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VACCINATION COVID-19, le CRIME PARFAIT 5/6

UN SYMBOLISME OCCULTE OMNIPRÉSENT

>>> VACCINATION COVID-19, le CRIME PARFAIT 4/6

Pour les plus observateurs, on pourra aussi remarquer l'usage ostensible de nombreux signes et symboles occultes relatifs à cette pandémie dans les communications des grands organismes internationaux mondialistes. Tous ces signes, placés délibérément, au vu et au su de tous, en pleine lumière, ne peuvent pour moi êtres le fruit du hasard en terme de probabilités !

Bien sûr, le symbolisme est quelque chose d'assez subjectif, qui peut être réinterprété et discuté. Il ne s'agit ici que de ma propre analyse et compréhension de tout cela... Tout le monde n'y sera pas sensible, voir totalement hermétique et c'est une prise de risque d'en parler... Mais pour moi, cela est une dimension importante à prendre en compte pour expliquer ce que nous sommes en train de vivre collectivement. J'ai donc choisi d'aborder tout de même la question, et cela n'enlève rien aux constats précédents, plus terre-à-terre et vérifiables.

Ainsi, pourquoi le Président Emmanuel Macron, cet ancien associé gérant de la banque d'affaires Rothschild, qui suite à une sorte de coup d'état médiatique indécent a été élu avec 66,06 pourcents des voies face à Marine Lepen, s'est évertué à glisser subtilement dans ses interventions des signes symboliques et des chiffres ésotériques, comme l'incontournable nombre 666, ou d'introduire sa fameuse règle des 6, à savoir, pas plus de 6 au restaurant, pas plus de 6 à table, pas de groupe de plus de 6 dans la rue. De même lors de son discours initial relatif à la pandémie, il a répété à six reprises que nous étions en guerre et il faut savoir que la valeur gématrique du mot "Guerre" donne justement une valeur de 666 ! Quant aux amendes forfaitaires pour non-respect du couvre-feu, elles sont fixées à 135 euros, or si l'on additionne 135 plus son inverse qui est 531, on retombe encore une fois sur le nombre 666, qui plus est avec une peine fixée à 6 mois d'emprisonnement en cas de récidive. Quant aux masques, ils ont été imposés aux enfants dès l'âge de 6 ans. De même, lors de son allocution du 28 novembre, Macron parlait des assouplissement des règles en permettant une sortie à une distance de 20 km pendant 3 heures, ce qui correspond à une vitesse de 6.66 km par heure... Il fallait le faire ! Pour ce qui est de la plage horaire du couvre-feu, elle a été fixée de 21h à 6h, or, si on multiplie 6 x 6 x 6, on obtient 216 ! Logique ! Tandis que lors de ses dernières vacances, il chevauchait fièrement un scooter des mers portant un numéro de série de TLI 70666. En outre, pour dédommager la presse de ces pertes financières liée à la pandémie, le gouvernement à alloué une subvention exceptionnelle de 666 millions d'euros à la presse...

Mais quelle est la symbolique qui se cache derrière le chiffre 6 ?

Et bien, si le chiffre 7 est le chiffre parfait de la perfection divine, de l'accomplissement total, comme le monde qui aurait été créé en 7 jours, le 6, quant à lui, est celui de l'imperfection, car 6 équivaut à 7 moins 1, et 1 représente Dieu... 6 est donc le refus catégorique de Dieu, qui lui est perfection. Répété trois fois, c'est une sorte de superlatif, 666 est donc ce qui est absolument inachevé donc qui représente le mal !

Aussi, pourquoi parle-t-il dans un élan mystique d'une certaine bête de l'événement en affirmant :
« Je crois que notre génération doit savoir que la bête de l'événement est là, et elle arrive. » Pourquoi le Président qui se fait habituellement le fer de lance du respect intransigeant de la laïcité, (à tel point qu'au moment des fêtes de Noël pour ne pas déroger à ce grand principe Républicain, il ne présente même pas ses vœux à ses concitoyens, en ignorant délibérément les racines chrétiennes de la France), introduit-il par là une dimension totalement mystique d'ordre spirituelle, voir biblique à l'épisode que nous sommes en train de vivre ? Il confiait aussi se sentir investi d'une mission depuis qu'il est rentré dans le champ politique, avec une dimension de spiritualité et la conviction profonde qu'il existe une transcendance, « quelque chose qui nous dépasse, qui vous dépasse, qui vous a précédé et qui restera ! » N'est-ce pas là une subtile allusion à Satan en personne, qui fut le tout premier a fouler de son pied le sol de la terre ? En outre, dans une autre scène, alors qu'il saluait la foule sur un balcon en compagnie de Donald Trump lors de leur toute première rencontre, on peut très nettement voir Macron effectuer un double "Cornuto" des deux mains, qui est un signe satanique bien connu et qui a été largement popularisé par le Rock ’n’ Roll. On se rappellera aussi de la déclaration choquante qui a fait scandale où Macron affirmait qu'une gare était un endroit où « l'on croise des gens qui ont réussis et d'autres qui ne sont riens ». N'est-ce pas là justement l'expression même de l'idéologie du satanisme, qui est le culte absolut de l'ego avec la permission d'écraser son inférieur pour s'assurer la pleine et entière réussite matérielle ? Enfin, dans une autre séquence très troublante, alors qu'il annonce la nécessité de mettre en place une distanciation sociale et physique, même au sein des foyers avec « le port du masque systématique lorsque l'on se trouve à l'intérieur en présence d'une autre personne, même un proche, même un enfant ou un petit-enfant », et même si c'est un crève-cœur, on le voit esquisser un subtil petit rictus de jubilation, comme s'il se contenait et était à deux doigts d'éclater de rire...

Et si vous pensez que cette interprétation à base de numérologie est farfelue ou tirée par les cheveux, que les élites ne joueraient pas ainsi avec les chiffres, il suffit de repenser au discours surréaliste de 2014 de Christine Lagarde. Ce jour-là, la directrice de la Banque Centrale Européenne s'est lancée dans un discours totalement énigmatique et ésotérique autour "du chiffre magique 7", où elle semble annoncer, bien avant Klaus Schwab, la venue du Grand Reset ou de la Grande Réinitialisation de l'économie mondiale sept ans après, soit en 2021 !

Pour rester sur la thématique du 666, la firme Microsoft a aussi déposé, un brevet ayant pour nom de code "WO/2020/060606", qui peut se décomposer en "World Order", "2020" et "666". Dans ce brevet, il s'agirait d'implanter les humains avec une micro-puce qui serait capable de tracer et d'analyser en temps réel l'activité physique de son porteur ! Le système étant par-dessus le marché, couplé à une crypto-monnaie électronique dématérialisée qui créditerait son porteur en fonction de ses efforts en surveillant, en permanence, son activité afin de vérifier quelle soit bien conforme aux tâches prédéterminées au préalable par son employeur. On arrive donc là à un contrôle absolut de l'individu. Soit, la formulation d'un projet de nature esclavagiste, complètement fou et véritablement terrifiant.

Il est aussi particulièrement révélateur que Bill Gates soit très proche de l'artiste Marina Abramovic, spécialisée dans les performances corporelles extrêmes et accessoirement, une sataniste notoire, parfaitement assumée et revendiquée. En effet, curieusement, parmi tous les artistes disponibles, Bill Gates avait choisi l'image très controversée d'Abramovic pour assurer la promotion du lancement du Hololens 2, son tout dernier modèle de casque de réalité augmentée. Une opération de communication surréaliste et bien maladroite, qui a suscité une vague d'indignation et des critiques très hostiles sur les réseaux sociaux. Une idée diablement mauvaise, si bien que ce Teaser promotionnel pour ce casque révolutionnaire intitulé "The Life", désastreux pour son image de marque a été retiré en toute urgence par microsoft... Dans la vidéo YouTube promotionnelle publiée sur le compte officiel de la firme de Redmond, Abramovic était décrite avec enthousiasme et de manière élogieuse comme, je cite : « La plus légendaire artiste de performance travaillant actuellement. » Dans la vidéo, qui a été diffusée le vendredi Saint, Marina dit que le projet lui permet d’atteindre une forme d’immortalité.

On pourra donc s'inquiéter et se poser légitimement la question si Bill Gates ne serait pas affilié au satanisme. Une question qui, si elle relève de croyances d'ordre privées et personnelles, est tout sauf secondaire, étant donné le pouvoir d'influence exorbitant que possède cet individu auprès des gouvernements et des institutions internationales, mais aussi sur nos vies et notre santé...

Il faut aussi savoir que notre gouvernement bien-aimé, a choisit de confier nos données de santé privées à Microsoft ! Les informations de santé les plus intimes de millions de Français seront ainsi hébergées sur les serveurs de l'Américain Microsoft, au détriment d'OVH, une société française. Un véritable scandale !

De plus, il est aussi de notoriété publique que Bill Gates fréquentait le milliardaire et pédocriminel Jefrey Epstein et qu'il a effectué plusieurs trajets à destination de sa fameuse "île aux pédophiles" en empruntant le désormais tristement célèbre avion, le "Lolita Express". C'est dire qu'en coulisses, les mœurs du bonhomme doivent être particulièrement peu recommandables et hautement dépravées... Ce qui contraste singulièrement avec l'image très lisse qu'il cherche à se donner médiatiquement avec sa femme Mélinda Gates.

Enfin, pour en finir avec le chiffre 666, on peut relever un dernier petit clin d'œil malicieux de cette oligarchie sataniste mondiale avec le vaccin de "Moderna" qui contiendrait de la Luciférine dissoute avec 66,6 ml de phosphate distillé !



Pour rester sur la symbolique apocalyptique, on peut évoquer le cas de l'UNICEF Norvège, cette ONG d'esprit mondialiste, qui dans une publicité, a communiqué autour du vaccin comme s'il s'agissait d'un produit de mode et de luxe, en reprenant tous les codes de cet univers et au passage l'imagerie de la femme écarlate, la grande prostituée de l'Apocalypse de Saint-Jean, à savoir, « Cette femme qui était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. » Une publicité très surprenante particulièrement incongrue et de mauvais goût, car la coupe de l'abomination est ici remplacée par le vaccin COVID-19...

Mais ce n'est pas tout, sur une affiche de communication intitulée "Remaking the Post-COVID World" ou refaçonner le monde de l'après COVID et annonçant la tenue d'une conférence de Richard Doode au Fond Monétaire International, on retrouve un phénix. En alchimie, cet oiseau mythique flamboyant, qui brûle, se consume pour renaître de ses cendres est très important ! Il est un symbole de renaissance et d'immortalité. Et le passage d'un monde à un autre est bien un processus de nature alchimique, une transmutation d'un état donné à un autre... Le phénix peut donc représenter la renaissance de ses cendres du monde entier, en tant que Nouvel Ordre Mondial, par un processus d'Ordo Ab Chaos, de dissolution et de recombinaison. Cet oiseau d'essence très luciférienne, est ici orné sur ses ailes de chiffres numériques, qui représentent la prochaine devise électronique, la cryptomonnaie mondiale. Le volatile jaillit d'un œuf symbolisé graphiquement par le virus ! C'est donc bien le virus qui lui donne naissance. La symbolique parle d'elle-même et ne souffre d'aucune ambiguïté...

Ce phénix renvoi directement à celui que l'on pouvait apercevoir sur une ancienne couverture de la Revue "The Economist" (la feuille de choux économique de la puissante dynastie des Rothschild) daté de 1988 et intitulée "Préparez-vous pour la prochaine monnaie mondiale", où l'on peut voir les différentes monnaies papier que sont le Dollar, le Yen et le Deutsche Mark brûler, pour partir en fumée et la même figure de phénix renaître de cette destruction pour se dresser au-dessus et accompagner l'émergence d'une nouvelle monnaie mondiale appelée Phénix. Cette dernière était alors annoncée à l'horizon de 2018... La tête de l'oiseau est surmontée d'un Lys qui symbolise son hégémonie et son emprise absolue sur le nouveau monde. Songez que cette couverture à maintenant 32 ans et à peu de choses près, nous y sommes ! Cela donne littéralement le vertige...

En outre, il est à noter que sur une gigantesque fresque murale située dans la Chambre du Conseil de Sécurité de l'ONU à New York, organisation mondialiste s'il en est, on retrouve aussi la représentation d'un phénix émergeant d'un monde en cendres. Ce symbole est donc manifestement incontournable pour nos élites ! Il est aussi le symbole pour les initiés de l'illumination spirituelle, après la mort au monde profane.
Il est aussi intéressant de remarquer que l'on retrouve ce phénix comme emblème de la trilogie de films dystopiques des "Hunger Games", qui dépeignent une société proche du "meilleur des mondes", où l'on retrouve 12 catégories de gens qui produisent des biens pour des mégalopoles, où les gens se retrouvent concentrés.

Par ailleurs, il est à noter qu'on aura pu retrouver l'usage d'exactement le même symbolisme dans la cérémonie de clôture des "Jeux olympiques de Londres en 2012". Ici aussi, émergeant du feu produit par des pétales et représentant les différentes nations du monde se consumant, un phénix apparaît au-dessus d'un gigantesque chaudron olympique. Juste après l'apparition du phénix, une chanson du groupe "Take That" a été diffusée, avec un titre plutôt symbolique en lien avec le contexte : "Gouverne le monde".

Ce fut une cérémonie particulièrement glauque et inquiétante, surtout lors du tableau n°2 intitulé "Pandemonium". Le Pandémonium désigne en littérature la capitale imaginaire de l'Enfer, où Satan invoque le conseil des démons pour préparer l'Apocalypse... Tout un programme ! Ce mot, qui signifie littéralement "ici, tout est démon", est apparu en 1667, sous la plume du poète anglais John Milton dans son "Paradis perdu", juste après l'incendie ravageur de Londres de 1666. À noter que dans le film l'associé du diable, le diable en personne, campé par un éblouissant Al Pacino, est le dirigeant d’un célèbre cabinet d’avocats et s'appelle justement John Milton. Dans ce film, le diable à une réplique particulièrement intéressante : « J'ai passé mon existence ici moi, je suis resté collé à l'homme depuis qu'on l'a mis là. J'ai nourri chacune des sensations que l'homme a eu la bonne inspiration d'avoir. J'ai cherché à lui donner ce qu'il voulait, je ne l'ai jamais jugé. Pourquoi ? Parce que je n'ai jamais rejeté l'homme, en dépit de toutes ses imperfections. Parce que moi, j'aime l'homme ! Je suis un humaniste, peut-être même le dernier humaniste. Qui oserait dire le contraire, Kevin, quand j'affirme que le XXème siècle a entièrement été mien ? Mon temps est venu ! » On retrouve aussi dans ce film fantastique, une séquence très troublante, si on la met en perspective avec l'actuelle pandémie et son confinement exceptionnel, qui pour la toute première fois de son histoire, a vidé les rues de New York... En effet, dans une scène, on peut voir Kevin Lomax, le protagoniste principal de l'intrigue déambuler dans les rues totalement désertes de New-York, juste avant de rejoindre le diable qui occupe la Trump Tower.

Pour en revenir au volet Pandemonium de la cérémonie des Jeux olympiques, il s'agissait d'une sorte de ballet macabre mis en scène par le réalisateur britannique Danny Boyle. On retrouvait là aussi de nombreux éléments symboliques se rattachant à une pandémie, avec des lits d'hôpitaux dans lesquels sont soignés des enfants malades, et même la représentation d'une forme de virus géant par vue aérienne du haut du stade ! Au beau milieu de cette scène surréaliste, se dressait la figure particulièrement hideuse et menaçante de Lord Voldemort, le personnage très antichristique et ténébreux tiré de la saga des Harry Potter écrite par J. K. Rowling. D'ailleurs au passage, dans cette série de livre initiatiques et hautement symbolique, on retrouve encore le Phénix, avec même un des livres qui s'intitule, "Harry Potter et l'Ordre du Phénix"... Cerise sur le gâteau occulte, cette séquence du spectacle olympique fut accompagnée par le célèbre thème musical de "L'exorciste" de Mike Oldfield. Au cas où vous ne le sauriez pas, il s'agit d'un grand classique des films d'horreur, qui met en scène une fillette possédée par le diable. Le tout formant un tableau particulièrement malsain et inquiétant. Drôle de choix artistiques pour illustrer les Jeux olympiques...

Quant au masque chirurgical, comme d'un point de vue sanitaire, il constitue une véritable aberration lorsqu'il est porté en population générale. Alors, pourquoi son imposition globale par nos gouvernements respectifs, si ce n'est pour nous faire participer à une sorte de rituel occulte qui ne dirait pas son nom ? Un rituel qui nous initierai alors au nouveau monde, sans que nous en ayons même bien conscience ! Un rituel qui nous couperait de notre ancien mode de vie, pour nous plonger et nous maintenir durablement dans un nouveau, avec de nouvelles règles et normes. Il faut savoir que le masque est en effet un élément essentiel inhérent aux rituels occultes, car il accompagne symboliquement un changement de personnalité. En effet, le masque cache l’identité première de son porteur, dont il hâte la mort symbolique, pour créer une nouvelle identité, celle de l'initié.

Le port du masque est aussi une forme de censure, de soumission et de déshumanisation des individus, comme un bâillon ou une muselière... Au cours de ces derniers mois, on a pu voir au combien la censure s'est justement abattue sur toutes les voix divergentes et les points de vue alternatifs au récit officiel. C'est aussi une marque de soumission et de contrôle social, qui témoigne directement de l'acceptation tacite de son porteur aux nouvelles règles imposées arbitrairement, même si celle-ci ne tiennent pas la route d'un point de vue médical et légal. En outre les masques sont totalement déshumanisants, ils instaurent une distance entre les individus et nous coupent de notre langage corporel, de nos émotions et de notre empathie vis-à-vis des autres.

Rappelons-nous aussi de la citation surréaliste du gourou du New Age, David Spangler, le directeur de l’Initiative Planétaire, un projet des Nations Unies : « Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial, à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera partie du Nouvel Age sans recevoir une initiation Luciférienne ! »


Autres éléments fort interpellant, la couverture annuelle de "The Economist", "le monde en 2019", qui est littéralement truffée de symbolismes en liaison avec la pandémie.

Ainsi, On y retrouve pêle-mêle représenté :


Un pangolin, animal qui avec la chauve-souris, fut tenu pour responsable de la propagation du virus à l'homme au tout début de l'épidémie en Chine.

Les "quatre cavaliers de l'apocalypse": figures menaçantes et macabres s'il en est, ils sont synonymes de grandes tribulations, de cataclysmes et interviennent dans les épidémies, en semant derrière eux chaos et désolation. L'un des quatre cavaliers est coiffé comme la statue de la liberté et semble même porter un masque chirurgical de protection pour les pandémies. Il n'est pas anodin d'avoir fait porter ce masque, symbole de la soumission aveugle à l'autorité sur la statue de la liberté... Faut-il comprendre que la liberté est désormais une notion désuète, reléguée au passé ? À ses côtés, on peut observer un autre cavalier, dont les traits ressemblent étrangement à ceux du professeur Didier Raoult, microbiologiste de renommée internationale, qui a fait couler beaucoup d'encre tout au long de cette pandémie... Il porte sur la tête une couronne, ce qui peut ramener au virus à couronne, le "Coronavirus".

En figure centrale de la composition, se dresse un homme de Virtuve. Célèbre figure kabbalistique de Léonard de Vinci, ici dans une version modernisée, il tient dans la main droite un smartphone avec un QR code, ce qui peut rappeler les autorisations de déplacement pendant le confinement... Sur son bras gauche, on peut apercevoir un brun d'ADN tatoué. Or, le vaccin qui va être utilisé pour lutter contre le COVID-19 sera justement un vaccin à ARN, capable d'intervenir au niveau de l'ADN humain sans doute pour l'altérer. Il s'agit ici sans nul doute d'une satire de l'homme moderne, qui est tout simplement tourné en dérision avec malice par les Rothschild. En effet, si cette figure représente traditionnellement l'homme accompli, réalisant l'union entre la matière représenté par le carré, et l'esprit représenté par le cercle, ici ce nouvel homme de Vitruve 2.0, cet "homo numericus", semble désespérément ancré dans le matérialisme, coupé de toute transcendance et connexion divine. En effet, il tient dans ses mains un portable, une feuille de cannabis, une balle de baseball et voit son regard empêché par ce qui s'apparente être un casque virtuel... Il est littéralement aveuglé et ne comprend rien à ce qui lui arrive, empêtré dans son univers factice et insignifiant de divertissements. Les yeux étant le reflet de l'âme, celle-ci est alors définitivement voilée.

On retrouve aussi une reproduction d'un tableau autoportrait de la peintre Artemisia Gentileschi, sans doute pour jouer avec le nom de "l'Artemesia". En effet, cette dernière, aussi appelée armoise, est une plante médicinale efficace contre le paludisme, tout comme la chloroquine et elle est donc efficace pour lutter contre le coronavirus. Cette couverture parle alors du mal, mais aussi subtilement de son remède...

Il faut bien préciser qu'au moment de la parution de cette couverture, rien ne laissait présager alors d'un avenir aussi chaotique et sombre.

Mais ce n'est pas tout, pour rester sur le symbolisme affiché des couvertures de la revue "The Economist", sur l'édition d'avril 2020 figure un citoyen lambda flanqué de son masque médical qui promène son chien en laisse pendant la pandémie et qui est lui-même tenu en laisse et surveillé par une main invisible que l'on peut interpréter comme la main cachée des élites... En somme, il est désormais placé sous le contrôle et la botte des puissants, comme un bon toutou à son maître... Sur cette même couverture, il est aussi précisé que "Tout est sous contrôle", le gouvernement globalisé mondial, les libertés, et même le virus ! Encore une fois de la part de ces élites, quelle audace et quel cynisme absolu !

Mais la couverture la plus sinistre et la plus menaçante de "The Economist" est sans nulle doute celle de 2020, "The Next Catastrophe, and how to survive it", littéralement la prochaine catastrophe et comment y survivre. Elle présente une scène de nature proprement apocalyptique, avec une famille assise sur un canapé dans son salon, chaque membre de la famille étant muni d'un masque à gaz, sauf l'enfant qui est juste coiffé par un simple casque militaire. Encore une fois, il s'agit ici sans doute là d'une subtile moquerie pleine d'ironie et de sarcasme portant sur l'homme moderne, qui bien trop souvent, se préoccupe plus de son animal de compagnie que de sa propre progéniture... On pourra en effet observer que le chat, contrairement à l'enfant est équipé lui aussi avec un masque a gaz ! Dans les tableaux suspendus au mur en arrière-fond, on peut observer différentes catastrophes dépeintes, des catastrophes d'ordre naturelles avec une chute de météorite, bactériologiques, atomiques avec une bombe nucléaire, écologique avec le réchauffement climatique... Et, au beau milieu de toutes ces scènes de désolation est représenté une horloge qui semble bien être celle de l'Apocalypse et dont les aiguilles indiquent minuit moins une...

Et pour ce qui est de la toute dernière couverture en date, celle de "The World in 2021", ils ont cette fois-ci choisi de représenter une machine de casino, dans laquelle on peut apercevoir la possibilité de gagner, comme à la loterie, différentes catastrophes : nouveau virus, guerre civile aux USA, bombe nucléaire, vaccination, incendies de forêt ravageurs, crise économique. Plus généralement, cette couverture est une représentation du fameux "Great Reset", car la manette pour actionner cette machine à sous est surmontée par le globe terrestre. On pourra aussi remarquer un bonhomme masqué en forme de smiley qui a les yeux fermés et un casque sur les oreilles. Il évoque donc les célèbres trois singes, qui ne voient rien, n'entendent rien et ne disent rien... Encore une fois, c'est une représentation de l'homme du commun, de la masse lobotomisée qui ne comprend rien à ce qui lui arrive et qui se fait aisément manipuler. On peut aussi voir un vaccin, mais de couleur verte ce qui n'évoque pas la santé, mais plutôt la maladie... Pour finir, sur le dessous de la machine à sous, on peut aussi distinguer des rayons qui évoquent un levé de soleil, et donc l'émergence du nouveau monde.

On l'aura compris, les élites font joujou avec nos vies dans leur grand casino du chaos. Faites vos jeux, mais ne rêver pas trop, les chances de gagner au casino restant très faibles...

En fait, à bien y regarder de près, ces pseudo-élites se comportent comme des pervers narcissiques, qui prennent un malin plaisir à jouer avec leurs victimes... Il faut tout de même vous en conviendrez, être sacrément vicelard et tordu pour se livrer à de tels petits jeux, tabler pour l'année à venir sur un possible chaos, des destructions, des famines décimant les peuples et le représenter le plus naturellement du monde sur une couverture de magazine glacé. Voilà qui est véritablement glaçant !

Source : 1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/…covid-19-le-crime-parfait.html


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Ludovic Denim
Vraiment un super travail, merci !!!