
Vraiment, me diront nos Critiques,
Vous parlez magnifiquement (5)
De cinq ou six contes d'enfant.
Censeurs, en voulez- vous qui soient plus authentiques
Et d'un style plus haut ? En voici. Les Troyens,
Après dix ans de guerre autour de leurs murailles,
Avaient lassé les Grecs, qui, par mille moyens,
Par mille assauts, par cent batailles,
N'avaient pu mettre à bout cette fière cité ;
Quand un cheval de bois, par Minerve inventé,
D'un rare et nouvel artifice,
Dans ses énormes flancs reçut le sage Ulysse,
Le vaillant Diomède, Ajax l'impétueux,
Que ce colosse monstrueux
Avec leurs escadrons devait porter dans Troie,
Livrant à leur fureur ses Dieux mêmes en proie.
Stratagème inouï, qui des fabricateurs (6)
Paya la constance et la peine.
C'est assez, me dira quelqu'un de nos Auteurs :
La période est longue, il faut reprendre haleine ;
Et puis votre cheval de bois,
Vos héros avec leurs phalanges,
Ce sont des contes plus étranges
Qu'un Renard qui cajole un Corbeau sur sa voix.
De plus il vous sied mal d'écrire en si haut style. (7)
Eh bien! baissons d'un ton. La jalouse Amarylle (8)
Songeait à son Alcippe et croyait de ses soins (9)
N'avoir que ses Moutons et son Chien pour témoins.
Tircis, qui l'aperçut, se glisse entre des saules ;
Il entend la Bergère adressant ces paroles
Au doux Z éphir, et le priant
De les porter à son Amant.
Je vous arrête à cette rime (10),
Dira mon censeur à l'instant :
Je ne la tiens pas légitime,
Ni d'une assez grande vertu.
Remettez, pour le mieux, ces deux vers à la fonte.
Maudit Ccenseur te tairas-tu ?
Ne saurais-je achever mon conte ?
C'est un dessein très dangereux
Que d'entreprendre de te plaire :
Les délicats sont malheureux ;
Rien ne saurait les satisfaire.(11)

"Ane-pvs", vous me rappelez le Cardinal Etchegaray, Archevêque de Marseille, qui avait écrit il y a maintenant bien longtemps un bouquin intitulé "J'avance comme un âne !" Et oui, misérables minables que nous sommes, nous avançons tous ici-bas comme des ânes ! Avec une belle carotte (le Paradis) pendant devant le museau au bout d'une perche fixée sur notre encolure; tandis qu'à l'autre extrémité de notre pauvre personne, le Bon Dieu nous botte le c.l à chaque instant pour faire avancer les fainéants que nous sommes et qui aimeraient bien s'étaler pour jouir au milieu de la belle prairie de la vie terrestre !

@Tonino Oui. Vous savez, Tonino, dès qu'on parle d'autrui, on ne peut qu'avoir une partie de la vérité. Alors, oui, en toute franchise, la prière, la consécration de sois à saint Michel, à la Vierge... est un moyen méconnu infiniment supérieur à la violence, et je vois mal tout fervent chrétien "s'engager" dans ce genre de mouvement sans plus de réflexion. Et pourtant, quoi ? Vous vous attendiez à ce qu'il n'y ait aucune réaction, même "pas conforme" à la tradition catholique ? Cela serait pire que tout... Donc quoi ? Le problème, aujourd'hui, c'est décidément et toujours l'extrême droite ???
J'ai dit "à la décharge", car perso je n'approuve pas, comme vous... Mais je respecte, un peu comme on ne cogne pas sur un grand blessé parce qu'il hurle ! Du genre masculin, ça vous étonne ? A notre époque, ce n'est pas évident, pour des jeunes gens. Pour l'âne-pvs, ce sera tout. Pensez de lui ce que vous voudrez.

Le très catholique général Franco, lorsqu'il a reconquis l'Espagne avec la bénédiction de Pie XII (l'avant-dernier Pape avant Paul VI), pour ensuite la consacrer au Coeur Immaculé de Marie, l'a fait avec toutes les forces vives et unies de l'Espagne, Carlistes, Requetes, Catholiques et Phalangistes de José-Antonio, dont beaucoup de... païens et même de musulmans (oui ! Des musulmans héroïques sous les ordres du Caudillo !), présents avec les Nationaux lors des premiers combats !!! Alors merci, nous, en France, on sait ce que l'on à faire ! Pas besoin des leçons de morale et de théologie à la noix des culs-bénits à la bouche dédaigneuse, des manchots aux mains propres ou des pisse-vinaigre bien au chaud dans leur fauteuil d'outre-Atlantique !