3. MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE / Le Chapelet récité / Le CIEL OUVERT par les 3 AVE MARIA & NEUVAINE EFFICACE NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE (Saint Alphonse de Liguori) montfortajpm.blogspot.fr/…Plus
3. MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
/ Le Chapelet récité / Le CIEL OUVERT par les 3 AVE MARIA & NEUVAINE EFFICACE
NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)
montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse qui vous demande secours et protection. Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent comme le refuge des pécheurs ; soyez donc mon refuge, sauvez-moi. Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ; vous savez à quelles souffrances Jésus-Christ a daigné se soumettre pour nous sauver. Je vous présente, ô ma Mère, ces douleurs de Jésus-Christ : le froid qu’il souffrit dans sa crèche, les incommodités de sa fuite en Égypte, ses fatigues, ses sueurs, son Sang répandu, le supplice qui, sous vos yeux, lui donna la mort sur la Croix. Montrez que vous aimez votre Fils, maintenant que je vous supplie par son amour de me secourir. Tendez la main à une …Plus
/ Le Chapelet récité / Le CIEL OUVERT par les 3 AVE MARIA & NEUVAINE EFFICACE
NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)
montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse qui vous demande secours et protection. Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent comme le refuge des pécheurs ; soyez donc mon refuge, sauvez-moi. Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ; vous savez à quelles souffrances Jésus-Christ a daigné se soumettre pour nous sauver. Je vous présente, ô ma Mère, ces douleurs de Jésus-Christ : le froid qu’il souffrit dans sa crèche, les incommodités de sa fuite en Égypte, ses fatigues, ses sueurs, son Sang répandu, le supplice qui, sous vos yeux, lui donna la mort sur la Croix. Montrez que vous aimez votre Fils, maintenant que je vous supplie par son amour de me secourir. Tendez la main à une …Plus
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NEUVAINE de l'ASSOMPTION
(Saint Alphonse de Liguori)
-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse
qui vous demande secours et protection.
Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent
comme le refuge des pécheurs ;
soyez donc mon refuge, sauvez-moi.
Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ;
vous …Plus
NEUVAINE de l'ASSOMPTION
(Saint Alphonse de Liguori)
-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse
qui vous demande secours et protection.
Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent
comme le refuge des pécheurs ;
soyez donc mon refuge, sauvez-moi.
Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ;
vous savez à quelles souffrances
Jésus-Christ a daigné se soumettre pour nous sauver.
Je vous présente, ô ma Mère, ces douleurs de Jésus-Christ :
le froid qu’il souffrit dans sa crèche,
les incommodités de sa fuite en Égypte,
ses fatigues, ses sueurs, son Sang répandu,
le supplice qui, sous vos yeux, lui donna la mort sur la Croix.
Montrez que vous aimez votre Fils,
maintenant que je vous supplie par son amour de me secourir.
Tendez la main à une pécheresse abattue qui implore votre pitié.
Si j’étais une sainte, je ne demanderais pas miséricorde ;
mais parce que je ne suis qu’une pécheresse,
j’ai recours à vous qui êtes la Mère de Miséricorde.
Je sais que votre Cœur compatissant
trouve de la douceur à secourir les misérables ;
procurez-vous donc en ce moment cette douceur,
en me donnant les secours et les consolations dont j’ai besoin.
Je me place sous votre main ;
dites-moi ce que je dois faire,
et obtenez-moi la force de l’exécuter ;
car je me propose de faire tout ce que je pourrai
pour recouvrer la grâce divine.
Je me réfugie sous votre manteau.
Jésus veut que j’aie recours à vous ;
il veut, pour votre gloire et pour la sienne,
que non seulement son Sang
mais encore vos prières m’aident à me sauver.
Il m’adresse à vous pour que vous me secouriez.
Ô Marie ! je vous implore, je place en vous ma confiance.
Vous priez pour tant d’autres, dites aussi une parole en ma faveur.
Dites à Dieu que vous désirez mon salut,
et Dieu me sauvera certainement ;
dites-lui que je suis à vous, Vierge Sainte,
je ne vous en demande pas davantage.
Trois Ave Maria.
montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
(Saint Alphonse de Liguori)
-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse
qui vous demande secours et protection.
Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent
comme le refuge des pécheurs ;
soyez donc mon refuge, sauvez-moi.
Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ;
vous savez à quelles souffrances
Jésus-Christ a daigné se soumettre pour nous sauver.
Je vous présente, ô ma Mère, ces douleurs de Jésus-Christ :
le froid qu’il souffrit dans sa crèche,
les incommodités de sa fuite en Égypte,
ses fatigues, ses sueurs, son Sang répandu,
le supplice qui, sous vos yeux, lui donna la mort sur la Croix.
Montrez que vous aimez votre Fils,
maintenant que je vous supplie par son amour de me secourir.
Tendez la main à une pécheresse abattue qui implore votre pitié.
Si j’étais une sainte, je ne demanderais pas miséricorde ;
mais parce que je ne suis qu’une pécheresse,
j’ai recours à vous qui êtes la Mère de Miséricorde.
Je sais que votre Cœur compatissant
trouve de la douceur à secourir les misérables ;
procurez-vous donc en ce moment cette douceur,
en me donnant les secours et les consolations dont j’ai besoin.
Je me place sous votre main ;
dites-moi ce que je dois faire,
et obtenez-moi la force de l’exécuter ;
car je me propose de faire tout ce que je pourrai
pour recouvrer la grâce divine.
Je me réfugie sous votre manteau.
Jésus veut que j’aie recours à vous ;
il veut, pour votre gloire et pour la sienne,
que non seulement son Sang
mais encore vos prières m’aident à me sauver.
Il m’adresse à vous pour que vous me secouriez.
Ô Marie ! je vous implore, je place en vous ma confiance.
Vous priez pour tant d’autres, dites aussi une parole en ma faveur.
Dites à Dieu que vous désirez mon salut,
et Dieu me sauvera certainement ;
dites-lui que je suis à vous, Vierge Sainte,
je ne vous en demande pas davantage.
Trois Ave Maria.
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+ Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir +
NEUVAINE pour l'ANNONCIATION (3ème jour) :
1) NEUVAINE EFFICACE à NOTRE-DAME des TROIS AVE MARIA : montfortajpm.blogspot.fr/p/blog-page.html
- I - Ô Marie, VIERGE PUISSANTE, Vous à qui rien n’est impossible...,
par cette puissance même dont vous a gratifiée le Père tout puissant,
je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve.
Puis …Plus
+ Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir +
NEUVAINE pour l'ANNONCIATION (3ème jour) :
1) NEUVAINE EFFICACE à NOTRE-DAME des TROIS AVE MARIA : montfortajpm.blogspot.fr/p/blog-page.html
- I - Ô Marie, VIERGE PUISSANTE, Vous à qui rien n’est impossible...,
par cette puissance même dont vous a gratifiée le Père tout puissant,
je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve.
Puis donc que vous pouvez me secourir, ne m’abandonnez pas,
ô vous qui êtes l’avocate des causes les plus désespérées !
Il me semble que la gloire de Dieu, votre honneur et le bien de mon âme,
sont attachés à la concession de cette faveur.
Si donc, comme je le pense, elle est conforme
à la très aimable et très sainte volonté de Dieu,
je vous en prie, ô Toute-Puissance suppliante,
intercédez pour moi auprès de votre Fils, qui ne peut rien vous refuser.
Je vous le demande de nouveau,
au nom de la Puissance sans borne que le Père céleste vous a communiquée,
et en l’honneur de laquelle je vous dis, en union avec sainte Mechtilde,
à qui vous avez révélé la salutaire pratique des Trois Ave Maria :
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
- II - Divine Vierge, qui êtes appelée le TRÔNE DE LA SAGESSE,
parce que la Sagesse incréée, le Verbe de Dieu, a résidé en vous...,
Vous a qui cet adorable Fils a communiqué toute l’étendue de sa science divine,
dans la mesure où la créature la plus parfaite pouvait la recevoir...,
Vous connaissez la grandeur de ma misère et quel besoin j’ai de votre assistance.
Confiant dans votre divine Sagesse, je m’abandonne entre vos mains,
afin que vous disposiez tout avec force et douceur,
pour la plus grande gloire de Dieu et le plus grand bien de mon âme.
Daignez donc me venir en aide,
par les moyens que vous savez être les plus propres à atteindre cette fin.
Ô Marie ! Mère de la divine Sagesse, daignez, je vous en supplie,
m’obtenir la grâce précieuse que je sollicite ;
je vous la demande au nom même de cette Sagesse incomparable
dont le Verbe, votre Fils, vous a illuminée,
et en l’honneur de laquelle je vous dis,
en union avec saint Léonard de Port-Maurice,
le plus zélé prédicateur de vos Trois Ave Maria :
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
- III - Ô bonne et tendre Mère, vraie MÈRE DE MISÉRICORDE,
qui, dans ces derniers temps, vous êtes appelée vous-même
« Mère toute Miséricordieuse »,
je viens vous supplier d’user envers moi de votre bonté compatissante.
Plus ma misère est grande, plus elle doit exciter votre compassion.
Je le sais, je ne mérite aucunement la grâce précieuse que je désire,
moi qui vous ai si souvent contristée en offensant votre divin Fils.
Mais, si j’ai été coupable, très coupable,
je me repens sincèrement d’avoir blessé le Cœur si tendre de Jésus et le vôtre.
D’ailleurs, n’êtes-vous pas,
comme vous l’avez révélé à l’une de vos servantes, sainte Brigitte,
« la Mère des pécheurs repentants » !
Pardonnez-moi donc mes ingratitudes passées, et,
considérant uniquement votre Bonté miséricordieuse,
ainsi que la gloire qui en reviendra à Dieu et à vous, obtenez-moi,
de la miséricorde divine, la grâce que j’implore par votre intercession.
Ô vous qu’on n’a jamais invoquée en vain,
« ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie ! »
daignez, daignez me secourir,
je vous en conjure par cette miséricordieuse bonté
dont le Saint-Esprit vous a remplie pour nous,
et en l’honneur de laquelle je vous dis, avec saint Alphonse de Liguori,
l’apôtre de votre miséricorde et le docteur des Trois Ave Maria :
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
Prière approuvée par St Pie X et Benoît XV.
Il est conseillé, lorsqu’il s’agira de grâces importantes, de faire trois neuvaines consécutives.
Pour obtenir plus sûrement la grâce demandée,
il sera bon de promettre d’être à tout jamais fidèle aux Trois Ave Maria, le matin et le soir.
PRATIQUE :
Réciter, matin et soir, les TROIS AVE MARIA en l’honneur de ces trois grands privilèges,
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit. »
(bénédiction apostolique par St Pie X)
2)ou bien La NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE (Saint Alphonse de Liguori), image ci-dessus ou ici : montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
(Tirée du "Nouveau formulaire de prières pour les enfants de Marie", 1914, qui sont toutes formulées au féminin)
NEUVAINE pour l'ANNONCIATION (3ème jour) :
1) NEUVAINE EFFICACE à NOTRE-DAME des TROIS AVE MARIA : montfortajpm.blogspot.fr/p/blog-page.html
- I - Ô Marie, VIERGE PUISSANTE, Vous à qui rien n’est impossible...,
par cette puissance même dont vous a gratifiée le Père tout puissant,
je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve.
Puis donc que vous pouvez me secourir, ne m’abandonnez pas,
ô vous qui êtes l’avocate des causes les plus désespérées !
Il me semble que la gloire de Dieu, votre honneur et le bien de mon âme,
sont attachés à la concession de cette faveur.
Si donc, comme je le pense, elle est conforme
à la très aimable et très sainte volonté de Dieu,
je vous en prie, ô Toute-Puissance suppliante,
intercédez pour moi auprès de votre Fils, qui ne peut rien vous refuser.
Je vous le demande de nouveau,
au nom de la Puissance sans borne que le Père céleste vous a communiquée,
et en l’honneur de laquelle je vous dis, en union avec sainte Mechtilde,
à qui vous avez révélé la salutaire pratique des Trois Ave Maria :
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
- II - Divine Vierge, qui êtes appelée le TRÔNE DE LA SAGESSE,
parce que la Sagesse incréée, le Verbe de Dieu, a résidé en vous...,
Vous a qui cet adorable Fils a communiqué toute l’étendue de sa science divine,
dans la mesure où la créature la plus parfaite pouvait la recevoir...,
Vous connaissez la grandeur de ma misère et quel besoin j’ai de votre assistance.
Confiant dans votre divine Sagesse, je m’abandonne entre vos mains,
afin que vous disposiez tout avec force et douceur,
pour la plus grande gloire de Dieu et le plus grand bien de mon âme.
Daignez donc me venir en aide,
par les moyens que vous savez être les plus propres à atteindre cette fin.
Ô Marie ! Mère de la divine Sagesse, daignez, je vous en supplie,
m’obtenir la grâce précieuse que je sollicite ;
je vous la demande au nom même de cette Sagesse incomparable
dont le Verbe, votre Fils, vous a illuminée,
et en l’honneur de laquelle je vous dis,
en union avec saint Léonard de Port-Maurice,
le plus zélé prédicateur de vos Trois Ave Maria :
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
- III - Ô bonne et tendre Mère, vraie MÈRE DE MISÉRICORDE,
qui, dans ces derniers temps, vous êtes appelée vous-même
« Mère toute Miséricordieuse »,
je viens vous supplier d’user envers moi de votre bonté compatissante.
Plus ma misère est grande, plus elle doit exciter votre compassion.
Je le sais, je ne mérite aucunement la grâce précieuse que je désire,
moi qui vous ai si souvent contristée en offensant votre divin Fils.
Mais, si j’ai été coupable, très coupable,
je me repens sincèrement d’avoir blessé le Cœur si tendre de Jésus et le vôtre.
D’ailleurs, n’êtes-vous pas,
comme vous l’avez révélé à l’une de vos servantes, sainte Brigitte,
« la Mère des pécheurs repentants » !
Pardonnez-moi donc mes ingratitudes passées, et,
considérant uniquement votre Bonté miséricordieuse,
ainsi que la gloire qui en reviendra à Dieu et à vous, obtenez-moi,
de la miséricorde divine, la grâce que j’implore par votre intercession.
Ô vous qu’on n’a jamais invoquée en vain,
« ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie ! »
daignez, daignez me secourir,
je vous en conjure par cette miséricordieuse bonté
dont le Saint-Esprit vous a remplie pour nous,
et en l’honneur de laquelle je vous dis, avec saint Alphonse de Liguori,
l’apôtre de votre miséricorde et le docteur des Trois Ave Maria :
Je vous salue, Marie,
Pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen.
Prière approuvée par St Pie X et Benoît XV.
Il est conseillé, lorsqu’il s’agira de grâces importantes, de faire trois neuvaines consécutives.
Pour obtenir plus sûrement la grâce demandée,
il sera bon de promettre d’être à tout jamais fidèle aux Trois Ave Maria, le matin et le soir.
PRATIQUE :
Réciter, matin et soir, les TROIS AVE MARIA en l’honneur de ces trois grands privilèges,
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit. »
(bénédiction apostolique par St Pie X)
2)ou bien La NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE (Saint Alphonse de Liguori), image ci-dessus ou ici : montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
(Tirée du "Nouveau formulaire de prières pour les enfants de Marie", 1914, qui sont toutes formulées au féminin)
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-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse
qui vous demande secours et protection.
Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent …Plus
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NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)
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-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse
qui vous demande secours et protection.
Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent
comme le refuge des pécheurs ;
soyez donc mon refuge, sauvez-moi.
Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ;
vous savez à quelles souffrances
Jésus-Christ a daigné se soumettre pour nous sauver.
Je vous présente, ô ma Mère, ces douleurs de Jésus-Christ :
le froid qu’il souffrit dans sa crèche,
les incommodités de sa fuite en Égypte,
ses fatigues, ses sueurs, son Sang répandu,
le supplice qui, sous vos yeux, lui donna la mort sur la Croix.
Montrez que vous aimez votre Fils,
maintenant que je vous supplie par son amour de me secourir.
Tendez la main à une pécheresse abattue qui implore votre pitié.
Si j’étais une sainte, je ne demanderais pas miséricorde ;
mais parce que je ne suis qu’une pécheresse,
j’ai recours à vous qui êtes la Mère de Miséricorde.
Je sais que votre Cœur compatissant
trouve de la douceur à secourir les misérables ;
procurez-vous donc en ce moment cette douceur,
en me donnant les secours et les consolations dont j’ai besoin.
Je me place sous votre main ;
dites-moi ce que je dois faire,
et obtenez-moi la force de l’exécuter ;
car je me propose de faire tout ce que je pourrai
pour recouvrer la grâce divine.
Je me réfugie sous votre manteau.
Jésus veut que j’aie recours à vous ;
il veut, pour votre gloire et pour la sienne,
que non seulement son Sang
mais encore vos prières m’aident à me sauver.
Il m’adresse à vous pour que vous me secouriez.
Ô Marie ! je vous implore, je place en vous ma confiance.
Vous priez pour tant d’autres, dites aussi une parole en ma faveur.
Dites à Dieu que vous désirez mon salut,
et Dieu me sauvera certainement ;
dites-lui que je suis à vous, Vierge Sainte,
je ne vous en demande pas davantage.
Trois Ave Maria.
NEUVAINE à la TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
(Saint Alphonse de Liguori)
montfortajpm.blogspot.fr/…/neuvaine-la-tre…
-3- À MARIE, NOTRE LIBÉRATRICE
Voici, auguste Mère de mon Dieu,
voici à vos pieds une malheureuse pécheresse
qui vous demande secours et protection.
Toute l’Église, tous les fidèles vous célèbrent et vous honorent
comme le refuge des pécheurs ;
soyez donc mon refuge, sauvez-moi.
Vous savez combien votre Fils a notre salut à Cœur ;
vous savez à quelles souffrances
Jésus-Christ a daigné se soumettre pour nous sauver.
Je vous présente, ô ma Mère, ces douleurs de Jésus-Christ :
le froid qu’il souffrit dans sa crèche,
les incommodités de sa fuite en Égypte,
ses fatigues, ses sueurs, son Sang répandu,
le supplice qui, sous vos yeux, lui donna la mort sur la Croix.
Montrez que vous aimez votre Fils,
maintenant que je vous supplie par son amour de me secourir.
Tendez la main à une pécheresse abattue qui implore votre pitié.
Si j’étais une sainte, je ne demanderais pas miséricorde ;
mais parce que je ne suis qu’une pécheresse,
j’ai recours à vous qui êtes la Mère de Miséricorde.
Je sais que votre Cœur compatissant
trouve de la douceur à secourir les misérables ;
procurez-vous donc en ce moment cette douceur,
en me donnant les secours et les consolations dont j’ai besoin.
Je me place sous votre main ;
dites-moi ce que je dois faire,
et obtenez-moi la force de l’exécuter ;
car je me propose de faire tout ce que je pourrai
pour recouvrer la grâce divine.
Je me réfugie sous votre manteau.
Jésus veut que j’aie recours à vous ;
il veut, pour votre gloire et pour la sienne,
que non seulement son Sang
mais encore vos prières m’aident à me sauver.
Il m’adresse à vous pour que vous me secouriez.
Ô Marie ! je vous implore, je place en vous ma confiance.
Vous priez pour tant d’autres, dites aussi une parole en ma faveur.
Dites à Dieu que vous désirez mon salut,
et Dieu me sauvera certainement ;
dites-lui que je suis à vous, Vierge Sainte,
je ne vous en demande pas davantage.
Trois Ave Maria.