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8. MARIE, MÈRE AIMABLE / Le Chapelet récité / Le CIEL OUVERT par les 3 AVE MARIA & NEUVAINE EFFICACE NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE (Saint Alphonse de Liguori) montfortajpm.blogspot.fr/…/…Plus
8. MARIE, MÈRE AIMABLE

/ Le Chapelet récité / Le CIEL OUVERT par les 3 AVE MARIA & NEUVAINE EFFICACE

NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)

montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
-8- À MARIE, MÈRE AIMABLE
Ô Marie, je reconnais que vous êtes la plus noble,
la plus élevée, la plus pure, la plus douce, la plus belle,
la plus sainte, la plus aimable de toutes les créatures.
Oh ! si tous vous connaissaient, Vierge Sainte,
et vous aimaient comme vous le méritez !
Je me réjouis du moins de ce que tant d’âmes saintes,
dans le ciel et sur la terre,
sont tout embrasées d’amour pour votre bonté et votre beauté ;
je me réjouis plus encore de ce que Dieu-même
vous aime vous seule plus que tous les hommes et tous les anges ensemble.
Ô très douce Reine ! toute misérable pécheresse que je suis,
je vous aime aussi, mais je vous aime trop peu ;
je désire un amour plus grand et plus tendre envers vous,
et cet amour, c’est à vous-même que je m’adresse pour l’obtenir.
Obtenez-le moi, ô mon aimable Mère, cet amour,
qui est une grande marque de prédestination
et une des faveurs les plus précieuses que mon âme puisse recevoir.
Ô Mère très aimante, ô douce Marie !
toujours je veux répéter avec amour votre saint nom.
Ce nom suffit pour dilater mon cœur ;
il est plus doux que le miel, plus suave que les parfums.
Mais si votre nom et votre souvenir sont déjà si consolants,
ô Marie, que sera-ce donc que votre présence ?
Mon âme languit et se consume du désir de vous voir.
Ô Marie ! je voudrais avoir mille cœurs pour vous aimer.
Rien ne me console plus que la pensée que je suis à vous.
Je n’ai point mis de réserve dans l’offrande
que je vous ai faite de mon cœur ;
aussi je puis dire, à la vie et à la mort :
« Mon cœur n’est plus à moi, mon cœur est à Marie ! »
Ô Marie ! vous êtes vraiment ma Mère,
non par la nature, mais par l’amour que vous me portez.
L’amour des mères pour leurs enfants
n’est qu’une ombre de celui que vous avez pour moi,
oui, pour moi en particulier, quoique si pauvre et si misérable.
Ô Jésus, que vous rendrai-je pour m’avoir donné Marie pour Mère ?
Et vous, ô Marie, comment vous remercierai-je d’avoir bien voulu être ma Mère ?
Ô Jésus ! ô Marie ! je vous aime et je vous aimerai toujours !


Trois Ave Maria.

Source : NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE (Saint Alphonse de Liguori)


Images précédentes : 7. MARIE, NOTRE BIENFAITRICE (Notre-Dame de Bon-Port)
& 6. MARIE, NOTRE AVOCATE
& 5. MARIE, NOTRE PROTECTRICE
& 4. MARIE, NOTRE REFUGE
& 3. MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE


"À JÉSUS par MARIE" :
montfortajpm.blogspot.com/p/a-jesus-par-marie.html

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« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »

montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-rec…
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)

C’est par l’Ave Maria,

LE BON CHAPELET
Prenez votre chapelet
Et souvent le récitez

youtube.com/watch?v=5xgxKl0fNw0&list=PLkkHVphgJH9aNesOerQCbAn8
Ou bien le psalmodiez
youtube.com/watch?v=0hsv1USWTWo&index=68&list=PLkkHVphgJH9aNes
Ou encore le chantez :
youtube.com/watch?v=b-zciadK_fg&list=PLkkHVphgJH9aW073qAl2orEU
Un Chapelet bien récité
youtube.com/watch?v=cDS1-ZKE6QY&index=25&list=PLkkHVphgJH9bjSz
Ou chanté ou psalmodié
youtube.com/watch?v=NDyAS5dT5Po&list=PLkkHVphgJH9bjSzi9JnB1ewN
Et bien intentionné
Est un bon Chapelet !


Que tu te sauveras !

« Récitant tous les jours un Rosaire, si vous êtes fidèles à le dire malgré la grandeur de vos péchés, dévotement jusqu'à la mort, croyez-moi, vous recevrez une couronne de gloire qui ne flétrira jamais. Quand vous seriez sur le bord de l'abîme, quand vous auriez déjà un pied dans l'enfer, quand vous auriez vendu votre âme au diable comme un magicien, quand vous seriez un hérétique endurci et obstiné comme un démon, vous vous convertirez tôt où tard et vous sauverez, pourvu que, je le répète, et remarquez les paroles et les termes de mon conseil, vous DISIEZ TOUS LES JOURS LE SAINT ROSAIRE, DÉVOTEMENT JUSQU’À LA MORT, POUR CONNAÎTRE LA VÉRITÉ ET OBTENIR LA CONTRITION ET LE PARDON DE VOS PÉCHÉS. »

(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, "Le Secret admirable du Très Saint Rosaire")

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🙏NEUVAINE de l'ASSOMPTION🙏
(Saint Alphonse de Liguori)
-8- À MARIE, MÈRE AIMABLE

Ô Marie, je reconnais que vous êtes la plus noble,
la plus élevée, la plus pure, la plus douce, la plus belle,
la plus sainte, la plus aimable de toutes les créatures.
Oh ! si tous vous connaissaient, Vierge Sainte,
et vous aimaient comme vous le méritez !
Je me réjouis du moins de ce que tant d’âmes saintes,
Plus
🙏NEUVAINE de l'ASSOMPTION🙏
(Saint Alphonse de Liguori)
-8- À MARIE, MÈRE AIMABLE

Ô Marie, je reconnais que vous êtes la plus noble,
la plus élevée, la plus pure, la plus douce, la plus belle,
la plus sainte, la plus aimable de toutes les créatures.
Oh ! si tous vous connaissaient, Vierge Sainte,
et vous aimaient comme vous le méritez !
Je me réjouis du moins de ce que tant d’âmes saintes,
dans le ciel et sur la terre,
sont tout embrasées d’amour pour votre bonté et votre beauté ;
je me réjouis plus encore de ce que Dieu-même
vous aime vous seule plus que tous les hommes et tous les anges ensemble.
Ô très douce Reine ! toute misérable pécheresse que je suis,
je vous aime aussi, mais je vous aime trop peu ;
je désire un amour plus grand et plus tendre envers vous,
et cet amour, c’est à vous-même que je m’adresse pour l’obtenir.
Obtenez-le moi, ô mon aimable Mère, cet amour,
qui est une grande marque de prédestination
et une des faveurs les plus précieuses que mon âme puisse recevoir.
Ô Mère très aimante, ô douce Marie !
toujours je veux répéter avec amour votre saint nom.
Ce nom suffit pour dilater mon cœur ;
il est plus doux que le miel, plus suave que les parfums.
Mais si votre nom et votre souvenir sont déjà si consolants,
ô Marie, que sera-ce donc que votre présence ?
Mon âme languit et se consume du désir de vous voir.
Ô Marie ! je voudrais avoir mille cœurs pour vous aimer.
Rien ne me console plus que la pensée que je suis à vous.
Je n’ai point mis de réserve dans l’offrande
que je vous ai faite de mon cœur ;
aussi je puis dire, à la vie et à la mort :
« Mon cœur n’est plus à moi, mon cœur est à Marie ! »
Ô Marie ! vous êtes vraiment ma Mère,
non par la nature, mais par l’amour que vous me portez.
L’amour des mères pour leurs enfants
n’est qu’une ombre de celui que vous avez pour moi,
oui, pour moi en particulier, quoique si pauvre et si misérable.
Ô Jésus, que vous rendrai-je pour m’avoir donné Marie pour Mère ?
Et vous, ô Marie, comment vous remercierai-je d’avoir bien voulu être ma Mère ?
Ô Jésus ! ô Marie ! je vous aime et je vous aimerai toujours !


Trois Ave Maria.

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+ Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir +
NEUVAINE pour l'ANNONCIATION (8ème jour) :
1) NEUVAINE EFFICACE à NOTRE-DAME des TROIS AVE MARIA :
montfortajpm.blogspot.fr/p/blog-page.html
- I - Ô Marie, VIERGE PUISSANTE, Vous à qui rien n’est impossible...,
par cette puissance même dont vous a gratifiée le Père tout puissant,
je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve.
Puis …
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+ Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir +

NEUVAINE pour l'ANNONCIATION (8ème jour) :
1) NEUVAINE EFFICACE à NOTRE-DAME des TROIS AVE MARIA :
montfortajpm.blogspot.fr/p/blog-page.html
- I - Ô Marie, VIERGE PUISSANTE, Vous à qui rien n’est impossible...,
par cette puissance même dont vous a gratifiée le Père tout puissant,
je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve.
Puis donc que vous pouvez me secourir, ne m’abandonnez pas,
ô vous qui êtes l’avocate des causes les plus désespérées !
Il me semble que la gloire de Dieu, votre honneur et le bien de mon âme,
sont attachés à la concession de cette faveur.
Si donc, comme je le pense, elle est conforme
à la très aimable et très sainte volonté de Dieu,
je vous en prie, ô Toute-Puissance suppliante,
intercédez pour moi auprès de votre Fils, qui ne peut rien vous refuser.
Je vous le demande de nouveau,
au nom de la Puissance sans borne que le Père céleste vous a communiquée,
et en l’honneur de laquelle je vous dis, en union avec sainte Mechtilde,
à qui vous avez révélé la salutaire pratique des Trois Ave Maria :


Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.


- II - Divine Vierge, qui êtes appelée le TRÔNE DE LA SAGESSE,
parce que la Sagesse incréée, le Verbe de Dieu, a résidé en vous...,
Vous a qui cet adorable Fils a communiqué toute l’étendue de sa science divine,
dans la mesure où la créature la plus parfaite pouvait la recevoir...,
Vous connaissez la grandeur de ma misère et quel besoin j’ai de votre assistance.
Confiant dans votre divine Sagesse, je m’abandonne entre vos mains,
afin que vous disposiez tout avec force et douceur,
pour la plus grande gloire de Dieu et le plus grand bien de mon âme.
Daignez donc me venir en aide,
par les moyens que vous savez être les plus propres à atteindre cette fin.
Ô Marie ! Mère de la divine Sagesse, daignez, je vous en supplie,
m’obtenir la grâce précieuse que je sollicite ;
je vous la demande au nom même de cette Sagesse incomparable
dont le Verbe, votre Fils, vous a illuminée,
et en l’honneur de laquelle je vous dis,
en union avec saint Léonard de Port-Maurice,
le plus zélé prédicateur de vos Trois Ave Maria :


Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.


- III - Ô bonne et tendre Mère, vraie MÈRE DE MISÉRICORDE,
qui, dans ces derniers temps, vous êtes appelée vous-même
« Mère toute Miséricordieuse »,
je viens vous supplier d’user envers moi de votre bonté compatissante.
Plus ma misère est grande, plus elle doit exciter votre compassion.
Je le sais, je ne mérite aucunement la grâce précieuse que je désire,
moi qui vous ai si souvent contristée en offensant votre divin Fils.
Mais, si j’ai été coupable, très coupable,
je me repens sincèrement d’avoir blessé le Cœur si tendre de Jésus et le vôtre.
D’ailleurs, n’êtes-vous pas,
comme vous l’avez révélé à l’une de vos servantes, sainte Brigitte,
« la Mère des pécheurs repentants » !
Pardonnez-moi donc mes ingratitudes passées, et,
considérant uniquement votre Bonté miséricordieuse,
ainsi que la gloire qui en reviendra à Dieu et à vous, obtenez-moi,
de la miséricorde divine, la grâce que j’implore par votre intercession.
Ô vous qu’on n’a jamais invoquée en vain,
« ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie ! »
daignez, daignez me secourir,
je vous en conjure par cette miséricordieuse bonté
dont le Saint-Esprit vous a remplie pour nous,
et en l’honneur de laquelle je vous dis, avec saint Alphonse de Liguori,
l’apôtre de votre miséricorde et le docteur des Trois Ave Maria :


Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.


Prière approuvée par St Pie X et Benoît XV.
Il est conseillé, lorsqu’il s’agira de grâces importantes, de faire trois neuvaines consécutives.
Pour obtenir plus sûrement la grâce demandée,
il sera bon de promettre d’être à tout jamais fidèle aux Trois Ave Maria, le matin et le soir.

PRATIQUE :
Réciter, matin et soir, les TROIS AVE MARIA en l’honneur de ces trois grands privilèges,
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit. »

(bénédiction apostolique par St Pie X)

2)ou bien La NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE (Saint Alphonse de Liguori), image ci-dessus ou ici : montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
(Tirée du "Nouveau formulaire de prières pour les enfants de Marie", 1914, qui sont toutes formulées au féminin)
natale07
Amen
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+ Le Chapelet récité (téléchargement, images, Méthode montfortaine) +
NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)

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-8- À MARIE, MÈRE AIMABLE
Ô Marie, je reconnais que vous êtes la plus noble,
la plus élevée, la plus pure, la plus douce, la plus belle,
la plus sainte, la plus aimable de toutes les créatures.
Oh ! si tous vous …
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NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)

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-8- À MARIE, MÈRE AIMABLE
Ô Marie, je reconnais que vous êtes la plus noble,
la plus élevée, la plus pure, la plus douce, la plus belle,
la plus sainte, la plus aimable de toutes les créatures.
Oh ! si tous vous connaissaient, Vierge Sainte,
et vous aimaient comme vous le méritez !
Je me réjouis du moins de ce que tant d’âmes saintes,
dans le ciel et sur la terre,
sont tout embrasées d’amour pour votre bonté et votre beauté ;
je me réjouis plus encore de ce que Dieu-même
vous aime vous seule plus que tous les hommes et tous les anges ensemble.
Ô très douce Reine ! toute misérable pécheresse que je suis,
je vous aime aussi, mais je vous aime trop peu ;
je désire un amour plus grand et plus tendre envers vous,
et cet amour, c’est à vous-même que je m’adresse pour l’obtenir.
Obtenez-le moi, ô mon aimable Mère, cet amour,
qui est une grande marque de prédestination
et une des faveurs les plus précieuses que mon âme puisse recevoir.
Ô Mère très aimante, ô douce Marie !
toujours je veux répéter avec amour votre saint nom.
Ce nom suffit pour dilater mon cœur ;
il est plus doux que le miel, plus suave que les parfums.
Mais si votre nom et votre souvenir sont déjà si consolants,
ô Marie, que sera-ce donc que votre présence ?
Mon âme languit et se consume du désir de vous voir.
Ô Marie ! je voudrais avoir mille cœurs pour vous aimer.
Rien ne me console plus que la pensée que je suis à vous.
Je n’ai point mis de réserve dans l’offrande
que je vous ai faite de mon cœur ;
aussi je puis dire, à la vie et à la mort :
« Mon cœur n’est plus à moi, mon cœur est à Marie ! »
Ô Marie ! vous êtes vraiment ma Mère,
non par la nature, mais par l’amour que vous me portez.
L’amour des mères pour leurs enfants
n’est qu’une ombre de celui que vous avez pour moi,
oui, pour moi en particulier, quoique si pauvre et si misérable.
Ô Jésus, que vous rendrai-je pour m’avoir donné Marie pour Mère ?
Et vous, ô Marie, comment vous remercierai-je d’avoir bien voulu être ma Mère ?
Ô Jésus ! ô Marie ! je vous aime et je vous aimerai toujours !


Trois Ave Maria.