Vaccin obligatoire: lettre ouverte aux membres du corps médical

Chers amis médecins, pharmaciens, infirmiers, infirmières et chers tous qui travaillez dans le secteur de la santé.
Je suis bien conscient de l’humiliation que le système vous fait subir. Cela est atroce. En clair on vous dit que si vous refusez de vous faire vacciner, vous perdez votre emploi, votre salaire. Bref, si vous refusez la vaccination, vous perdez toute votre vie, vous perdez tout ce pourquoi vous vous êtes engagés.

Cela est d’autant plus insupportable que ces « ordres » vous sont donnés par des personnes du monde politique qui n’ont-elles-mêmes aucune notion en médecine et qui ne font que répéter les directives imposées par l’OMS (elle-même en grande partie financée par les industries pharmaceutiques).
Oui, tout cela est abject.

Cependant, l’honnêteté m’oblige tout de même à vous dire que vous n’êtes pas sans avoir une grande part de responsabilité dans l’écrasement actuel de vos destinées. En effet, où étiez-vous ces dernières années lors des débats concernant la légalisation du meurtre de l’innocent absolu, le meurtre des enfants-à-naître ? Non seulement vous avez refusé de vous opposer au diktat féministo-maçonnique mais la plupart d’entre vous sont même allés jusqu’à faire du zèle et à soutenir ouvertement ces lois d’infamie. Vous qui pourtant aviez les moyens et la connaissance pour rappeler aux ignares du politiquement correct (show-business, politiciens, loges, journalistes etc.), que la vie humaine commence dès la fécondation, vous vous êtes pitoyablement aplatis devant les lobbys de la bien-pensance (certes à quelques exceptions près qui confirment la règle, comme le grand professeur Lejeune, père de la génétique moderne).

Mais comment avez-vous pu croire un seul instant qu’il était possible d’accepter des lois permettant que les plus faibles et les plus fragiles d’entre nous-les enfants à naître- soient assassinés et que ces mêmes lois ne se retourneraient pas un jour contre vous-même ? N’avez-vous donc pas compris que la légalisation du meurtre de l’innocent absolu, ouvrait nécessairement une boite de pandore et que cela aurait tôt ou tard des répercussions aussi contre vos propres personnes ?

Vous avez commis ces erreurs qui permettent à une dictature de s’installer selon le processus suivant : "Au début il s’en sont pris à une autre race, donc j’ai laissé faire, car je n’étais pas concerné. Ensuite ils s’en sont pris à une autre religion, là aussi j’ai laissé faire, car il ne s’agissait pas de ma religion. Un jour ils sont venus sonner à ma porte, et là, c’était déjà trop tard..."

Oui, vous les médecins et les membres du corps médical, vous qui avez accepté la légalisation du meurtre de l’innocent absolu qui est l’embryon humain, ne soyez pas surpris qu’ils viennent maintenant sonner à votre porte.
Jean-Pierre Aussant

avecrux.avemaria
Bien parlé ! J'avais oublié le meurtre des enfants avortés 😍 🤗
jean pierre aussant
Rien de nouveau sous le soleil...
shazam
Piqûre de rappel :
Le poème écrit à Dachau par le Pasteur Martin Niemöller
« Je n’ai rien dit... »
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus …Plus
Piqûre de rappel :

Le poème écrit à Dachau par le Pasteur Martin Niemöller

« Je n’ai rien dit... »

« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas juif.

Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai rien dit,
Je n'étais pas catholique.

Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait plus personne pour protester »

Pasteur Martin Niemöller
Président des Eglises réformées de Hesse-Wassau.
Partisan de l'arrivée d'Hitler puis résistant.
Déporté à Dachau de 1938 à 1945.
jean pierre aussant
Martin Niemöller
Als die Nazis die Kommunisten holten, habe ich geschwiegen; ich war ja kein Kommunist.
Als sie die Gewerkschaftler holten, habe ich geschwiegen, ich war ja kein Gewerkschaftler.
Als sie die Juden holten, habe ich geschwiegen, ich war ja kein Jude.
Als sie mich holten, gab es keinen mehr, der protestieren konnte.Plus
Martin Niemöller

Als die Nazis die Kommunisten holten, habe ich geschwiegen; ich war ja kein Kommunist.

Als sie die Gewerkschaftler holten, habe ich geschwiegen, ich war ja kein Gewerkschaftler.

Als sie die Juden holten, habe ich geschwiegen, ich war ja kein Jude.

Als sie mich holten, gab es keinen mehr, der protestieren konnte.
jean pierre aussant
Pour "les catholiques" je n'ai pas retrouvé la citation. Mais il est vrai que nombre de catholiques ont été persécutés par les nazis (l'establishment polonais ainsi que les 5000 prêtres européens tués à Dachau pour ne citer que deux exemples)
shazam
J’ai trouvé cette version sur :
lafauteadiderot.net/Poeme-ecrit-a-Dachau-par-le
Je dis version, car la version officielle se trouverait en fait sur Wikipedia :
Je cite l’auteur de l’article, qu’il appelle :
« Quand ils sont venus chercher… » est une citation du pasteur Martin Niemöller (1892–1984) sur la lâcheté des intellectuels allemands au moment de l'accession des nazis au pouvoir et des …Plus
J’ai trouvé cette version sur :
lafauteadiderot.net/Poeme-ecrit-a-Dachau-par-le

Je dis version, car la version officielle se trouverait en fait sur Wikipedia :
Je cite l’auteur de l’article, qu’il appelle :

« Quand ils sont venus chercher… » est une citation du pasteur Martin Niemöller (1892–1984) sur la lâcheté des intellectuels allemands au moment de l'accession des nazis au pouvoir et des purges qui ont alors visé leurs ennemis, un groupe après l'autre.

De nombreuses variations et adaptations dans l'esprit de l'original ont été publiées dans différentes langues.

Le discours s'est fait connaître avant tout sous la forme de poèmes qui ont commencé à circuler dans les années 1950.
« Niemöller a créé plusieurs versions du texte pendant sa carrière. Les discours les plus anciens, écrits en 1946, mentionnent les communistes, les patients incurables, les juifs ou les Témoins de Jéhovah, et les civils des pays occupés par le IIIe Reich. Dans chaque version, l'impact va crescendo, partant du groupe le plus petit et éloigné pour arriver au plus grand groupe, celui des Juifs, et aboutir finalement à lui-même, en tant que critique désormais déclaré du nazisme. »

Le musée du Mémorial de l'Holocauste des États-Unis cite la version suivante :
First they came... (Quand ils sont venus chercher...)
Ils sont d'abord venus chercher les socialistes, et je n'ai rien dit
Parce que je n'étais pas socialiste
Puis ils sont venus chercher les syndicalistes, et je n'ai rien dit
Parce que je n'étais pas syndicaliste
Puis ils sont venus chercher les Juifs, et je n'ai rien dit
Parce que je n'étais pas juif
Puis ils sont venus me chercher, et il ne restait plus personne pour me défendre

La version suivante est une de celles reconnues comme définitives par la Fondation Martin Niemöller :
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
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Quoi qu'il en soit, on constate que la fondation a retenue :
communistes plutôt que socialistes, protester plutôt que défendre ; que les juifs ont disparus de la version définitive (!), et que les catholiques ne sont pas cités, ni dans la version du musée de l’holocauste, ni de la fondation... (!)