émission spéciale Coronavirus. Quelles conséquences pour la santé et l'économiePlus
émission spéciale Coronavirus.
Quelles conséquences pour la santé et l'économie
Quelles conséquences pour la santé et l'économie
Ludovic Denim
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D'abord, c'était l'immigration qui allait payer leurs retraites. Puis, maintenant, c'est le coronavirus qui vient les aider à partir en vacances. Enfin, s'ils continuent à résister, il y aura l'euthanasie...
"on peut s’attendre à 9000 cas dans 3 jours, 18.000 cas dans 6 jours, 36.000 dans 9 jours, 72.000 dans 12 jours, 144.000 dans deux semaines... On parle là de gens suffisamment malades pour être officiellement comptabilisés dans les décomptes actuels. C’est à dire hospitalisés dans la majeure partie des cas.
Si l’on transpose cette dynamique sur les cas nécessitant un lit dans un service de …Plus
"on peut s’attendre à 9000 cas dans 3 jours, 18.000 cas dans 6 jours, 36.000 dans 9 jours, 72.000 dans 12 jours, 144.000 dans deux semaines... On parle là de gens suffisamment malades pour être officiellement comptabilisés dans les décomptes actuels. C’est à dire hospitalisés dans la majeure partie des cas.
Si l’on transpose cette dynamique sur les cas nécessitant un lit dans un service de réanimation, nous allons passer de 300 cas actuellement à 5000 dans deux semaines. Les personnes âgées, rappelons-le, ne sont pas les seules touchées: la moitié de ces cas graves ont moins de 60 ans. Si les patients s’en sortent le plus souvent pour le moment, c’est parce qu’ils bénéficient de traitement de réanimation (ventilation). Or la France ne dispose que de 5000 lits, et la plupart sont déjà occupés. Impossible d’absorber 5000 cas de plus en deux semaines. C’est déjà largement au-dessus des capacités des hôpitaux français, déjà débordés dans les régions les plus touchées. La mortalité imputable au coronavirus pourrait alors s’envoler." (Le Figaro)
Si l’on transpose cette dynamique sur les cas nécessitant un lit dans un service de réanimation, nous allons passer de 300 cas actuellement à 5000 dans deux semaines. Les personnes âgées, rappelons-le, ne sont pas les seules touchées: la moitié de ces cas graves ont moins de 60 ans. Si les patients s’en sortent le plus souvent pour le moment, c’est parce qu’ils bénéficient de traitement de réanimation (ventilation). Or la France ne dispose que de 5000 lits, et la plupart sont déjà occupés. Impossible d’absorber 5000 cas de plus en deux semaines. C’est déjà largement au-dessus des capacités des hôpitaux français, déjà débordés dans les régions les plus touchées. La mortalité imputable au coronavirus pourrait alors s’envoler." (Le Figaro)