Plutôt que de perdre son temps dans les dérives faillibles de l'illustration ou la violence de la caricature , comme ici la mise en scène macabre de l'Esprit-Saint , il suffit de se replonger dans les récentes archives où l'on voit François au balcon du Vatican, procéder à un lâcher colombe ... L'image résume parfaitement la situation ! La blanche colombe n'ayant pas fait dix mètres, qu'elle se fait subitement attaquer par deux corbeaux, sous les yeux horrifiés du public.
Si dans l'Histoire, Dieu nous a envoyé des signes vitaux pour guider ou sauver nos pauvres âmes ingrates et pécheresses, celui-ci mérite plus que jamais la plus humble de nos attentions...

À la vue de la violente querelle provoquée par cette caricature infâme de Gloria.tv, on se dit que l'on se rapproche maintenant beaucoup de la vision prophétique de sainte Jacinthe Marto à l'Arneiro (Portugal) : "Je ne sais pas comment cela s'est passé, mais j'ai vu le Saint-Père dans une très grande maison, à genoux près d'une table, la tête dans les mains, et il pleurait. En dehors de la maison, il y avait beaucoup de monde. Certains d'entre eux jetaient des pierres, d'autres le maudissaient et utilisaient un langage grossier. Pauvre Saint Père, nous devons beaucoup prier pour lui !"; cette querelle semble également orienter l'identité des mystérieux lapidateurs vers des catholiques trahis et horrifiés devant les agissements du "Saint-Père" plutôt que vers des athées, des anticléricaux, des franc-maçons, des mahométans ou des russes. C'est Notre-Seigneur Lui-même à travers soeur Lucie dos Santos qui a comparé le sort qui attend les 3 ou 4 papes rebelles à Fatima à celui des 3 derniers rois de France rebelles au Sacré-Coeur; et je me sens donc poussé à dire ceci : ce n'est pas parce que Louis XVI est le premier et le principal responsable du drame apocalyptique de 1789, refusant d'user des Armes invincibles que le Ciel mettait entre ses mains, confiant qu'il était dans sa "bonté", son autorité et toutes sortes de fadaises, qu'il faut hurler avec les loups et se réjouir de ce qui lui est arrivé en janvier 1793 ! C'est, me semble-t-il, une punition très habituelle de Dieu que d'abandonner le pécheur, le rebelle ou le prévaricateur aux mains des barbares les plus cruels, mais un Catholique n'a pas certainement pas à mettre la main à ces horreurs, même méritées et encore moins à jeter la première pierre... Il doit se manifester et manifester, essayer de réveiller l'égaré, (très) énergiquement au besoin, et surtout prier et faire pénitence. Bien sûr, en écrivant cela, je me prêche aussi moi-même...