Si votre Jésus n'est pas présent au Saint Tabernacle... ce n'est pas le bon Jésus...

Vos arguments sont bien pauvres. Vous ne contredisez en rien les critiques mais rajoutez de l'eau au moulin des personnes prudentes.

Oui Kée Quay Cléder, et si ce n'est pas le bon Jésus qui cela peut-il donc être si ce n'est le Singe par excellence, autrement dit, Satan. Aujourd'hui, mais cela a toujours été au vu de la littérature spirituelle à travers les siècles, une trop grande partie de catholiques (et même des non catholiques, j'en connais quelques uns) plonge dans tout ce qui bouge et se revendique de Dieu. Mais chacun sait pourtant que notre temps est celui de la tromperie par excellence, du mensonge tous azimuts. Aussi la Prudence, cette haute vertu, doit être travaillée sans cesse.

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Ce n'est pas pour rien que soeur Marie de Saint Pierre est totalement ignorée, alors que sans elle monsieur Dupont de Tour aurait connu une autre voie, ainsi que sainte Thérèse de Lisieux qui ne se défaisait jamais de sa relique de cette prodigieuse carmélite rennaise. "On" préfère une faussaire ...

Oui, comment mettre en honneur autant Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus en oubliant sa protectrice ?
Les parents de Sainte Thérèse étaient affiliés à l'archiconfrérie de la Sainte Face, d'où son nom de religieuse.

Aveugle au pays des aveugles. Pourtant à lire, c'est si clair !!

L'Eglise ne pourra jamais être détruite par les portes de l'Enfer. C'est dans les Evangiles.

Mais, le Fils de l'Homme trouvera-t-Il la Foi sur la Terre, quand IL viendra? C'est dans l'Evangile. Biblia Tysiąclecia - Pismo Święte Starego i Nowego Testamentu - Łk 18

Je parle de l'Eglise et non de la foi qui est certes de moins en moins partagée, très justement, c'est le moins que l'on puisse dire, ce que nous lisons ici le montre amplement.

Lisez alors ceci et voyez que l'Eglise n'est pas sans le Pape François qui a écrit cela, n'est ce pas? Dilexit nos (24 octobre 2024) | François

Vous êtes donc vraiment démuni, cher Vobiscum ? Quel rapport a cette encyclique avec Picaretta ?

Le rapport mystique qui dans la Foi concerne l'histoire de la France et le Coeur de Jésus, de son Culte> 1 2 3 4 Cela débute 5 ans après que Luisa est renée en Jésus-Christ et son Eglise Sainte. free.fr/Catholique/France.pdf Ici Proust écrit ce qui est vrai!

Merci !

C'est du poison, prenez garde !

Objet: Discernement au sujet de Luisa Piccarreta
Jésuite ! Exégète à Rome
Discernement théologique sur Luisa Piccaretta
Analyse sur la base des 46 pages d’extraits, rassemblés par le P. Pablo Martin.
1 Écrits de LP
1.1 Réception des écrits par l’Église
Les écrits de LP, ou partie d’entre eux, ont été mis à l’index des livres prohibés dès 1938, sous Pie XI. 90 ans plus tard, ils sont toujours considérés comme suspects par la Congrégation pour la Doctrine de Foi. Ce ne sont pas des points périphériques de la foi qui sont touchés, mais son cœur même, et gravement.
1.2 Contenu des écrits
1.2.1 Le mystère de Dieu
Nous croyons en un seul Dieu, Père, Fils et Esprit Saint, tel qu’Il nous a été révélé par Jésus dans les évangiles : dans les termes de la Tradition, un seul Dieu en trois personnes ou hypostases distinctes (Concile de Nicée I et de Constantinople I), qui a une seule volonté, laquelle est un « attribut » de l’unique Dieu, commune au Père, au Fils et à l’Esprit (Concile de Constantinople II). Dieu est amour parce qu’il est Un et Trine. Et Jésus est, selon l’Écriture, le Fils, le Verbe et l’Image du Père, fait chair.
Dans les écrits de LP, en revanche, Dieu est rarement appelé Père ; Jésus n’est jamais appelé ni Fils, ni Verbe, ni Image du Père ; l’Esprit Saint n’est jamais mentionné. Par contre la « Divine Volonté », écrite avec une double majuscule, est présentée non comme un « attribut » commun des trois Personnes divines, mais comme s’il s’agissait d’une Personne (ou hypostase) divine distincte, ayant pris la place du Père, du Fils et de l’Esprit, qui devrait descendre sur la terre, dans laquelle on doit vivre, etc… Comme si en Dieu aussi une fusion des trois (Père, Fils, Esprit) en un (la « Divine Volonté ») s’était produite, comme la fusion absorbante dont elle parlera entre Dieu et nous. Cette vision de Dieu et de sa volonté n’est pas conforme à la Révélation chrétienne, telle qu’elle nous a été transmise par l’Écriture divinement inspirée et interprétée par la Tradition de l’Église.
1.2.2 L’histoire du salut
L’histoire du salut commence par la création, s’accomplit en Jésus-Christ, à travers son incarnation, sa mort, sa résurrection, son ascension, sa session à la droite du Père et l’envoi de l’Esprit Saint au jour de la Pentecôte, qui nous conduit à la vérité tout entière, en nous faisant faire mémoire du Christ (Jn 14-16) et en nous configurant à lui, jusqu’au son retour en gloire à la fin des temps. Dieu nous a tout dit, « une fois pour toutes », comme dit l’Épitre aux Hébreux, en son Fils Jésus Christ, son unique Parole (saint Jean de la Croix). Parmi les créatures, la Vierge Marie, nouvelle Ève, jouit d’un statut unique, en raison de son oui qui rend possible l’incarnation du Verbe, Jésus, le dernier Adam, l’unique Médiateur, au centre de l’histoire.
Dans les écrits de LP, en revanche, l’histoire du salut comprend trois phases : la création (premier Fiat) ; la rédemption (deuxième Fiat) ; la « Divine Volonté » comme « parachèvement et aboutissement de la création et de la rédemption » (3.41), une « nouvelle ère », « l’ère du troisième fiat » (7-8). La « vierge LP », « une autre petite parmi toutes les générations » (36), y joue un rôle similaire à la Vierge Marie (7-8.13.20.26.34.37), et même supérieur à elle, car LP est « élevée au-dessus de toutes les choses de la création » (26) et si, par la Vierge Marie, est venue la Rédemption (« une petite à la tête de Rédemption »), par la « vierge LP » (« une petite à la tête du Fiat voluntas tua », « la première à vivre dans mon éternelle Volonté, la première à rétablir tous les ponts entre le Créateur et la créature, à vivre dans ma Volonté sans aucune rupture, sa vie et la mienne ne faisant qu’une ») advient « le Royaume » et s’opère réellement le retour de l’homme à Dieu (29-31.35-36), qui est « la plus grande œuvre que Jésus veuille accomplir » (36), supérieure donc à la rédemption. Sur la « table » de l’Église, image traditionnelle de l’Écriture sainte, ne se trouvent plus la Bible ni même les Évangiles, mais les écrits de LP (26), qui sont comme « un nouveau soleil qui éclipse les étoiles » (25). Non seulement tout cela est contraire à la Révélation, telle qu’elle nous a été transmise par l’Écriture et interprétée par la Tradition, mais semble la marque d’un orgueil insensé, d’autant plus lorsqu’on compare la lumineuse humanité de la Vierge Marie, telle qu’elle transparaît dans les évangiles, et l’humanité de LP qui, chaque matin, était rigide comme un cadavre, comme certains possédés, et la journée vomissait le repas qu’elle prenait.
1.2.3 La création
« L’homme est l’unique créature que Dieu ait voulue pour elle-même » (Gaudium et spes, 24). Il a été créé dans l’image et selon la ressemblance de Dieu (Gn 1,26-27), au sommet (Gn 1 : premier récit de la création) ou au centre (Gn 2 : second récit de la création) de la création. Après la création de l’homme, « Dieu vit que cela était très bon » (Gn 1,31). Comme toutes les autres créatures lui sont ordonnées et soumises, toute la destinée de l’homme, en bien comme en mal, a une répercussion sur elles. C’est la dimension cosmique de la faute. Voilà pourquoi Paul écrit que « toute la création en attente aspire à la révélation des fils de Dieu : si elle fut assujettie à la vanité […] c’est avec l’espérance d’être elle-aussi libérée de la servitude de la corruption pour entrer dans la liberté de la gloire des enfants de Dieu […] toute la création jusqu’en ce jour gémit en travail d’enfantement, etc. » (Rm 8,19-22). Et pour exprimer cette solidarité entre l’homme et le reste de la création, saint Bonaventure écrit : « Quand l’homme fut constitué dans le bien, ce monde était dans une condition bonne et tranquille ; quand l’homme est tombé, ce monde aussi s’est détérioré […] ; purifié et renouvelé l’homme, le monde devait être purifié et renouvelé ».
Selon les écrits de LP, au contraire, Jésus aurait « créé l’homme pour s’accorder des amusements innocents » (9), comme le ferait un pervers, et « les choses créées seraient à leur place, dans un ordre parfait, en parfaite harmonie », comme si elles n’avaient été en rien touchées par les conséquences du péché, excepté l’homme, qui serait, en revanche, « une créature laide », « le déshonneur de Jésus » (p. 1-2) et objet de sa « nausée » (12), comme s’il n’avait pas été créé « en Christ, par le Christ et pour le Christ » (Col 1,16), à l’image et à la ressemblance de Dieu, et donc infiniment aimé par le Dieu « ami des hommes » (saint Grégoire de Nysse). Jésus aurait dit à LP vouloir « balayer la terre et éliminer toutes les créatures mauvaises qui sont comme des plantes empoisonnées » (37), alors qu’après le déluge, donc encore bien avant l’incarnation où il a tant manifesté son amour du monde et de l’homme en particulier (Jn 3,16), Dieu avait déjà solennellement promis qu’il ne détruira jamais plus les êtres vivants, comme il l’avait fait par le déluge (Gn 8,21-22). Tout cela est contraire à la Révélation, transmise par l’Écriture et interprétée par la Tradition.
1.2.4 Le sens du salut
En Jésus Christ, Fils et Verbe éternel du Père fait personnellement homme, l’union (appelée par la Tradition « union selon l’hypostase ») est plus grande qu’elle ne pourra jamais être entre nous et Dieu. Or, même dans le cas de Jésus, la divinité et l’humanité (les deux « natures », dans le langage de la Tradition) s’unissent en sa personne sans jamais se confondre (contrairement à ce que pensait l’hérésie monophysite), chaque nature conserve ses propriétés, au point que les deux volontés divines et humaines en Jésus s’unissent mais demeurent distinctes et qu’on peut ne peut strictement parler d’une volonté en Jésus, contrairement à ce que pensait l’hérésie monothélite (Concile d’Ephèse, de Calcédoine, de Constantinople II et III, de Nicée II). Si c’est le cas pour Jésus, Verbe fait chair, ce sera a fortiori le cas pour nous, en qui l’union sera moins étroite qu’elle n’existe en lui, puisque nous sommes et resterons de simples créatures : pas de « confusion » ni de « mutation » de l’humain en divin. Cette altérité, à l’image de l’altérité des trois Personnes en Dieu, est la condition de l’amour.
Au contraire, selon les écrits de LP, « l’homme devrait laisser de côté ses dépouilles humaines pour choisir le divin » (8) « se vider de ce qui est humain » (11), dans les âmes qui vivent dans la Divine volonté « les choses humaines ne se reconnaissent plus, elles sont devenues des choses divines » (p. 11), « l’âme est dépouillée de son moi et remplie de la divinité (p. 12) « devant la volonté de Jésus elle doit disparaitre » (16) « consumée par le soleil » (22) et « les deux volontés se fondent pour n’en faire qu’une » (p. 11.13.14.30.36) et les deux vies de Jésus et de LP ne font plus qu’une (36). Et ces âmes qui vivent dans la « Divine Volonté » doivent se substituer aux choses et aux âmes (p. 10-11), ce que Jésus, respectueux des libertés et de la logique d’alliance du salut, n’a jamais fait. Tout cela est contraire à la Révélation, telle qu’elle nous a été transmise par l’Écriture et interprétée par la Tradition.
1.2.5 Mode de présence du Christ
Selon les Évangiles et la Tradition (Sacrosanctum Concilium, 7), il y a différents modes de présence du Christ (dans sa parole, dans l’administration des sacrements, dans la prédication, quand deux ou trois prient en son nom, etc.). Le plus élevé est sa présence réelle dans l’Eucharistie, où Il est réellement présent tout entier, avec toute sa divinité et toute son humanité, tout son corps et tout son sang.
Dans les écrits de LP, au contraire, il y aurait dans ces âmes qui vivent dans la « Divine Volonté » « une présence plus réelle que dans l’Eucharistie », tandis que Jésus dans l’hostie se sentirait « comme mort » (18). Cela est contraire à la Révélation, telle qu’elle nous a été transmise par l’Écriture et interprétée par la Tradition.
1.2.6 Une nouvelle sainteté ?
Dieu est saint. Participer de sa sainteté est faire la volonté de Dieu, comme l’enseigne explicitement la prière du Notre Père : « Que ta volonté soit faite ». Dans la Tradition et la prière de l’Église, une certaine « hiérarchie » de la sainteté participée aux créatures s’est manifestée, entre autre dans la liturgie : la Vierge Marie, les Apôtres, les Martyrs (surtout des premiers siècles), puis les vierges, les confesseurs, etc.
Dans les écrits de LP, au contraire, jusqu’ici « les actes des saints auraient été seulement saints dans l’ordre humain », car « ils auraient seulement fait la volonté de Dieu » (donc les Apôtres, les martyrs des premiers siècles, etc.), tandis que maintenant qu’il s’agirait de « vivre dans la Divine Volonté » (14-17). Ce serait à ces âmes qui vivent dans la Divine Volonté de « transformer les actes [des saints précédents] pour en faire des actes saints dans l’ordre divin » (11), ces âmes seront « comme des soleils qui éclipseront les étoiles des saints des autres générations » (p. 13) « la nouvelle sainteté devra être vécue de manière divine et non humaine » (p. 12-13). Cela est contraire à la Révélation, telle qu’elle nous a été transmise par l’Écriture et interprétée par la Tradition, et à nouveau la marque d’un orgueil insensé.
1.3 Forme des écrits
Dieu, quand il choisit de parler aux hommes, pour leur salut, le fait de manière simple et accessible. Les Pères de l’Église ont souvent noté qu’un des signes de l’accomplissement opéré en Jésus est que ce que Dieu avait dit, pendant environ mille ans, au long des plus ou moins 1400 pages de l’Ancien Testament, il l’avait dit comme en mode abrégé dans les plus ou moins 400 pages du Nouveau Testament (dont environ 160 seulement pour les quatre évangiles). Et il l’a fait à partir de la Révélation publique, que l’Église considère close depuis la mort du dernier Apôtre, et qu’elle offre constamment à tous les fidèles dans la liturgie.
Si vraiment ce qui doit advenir à travers LP était la révélation et l’actuation de la troisième étape (après la création et la rédemption) de l’histoire du salut, et la plus décisive, devant porter les deux précédentes à leur accomplissement, donc destinées à être connue du plus grand nombre possible d’hommes, on ne voit pas pourquoi Jésus l’aurait fait à travers 36 volumes, pour un total d’environ 10 000 pages, de révélations privées, que presque personne n’aura le temps de lire…
2 Aspects de la vie de LP
LP a connu un phénomène de rigidité cadavérique, chaque matin, pour lequel elle devait être en quelque manière « exorcisée » chaque jour par un prêtre. Or, le phénomène de rigidité cadavérique est, dans l’évangile, lié à la possession diabolique (cfr. Mc 9,26). Il est connu des exorcistes, encore aujourd’hui. Un autre phénomène qui pose question est le fait qu’elle vomissait presque chaque jour la nourriture qu’elle absorbait, ce qui ne correspond pas à l’image de la création réconciliée en Christ.
3 Conclusion
Les écrits de LP semblent trop contraires, sur les tous points essentiels de notre foi (la Trinité, l’histoire du salut, le Christ, l’Incarnation, le sens du salut…), et de manière grave, à l’enseignement révélé, consigné dans les Écritures inspirées et interprété par la Tradition de l’Église (en particulier par les sept premiers et plus solennels Conciles œcuméniques du premier millénaire), pour que ces écrits puissent être inspirés par Dieu, qui ne se contredit pas.
Comment en comprendre la source, où tout se mêle ? On peut soit l’attribuer à de graves troubles psychiques, soit à l’influence du diable, en raison de signes multiples en ce sens (déformation des Écritures, orgueil, rigidité cadavérique, vomissements…), soit à l’un et l’autre.
4 Conseil
Se tenir à distance de ces écrits, et vivre ton chemin de sainteté et ton désir de discerner et d’accomplir la volonté de Dieu, à la lumière des motions intérieures de l’Esprit, en puisant à la source de la prière, de l’Écriture, de la liturgie et de tant d’écrits spirituels d’une grande richesse et profondeur que nous a transmis la tradition spirituelle et mystique de l’Église. Comme disait sagement saint Ignace de Loyola, il y a suffisamment de saints et bons écrits au-dessus de tout soupçon pour ne pas risquer de perdre le cap en lisant des écrits douteux.

2 Aspects de la vie de LP
LP a connu un phénomène de rigidité cadavérique, chaque matin, pour lequel elle devait être en quelque manière « exorcisée » chaque jour par un prêtre. Or, le phénomène de rigidité cadavérique est, dans l’évangile, lié à la possession diabolique (cfr. Mc 9,26). Il est connu des exorcistes, encore aujourd’hui. Un autre phénomène qui pose question est le fait qu’elle vomissait presque chaque jour la nourriture qu’elle absorbait, ce qui ne correspond pas à l’image de la création réconciliée en Christ.