Don Reto Nay
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Deux mille religieux de moins par an, s’inquiète le Vatican

Depuis Sao Paulo, le préfet de la Congrégation pour les religieux, le cardinal Braz de Aviz, a indiqué que le nombre de personnes consacrées dans le monde diminuait d’environ 2 000 personnes par an. …More
Depuis Sao Paulo, le préfet de la Congrégation pour les religieux, le cardinal Braz de Aviz, a indiqué que le nombre de personnes consacrées dans le monde diminuait d’environ 2 000 personnes par an.
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dvdenise
Le 7 décembre 1935, Notre Seigneur dit à Sœur Consolata Betrone:
Une mère, toute laide que soit sa progéniture, ne la considère point comme telle ; elle la garde toujours belle dans son cœur.
Ainsi se comporte mon cœur vis-à-vis des âmes : mêmes celles qui sont laides, ténébreuses et hideuses, mon Cœur les regarde toujours comme belles.
Je souffre lorsqu’on me confirme leur laideur ; More
Le 7 décembre 1935, Notre Seigneur dit à Sœur Consolata Betrone:
Une mère, toute laide que soit sa progéniture, ne la considère point comme telle ; elle la garde toujours belle dans son cœur.

Ainsi se comporte mon cœur vis-à-vis des âmes : mêmes celles qui sont laides, ténébreuses et hideuses, mon Cœur les regarde toujours comme belles.

Je souffre lorsqu’on me confirme leur laideur ; inversement, j’éprouve du contentement lorsqu’on entre dans mes sentiments maternels en affirmant que ces âmes gardent leur beauté… Ces âmes m’appartiennent, je leur ai fait don de tout mon sang !

Aussi suis-je blessé par tout jugement sévère, blâme, condamnation reposant même sur la vérité ; comme, inversement, me soulage tout sentiment de compassion, d’indulgence et de miséricorde !

Abstiens-toi de juger qui que ce soit, et de proférer, et de proférer des paroles dures ; console mon Cœur et arrache-le à sa tristesse en me faisant voir par ton ingénieuse charité le seul beau côté d’une âme coupable : je te croirai, j’écouterai ta prière en sa faveur et t’exaucerai. Faire justice me peine. Mon Cœur a besoin de croire que mes créatures ne sont pas ingrates. Si tu cherches à me faire voir la gratitude, la bonté et la fidélité d’une âme, je le croirai. Que veux-tu, mon Cœur recherche le réconfort, il veut la miséricorde et non la justice !

Le 15 décembre 1935, notre Seigneur lui dit : Il arrivera souvent, Consolata, que des âmes très religieuses, surtout de celles qui me sont consacrées, me blessent dans l’intime de moi-même par cette phrase défiante : « Qui sait si je me sauverai ? »

Ouvre l’évangile et tu verras ce que j’ai promis à mes brebis : « Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. »

As-tu compris Consolata ? Personne ne peut me ravir une âme.

Lis plus loin : « Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père.

As-tu compris Consolata ? Personne ne me ravira une âme… elles ne périront jamais, car je leur donne la vie éternelle.

À qui s’adressent ces paroles ? A toutes les âmes.

Pourquoi, dès lors me causer cet affront : « Qui sait si je serai sauvé ? » quand, dans l’Evangile, je donne la pleine assurance qu’aucune âme ne me sera ravie, que je leur donnerai la vie éternelle et qu’ainsi personne ne sera perdu ?

Crois-moi Consolata, va en enfer qui veut bien y aller ; car, bien que personne ne puisse m’arracher une âme, néanmoins, l’âme dotée du libre arbitre peut s’enfuir, me trahir et me renier et par conséquent se livrer au démon.

Si seulement, au lieu de me blesser par défiance, vous pensiez un peu au paradis promis ! C’est au paradis et non à l’enfer que je vous ai vouées en vous créant, à la jouissance d’un éternel amour et non à la compagnie infernale des démons.

Oui, va en enfer qui veut bien y aller. Futile est votre crainte de vous damner : n’ai-je pas versé mon sang pour vous sauver ?

Je veillerais sur vous durant toute votre existence terrestre en vous donnant grâce sur grâce ; et, au dernier instant de votre vie, alors que je n’aurais plus qu’à recueillir les fruits de ma Rédemption, que l’âme serait à la veille de jouir de sa béatitude, je permettrais au démon, mon pire ennemi, de me ravir cette âme ? Que deviendraient alors les promesses de vie éternelle exprimées dans mon évangile ? Comment peut-on croire, Consolata, de pareilles monstruosités ?

L’impénitence finale ne se rencontre que chez les personnes qui veulent aller en enfer, de propos délibéré, et par conséquent refusent ma miséricorde ; car, pour ce qui est de moi, jamais je ne refuse mon pardon : ma miséricorde illimitée embrasse l’univers entier, car pour tous, j’ai versé mon sang.

La multitude des péchés ne damnera pas une âme – puisque mon pardon prévient son repentir, mais bien l’obstination à refuser mon pardon et à vouloir se damner.