"L'Eglise face à l'islam" livre de Véliocas, préface du père Henri Boulad s,j. « Il n’existe pas de terrorisme islamique » affirme le Pape François devant des étudiants Italiens. « Il ne faut pas …Plus
"L'Eglise face à l'islam" livre de Véliocas, préface du père Henri Boulad s,j.
« Il n’existe pas de terrorisme islamique » affirme le Pape François devant des étudiants Italiens. « Il ne faut pas diaboliser l’islam » affirme Mgr Podvin, porte-parole des évêques de France. « Je ne diabolise pas l’UOIF » dit de son côté le père Christophe Roucou, directeur Service des Relations avec l’Islam.
« Il faut très attention à ne pas diaboliser tous les djihadistes », prévient Mgr Dagens, au sujet de l’entrée des djihadistes d’Al Nosra dans Maaloula (Syrie).
« Le salafisme promu par l’Arabie Saoudite n’est pas violent » rassure le frère dominicain Adrien Candiard, Prix des libraires religieux 2017.
A ces propos bienveillants commandés par la sauvegarde, à tout prix, du dialogue, s’ajoute un relativisme mal placé : « certains musulmans peuvent être excessifs, voire fanatiques, admet Mgr Vingt-Trois,comme des catholiques peuvent l’être » complète-t-il aussitôt. François, de retour des JMJ osa le parallèle suivant : « Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique. »
Joachim Véliocas dresse le bilan de cinquante ans de relations islamo-chrétiennes, en remontant aux racines des malentendus. Chapelles devenues mosquées, mosquées inaugurées par des évêques, instituts catholiques à la dérive, les fidèles ont de quoi s’inquiéter. L’auteur sait aussi relever les positions courageuses d’évêques et de cardinaux au service de la vérité. Un livre-choc dénonçant les errements d’une Église dans sa défense aveugle de l’islam.
« Il n’existe pas de terrorisme islamique » affirme le Pape François devant des étudiants Italiens. « Il ne faut pas diaboliser l’islam » affirme Mgr Podvin, porte-parole des évêques de France. « Je ne diabolise pas l’UOIF » dit de son côté le père Christophe Roucou, directeur Service des Relations avec l’Islam.
« Il faut très attention à ne pas diaboliser tous les djihadistes », prévient Mgr Dagens, au sujet de l’entrée des djihadistes d’Al Nosra dans Maaloula (Syrie).
« Le salafisme promu par l’Arabie Saoudite n’est pas violent » rassure le frère dominicain Adrien Candiard, Prix des libraires religieux 2017.
A ces propos bienveillants commandés par la sauvegarde, à tout prix, du dialogue, s’ajoute un relativisme mal placé : « certains musulmans peuvent être excessifs, voire fanatiques, admet Mgr Vingt-Trois,comme des catholiques peuvent l’être » complète-t-il aussitôt. François, de retour des JMJ osa le parallèle suivant : « Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique. »
Joachim Véliocas dresse le bilan de cinquante ans de relations islamo-chrétiennes, en remontant aux racines des malentendus. Chapelles devenues mosquées, mosquées inaugurées par des évêques, instituts catholiques à la dérive, les fidèles ont de quoi s’inquiéter. L’auteur sait aussi relever les positions courageuses d’évêques et de cardinaux au service de la vérité. Un livre-choc dénonçant les errements d’une Église dans sa défense aveugle de l’islam.
BLANCHE HERMINE
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@observatoire @BLANCHE HERMINE
Exhortation Apostolique Ecclesia in Europa (2003) de Saint Jean-Paul II :
« (...) Comme pour tout l'engagement de la «nouvelle évangélisation», il faut également, en ce qui concerne l'annonce de l'Évangile de l'espérance, que soit instauré un dialogue interreligieux profond et intelligent, en particulier avec le judaïsme et avec l'islam. « Entendu comme méthode …Plus
@observatoire @BLANCHE HERMINE
Exhortation Apostolique Ecclesia in Europa (2003) de Saint Jean-Paul II :
« (...) Comme pour tout l'engagement de la «nouvelle évangélisation», il faut également, en ce qui concerne l'annonce de l'Évangile de l'espérance, que soit instauré un dialogue interreligieux profond et intelligent, en particulier avec le judaïsme et avec l'islam. « Entendu comme méthode et comme moyen en vue d'une connaissance et d'un enrichissement réciproques, il ne s'oppose pas à la mission ad gentes, au contraire il lui est spécialement lié et il en est une expression ».
Dans ce dialogue, il n'est pas question de se laisser prendre par une «mentalité marquée par l'indifférentisme, malheureusement très répandue parmi les chrétiens, souvent fondée sur des conceptions théologiques inexactes et imprégnées d'un relativisme religieux qui porte à considérer que toutes les religions se valent ».
(...) Il est important d'avoir un juste rapport avec l'islam. Comme cela s'est révélé plusieurs fois ces dernières années à la conscience des évêques européens, ce rapport « doit être conduit avec prudence, il faut en connaître clairement les possibilités et les limites, et garder confiance dans le dessein de salut de Dieu, qui concerne tous ses fils ».
Il faut être conscient, entre autres, de la divergence notable entre la culture européenne, qui a de profondes racines chrétiennes, et la pensée musulmane. À cet égard, il est nécessaire de préparer convenablement les chrétiens qui vivent au contact quotidien des musulmans à connaître l'islam de manière objective et à savoir s'y confronter ; une telle préparation doit concerner en particulier les séminaristes, les prêtres et tous les agents pastoraux. On comprend par ailleurs que l'Église, alors qu'elle demande aux Institutions européennes d'avoir à promouvoir la liberté religieuse en Europe, se fasse également un devoir de rappeler que la réciprocité dans la garantie de la liberté religieuse doit être observée aussi dans les pays de tradition religieuse différente, où les chrétiens sont en minorité. Dans ce domaine, on comprend «l'étonnement et le sentiment de frustration des chrétiens qui accueillent, par exemple en Europe, des croyants d'autres religions en leur donnant la possibilité d'exercer leur culte et qui se voient interdire tout exercice du culte chrétien dans les pays où ces croyants majoritaires» ont fait de leur religion la seule qui soit autorisée et encouragée. La personne humaine a droit à la liberté religieuse et, en tout point du monde, tous «doivent être exempts de toute contrainte de la part soit d'individus, soit de groupes sociaux, et de quelque pouvoir humain que ce soit ».
Exhortation Apostolique Ecclesia in Europa (2003) de Saint Jean-Paul II :
« (...) Comme pour tout l'engagement de la «nouvelle évangélisation», il faut également, en ce qui concerne l'annonce de l'Évangile de l'espérance, que soit instauré un dialogue interreligieux profond et intelligent, en particulier avec le judaïsme et avec l'islam. « Entendu comme méthode et comme moyen en vue d'une connaissance et d'un enrichissement réciproques, il ne s'oppose pas à la mission ad gentes, au contraire il lui est spécialement lié et il en est une expression ».
Dans ce dialogue, il n'est pas question de se laisser prendre par une «mentalité marquée par l'indifférentisme, malheureusement très répandue parmi les chrétiens, souvent fondée sur des conceptions théologiques inexactes et imprégnées d'un relativisme religieux qui porte à considérer que toutes les religions se valent ».
(...) Il est important d'avoir un juste rapport avec l'islam. Comme cela s'est révélé plusieurs fois ces dernières années à la conscience des évêques européens, ce rapport « doit être conduit avec prudence, il faut en connaître clairement les possibilités et les limites, et garder confiance dans le dessein de salut de Dieu, qui concerne tous ses fils ».
Il faut être conscient, entre autres, de la divergence notable entre la culture européenne, qui a de profondes racines chrétiennes, et la pensée musulmane. À cet égard, il est nécessaire de préparer convenablement les chrétiens qui vivent au contact quotidien des musulmans à connaître l'islam de manière objective et à savoir s'y confronter ; une telle préparation doit concerner en particulier les séminaristes, les prêtres et tous les agents pastoraux. On comprend par ailleurs que l'Église, alors qu'elle demande aux Institutions européennes d'avoir à promouvoir la liberté religieuse en Europe, se fasse également un devoir de rappeler que la réciprocité dans la garantie de la liberté religieuse doit être observée aussi dans les pays de tradition religieuse différente, où les chrétiens sont en minorité. Dans ce domaine, on comprend «l'étonnement et le sentiment de frustration des chrétiens qui accueillent, par exemple en Europe, des croyants d'autres religions en leur donnant la possibilité d'exercer leur culte et qui se voient interdire tout exercice du culte chrétien dans les pays où ces croyants majoritaires» ont fait de leur religion la seule qui soit autorisée et encouragée. La personne humaine a droit à la liberté religieuse et, en tout point du monde, tous «doivent être exempts de toute contrainte de la part soit d'individus, soit de groupes sociaux, et de quelque pouvoir humain que ce soit ».
Ne nous laissez pas sucomber
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Le plus grand scandale est le concile Vatican II qui à renier la Sainte Trinité comme seul et unique Dieu ,tout le reste que nous vivons est le résultat ,alors muz ou pas nous y allons ,comme en 1940 ,n'oubliez pas Fatima .
AveMaria44
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Plus généralement, il me semble que Nostra Aetate, la fraternité universelle et l'unité du genre humain, obligent implicitement à nier le péché originel, à fustiger les prophètes de malheur, dans un naturalisme tout maçonnique à saveur pélagienne.
Catholique et Français
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A propos de la pastorale moderne de l'Islam, il me semble que le crime de ce clergé pourri de bas en haut, mondain, apostat, prévaricateur allie de pair :
- l'ignorance délibérée de la misère intellectuelle, morale et religieuse du pauvre peuple musulman; refus d'évangélisation, mépris et abandon de ces pauvres gens à leurs pasteurs de haine anti-Christ ou aux flatteurs athées et maçonniques …Plus
A propos de la pastorale moderne de l'Islam, il me semble que le crime de ce clergé pourri de bas en haut, mondain, apostat, prévaricateur allie de pair :
- l'ignorance délibérée de la misère intellectuelle, morale et religieuse du pauvre peuple musulman; refus d'évangélisation, mépris et abandon de ces pauvres gens à leurs pasteurs de haine anti-Christ ou aux flatteurs athées et maçonniques qui les considèrent comme les bras ou les outils de leurs criminels desseins.
- la recherche délibérée de la "fraternité", du copinage, de la complicité, des encouragements, des prières en commun et autres menus "services" et des bonnes paroles envers les meneurs, les chefs et les puissants de cette fausse et "pauvre" religion.
Exactement l'inverse de ce que voulait et faisait humblement mais fermement le Bienheureux Charles de Foucauld (+ 1916), longtemps avant le Concile Vatican II, "Dignitatis Humanae", "Nostra Aetate" et "Gaudium et Spes" !
- l'ignorance délibérée de la misère intellectuelle, morale et religieuse du pauvre peuple musulman; refus d'évangélisation, mépris et abandon de ces pauvres gens à leurs pasteurs de haine anti-Christ ou aux flatteurs athées et maçonniques qui les considèrent comme les bras ou les outils de leurs criminels desseins.
- la recherche délibérée de la "fraternité", du copinage, de la complicité, des encouragements, des prières en commun et autres menus "services" et des bonnes paroles envers les meneurs, les chefs et les puissants de cette fausse et "pauvre" religion.
Exactement l'inverse de ce que voulait et faisait humblement mais fermement le Bienheureux Charles de Foucauld (+ 1916), longtemps avant le Concile Vatican II, "Dignitatis Humanae", "Nostra Aetate" et "Gaudium et Spes" !
Catholique et Français
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Clergé pourri, de bas en haut ! Mondains ! Apostats ! Prévaricateurs ! Voyous ! Et les pauvres prêtres, le bon clergé resté sain et saint, méprisé, baîllonné quand ce n'est pas persécuté, c'est celui que l'on entend le moins de nos jours, et pour cause... Heureusement, l'Eglise du Seigneur, c'est aussi l'immense Peuple des Fidèles, surtout les plus persécutés, les plus humbles et les plus …Plus
Clergé pourri, de bas en haut ! Mondains ! Apostats ! Prévaricateurs ! Voyous ! Et les pauvres prêtres, le bon clergé resté sain et saint, méprisé, baîllonné quand ce n'est pas persécuté, c'est celui que l'on entend le moins de nos jours, et pour cause... Heureusement, l'Eglise du Seigneur, c'est aussi l'immense Peuple des Fidèles, surtout les plus persécutés, les plus humbles et les plus pauvres ! Non, l'Eglise Catholique n'est pas morte ni même mourante : Elle attend sa délivrance !
AveMaria44
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Le Coran ne peut que produire des déséquilibrés. A moins de nier le péché originel et l'origine satanique de l'islam.
BLANCHE HERMINE
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Que ces doctes prelats rendent visite aux chrétiens d'Orient , qu'ils écoutent la voix de Mère Maryam , plutôt que de se conduire en dhimmis enmenant la confusion dans les esprits cathos .
Ainsi la vierge du coran , n'a rien à voir avec la Ste Vierge Marie, Mère de notre Dieu .Qu'on se le dise une fois pour toute ..
Par cette fausseté on met maryam au même niveau que notre Vierge Marie .Honte …Plus
Que ces doctes prelats rendent visite aux chrétiens d'Orient , qu'ils écoutent la voix de Mère Maryam , plutôt que de se conduire en dhimmis enmenant la confusion dans les esprits cathos .
Ainsi la vierge du coran , n'a rien à voir avec la Ste Vierge Marie, Mère de notre Dieu .Qu'on se le dise une fois pour toute ..
Par cette fausseté on met maryam au même niveau que notre Vierge Marie .Honte à ceux qui favorisent cet amalgame .
Mais , bon sang que ces prêtres s'instruisent, s'informent avant de prier avec des musulmans qui nie la virginité de la Vierge , qui nie la divinité de Jésus .
Le dialogue islamo-chretien est de la fumisterie et les bisounours eccleiastiques continuent pourtant au lieu de convertir : ils dialoguent en vain depuis des décennies .
Jésus a recommandé de convertir , PAS de dialoguer .
Ainsi la vierge du coran , n'a rien à voir avec la Ste Vierge Marie, Mère de notre Dieu .Qu'on se le dise une fois pour toute ..
Par cette fausseté on met maryam au même niveau que notre Vierge Marie .Honte à ceux qui favorisent cet amalgame .
Mais , bon sang que ces prêtres s'instruisent, s'informent avant de prier avec des musulmans qui nie la virginité de la Vierge , qui nie la divinité de Jésus .
Le dialogue islamo-chretien est de la fumisterie et les bisounours eccleiastiques continuent pourtant au lieu de convertir : ils dialoguent en vain depuis des décennies .
Jésus a recommandé de convertir , PAS de dialoguer .