Roy-XXIII
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L'ACTION JUDÉO-MAÇONNIQUE DANS LE CONCILE (.PDF)
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Roy-XXIII
Jean de Roquefort 30 mars travail de sape et de destruction orchestre par la FM ecclésiastique
VS

BLANCHE HERMINE 30 mars Qui sont les membres de la FM ecclésiastique ?
stephane77
Jean-Paul II était influencé malgré lui par la gnose , Nostra Aetate le prouve .
Spina Christi 2
"...Face à une situation rendue de plus en plus dramatique par la menace du terrorisme, nous ressentons l’exigence d’élever notre cri à Dieu. Plus les difficultés semblent insurmontables et plus les perspectives semblent obscures, plus notre prière doit se faire insistante pour implorer à Dieu le don de la compréhension réciproque, de la concorde et de la paix ».
… » Je voudrais par ailleurs …
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"...Face à une situation rendue de plus en plus dramatique par la menace du terrorisme, nous ressentons l’exigence d’élever notre cri à Dieu. Plus les difficultés semblent insurmontables et plus les perspectives semblent obscures, plus notre prière doit se faire insistante pour implorer à Dieu le don de la compréhension réciproque, de la concorde et de la paix ».
… » Je voudrais par ailleurs annoncer que j´ai l´intention d´inviter les représentants des religions du monde à venir à Assise le 24 janvier 2002, pour prier afin que l´on parvienne à vaincre les oppositions et pour la promotion de la paix authentique. Nous voudrions avant tout réunir les chrétiens et les musulmans, pour proclamer au monde que la religion ne doit jamais devenir un motif de conflit, de haine et de violence. Celui qui accueille vraiment la parole de Dieu, bon et miséricordieux, ne peut pas ne pas ôter de son coeur toute forme de rancune et d´inimitié. »
… » En ce moment historique l´humanité a besoin de voir des gestes de paix et d´entendre des paroles d'espérance. Comme je l´ai dit il y a quinze ans, annonçant la rencontre de prière pour la paix qui devait avoir lieu à Assise au mois d´octobre: « Il est urgent qu´une invocation commune monte avec insistance de la terre vers le Ciel, pour implorer le Tout-Puissant, entre les mains duquel se trouve les destinées du monde,! le grand don de la paix, condition nécessaire pour tout engagement sérieux au service du vrai progrès de l´humanité."
(Jean-Paul II)

Questions :
1) Qui donc les représentants des religions du monde (sic !) prient-elles ?
2) A qui rendent-elles un culte ?
3) Quelle Parole Révélée ont-elles reçue ?
4) Quel est leur dogme ?
5) Que professent-elles ?
6) Voient-elles en Notre Seigneur Jésus-Christ Dieu Incarné, le Sauveur, le Chemin la Vérité et la Vie ?
7) Ont-elles la Vie en elles ?
8) Mangent-elles et boivent-elles la Chair et le Sang de l'Agneau ?

Réponses :
1) Satan
2) A Satan
3) Aucune sinon le mensonge du diable
4) De perdition
5) Des mensonges du diable
6) Non
7) Non
8) Non
Roy-XXIII
Canonisé pour avoir combattu et fait excommunier un pape Romain ? Eh bé comme quoi !!! ✍️
Spina Christi 2
L'antipape Anaclet II et Saint Bernard :
Wikipédia :

"Anaclet II (Pietro Pierleoni) est antipape du 14 février 1130 à sa mort, le 25 janvier 1138. Son rival est le pape Innocent II.
À la mort d'Honorius II, les cardinaux se scindent en deux factions qui se choisissent chacune un pape :
le premier groupe, d'origine française, vient de créer l'Ordre du Temple au concile de Troyes. Il opte pour …
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L'antipape Anaclet II et Saint Bernard :

Wikipédia :

"Anaclet II (Pietro Pierleoni) est antipape du 14 février 1130 à sa mort, le 25 janvier 1138. Son rival est le pape Innocent II.

À la mort d'Honorius II, les cardinaux se scindent en deux factions qui se choisissent chacune un pape :

le premier groupe, d'origine française, vient de créer l'Ordre du Temple au concile de Troyes. Il opte pour le cardinal Grégoire, qui devient Innocent II ;
le second groupe, d'origine romaine, élit Pierre de Léon sous le nom d'Anaclet II. Celui-ci appartient à une famille issue d'un Juif converti, les Pierleoni1. Il est soutenu par les Juifs de Rome.
Le roi franc Louis VI le Gros n'accepte pas cette situation. Il convoque les évêques de son royaume à Étampes, afin de juger lequel des deux papes est le bon sur le plan canonique. Il fait aussi venir Bernard de Clairvaux, alors au sommet de sa gloire. Celui-ci vient de participer au concile de Troyes, où fut rédigée la règle de l'ordre du Temple. C'est Bernard qui décide de la chose devant les évêques français : il juge qu'Innocent II est canonique. Il n'hésite pas à se rendre ensuite auprès des puissants seigneurs de l'époque pour faire valoir son candidat. Il emporte l'adhésion du roi d'Angleterre, mais rencontre des difficultés avec d'autres, dont le duc d'Aquitaine.
Innocent II, reconnu par le roi de France, fait rapidement convoquer les évêques au concile de Reims, qui commence le 13 octobre 1131. À l'issue de celui-ci, Innocent II est solennellement approuvé, tandis qu'Anaclet se voit excommunié…
De son côté, Anaclet II est soutenu par les Normands de Sicile. Mais il se heurte rapidement à une forte opposition, notamment à celle de Bernard de Clairvaux qui lui reproche ses origines juives. Bernard — qui prendra par ailleurs la défense des Juifs pendant la deuxième croisade — écrit qu'il considère comme une injure que la « race » juive « puisse occuper le siège de saint Pierre ».
Innocent II est un moment prisonnier du roi normand Roger II de Sicile. Anaclet II est cependant excommunié en 1135 par le concile de Pise. Il meurt en 1138."
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Chapitre XLII – Papes, Pères de l’Eglise et Saints combattent les juifs et les condamnent. La véritable doctrine de l’Eglise sur les juifs
Le grand Pape Grégoire VII, le célèbre Hildebrand, le grand réformateur et organisateur de la Sainte Eglise, dans une lettre adressée au roi Alphonse VI de Castille en 1081, lui écrivit en ces termes :
« Nous admonestons votre Altesse pour qu’il cesse …Plus
Chapitre XLII – Papes, Pères de l’Eglise et Saints combattent les juifs et les condamnent. La véritable doctrine de l’Eglise sur les juifs

Le grand Pape Grégoire VII, le célèbre Hildebrand, le grand réformateur et organisateur de la Sainte Eglise, dans une lettre adressée au roi Alphonse VI de Castille en 1081, lui écrivit en ces termes :
« Nous admonestons votre Altesse pour qu’il cesse de tolérer que les juifs gouvernent les chrétiens et exercent une autorité sur eux. Car permettre que les chrétiens soient subordonnés aux juifs et soient sujets à leur volonté, c’est comme opprimer l’Eglise de Dieu. Chercher à plaire aux ennemis du Christ signifie outrager le Christ Lui-même ». 345)
Cependant ce grand Pape s’opposa formellement à ce que l’on fasse pression sur les israélites pour qu’ils se fassent baptiser, connaissant le danger des fausses conversions, et il prit des mesures pour éviter ce genre d’erreurs en protégeant les juifs contre le zèle intempestif de certains fanatiques. Le grand pape Grégoire VII luttait donc sans relâche pour empêcher que les juifs exercent une domination sur les chrétiens, car selon lui cela équivalait alors à opprimer la Sainte Eglise et à exalter la Synagogue de Satan. Mais, qui plus est, il affirmait qu’être agréable aux ennemis du Christ, c’était outrager le Christ en personne.
Quel commentaire pourraient faire de cette affirmation les infiltrés de la cinquième colonne qui actuellement font tout le contraire de ce qu’ordonna le Pape Grégoire VII ?.
Ce que soutint fermement ce célèbre Pontife, l’un des plus célèbres qu’ait eu l’Eglise dans tout le cours de son histoire, est exactement ce pourquoi combattent aujourd’hui ceux qui luttent contre l’impérialisme judaïque et qui pour cette raison sont traités « d’antisémites », à savoir d’empêcher que les juifs exercent leur domination sur les chrétiens, outrageant en cela le Christ et Son Eglise et portant préjudice aux nations chrétiennes.
Saint Ambroise, Evêque de Milan et célèbre Père de l’Eglise, déclara à son peuple que la Synagogue « était une maison d’impiété et un réceptacle de malades, que Dieu même avait condamnés ». 346) Et lorsque les foules chrétiennes, à la suite des perfides agissements des israélites, ne purent réprimer leur colère et incendièrent une synagogue, Saint Ambroise, non seulement leur donna tout son soutien, mais le fit même en ces termes : « J’ai déclaré que la synagogue prît feu ou du moins j’ai ordonné à ces personnes qu’elle le mettent « ». Et si l’on m’objecte que je n’ai pas personnellement mis le feu à la synagogue, je proteste qu’elle commença d’être incendiée par le jugement de Dieu ». 347). Or n’oublions pas que Saint Ambroise de Milan est reconnu dans la Sainte Eglise comme un modèle digne d’imitation pour les Evêques, et comme l’un des exemples les plus illustres de charité chrétienne. Cela montre qu’on ne doit pas se servir de la charité pour protéger les forces du mal.
Saint Thomas d’Aquin, connaissant aussi le danger que représentaient les juifs dans la société chrétienne, acceptait que les juifs fussent soumis à un perpétuel esclavage. (348) Un écrivain philosémite déplorant cette position l’affirme textuellement : « Aquin accepta le point de vue dominant à cette époque qu’on devait les obliger à vivre en perpétuelle servitude ». 348)
A cet égard l’opinion de Saint Thomas d’Aquin était pleinement justifiée. Si les juifs, dans tous les pays où ils résident, sont constamment occupés à conspirer de par l’exigence de leur religion et pour conquérir les peuples qui leur ont offert généreusement l’hospitalité, si en plus ils les combattent pour les dépouiller de leurs biens et pour détruire leurs croyances religieuses, il n’existe aucune autre alternative que, soit les expulser du pays, soit de les laisser y vivre mais alors soumis à une dure servitude qui leur lie les mains et les empêche de causer tant de mal.
Une autre grande lumière de l’Eglise universelle, Duns Scot, le docteur subtil, alla encore plus loin que Saint Thomas, en proposant une solution du problème juif sur la base de la complète destruction de la secte diabolique. Un célèbre rabbin s’est plaint à ce sujet que Duns Scot « suggéra que les enfants juifs fussent baptisés de force et que les parents qui refuseraient à se convertir fussent transportés dans une île où on les autoriserait à persévérer dans leur religion jusqu’à l’accomplissement de la prophétie d’Isaïe à propos du petit reste qui se convertirait (4. 22) ». 349)
Comme on le voit, l’idée de confiner les juifs du monde entier dans une île où ils vivraient isolés sans plus pouvoir nuire aux autres peuples n’est pas originellement une idée d’Hitler, mais de l’un des plus célèbres et des plus autorisés docteurs de la Sainte Eglise.
Mais également le roi Saint Louis de France, ce modèle de Sainteté et de charité chrétienne, lui qui eut la générosité de restituer à un roi vaincu les territoires qu’il lui avait conquis, chose que personne ne faisait spontanément en ce temps-là, affirma à propos des juifs que : « lorsqu’ils outrageaient la religion chrétienne, le mieux que l’on pouvait faire était de leur enfoncer une épée dans le corps, le plus profond possible ». 350).
Pour comprendre le point de vue de Saint Louis, il faut se souvenir qu’à cette époque toute action subversive et toute conspiration des juifs contre les nations chrétiennes prenait principalement l’aspect d’hérésie ou d’attaque à la religion chrétienne, ce qui s’explique à une époque où la question religieuse était fondamentale pour tous, chrétiens et juifs, et où toutes les questions politiques lui étaient subordonnées. Même à notre époque d’ailleurs, l’impérialisme juif continue de conserver une base profondément religieuse comme nous l’avons démontré.
Saint Athanase, l’illustre Père de l’Eglise, soutint que « Les juifs n’étaient pas le peuple de Dieu, mais les chefs de Sodome et Gomorrhe ». 351)
Saint Jean Chrysostome, autre illustre Père de l’Eglise, à propos de toutes les calamités survenues aux juifs aux diverses époques affirma :
« Mais les juifs prétendent que ce sont les hommes qui leur ont causé tous ces malheurs et non pas Dieu. Alors que cela a été tout le contraire, car il est de fait que c’est Dieu qui les a provoqués. Si vous autres juifs vous les attribuez aux hommes, vous devriez réfléchir que, même en supposant que les hommes eussent l’audace de les commettre, ils n’auraient pas eu la force d’exécuter de telles actions si Dieu ne le leur avait permis ». 352)
Saint Jean Chrysostome, donna il y a environ mille cinq cents ans une claire définition de ce qu’étaient les juifs, les dénonçant comme : « une nation d’assassins », »luxurieux, rapaces, voraces et perfides voleurs ».
L’illustre Père de l’Eglise, évoquant ensuite la tactique judaïque traditionnelle de se plaindre de ce que les hommes les combattent et les détruisent, les juifs cherchant perpétuellement à se présenter comme des victimes des autres hommes, affirme ceci : « Le juif vous dit sans arrêt : ce furent les hommes qui nous firent la guerre, ce furent les hommes qui conspirèrent contre nous ; contestez-les et répondez leur : Les hommes ne vous auraient pas fait la guerre si Dieu ne leur avait permis ».
Un autre point de doctrine catholique soutenu par Saint Jean Chrysostome est que « Dieu hait les juifs ». 353), parce que Dieu hait le mal, et que les juifs, après avoir crucifié le Christ Notre-Seigneur, devinrent le mal suprême.
L’illustre Saint soutient la thèse doctrinale qu' »un homme crucifié de vos propres mains a été plus fort que vous et vous a détruits et dispersés », affirmant que les juifs continueront d’être châtiés pour leurs crimes jusqu’à la fin du monde.
Les choses terribles que nous avons vues au cours de ce siècle-ci, où les juifs ont imposé leur dictature communiste, ont amplement prouvé ce qu’affirma Saint Jean Chrysostome il y a mille cinq cents ans en désignant les juifs comme une bande criminelle de voleurs et d’assassins, d’où il est donc compréhensible que le juste châtiment de Dieu sanctionne fréquemment leurs crimes sanglants. S’est aussi vérifié de nos jours ce que dit ce célèbre Père de l’Eglise en énonçant l’idée que chaque fois que Dieu les châtie en les détruisant ou en faisant tomber sur eux les calamités prophétisées dans la Sainte Bible, ils accusent les autres hommes des terribles évènements qu’eux-mêmes ont provoqués par leurs propres crimes.
Le célèbre Evêque de Meaux, Bossuet, écrivain et orateur sacré dont la position dans l’histoire de l’Eglise est bien connue, lutta lui aussi énergiquement contre les juifs, qu’il maudissait du haut de la chaire en s’écriant : « Oh race maudite » « Votre demande s’accomplira avec une terrible efficace, le sang vous poursuivra jusqu’à vos plus lointains descendants, jusqu’à ce que le Seigneur, enfin fatigué de vous châtier, prenne soin de vos misérables restes à la fin des temps ». 354) Comme on le constate, l’illustre théologien et apologiste du Catholicisme considéra que ne seraient sauvés dans les derniers temps que de misérables petits restes du Judaïsme, rejoignant par là Saint Jean Chrysostome et d’autres Pères de l’Eglise, pour qui les désastres que subissent les juifs sont le fruit du déicide et de leurs méchancetés.
Dans son « Discours sur l’Histoire universelle » et dans différents sermons, Bossuet désigne de manière répétée les juifs comme la race maudite sur qui est tombée et continuera de frapper la vengeance divine, et qui sera toujours « objet de mépris de la part des autres peuples ». 355). Bossuet soutint également que « les juifs étaient l’objet de la haine de Dieu ». 356) Bossuet ne faisait là que répéter la doctrine traditionnelle de l’Eglise sur les juifs, cette doctrine qu’aujourd’hui les agents de la Synagogue dans le haut clergé cherchent à réformer en lui substituant une doctrine philo-judaïque complètement hérétique.
Si le pieux et sage Evêque Bossuet, lumière de l’Eglise Catholique, avait vécu de nos jours, il aurait lui aussi été accusé par les clercs crypto-juifs d’être un raciste et un antisémite. Bossuet connaissait à fond la perfidie judaïque, comme la connaissaient bien tous les Pères de l’Eglise.
Si, depuis la Crucifixion de Notre-Seigneur, les hébreux n’avaient pas eu tout au long des siècles une conduite aussi criminelle, personne ne s’occuperait de les accuser et de leur reprocher leurs méfaits. C’est eux qui, par leur manière d’agir, sont les uniques responsables des réactions qui surgissent partout contre eux. Lorsqu’on ne veut pas être accusé d’être un assassin et un voleur, on s’abstient de commettre ce type de délits, mais si au contraire on vole, on tue et l’on conspire, il n’y a rien d’étrange à ce que les peuples victimes de ces crimes les leur reprochent. Les juifs ont cependant le cynisme de protester et de pousser des cris au ciel simplement de ce qu’on leur impute leurs conspirations, leurs crimes et leurs forfaits contre les autres hommes et les autres nations. Il faut qu’ils aient l’hypocrisie pharisaïque bien enracinée pour se déchirer les vêtements lorsqu’on leur dit leurs vérités.
Un autre grand Saint de l’Eglise, célèbre par sa piété et sa charité chrétienne, qui fut en même temps l’un des Papes les plus illustres, Saint Pie V, alarmé au cours de la première année de son pontificat par l’action subversive des israélites, manifesta énergiquement sa conviction qu' »il fallait obliger les juifs à porter un signe visible qui les ferait distinguer des chrétiens, pour que ces derniers puissent se garder contre leurs discours empoisonnés ».
A cet effet dans sa Bulle Romanus Pontifex du 19 avril 1566, il confirmait l’ordonnance faite par des Bulles des Papes précédents et par les Saints conciles faisant obligation à tous les juifs de porter un signe distinctif, les hommes un béret et les femmes un simple signe, précisant : 3. Et pour clore toute équivoque concernant la couleur du béret que les hommes doivent porter et celle du signe pour les femmes, nous précisons que cette couleur doit être ce que l’on appelle communément le jaune », et après avoir ordonné aux prélats de faire publier et observer la Bulle, il dit : 5 A tous les Princes séculiers et aux autres Seigneurs et Magistrats civils, nous les prions, leur demandons instamment et les conjurons par les entrailles de miséricorde de Notre-Seigneur Jésus-Christ, leur imposant comme un ordre pour la rémission de leur péchés que dans tout ce qui vient d’être dit ils appuient et apportent leur aide à leurs Patriarches, Archevêques et Evêques, et qu’ils châtient les violateurs par des peines temporelles ». 357)
Mais en outre, comme les juifs des Etats Pontificaux étaient en train de s’emparer de la propriété foncière au moyen de fraudes et d’usures, ce Saint Pape canonisé, se vit obligé de promulguer la Bulle « Cum nos super » du 19 janvier 1567, la deuxième de son Pontificat, confirmant celles de Papes antérieurs et prohibant aux israélites d’acquérir des biens fonciers, les obligeant à les vendre en un lieu assigné, sous peine de ce que, s’ils désobéissaient une fois de plus aux Bulles papales à ce sujet, lesdits biens fonciers leur seraient confisqués.
Nous voulons citer ici les parties les plus éloquentes d’un si intéressant document :
« Comme Nous renouvelions, il y a peu, la Constitution de notre prédécesseur le Pape Paul IV d’heureuse mémoire publiée contre les juifs, nous avions entre autres choses établi et mandé aux hébreux, à ceux habitant en notre ville de Rome, comme à ceux demeurant en diverses autres cités, territoires et lieux sujets à la tutelle temporelle de la Sainte Eglise Romaine, qu’ils étaient obligés à vendre aux chrétiens les biens fonciers qui étaient en leur possession au lieu que leur fixerait le Magistrat… Et que si lesdits hébreux manquaient en quoi que ce soit à ce sujet et à toute disposition antérieure, nous décrétons… qu’ils puissent être châtiés en fonction de la nature du délit, en ladite Cité, par Nous ou Notre Vicaire ou par d’autres magistrats que Nous déléguerons, et en les cités, territoires et autres lieux sus-mentionnés par les magistrats, comme rebelles et inculpés du crime de lèse-majesté, et que le peuple chrétien se méfie d’eux, selon Notre volonté et celle de Notre Vicaire, de Nos délégués et de Nos magistrats ».
Dans une autre partie de la même Bulle, Sa Sainteté, faisant référence à diverses fraudes commises par les juifs, ordonne : « Ainsi donc, Nous, voulant comme il convient remédier à ces fraudes et assurer que ce que nous avons ordonné soit suivi d’effet en cette matière, spontanément, en toute connaissance et en plein exercice de la puissance apostolique, nous enlevons totalement aux hébreux et de leur domination tous les biens fonciers (et leur dénions tout droit et action), quoi qu’il en soit de leur appartenance apparente aux hébreux qui vivent tant en cette cité de Rome que dans tous les lieux sujets à notre pouvoir et à celui du Siège apostolique ». 358)
On peut ainsi constater à quel point en étaient arrivées les usures et les fraudes des juifs et l’accaparement par eux des biens fonciers, pour que ce pieux et vertueux Pape se soit vu obligé pour défendre les chrétiens de prendre des mesures aussi énergiques. Il ne faut pas oublier que le Pape Pie V est l’un des Pontifes qui se distinguèrent par une Sainteté reconnue, ce pour quoi il fut à juste titre canonisé par la Sainte Eglise. S’il avait vécu à notre triste époque, les dirigeants ecclésiastiques qui sont au service de la Synagogue de Satan l’auraient condamné lui aussi comme raciste et anti-sémite, et si possible l’auraient même inclus au nombre des criminels de guerre de Nuremberg, puisqu’aujourd’hui ces Cardinaux, Archevêques et Evêques de la cinquième colonne fulminent des condamnations contre tous ceux qui prétendent défendre leurs peuples ou la Sainte Eglise de l’impérialisme politique ou économique des juifs.
Mais les saintes Bulles mentionnées et leur exécution ne suffirent pas à empêcher les méfaits des juifs qui, comme dans tous les territoires qui leur offrent l’hospitalité, finissent par constituer un péril mortel pour les peuples chrétiens ou non-juifs. C’est pourquoi, ce Pape, modèle de Sainteté et de piété, eut l’énergie d’adopter une solution radicale au problème en taillant dans le vif, et le 26 février 1569, il promulgua la fulminante Bulle « Hebraeorum gens » expulsant les juifs des Etats pontificaux. Etant donné la brièveté de cet ouvrage nous ne publierons de ce précieux document que quelques extraits qui nous semblent les plus importants.
Ce très Saint Pape y déclare :
« Le peuple juif, en d’autres temps dépositaire des paroles divines, participant des mystères célestes et alors d’autant plus avantagé en grâce et en dignité, en cette même proportion par suite de son incrédulité ultérieure mérita d’être précipité de haut, de sorte qu’arrivant au temps de la plénitude, ingrat et perfide, il condamna indignement son Rédempteur à mourir d’une mort ignominieuse… Mais la piété chrétienne se faisant compatissante depuis le début de cette inévitable réalité, supporta qu’il se loge en son sein, avec une commodité plus que suffisante… Nonobstant ceci, son impiété imbue de tous genres d’arts exécrables est parvenue à un point tel qu’il est devenu nécessaire, pour le salut des Nôtres, de restreindre par la force une infirmité de telle nature par un remède rapide. C’est pourquoi, omettant les nombreuses modalités d’usures avec lesquelles de toutes parts les hébreux dévorèrent les avoirs des chrétiens nécessiteux, nous jugeons avec les plus grandes évidences qu’ils sont les protecteurs et même les complices de voleurs et de bandits qui s’efforcent de faire passer à autrui les choses dérobées et détournées et à les recéler…, non seulement les choses profanes mais aussi celles du culte divin. Et beaucoup, sous le prétexte de questions de leur office visant les maisons des femmes honnêtes, les perdent par les plus honteuses flatteries, et, ce qui est le plus pernicieux de tout, par les dés, les sortilèges et les enchantements magiques, les superstitions et les maléfices, ils induisent nombre d’imprudents et de malades aux pièges de Satan, en se vantant de prédire l »avenir, de faire découvrir des trésors et des choses cachées… Pour finir, nous est bien connue la manière dont cette exécrable race utilise le nom du Christ et à quel point il leur sera funeste, car ils auront à être jugés par ce nom… »
« Mus en effet par ces choses et par d’autres encore gravissimes, et en sus émus par la magnitude des crimes qui augmentent de jour en jour pour le malheur de nos cités, pensant en outre que la race mentionnée, à l’exception d’insignifiants groupes d’Orient, n’est d’aucune utilité pour notre République…
» 1. Avec autorité et par les présentes lettres, nous ordonnons qu’au terme de trois mois à partir de leur publication, tous les hébreux des deux sexes établis dans toute notre juridiction temporelle et en celle des cités et des autres territoires et lieux qui la forment, de même que dans celle des domiciles de Barons et autres Seigneurs temporels, y compris celle des Seigneurs qui ont pleine puissance ou puissance mixte et pouvoir de vie et de mort, ou toute autre juridiction et extension de juridiction, qu’ils sortent des mêmes limites, sans appel ».
Mais le Saint Père Pie V, connaisseur de ce qu’a été l’habitude des hébreux dans le monde entier de tourner de diverses manières les édits d’expulsion comme celui ci, et dans le but d’éviter qu’en cette occasion ils réussissent encore à éluder les mandats de cette Sainte Bulle, décrète des peines extrêmement sévères pour ceux qui ne sortiraient pas du pays dans le délai fixé en établissant dans la même bulle que :
» 2. Passés ces termes, où qu’on les trouve, fixés ou en déplacement, de nos jours ou dans l’avenir, en quelque cité de la juridiction indiquée, en quelque territoire ou lieu, que ce soit celui des Domicelli, des Barons, des Seigneurs ou d’autres déjà mentionnés, qu’ils soient dépouillés de toutes leurs affaires et celles-ci transférées au fisc, et qu’ils soient faits esclaves de l’Eglise romaine et soumis à servitude perpétuelle, ladite Eglise devant s’adjuger sur eux le même droit que les autres Seigneurs s’adjugent pour leurs esclaves et possessions. Que soient exceptées cependant les cités de Rome et d’Ancône, où nous permettons que soient tolérés les juifs qui y résident actuellement, afin d’exciter davantage le souvenir mentionné plus haut et de poursuivre les négociations avec ceux d’Orient et les échanges réciproques avec les mêmes, à la condition qu’ils s’obligent à observer nos constitutions canoniques et celles de nos prédécesseurs; dans le cas contraire, ils tomberaient sous le coup de toutes les peines que contiennent lesdites constitutions et que nous renouvelons dans ce document ». 359)
Cette Sainte Bulle apporte une innovation importante à propos des expulsions de juifs réalisées dans les Etats chrétiens au cours des siècles précédents. Comme nous l’avons rappelé, on mettait alors les israélites devant le dilemne d’être expulsés ou de se convertir, avec pour résultat que la majorité pour tourner l’expulsion se convertissaient fictivement au Christianisme, constituant un danger majeur pour l’Eglise et les Etats chrétiens. Saint Pie V, sans doute connaisseur du fait, décréta l’expulsion pure et simple des Etats Pontificaux, sans leur laisser le recours de la conversion grâce auquel ils tournèrent toujours ce genre de mesure. On constate donc que ce très Saint Pape connaissait beaucoup mieux le problème juif que bien des chefs civils et religieux qui le précédèrent. Mais on voit aussi qu’il y eut cependant des pressions pour convaincre Sa Sainteté qu’il excepte de l’expulsion les hébreux de Rome et d’Ancône, afin que le commerce avec l’Orient ne soit pas perturbé. Ils se prévalurent alors encore une fois de ce recours pour tourner en partie l’expulsion.
Un autre illustre et Saint personnage de tout premier plan de l’Eglise des premiers siècles, Saint Grégoire de Nysse, qui eut un rôle si important dans la défense philosophique de la Foi chrétienne avec sa célèbre « Oraison de la Résurrection du Christ », accuse les juifs d’être : « des assassins du Seigneur, des assassins des prophètes, des ennemis de Dieu, des hommes qui haïssent Dieu, des hommes qui méprisent les lois, des adversaires de la Grâce, des ennemis de la Foi de leurs ancêtres, des avocats du diable, une race de vipères, des calomniateurs, la levure des pharisiens, une assemblée de démons, des pécheurs, des hommes pervers, des lapidateurs, des ennemis de l’honnêteté ». 360)
Il est indubitable qu’Hitler lui même ne lança jamais autant d’accusations en si peu de mots contre les israélites que le fit ainsi, mille six cents ans avant lui, ce Saint Evêque de Nysse, frère de l’illustre Père de l’Eglise Saint Basile, canonisé comme lui pour ses vertus. Et s’il les inclut dans l’Oraison citée, c’est que, comme beaucoup d’autres saints, il voulut lancer un cri d’alarme à l’adresse des chrétiens, pour qu’ils se gardent de cette bande de voleurs et d’assassins, dont le succès tient seulement à l’ignorance par les chrétiens de leur terrible dangerosité, ignorance que cherchent à fomenter les membres de la cinquième colonne, clercs et laïcs qui au lieu d’être au service du Christ sont sous les ordres de la Synagogue de Satan, pour rendre possible, grâce à cette ignorance, les victoires du Judaïsme. Mais c’est aussi par ce moyen qu’il est si facile de localiser et de reconnaître les juifs secrets infiltrés dans l’Action catholique ou dans le clergé, car dès qu’on leur parle du péril juif, ils affirment avec une insistance suspecte qu’il n’existe pas, que c’est un mythe, une invention des Nazis, ou disent quelqu’autre fable qui en minimise l’importance, cela sans autre finalité que de masquer et de défendre la bande en question, à laquelle ces faux catholiques appartiennent secrètement, lesquels bien souvent, comme descendants des pharisiens font étalage d’une grande piété et d’un grand attachement pour notre Sainte Religion, pendant que par ailleurs ils s’efforcent d’empêcher celle-ci de se défendre contre son ennemi capital.
Sa Sainteté le Pape Grégoire IX, au XIIIème siècle, dans la lutte qu’il entreprit contre le Judaïsme pour défendre la Chrétienté, promulgua le 5 mars 1233 sa célèbre Bulle « Sufficere dibuerat » d’où nous transcrivons ce qui suit :
« Aurait dû suffire à la perfidie des juifs le fait que la piété chrétienne les accepte de nouveau, en raison uniquement de sa bienveillance. Eux qui persécutent la Foi catholique et qui ont ignoré le Nom du Seigneur… Eux, ingrats des dons et oublieux des bienfaits, montrent leur mépris de cette bénignité par une rétribution impie, et en échange des dons, ils nous outragent… Ainsi donc, ayant été établi lors du Concile Tolédan et confirmé lors du Concile général qu’il ne faut pas donner préférence à qui blasphème le Christ, il est donc plus qu’absurde qu’un tel soit chargé d’avoir pouvoir sur les chrétiens. Nonobstant cela, on leur confie des charges publiques, au moyen desquelles ils s’acharnent contre les chrétiens… Ils ont en outre des nourrices et des servantes dans leurs propres maisons, où se passent des choses inouies qui sont motif d’abomination et d’horreur pour ceux qui en sont informés. Et, bien que dans le Concile général cité on veilla à ce que les juifs des deux sexes se distinguassent en tous temps et en tous lieux des autres par leur habillement, en Allemagne cependant se développe une grande confusion, parce qu’on ne les distingue par aucun vêtement. Comme il est abominable que celui qui renaquit par l’eau du Saint Baptême soit entaché par les pratiques des infidèles et leur traitement, et que la Religion chrétienne soit traitée avec hostilité par le pouvoir des perfides, (ce qui ariverait) si le blasphème du sang du Christ maintenait en servitude le racheté, nous mandons et faisons précepte à tous nos frères dans l’Episcopat que vous fassiez réprimer absolument les excès cités et autres semblables des juifs de vos Diocèses, Eglises et Paroisses, pour qu’ils n’osent pas lever leur tête soumise au joug de la servitude perpétuelle pour outrager le Rédempteur ; en évitant avec plus de rigueur encore qu’ils aient l’audace de disputer sur leurs pratiques d’aucune manière avec les chrétiens, pour que des discussions de cette nature ne soient l’occasion pour les ignorants de glisser dans les pièges de l’erreur, et que, plaise à Dieu, celle-ci demeure sans succès, en invoquant pour cela si nécessaire l’aide du Bras séculier ». 361)
On le constate, le Pape Grégoire IX se lamente ici amèrement de l’ingratitude des juifs qui répondent à la bonté par l’outrage et empoisonnent les consciences des chrétiens, persécutent la Foi catholique, lorsqu’ils exercent des charges publiques s’acharnent contre les chrétiens, et se livrent à des actes qui sont motifs à abomination et horreur; en un mot ils font ce qu’ils ont toujours fait depuis dix neuf siècles. Par le même document, il insiste pour que l’on se conforme aux dispositions ordonnées par le Concile Tolédan et par le Concile œcuménique (de Latran), excluant les juifs des charges publiques, les obligeant à porter la marque distinctive dans le vêtement et les soumettant à l’esclavage perpétuel, c’est à dire que l’on enchaîne la bête féroce pour qu’elle ne puisse plus nuire. On voit aussi que cette fois ce fut en Allemagne que, faute d’avoir fait observer les Canons en question, l’on avait lâché la bête, et qu’elle avait alors causé des ravages à l’abri de la tolérance concédée.
On voit donc que les Papes étaient à la tête de la défense de la société chrétienne contre les juifs, et ceci est leur vrai rôle, consistant à défendre leurs brebis contre les attaques du loup et non pas à les livrer à ses griffes. Que les juifs ne nous disent pas que l’Eglise porte la faute de tout ce qui leur est arrivé dans le passé, car c’est eux, par leur ingratitude et leur action impérialiste, qui provoquèrent ces faits, car il est évident que la Sainte Eglise et les peuples agressés ont eu et ont toujours le droit de faire usage de la légitime défense. Si les hébreux ne veulent pas subir les conséquences de leurs actes d’agression, la première chose qu’ils doivent faire est de ne pas les commettre.
Le Pape Martin V, qui monta sur le trône pontifical influencé par les intrigues des juifs consistant à se faire apparaître comme les victimes des chrétiens, commença par suivre à leur égard une politique de tolérance désastreuse pour la Chrétienté, que rapidement ce Souverain Pontife se vit obligé à rectifier, semble-t-il aussi sous la pression du clergé mécontent de sa politique. Mais quelle qu’ait été la cause du changement d’attitude de ce Souverain Pontife, sa célèbre Bulle « Sedes Apostolica » nous donne une idée de la manière dont ils répondirent à la protection que pendant un certain temps leur avait accordée ce Pape.
La Bulle en question, après avoir mentionné sa politique de bienveillance envers les israélites, dit ceci :
« Cependant il est venu il y a peu à notre connaissance par des rapports dignes de foi, et non sans un grave trouble de notre âme, que certains juifs des deux sexes qui résident à Cafas et Canas et en d’autres villes de régions d’outre-mer et dans des terres et lieux sujets à la juridiction des chrétiens, rebelles dans leur obstination et pour masquer leur fraude et leur méchanceté, ne portent aucun signe spécial sur leurs vêtements par lequel on puisse les reconnaître comme juifs. Et ils ne craignent pas de feindre d’être chrétiens devant un très grand nombre de chrétiens des deux sexes des cités, territoires et lieux mentionnés, qui pour cette raison même ne peuvent les identifier, et ils commettent en conséquence divers crimes et choses abominables : entre autres crimes dont la seule énumération est horrible, ceux des Zachi, des Rossi, des Alani, Migrelli et Anogusi, qui, baptisés selon le rite grec et faisant profession du nom de chrétien, achètent les personnes des deux sexes qu’ils peuvent, et après les avoir achetées, les vendent à leur tour de manière impie à des Sarrasins et autres infidèles, ennemis les plus féroces et éternels de tout chrétien, pour un prix jusqu’à dix fois le prix d’achat, faisant en toute exactitude de ces personnes des marchandises, et ils livrent les dites personnes aux territoires des Sarrasins et autres infidèles ». 362)
Or l’ingratitude des juifs pour ceux qui les protègent sautera encore davantage aux yeux en lisant ce qu’écrit très officiellement le Judaïsme à propos du Pape Martin V dans l’encyclopédie que nous avons déjà citée :
« L’attitude amicale de Martin fut probablement due en majeure partie à aux riches présents que les délégués (de la communauté juive) lui firent. Sans paiement comptant, on ne pouvait rien obtenir de lui. Mais en réglant le montant on obtenait tout facilement. A la Cour papale l’amitié cesse lorsque l’on est à court d’argent, écrivit l’envoyé allemand auprès du Vatican ».
« Quel que fût le motif de la bienveillance papale, celle-ci continua sous Eugène IV (1431-1447), malgré quelques Bulles hostiles qui confirmèrent jusqu’à un certain point la législation anti-juive ancienne. En particulier sa Bulle « Dudum ad Nostram » était hostile, et contribua à créer une atmosphère de ghetto pour la communauté juive. Il se vit obligé de céder sous la pression du clergé espagnol et du Concile de Bâle ». 363)
Or même en supposant exact que les juifs aient acheté à prix d’argent la protection du Pape Martin V, il est évident que par un sentiment d’élémentaire gratitude ils auraient dû le cacher, et s’abstenir de souiller son honneur comme ils le font en mentionnant dans une telle encyclopédie ce genre d’insinuations.
De toutes manières, ici comme dans d’autres cas, la politique pro-juive d’un Pape qui contrevint aux Canons des Conciles eocuméniques, aux Bulles et à la doctrine des Papes antérieurs et des Pères de l’Eglise amena une fois de plus des résultats catastrophiques qui furent sur le point de démolir l’Eglise et l’Europe entière dans la première moitié du XVème siècle. En effet, alors que la bête avait été enchaînée par l’énergique politique des Papes et des Conciles antérieurs, Martin V la désenchaîna à moitié par ses condescendances, et du même coup la Judaïsme réacquit rapidement une puissance gigantesque en Europe, et la révolution crypto-judaïque des Hussites, qui s’était cru anéantie à Constance, prit des proportions gigantesques, menaçant de déborder l’Eglise et de s’étendre à toute l’Europe.
L’indignation de l’Episcopat mondial contre le Pape augmentait de manière alarmante, faisant croître en même temps l’audience de la thèse de la supériorité du Concile œcuménique sur le Pontife, car on disait qu’un homme pouvait plus facilement se tromper que tout l’ensemble de l’Episcopat et qu’en plus, l’assistance de Dieu à la Sainte Eglise s’opérait à travers le Concile, et non par le Pape. C’est dans ces conditions qu’une pression s’exerça sur Sa Sainteté pour que, accomplissant ce qui avait été accordé au Concile de Sienne, fût convoqué à Bâle un nouveau Concile œcuménique. Il est explicable que dans ces conditions, comme le rapporte Jean de Raguse, le seul mot de Concile horrifiait immensément le Pape (« In immensum nomen concilii abhorrebat ») 364).
Le Concile ayant été convoqué par le Pontife et déjà prêt à se réunir, une mort subite vint interrompre la vie de Martin V, laissant la nef de la Sainte Eglise démâtée dans une mer tempétueuse aux mains d’Eugène IV, qui dut souffrir les conséquences de la politique de son prédécesseur.
Le Synode réuni à Bâle se prononça pour les thèses approuvées au Concile de Constance, selon lesquelles le Concile reçevait son autorité directement de Dieu comme représentant de l’Eglise militante, ce pourquoi tout fidèle y compris le Pontife avait l’obligation d’obéir au Concile œcuménique en tout ce qui était relatif à la Foi, à l’extirpation des schismes et à la réforme de l’Eglise, et approuvant également que tout fidèle y compris le Pape lui-même qui désobéirait aux accords du Synode universel devrait être châtié de manière appropriée, et que le Concile ne pouvait être dissous par le Pape 365).
En plus de confirmer la doctrine approuvée à Constance, le Concile de Bâle interdit au Pape de nommer de nouveaux Cardinaux tant que durerait le Synode. Les choses s’aggravèrent lorsque le Souverain Pontife, après avoir dissous le Concile, révoqua postérieurement le décret de dissolution pour de nouveau redissoudre ensuite le Concile, et qu’à son tour, le Concile condamna le Pape et le destitua.
Au milieu de cette tempête, la révolution hussite organisée et financée par les crypto-juifs faisait des progrès terrifiants en Europe. Tout semblait déjà perdu pour la Sainte Eglise, lorsque le divine Providence comme toujours lui donna son assistance, en conduisant l’action d’hommes extraordinaires qui la sauvèrent du désastre et qui réussirent non seulement à sauver son unité, mais à mettre en déroute complète la Synagogue de Satan et son grand mouvement révolutionnaire du XVème siècle. Parmi ces clercs qui servirent d’instruments à la divine Providence pour sauver son Eglise, se détache entre tous l’humble Franciscain, le religieux Jean de Capistran, qui prit la tête de la gigantesque lutte qui s’acheva par la victoire complète de l’Eglise sur le Judaïsme.
Ce pieux Franciscain combattit la bête judaïque par ses prédications et aussi par l’épée, qu’il enfonça dans la gorge du dragon jusqu’à l’abattre. C’est pourquoi les israélites l’appellent « le fléau des Juifs ». En réalité nous pouvons affirmer, et ceci n’est pas peu dire, que Saint Jean de Capistran fut le dirigeant chrétien anti-juif le plus énergique et le plus efficace qui ait surgi depuis le Christ Notre-Seigneur et les Apôtres. La destruction qu’il causa dans la Synagogue de Satan est considérée par certains israélites comme la plus catastrophique. Cependant l’Eglise proclama son jugement final sur ledit combattant en le canonisant comme saint.
Saint Jean de Capistran, sauveur de l’Eglise et de l’Europe au XVème siècle, mérite d’être considéré par les organisations patriotes, qui actuellement combattent le Judaïsme, comme leur Saint Patron. Dans le Ciel, lui qui gagna un semblable combat, il sera le plus précieux intercesseur auprès de Dieu en faveur de ceux qui suivent ses saintes traces et qui combattent aujourd’hui pour défendre la Sainte Eglise et leurs nations contre l’impérialisme révolutionnaire de la Synagogue de Satan.
Saint Augustin, l’illustre Père de l’Eglise, dans son « Traité sur les Psaumes », soutient et démontre clairement que ce furent les juifs et non les Romains qui donnèrent la mort au Christ. 366)
Meliton, Evêque de Sades en Libye et l’un des personnages de l’Eglise les plus vénérés au IIème siècle, affirma :
« Mais les juifs, comme l’annonçaient les prophéties, rejetèrent le Seigneur et le tuèrent, et bien que sa mort était prédite, leur responsabilité fut volontairement acceptée. Eux étaient perdus, mais les fidèles à qui le Christ prêcha dans les enfers, à l’égal de ceux qui étaient sur la terre, participèrent au triomphe de la Résurrection ». 367)
Saint Hippolyte de Rome, contemporain d’Origène, rend les juifs responsables de ses propres misères et disgrâces. Il fut martyr de la Sainte Eglise et fut canonisé par elle. 368)
Saint Thomas d’Aquin, comprenant la nécessité d’enchaîner la bête judaïque pour qu’elle ne continue pas à nuire, soutint doctrinalement que : « Les juifs doivent porter le signe distinctif, selon ce qu’a statué le Concile général… »
« Les juifs ne peuvent licitement retenir ce qu’ils ont acquis par usure, étant obligés de restituer à ceux qu’ils ont exterminés… Les juifs en raison de leurs fautes sont en perpétuelle servitude, et les Seigneurs peuvent par conséquent leur prendre leurs biens, en leur laissant seulement ce qui est indispensable à la vie, à l’exception de ce qu’interdisent les saintes lois de l’Eglise ». 369).
Les membres de la cinquième colonne, qui prétendent que les anti-sémites sont condamnables, enverraient sûrement aussi Saint Thomas d’Aquin au banc des accusés.
Tertullien, dans son traité Adversus Judaeos, lance contre les israélites les plus dures accusations : dans Escopiase, il affirme que « Les Synagogues sont les points d’où sortent les persécutions contre les chrétiens », et dans Ad Nationem, toujours à propos de leurs agissements il y a mille huit cents ans mais qui de manière sinistre coïncident avec ceux d’aujourd’hui, il affirme « C’est des juifs que sortent les calomnies contre les chrétiens ». 370)
Toutes les campagnes de diffamations et de calomnies qui ont pour objet de paralyser les dirigeants anti-communistes et anti-juifs, continuent d’être lancées actuellement comme il y a dix huit cents ans par les israélites, surtout par ceux qui vivent couverts du masque d’un faux Christianisme et qui usurpent des positions importantes dans les hiérarchies du clergé, dans les associations de laïques catholiques et dans les partis de droite.
C’est des obscurs conventicules de la Synagogue que sortent, aujourd’hui comme il y a dix huit siècles, les persécutions contre les chrétiens, surtout contre ceux qui combattent efficacement le Communisme et l’impérialisme judaïque.
Le distingué philosophe catholique du XIXème siècle Jaime Balmes, accusa les marchands hébreux d’introduire de France en Espagne, malgré le zèle de l’Inquisition, les Bibles calvinistes cachées dans des bouteilles de vin français. 371)
Saint Augustin lui-même, illustre Père de l’Eglise, considéra certains massacres de juifs comme un châtiment de Dieu, affirmant que, pour avoir crucifié le Christ, beaucoup d’hébreux ont depuis été crucifiés. Ainsi Titus, lors du siège de Jérusalem, ordonnait de crucifier quinze-cents juifs chaque jour. 372)
Origène également accusa les juifs d’avoir cloué le Christ sur la croix.373)
Sa Sainteté le Pape Paul III se réfère clairement à la perfidie hébraïque dans sa Bulle « Illius Vices » du 12 octobre 1535, où il condamne les chrétiens qui pratiquent en secret le Judaïsme. De cette Bulle si importante nous extrayons le paragraphe suivant :
« Une information nous est parvenue que dans la majeure partie du Royaume de Portugal, certains convertis de la perfidie hébraïque dénommés nouveaux chrétiens, reviennent aux rites des juifs… » 374)
Sa Sainteté le Pape Paul IV, dans sa célèbre Bulle « Cum nimis absurdum » du 12 juillet 1555, dit :
« Comme il est par trop absurde et inconvenant que les juifs, que leur propre faute rend sujets à perpétuel esclavage, sous prétexte de ce que la piété des chrétiens supporte et tolère leur cœxistence, payent les chrétiens d’une énorme ingratitude et aux grâces reçues répliquent par des affronts, et prétendent changer en domination la servitude qui leur revient… »
Et la Bulle en vient ensuite à ordonner que les juifs portent obligatoirement la marque distinctive et doivent habiter dans les aljamas (c’est à dire les ghettos). 375)
Cet illustre Pape, en plus d’évoquer une fois de plus l’ingratitude des juifs et la nécessité de les tenir soumis au servage, mentionne donc que depuis plus de quatre cents ans les juifs essaient de dominer les chrétiens en profitant de la généreuse hospitalité que ceux-ci leur offrent en les admettant sur leurs territoires, et il dicte en conséquence l’ordre de les reléguer dans des ghettos et de les obliger à porter la fameuse marque distinctive permettant de les identifier. Il est donc sûr que si cet illustre Pape avait vécu de nos jours, les membres de la cinquième colonne juive l’auraient accusé et condamné pour racisme et antisémitisme.
Voici plus de sept cents ans, Sa Sainteté le Pape Innocent IV, dans sa Bulle si importante « Impia judaeorum perfidia » dit textuellement :
« L »impie perfidie des juifs dont par suite de l’immensité des crimes Notre-Seigneur ne put réussir à arracher le voile de leur cœur, mais les laissa demeurer toujours dans l’aveuglement comme il convient, n’empêchant cependant pas que par pure miséricorde la compassion chrétienne les reçoive et tolère patiemment leur cœxistence leur fait commettre de telles énormités qu’elles causent la stupeur de ceux qui les entendent et l’horreur de ceux à qui elles sont relatées ».
Ce même Pape, considérant que le Talmud et les autres livres clandestins des hébreux les incitaient à commettre toutes sortes de méfaits, ordonna dans la même Bulle que ces ouvrages soient brûlés publiquement « pour la confusion de la perfidie des juifs ». 376)
L’un des Papes qui lutta avec la plus grande énergie contre le crypto-judaïsme fut Nicolas IV, qui fulmina contre eux sa célèbre Bulle « Turbato corde », dans laquelle il chargeait les Inquisiteurs, les clercs et les autorités séculières de procéder contre eux avec acharnement et de procéder aussi contre ceux qui les défendaient, les favorisaient ou les protégeaient. Cette Bulle fut l’un des fondements les plus fermes du combat de l’Eglise médiévale contre la cinquième colonne juive infiltrée dans la Chrétienté, tant contre les clercs que les laïcs de cette cinquième colonne, et autant contre ceux identifés comme crypto-juifs que contre les fauteurs avérés d’hérésies ou les protecteurs des premiers. C’est dire qu’il suffisait que quelqu’un défende un crypto-juif ou un hérétique quand bien même ledit défenseur demeurait orthodoxe, ou bien que quelqu’un les favorise ou les protège, pour qu’il tombe du même coup dans le champ d’action de l’Inquisition Pontificale.
On comprendra alors qu’aussi longtemps que les Papes appuyèrent fermement les dispositions de cette Sainte Bulle comme d’autres du même style et les Canons précédemment étudiés des Conciles de Latran, il fut très difficile à la bête judaïque de pénétrer dans la citadelle chrétienne. Ce ne fut que lorsque Martin V et Léon X méprisèrent ce qui était ordonné par ces Bulles et ces Conciles que la Synagogue de Satan put enfin réussir à déchirer la Chrétienté, d’abord temporairement, puis aujourd’hui de manière presque définitive. `
Du texte de l’intéressante Bulle du Pape Nicolas IV nous extrayons ce qui suit :
« C’est le cœur troublé que nous apprenons et rapportons que, non seulement certains convertis de l’erreur et de l’aveuglement judaïque à la lumière de la Foi chrétienne sont retournés à la perfidie d’antan, mais qu’aussi de très nombreux chrétiens, reniant la Foi catholique, l’échangèrent pour le rite judaïque, chose digne de condamnation…
Contre tous ceux qui ont commis pareille chose, comme contre les hérétiques et aussi contre ceux qui les favorisent, les protègent ou les défendent, procédez avec acharnement. Quant aux juifs qui auraient induit des chrétiens des deux sexes à leur exécrable rite ou les auraient enjôlés, châtiez-les d’une peine bien méritée ». 377)
Les auteurs juifs expliquent que ces chrétiens convertis au Judaïsme étaient en général des descendants des convertis qui, baptisés dans l’enfance, étaient ensuite réintroduits secrètement dans le Judaïsme.
Pour nous en tenir aux limites de ce premier tome, nous devons interrompre ici l’insertion de citations d’innombrables autres Bulles des Papes les plus illustres, condamnant d’une manière ou d’une autre le Judaïsme, et qui constituent un important épisode de la lutte gigantesque que la Sainte Eglise a dû livrer au cours des siècles contre les juifs. Dans la partie suivante de cet ouvrage nous reviendrons sur ces importants documents.
Pour l’heure, et sautant par dessus les siècles jusqu’à une époque presque contemporaine, nous transcrirons ce que le Judaïsme déclare officiellement, par l’encyclopédie (judaïque castillane) déjà citée, sur le Pape Léon XIII, lumière des temps modernes :
« Léon XIII (1878-1903) fut l’un des Pontifes les plus illustres, mais il ne pardonna jamais aux juifs l’appui qu’ils donnèrent au libéralisme italien et européen d’une manière générale. Il les identifiait à la Maçonnerie et aux courants révolutionnaires, et il appuya les réactionnaires anti-juifs d’Autriche et de France ». 378).
Telle est une fois de plus la position de ferme défense de la Sainte Eglise et du monde chrétien, soutenue par l’un des plus grands Papes de tous les temps, qui comme on l’a vu connaissait le problème juif à fond et tenait les juifs pour responsables de l’action maçonnique, laquelle joua un rôle remarqué dans les révolutions libérales.
Ce que nous avons exposé dans le présent chapitre et dans les autres de ce premier tome suffit à démontrer que ce que prétendent les membres de la cinquième colonne dans le clergé, en combattant pour la condamnation de l’antisémitisme et du racisme, équivaut à envoyer au banc des accusés, aussi bien le Christ Notre-Seigneur et les Apôtres, que les Pères de l’Eglise, les plus célèbres Conciles œcuméniques et Provinciaux et ses plus illustres Papes, en un mot l’Eglise elle-même. Leurs perverses intentions se voient encouragées par l’ignorance hélas dominante dans le clergé respectable, mais qui méconnaît l’histoire écclésiastique véritable. Les Judas Iscariotes du XXème siècle croient, à l’abri de cette ignorance, pouvoir piéger par d’habiles tromperies les dirigeants les plus pieux et les mieux intentionnés de l’Eglise; mais nous savons que la Divine Providence empêchera un crime aussi atroce, et qu’elle ne permettra jamais que Sa Sainte Eglise se voie condamnée tacitement par ses propres dirigeants.
Pour notre part, suivant l’exemple de Saint Bernard, nous avons cru convenable de contribuer de notre petit grain de sable à empêcher la victoire de la conspiration, en accord avec l’apophtegme que l’histoire vérifie : »Faire tout ce que l’on peut, et tout attendre de Dieu ».
Le seul fait que le Saint Siège, contredisant la doctrine établie par la Sainte Eglise sous la forme que nous avons démontrée, déclarerait que les juifs réprouvés sont très aimés aux yeux de Dieu, comme la Synagogue de Satan l’a planifié dans l’ombre, et accepterait de transiger et de signer un accord avec ceux avec qui, ni le Christ, ni les Apôtres, ni l’Eglise en vingt siècles n’acceptèrent jamais de conclure aucun accord, outre que cela constituerait un désaveu manifeste et une condamnation implicite de la doctrine et de la politique observées par Notre Divin Sauveur, les Apôtres, les Papes, les Saints et les Conciles qui luttèrent tant contre la Synagogue de Satan, conduirait l’Eglise à une fausse situation, dans laquelle ses ennemis pourraient démontrer qu’elle se contredit ainsi elle-même et que, ce que pendant tout un temps elle déclara être mal, elle dit aujourd’hui que c’est bien, que ce qu’elle disait noir tout un temps, elle le dit blanc dorénavant, avec les conséquences catastrophiques qu’il est facile d’imaginer. Mais il est impossible que ceci réussisse.
Les juifs perfides, qui croient avoir déjà soumis le Saint Siège en comptant sur un bloc de Cardinaux et de Prélats suffisamment puissant pour détruire les traditions esentielles de l’Eglise, ouvrir les portes au Communisme et réaliser des réformes qui préparent la ruine de la Catholicité en accélérant la chute du monde libre, ne comptent pas sur l’assistance de Dieu à Sa Sainte Eglise, assistance qui fera surgir parmi ses dignitaires les nouveaux Irénées, les Athanases, les Chrysostomes, les Saints Bernards ou les Jean de Capistran qui, avec l’aide de la Divine Providence, la sauveront une fois de plus de la tempête.
345) Pape Grégoire VII. IX-2.

346) Saint Ambroise Evêque de MIlan, Lettre XI à l’Empereur Théodose..
347) Saint Ambroise, idem ci dessus.
348) Malcom Hay « Europe and the Jews« ,Boston 1960, chap. IV, p. 91.
349) Rabbin Jacob Salomon Raisin « Gentile Reactions to Jewish Ideals » Ed. cit., chap. XIX, p. 525.
350) Rabbin Louis Israel Newman « Jewish Influence on Christian Reform Movements » New-York 1925, pp 61-62, et Jacob Salomon Raisin, Op. cit., chap. XVIII pp. 482-3.
351) Saint Athanase : « Traité de l’Incarnation » 40. 7.
352) Saint Jean Chrysostome : « Sixième homélie contre les juifs« .`
353) Saint Jean Chrysostome, « Homélies contre les juifs » cité par Malcom Hay in « Europe and the Jews » ed. cit., pp. 30-31.
354) Bossuet : « Sermon pour le Vendredi Saint », Oeuvres complètes, t. II,p. 628.
355) Bossuet : « Discours sur l’Histoire universelle » Partie II, chap. XXI, cité par Jules Isaac in « Jésus et Israe« , p. 372.
356) Bossuet, cité par Malcom Hay in » Europe and the Jews » Ed. cit.p. 174.
357) Pape Saint Pie V : Bulle « Romanus Pontifex » du 19 avril 1566. Compilée dans le « Bullarium Diplomatum et Privilegiorum Sanctorum Romanorum Pontificum » Editio Taurensis, Turin 1862, t. VII, p. 439.
358) Pape Saint Pie V : Bulle « Cum Nos super » du 19 janvier 1567. Compilée dans le « Bullarium Diplomatum et Privilegiorum Sanctorum Romanorum Pontificum » Editio Taurensis, Turin 1862, t. VII, p. 514 et seq.
359) Pape Saint Pie V : Bulle « Hebraeorum gens » du 26 février 1569. Compilée dans le « Bullarium Diplomatum et Privilegiorum Sanctorum Romanorum Pontificum » Editio Taurensis. Turin 1862, t. VII, p.740-41et 42.
360) Saint Grégoire de Nysse « Oratio in Christi Resurrectionem « , p.685.
361) Pape Grégoire IX, Bulle « Sufficere dibuerat » du 5 mars 1233 Compilée dans le « Bullarium Diplomatum et Privilegiorum Sanctorum Romanorum Pontificum » Editio Taurensis, Turin 1862, t. III, an 1233, p.479.
362) Pape Martin V, Bulle « Sedes Apostolica » An 1425. Compilation du Bullarium citée; t. IV, an 1425.
363) Encyclopédie Judaïque Castillane, Ed. cit. t.VIII, terme « Papes », p.347.
364) Juan de Raguse « Monumenta Conciliorum generalium saeculi XV« , t. I, p. 66.
365) Juan de Segovie « Historia gestorum generalis synodi Basiliensis« .
366) Saint Augustin : « Traité sur les Psaumes« , Psaume 63 v. 2.
367) Pr. Johannes Quasten : Patrologie, Madrid 1961, t. I, p.232.
368) Pr. Johannes Quasten, Op. cit., t. I, p. 470.
369) Saint Thomas d’Aquin : « Opera omnia » Ed Pasisillis, MDCCCLXXX, table 1ao, t. XXXIII, p. 543.
370) Tertullien : »Adversus Judaeos « ; « Escopiase « ; « Ad nationes« .
371) Jaime Balmes S.J. : « Le Protestantisme comparé au Catholicisme « t.I, p. 466.
372) Saint Augustin cité par le P. Francisco de Torrejoncillo dans « Centinella contra judios puesta en la torre de la Iglesia di Dios « , Ed. cit., pp. 175-176.
373) Origène : « De Principis » IV, 8.
374) Pape Paul III : Bulle « Illius Vices » du 12 octobre 1535., in Caroli Coquelines « Bullarium Priviligeriorum ac Diplomatum Romanorum Pontificum« . Amplissima Collectio Rome, 1739-1753, t. IV, partie I p.132.
375) Pape Paul IV, Bulle « Cum nimis absurdum » du 12 juiillet 1555, in Caroli Coquelines Opus cit., ed. cit., t. IV, partie I p.321.
376) Pape Innocent IV PP., Bulle « Impia judaeorum perfidia » du 9 mai 1244. Caroli Coquelines Ed. cit., t. III, partie I, p.298.
377) Pape Nicolas IV, Bulle « Turbato corde » du 5 septembre 1288. Caroli Coquelines Bullaire et edit. cités, t. III, partie II, p. 52.
378) Encyclopédie Judaïque Castillane, ed. cit. t. VIII, terme Papes, p. 351 col. 2.
Roy-XXIII
Le réseau des juifs clandestins qui existait dans l’Europe médiévale se transmettait en secret la foi judaïque de père en fils, bien que tous menaient en public une vie chrétienne et ornaient leurs demeures de Crucifix, d’images et statues de saints, etc. En règle générale, ils observaient ostensiblement le culte chrétien et apparaissaient comme de fervents dévots, cela pour détourner tout …Plus
Le réseau des juifs clandestins qui existait dans l’Europe médiévale se transmettait en secret la foi judaïque de père en fils, bien que tous menaient en public une vie chrétienne et ornaient leurs demeures de Crucifix, d’images et statues de saints, etc. En règle générale, ils observaient ostensiblement le culte chrétien et apparaissaient comme de fervents dévots, cela pour détourner tout soupçon. Naturellement, ce système juif de se convertir fictivement au Christianisme, pour envahir la citadelle chrétienne et faciliter sa désintégration, fut finalement découvert par la Sainte Eglise, au grand scandale et à l’indignation des Papes, des Conciles œcuméniques et provinciaux et du clergé sincère.
Mais ce qui provoqua le plus grand scandale fut le fait que ces juifs clandestins infiltraient leurs fils dans le clergé ordinaire et dans les couvents, avec de si bons résultats que beaucoup arrivèrent à escalader les différentes dignités de Chanoine, d’Evêque, d’Archevêque et jusqu’à celle de Cardinal. Pour autant, ils ne s’en contentèrent pas, mais leur audace alla jusqu’à l’extrême de prétendre conquérir à leur bénéfice la Papauté elle-même, un rêve ambitieux qu’ils ont toujours caressé et qu’ils furent sur le point de réaliser en 1130, lorsque le Cardinal Pierleoni, un faux chrétien juif en secret, obtint par ses tromperies et ses artifices que les trois quart des Cardinaux l’élisent Pape à Rome, sous le nom d’Anaclet II.
Heureusement, l’aide de Dieu à Sa Sainte Eglise put une fois encore la sauver en ces terribles moments. A cette occasion, la Divine Providence se servit principalement de Saint Bernard et du roi de France, qui aidèrent le groupe d’héroïques Cardinaux confrontés aux forces de Satan, faisant élire Pape Innocent II et réussissant ainsi à sauver l’Eglise d’une des crises les plus graves de son histoire. Bien que l’antipape juif Anaclet II ait réussi à mourir à Rome en continuant jusqu’à sa mort d’usurper le poste et les honneurs Pontificaux, le successeur qu’il avait imposé fut contraint à la démission par les troupes de la croisade organisée sur les instances de Saint Bernard, croisade qui réussit avec l’aide de Dieu à sauver la Sainte Eglise des griffes du Judaïsme, ce qui valut à Saint Bernard sa canonisation bien méritée.
Les Conciles œcuméniques et provinciaux du Moyen-Age combattirent avec acharnement le Judaïsme et la cinquième colonne juive infiltrée dans les rangs mêmes du clergé catholique, en nous laissant la certitude de leurs Saints Canons (qui sont des règles d’obligation pour les catholiques) et du gigantesque et victorieux combat soutenu contre le Judaïsme satanique pendant près de mille ans jusqu’à la fin du Moyen-Age, époque qui a été haïe et calomniée par la propagande juive mondiale, précisément parce que durant toute cette période de l’Histoire toutes les tentatives des juifs pour détruire le Christianisme et asservir l’humanité échouèrent.

CHAPITRE I – La pieuvre étrangle le Christianisme
Spina Christi 2
La coupe d'impudicité de la Grande Prostituée Juive...
Ci-dessous lien vers l'enregistrement audio d'un débat POUR la destruction du Sacrement du mariage instauré par notre Seigneur et Dieu Jésus-Christ.
Débat avec Masha Gessen (voir com précédent) et le Professeur Dennis Altman.
(Wikipédia : Dennis Patkin Altman (born 16 August 1943) is an Australian academic and pioneering gay rights activist …
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La coupe d'impudicité de la Grande Prostituée Juive...

Ci-dessous lien vers l'enregistrement audio d'un débat POUR la destruction du Sacrement du mariage instauré par notre Seigneur et Dieu Jésus-Christ.

Débat avec Masha Gessen (voir com précédent) et le Professeur Dennis Altman.

(Wikipédia : Dennis Patkin Altman (born 16 August 1943) is an Australian academic and pioneering gay rights activist. Altman was born in Sydney, New South Wales to Jewish immigrant parents...)


www.youtube.com/watch
Spina Christi 2
L'impudicité de la grande prostituée juive à tous les étages ! :
Un prêtre orthodoxe russo-américain sur les dernières décisions pro-gay aux USA:une sorte de tremblement de terre a lieu en Amérique
"Père Victor, dites-nous s'il vous plaît comment les orthodoxes d'Amérique ont-ils réagi à la décision de la Cour suprême des États-Unis de reconnaître la légitimité du mariage de même sexe dans …Plus
L'impudicité de la grande prostituée juive à tous les étages ! :

Un prêtre orthodoxe russo-américain sur les dernières décisions pro-gay aux USA:une sorte de tremblement de terre a lieu en Amérique

"Père Victor, dites-nous s'il vous plaît comment les orthodoxes d'Amérique ont-ils réagi à la décision de la Cour suprême des États-Unis de reconnaître la légitimité du mariage de même sexe dans tout le pays?

(...) Je pense, cependant, qu'ils poursuivent en fait d'autres objectifs. Ce matin, je lisais une interview d'une assez célèbre émigrée russe, Masha Gessen, qui a longtemps été militante dans le mouvement LGBT.
Elle, bien sûr, est anarchiste, mais on écoute son opinion en Amérique, et elle a dit: "Notre objectif est de détruire le mariage en tant qu'institution, de sorte qu'il n'y ait pas plus de concept de mariage." Ses paroles doivent être prises très au sérieux."


Petite recherche sur cette Masha Gessen :

Wikipédia :


"Masha Gessen est née dans une famille juive à Moscou le 13 janvier 1967. En 1981, elle a immigré aux États-Unis avec ses parents et son frère Keith d'Union soviétique. Son père, Alexandre Borisovitch, est entrepreneur. Sa mère, Elena Samouilovna Minkina, est traductrice et critique littéraire. Sa grand-mère du côté paternel, Ester, est traductrice tout comme sa grand-mère du côté maternel, Rosalia.
Elle est mère de deux enfants de nationalité américaine : Vova, son fils adoptif, et Iolka, sa fille biologique. Elle s’est officiellement mariée aux États-Unis avec Svena Generalova, citoyenne russe.Elle défend activement les droits des minorités sexuelles.
.."
perceval2507
Le site de la chaîne francophone israélienne i24news signale ces propos particulièrement détestables du rabbin Gentzi Gopstein. Les dénégations de l’intéressé sont vraiment pitoyables. Au moins, les jeunes Juifs inculpés dans l’affaire de l’incendie criminel de l’église de la Multiplication des Pains et des Poissons de Tabgha (Galilée), sont plus francs du collier…
Le rabbin israélien …Plus
Le site de la chaîne francophone israélienne i24news signale ces propos particulièrement détestables du rabbin Gentzi Gopstein. Les dénégations de l’intéressé sont vraiment pitoyables. Au moins, les jeunes Juifs inculpés dans l’affaire de l’incendie criminel de l’église de la Multiplication des Pains et des Poissons de Tabgha (Galilée), sont plus francs du collier…

Le rabbin israélien Gentzi Gopstein, une figure extrémiste du courant radical Lehava, a déclaré mardi denier [4 août] qu’il soutient les incendies d’églises lors d’un débat sur l’idolâtrie. L’organisation Lehava d’extrême-droite se bat contre l’assimilation et contre le prosélytisme. Selon une loi du Deutéronome, cinquième livre de la Bible hébraïque, il faut détruire l’idolâtrie existant sur la terre d’Israël. Cette loi était le sujet principal du débat organisé dans le Centre Wolfson d’études de religion juive à Jérusalem. Certaines autorités rabbiniques, dont l’érudit médiéval Maimonide, avaient à l’époque jugé qu’en raison de divers aspects de la pratique et la théologie chrétienne, le christianisme est une idolâtrie. Dans un enregistrement obtenu par le site israélien Kikar Hashabbat, le rabbin Gopstein répond positivement à la question de savoir s’il est pour ou contre l’incendie des églises. « Bien sûr [que je suis pour]… Maimonide a-t-il demandé de les détruire, oui ou non? L’idôlatrie doit être détruite. » Après la publication de cet enregistrement, Gopstein a publié un communiqué affirmant que ces déclarations ont été faites uniquement dans le cadre théorétique de la loi juive. « Ces allocutions ont été faites lors d’un débat sur les opinions de Maimonide sur la chrétienté. Au cours de ce débats, j’ai expliqué que selon Maimonide, l’idolâtrie doit être détruite”, peut-on lire dans ce communiqué. J’ai souligné à plusieurs fois que je n’appelais en aucun cas à entreprendre des actions mais que du point de vue de Maimonide, il incombe au gouvernement à mener ces actions et non pas aux individus. »

Source : i24news (6 août 2015)
Spina Christi 2
Roy-XXIII 20:06
Le métissage pour tous… Sauf les juifs
Nous connaissons en effet la position officielle des rabbins sur les mariages interraciaux/interreligieux entre juifs(ves) et non juifs(ves) : interdiction formelle sous peine de péché mortel. Pour ceux que ça intéresse, on trouve très facilement l'enseignement de Rav Ron Chaya sur son site "leava.fr"Plus
Roy-XXIII 20:06

Le métissage pour tous… Sauf les juifs

Nous connaissons en effet la position officielle des rabbins sur les mariages interraciaux/interreligieux entre juifs(ves) et non juifs(ves) : interdiction formelle sous peine de péché mortel. Pour ceux que ça intéresse, on trouve très facilement l'enseignement de Rav Ron Chaya sur son site "leava.fr"
Roy-XXIII
Le métissage pour tous… Sauf les juifs
L’extrait suivant est un exemple de plus, s’il en fallait encore, que les tentatives médiatiques pour organiser un métissage généralisé des peuples répondent aux objectifs politiques des juifs mondialistes et kabbalistes. En précisant que cette promotion du métissage est on ne peut plus duplice, comme vous allez le voir.
Voici ce que nous pouvons lire …Plus
Le métissage pour tous… Sauf les juifs

L’extrait suivant est un exemple de plus, s’il en fallait encore, que les tentatives médiatiques pour organiser un métissage généralisé des peuples répondent aux objectifs politiques des juifs mondialistes et kabbalistes. En précisant que cette promotion du métissage est on ne peut plus duplice, comme vous allez le voir.
Voici ce que nous pouvons lire dans le livre « Maçonnerie et sectes secrètes, le côté caché de l’Histoire« , aux éditions du Courrier de Rome dans le chapitre sur la mondialisation.

Ainsi tandis que le rabbin canadien Abraham Feinberg, dans les colonnes d’une revue chrétienne de Toronto, la « Maclean’s Review », s’adressant à ses lecteurs catholiques et protestants, lançait l’appel suivant :

« La seule solution aux conflits sociaux est le mariage inter-racial […] », il donc urgent que « […]la loi encourage le mélange du sang », du moment que « l’appel délibéré aux mariages inter-raciaux est la seule façon d’accélérer le processus pour éliminer totalement les préjugés raciaux et donc les races séparées, »

Dans le « New York Times » paraissait en 1974 une pleine page de publicité du « National Committee for Furtherance of Jewish Education », publicité adressée à la jeunesse juive, dans laquelle les mariages interraciaux étaient ainsi stigmatisés :

« Les mariages mixtes sont un suicide national et personnel. Le moyen le plus sûr pour détruire un peuple est de le faire marier en dehors de sa foi […] les hommes et les femmes ont alors la certitude d’y perdre leur identité. Les valeurs et les principes qui ont tant contribué à la culture et à la civilisation contemporaine (du peuple juif, N.d.R) disparaîtront de la face de la terre. L’expérience accumulée en trois mille ans, le riche héritage d’un peuple, tout ce qui est absolument votre sera indignement anéanti. Quelle peine ! Quel désastre ! Quelle honte ! »
Roy-XXIII
Actes II
14. Hommes de Judée et vous tous qui habitez Jérusalem, sachez ceci et prêtez attention à mes paroles.
22. Israélites écoutez ces paroles : Jésus de Nazareth, cet homme que Dieu a accrédité auprès de vous par Ses vertus, par les miracles et par les signes que Dieu fit par Son entremise parmi vous, comme vous le savez bien. 23. Lui qui fut livré par la volonté préétablie et la …Plus
Actes II
14. Hommes de Judée et vous tous qui habitez Jérusalem, sachez ceci et prêtez attention à mes paroles.
22. Israélites écoutez ces paroles : Jésus de Nazareth, cet homme que Dieu a accrédité auprès de vous par Ses vertus, par les miracles et par les signes que Dieu fit par Son entremise parmi vous, comme vous le savez bien. 23. Lui qui fut livré par la volonté préétablie et la prescience de Dieu, et que vous avez tué en Le crucifiant, par la main des impies ».
1 autre commentaire de Roy-XXIII
Roy-XXIII
« Les tempêtes qui assaillent l'Eglise sont les mêmes que celles subies à ses origines; elles étaient alors provoquées par les Gentils, par les gnostiques et par les Juifs et les Juifs y sont aussi présentement. » - Sa Sainteté Pie IX, Discours, le 12 février 1874
Spina Christi 2
Merci cher Roy ! 👍
Roy-XXIII
Spina Christi 2 ✍️ 🤗
L'ACTION JUDÉO-MAÇONNIQUE DANS LE CONCILE
I)
"Nous sommes un groupe d'ecclésiastiques appartenant soit à des ordres religieux, soit au clergé séculier. Nous avons suivi avec une toute particulière attention toutes les délibérations du Concile Œcuménique Vatican II, afin d'en étudier en profondeur les enseignements et de les appliquer en nos apostolats et en nos professorats. …
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Spina Christi 2 ✍️ 🤗

L'ACTION JUDÉO-MAÇONNIQUE DANS LE CONCILE
I)
"Nous sommes un groupe d'ecclésiastiques appartenant soit à des ordres religieux, soit au clergé séculier. Nous avons suivi avec une toute particulière attention toutes les délibérations du Concile Œcuménique Vatican II, afin d'en étudier en profondeur les enseignements et de les appliquer en nos apostolats et en nos professorats.
Nous n'avons jamais prétendu faire une publication sur un thème quelconque, car nos études ont un caractère strictement privé ; naturellement, notre évêque et nos supérieurs ecclésiastiques ont connaissance de nos travaux et nous ont donné leur consentement. Deux d'entre nous participent en raison de leur personnalité, aux sessions conciliaires.
Nous devons dire que ce qui fut entendu au cours de ces sessions, bien que souvent discuté et repoussé, nous donne la certitude absolue que l'on tente actuellement d'entraîner la Sainte Mère Eglise dans une voie totalement distincte de celle qui fut tracée par les enseignements du Divin Rédempteur et qui constitue sa mission divine.
La peine assombrit notre cœur en présence de hardiesse que nous considérons comme la conséquence de la perte de la Foi chez quelques Pères conciliaires. C'est ainsi que nous avons été amené à faire des investigations et, aujourd'hui, avec une grande satisfaction et rendant grâce au Très-Haut, nous pouvons rendre publique notre conviction : ceux qui prétendent Vous trahir ne sont pas Vos fils, Seigneur ; ceux-ci Vous sont fidèles, bien que quelques-uns soient induits en erreur. Ce sont Vos mêmes ennemis de toujours, ceux qui, trompeusement, entrèrent dans Votre Eglise et répandirent ces fausses doctrines que Vous réfutiez ; ce sont, Seigneur, les juifs faussement convertis qui, une fois de plus, essaient de détruire Votre œuvre divine !"

(Rome, septembre 1964.)