Le vrai drame de l'occident


Certes, un monde catholique ne signifie pas le paradis sur terre, car «Mon Royaume n’est pas de ce monde» comme disait le Seigneur, mais nous aurions cependant évité toutes les abominations issues de la culture de mort, fruits du protestantisme et de ses métastases: la franc maçonnerie, les philosophes de la mort de Dieu, les (fausses) Lumières, la (fausse) Révolution Française. Oui, nous aurions évité le génocide vendéen, les deux guerres mondiales, tous les génocides du 20ème siècle (Staline, Pol Pot, Mao Tsé Toung, Arménie, Shoa etc.), nous aurions évité l’écrasement de l’humanité pour une fausse pandémie, nous aurions évité les lois d’infamie contre la création (le meurtre des enfants à naitre, le mariage «contre Dieu et nature» etc.), nous aurions évité cette Europe infestée par le diktat des lobbys féministo-LGBT, nous aurions évité ces siècles de fausse historiographie et de lavage de cerveau maçonnique qui ont fait de nous des esclaves participatifs, des zombies, des morts-vivants toujours prêts à croire les pires mensonges du système mondial. Nous n’aurions pas non plus aujourd’hui ces bouffons interchangeables qui prétendent nous gouverner et qui au-delà de leur fausses disputes, sont en réalité tous d’accords sur l’essentiel du politiquement correct et de la culture de mort. Oui, tout cela, nous aurions pu l’éviter. Que Dieu nous pardonne, car la vraie faute de la France se situe ici et pas ailleurs.
Peut-être plus que la révolution, c’est le gallicanisme qui en premier a souillé la France. À un moment de son histoire, la monarchie française a trahi la Sainte Église. L’honnêteté nous oblige à le dire.
Jean-Pierre Aussant
Portraits de François Ier et de Charles Quint