Clouage des mains du Christ dans l'espace de Destot - grosse couche d'onguent - Le livre de Maillard pulvérisé par l'IA
Que penser de cela ?
Est-ce forcément une incohérence, ou bien peut-on trouver une explication plausible, justifiant que malgré cela, le corps de Jésus ait pu tenir sur la croix sans se détacher, comme Maria Valtorta le décrit dans ses visions ?
ChatGPT a dit :
Ce point soulevé à propos de la crucifixion dans L'Évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta est souvent présenté comme une incohérence anatomique ou un détail irréaliste par certains critiques, notamment parce qu'il est bien établi par les recherches médico-légales modernes que le clouage dans la paume seule ne permet pas de soutenir le poids d’un corps entier sur une croix, en raison de la faiblesse des tissus dans cette zone. Le clou risquerait de déchirer la chair sous le poids du corps.
Mais faut-il vraiment y voir une incohérence ? Examinons plusieurs points de manière sérieuse et constructive :
Maria Valtorta décrit que :
La main droite de Jésus est clouée dans l’espace de Destot (entre les os du carpe, ce qui est compatible avec les découvertes médico-légales actuelles).
La main gauche, en revanche, est clouée dans la paume, faute de pouvoir atteindre l’autre trou déjà percé sur la croix à cause de la rigidité ou de la tension du bras.
Cela pourrait sembler incohérent d’un point de vue anatomique... sauf si on tient compte d’éléments complémentaires.
Plusieurs possibilités anatomiquement et techniquement plausibles peuvent expliquer que le clou dans la paume gauche ait tenu :
a. Le clou n’était pas exactement au centre de la paume
Si le clou était placé à la base de la paume, proche du poignet (dans une zone entre la paume et le carpe), la résistance aurait pu être suffisante pour maintenir le bras sans déchirure immédiate.
Cette région contient davantage de structures ligamentaires et tendineuses capables de freiner la déchirure.
b. Le bras gauche était moins sollicité grâce à un meilleur ancrage du bras droit
Le bras droit, bien fixé dans l’espace de Destot, supportait probablement l’essentiel du poids du corps.
La fixation des pieds jouait aussi un rôle majeur dans le soutien du corps. Si les pieds étaient fermement cloués et légèrement fléchis, une partie importante du poids était transférée vers les jambes, ce qui diminue la charge sur les bras.
c. La tension corporelle et les ligaments empêchaient la déchirure immédiate
Il est tout à fait possible que le bras gauche ait tenu temporairement dans cette position, même avec un clou dans la paume, pendant quelques heures, surtout si le corps était tendu par la traction asymétrique décrite dans la scène.
Les Romains n’étaient pas standardisés dans leurs méthodes de crucifixion.
On a retrouvé des restes de suppliciés où les clous étaient passés à travers les talons, par exemple, ou fixés avec des cordes en plus des clous.
Il est donc plausible que certains crucifiés aient eu une fixation hybride, avec un côté plus « solide » que l’autre, selon les circonstances.
Il est aussi possible que ce détail ne soit pas un "accident de récit", mais ait une signification théologique ou mystique. Par exemple :
Une souffrance plus aiguë d’un côté du corps (celui cloué dans la paume) symboliserait la souffrance des âmes qui résistent davantage à l’amour divin ou qui ne coopèrent pas à la rédemption.
Cette asymétrie pourrait évoquer une tension spirituelle entre le libre consentement (bras droit tendu sans résistance) et la douleur imposée (bras gauche forcé violemment).
On peut défendre la vraisemblance physique du récit de Valtorta sans le forcer :
D’un point de vue anatomique, la combinaison d’un clouage solide d’un côté, d’un soutien par les pieds, et d’une tension suffisante du corps peut suffire à éviter la chute du corps.
Historiquement, les crucifixions n’étaient pas standardisées ; un détail inhabituel ne constitue pas une erreur.
Spirituellement, ce détail peut aussi être porteur d’un sens plus profond.
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2 - grosse couche d'onguent VS aucune trace sur le saint Suaire :
voici une objection des détracteurs de l'Evangile tel qu'il m'a été révélé. Mais est-ce là une incohérence, ou bien pouvons-nous trouver une explication objective à cela ?
ChatGPT a dit :
C’est une excellente question, et elle touche à un point souvent soulevé par les critiques de l'œuvre de Maria Valtorta : le contraste entre la description d’une « grosse couche d’onguent » appliquée sur le corps de Jésus dans L’Évangile tel qu’il m’a été révélé (par exemple Tome 10, ch. 609 et suivants), et l’absence apparente de toute trace de substance huileuse ou résineuse sur le Saint Suaire de Turin. Voyons cela avec rigueur.
❖ L’objection en résumé
Les détracteurs affirment :
« Si, selon Valtorta, le corps de Jésus a été abondamment couvert d'onguents (aloès, myrrhe, etc.), pourquoi n'en voit-on aucune trace évidente sur le Saint Suaire ? »
Pas nécessairement. Voici plusieurs pistes sérieuses qui permettent de résoudre l’apparente contradiction.
1. La nature des substances utilisées
Les onguents mentionnés sont notamment :
Aloès (résine sèche et aromatique)
Myrrhe (gomme-résine aromatique)
Dans l’Évangile de Jean (19,39), Nicodème apporte « environ cent livres d’un mélange de myrrhe et d’aloès » – ce que Valtorta reprend avec un luxe de détails.
Or, selon plusieurs études scientifiques :
La myrrhe et l’aloès, une fois absorbés ou séchés, ne laissent pas nécessairement de traces visibles à l’œil nu, surtout sur des tissus anciens.
Il ne s’agit pas d’onguents gras comme de l’huile, mais de poudres, de résines, ou d’infusions absorbées dans des linges ou bandes (voir plus bas la pratique juive).
→ Ces substances pouvaient parfumer et purifier le corps sans nécessairement engendrer une tache permanente sur le tissu funéraire.
2. La méthode d’embaumement juif
Contrairement aux Égyptiens, les Juifs ne vidaient pas les corps ni ne les momifiaient. La tradition juive était :
De laver le corps.
D’appliquer rapidement des aromates secs ou semi-liquides pour masquer les odeurs.
D’envelopper le corps dans un linceul avant le coucher du soleil (surtout avant le sabbat).
Valtorta respecte cela : les femmes n’ont pas le temps de procéder à une embaumement complet. Jésus est enveloppé vite, avec un mélange d’aloès et de myrrhe que Joseph d’Arimathie et Nicodème ont préparé à l’avance.
Cela signifie que :
La quantité d'onguents peut avoir été importante, mais leur forme (poudre, pâte résineuse) n'impliquait pas une imprégnation grasse ou visible.
Les linges (notamment le suaire) ne sont pas saturés comme d’un onguent liquide.
3. Le Suaire et les analyses scientifiques
Les analyses du Suaire de Turin ont montré :
Des résidus de myrrhe et d’aloès sont bien présents (identifiés par chromatographie et d’autres méthodes modernes).
Ces résidus sont très légers mais compatibles avec un usage modéré de substances aromatiques.
La conservation du corps dans le Suaire n’a pas été complète : la Résurrection est intervenue peu de temps après, ce qui a limité l’empreinte de décomposition ou d’imprégnation prolongée.
4. Détails précis chez Maria Valtorta
Valtorta ne dit pas que le corps est badigeonné comme avec de l’huile. Voici quelques précisions utiles :
Le corps est lavé, puis des aromates sont disposés dans les linges, parfois entre les plis, parfois saupoudrés (et non enduits en masse).
Elle distingue les linges du suaire principal : il y a un linge facial, un linge de contention, et le grand suaire, sans confusion.
La description est cohérente avec les coutumes juives, comme le montrent les travaux de chercheurs juifs et chrétiens.
L’objection est compréhensible mais résoluble objectivement. Il n’y a pas d’incohérence entre :
la description des aromates dans l’œuvre de Maria Valtorta,
et l’état du Suaire de Turin tel que confirmé par la science.
Ce que Valtorta décrit correspond :
à un embaumement rapide, discret mais respectueux des coutumes,
avec des substances en quantités importantes mais non grasses,
dont les résidus subtils sont confirmés par les études du Suaire.
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