Sermon du saint curé d'Ars sur l'enfer des chrétiens
L'Enfer n'est pas vide et mieux vaut préparer son salut dès cette terre que de souffrir les pires tourments dans le brasier du Diable. Pour cela, les prêtres doivent avoir le courage de dire à leurs …More
L'Enfer n'est pas vide et mieux vaut préparer son salut dès cette terre que de souffrir les pires tourments dans le brasier du Diable. Pour cela, les prêtres doivent avoir le courage de dire à leurs fidèles la vérité sur l'Enfer et la damnation.
SERMON DU SAINT CURÉ D'ARS SUR L'ENFER DES CHRÉTIENS - TROISIÈME DIMANCHE APRÈS L'ÉPIPHANIE (DEUXIÈME SERMON) :
Ibi erit fletus et stridor dentium.
Il y aura des pleurs ; et des grincements de dents. (Mt 8, 12)
Nous lisons dans l'Évangile que, lorsque le Sauveur fut entré à Capharnaüm, un centenier vint le trouver, lui disant : « Seigneur, mon serviteur est malade dans ma maison, d'une paralysie dont il souffre beaucoup. » — « Eh bien ! lui dit ce bon Sauveur, j'irai et je le guérirai. » — « Ah ! mon Seigneur, lui dit le centenier, je ne suis pas digne que vous entriez dans ma maison ; mais dites seulement une parole, et mon serviteur sera guéri. Puisque moi qui suis un homme sujet à des commandements, cependant j'ai des soldats sous moi, je dis …More
SERMON DU SAINT CURÉ D'ARS SUR L'ENFER DES CHRÉTIENS - TROISIÈME DIMANCHE APRÈS L'ÉPIPHANIE (DEUXIÈME SERMON) :
Ibi erit fletus et stridor dentium.
Il y aura des pleurs ; et des grincements de dents. (Mt 8, 12)
Nous lisons dans l'Évangile que, lorsque le Sauveur fut entré à Capharnaüm, un centenier vint le trouver, lui disant : « Seigneur, mon serviteur est malade dans ma maison, d'une paralysie dont il souffre beaucoup. » — « Eh bien ! lui dit ce bon Sauveur, j'irai et je le guérirai. » — « Ah ! mon Seigneur, lui dit le centenier, je ne suis pas digne que vous entriez dans ma maison ; mais dites seulement une parole, et mon serviteur sera guéri. Puisque moi qui suis un homme sujet à des commandements, cependant j'ai des soldats sous moi, je dis …More
D'ailleurs, monsieur @Arnaud Dumouch , est-ce que ceci est pensable une seule seconde ? :
être sur la terre constamment tourné vers le Corps de notre Seigneur, présent avec son âme et sa Divinité dans tous les tabernacles de la terre, CE CORPS QUI NOUS EST CACHE COMME DERRIERE UN VOILE, PUISQUE JESUS APRES S'ÊTRE INCARNE, S'EST FAIT PAIN, SE CACHANT AINSI A NOS YEUX DE CHAIR,
ET PUIS, NE PAS LE …More
D'ailleurs, monsieur @Arnaud Dumouch , est-ce que ceci est pensable une seule seconde ? :
être sur la terre constamment tourné vers le Corps de notre Seigneur, présent avec son âme et sa Divinité dans tous les tabernacles de la terre, CE CORPS QUI NOUS EST CACHE COMME DERRIERE UN VOILE, PUISQUE JESUS APRES S'ÊTRE INCARNE, S'EST FAIT PAIN, SE CACHANT AINSI A NOS YEUX DE CHAIR,
ET PUIS, NE PAS LE VOIR DANS L'ETERNITE, POUR CAUSE QUE CELA SERAIT UNE SORTE DE GÊNE POUR NOTRE VISION DE DIEU ???
Il ne faut pas confondre :
Autant, pour les apôtres, voir le Verbe Incarné tel que fut Jésus durant les 33 ans de sa vie ici-bas, ne constitua pas pour eux "la vision béatifique du ciel" , alors même qu'ils voyaient Dieu, en la personne de Jésus ( mais voilée sous les traits d'un homme volontairement semblable à nous )
AUTANT AU CIEL, VOIR NOTRE SEIGNEUR , LE VERBE INCARNE, DANS TOUTE SA GLOIRE INDESCRIPTIBLE DE ROI DES ROIS ET SEIGNEUR DES SEIGNEURS CONSTITUERA POUR NOUS LA VISION ULTIME ET BEATIFIQUE DE DIEU,
AU MÊME TITRE QUE LA CONTEMPLATION DES TROIS PERSONNES DIVINES DANS LEUR ESSENCE INCREE, CONSUBSTANCIELLE, INDIVISIBLE ET VIVIFIANTE.
Je ne sais pas si je m'exprime en théologien, mais l'idée est là.
être sur la terre constamment tourné vers le Corps de notre Seigneur, présent avec son âme et sa Divinité dans tous les tabernacles de la terre, CE CORPS QUI NOUS EST CACHE COMME DERRIERE UN VOILE, PUISQUE JESUS APRES S'ÊTRE INCARNE, S'EST FAIT PAIN, SE CACHANT AINSI A NOS YEUX DE CHAIR,
ET PUIS, NE PAS LE VOIR DANS L'ETERNITE, POUR CAUSE QUE CELA SERAIT UNE SORTE DE GÊNE POUR NOTRE VISION DE DIEU ???
Il ne faut pas confondre :
Autant, pour les apôtres, voir le Verbe Incarné tel que fut Jésus durant les 33 ans de sa vie ici-bas, ne constitua pas pour eux "la vision béatifique du ciel" , alors même qu'ils voyaient Dieu, en la personne de Jésus ( mais voilée sous les traits d'un homme volontairement semblable à nous )
AUTANT AU CIEL, VOIR NOTRE SEIGNEUR , LE VERBE INCARNE, DANS TOUTE SA GLOIRE INDESCRIPTIBLE DE ROI DES ROIS ET SEIGNEUR DES SEIGNEURS CONSTITUERA POUR NOUS LA VISION ULTIME ET BEATIFIQUE DE DIEU,
AU MÊME TITRE QUE LA CONTEMPLATION DES TROIS PERSONNES DIVINES DANS LEUR ESSENCE INCREE, CONSUBSTANCIELLE, INDIVISIBLE ET VIVIFIANTE.
Je ne sais pas si je m'exprime en théologien, mais l'idée est là.