Francesco I
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Le pape François défend la doctrine hérétique de Luther sur la justification : « Sur ce point si …

Rarement le pape François n’a été aussi loin dans des propos contraires à la vraie doctrine catholique et insultants pour le passé de l’Église. Si sa déclaration en faveur des homosexuels auxquels …More
Rarement le pape François n’a été aussi loin dans des propos contraires à la vraie doctrine catholique et insultants pour le passé de l’Église. Si sa déclaration en faveur des homosexuels auxquels « l’Église doit demander pardon de ne pas s’être bien comportée tant de fois » a-t-il osé affirmé, font le buzz sur internet et sont repris en boucle par toutes les officines homosexualistes et les médias au collier soumis aux lobbies Lgbtqi, qui trouvent en François un allié de poids, d’autres propos de Jorge Maria Bergoglio ont tout autant une odeur de souffre.
Il y a une doctrine catholique sur la justification, le péché, la justice et la miséricorde divines. En quelques mots, durant la conférence de presse sur le vol qui le ramenait d’Arménie, lundi 27 juin 2016, le pape François l’a bafouée publiquement, du haut de son autorité apostolique ! Serait-il doctrinalement protestant, on peut se le demander à la lecture de ses mots si louangeurs pour la thèse hérétique de Luther concernant la …More
Psaume 62
Car une autre possibilité, pourtant centrale de la sainteté de l'acte conjugal, semble vous avoir échappé : assouvir non pas son propre plaisir ou sa passion mais signifier et exprimer en l'espèce DE CONCERT ( et non pas en certaines occasions pour se "rendre" quelque "devoir" conjugal lorsque les volontés ne sont pas accordées et que la concupiscence de l'un ou l'autre prend hélas le dessus )…More
Car une autre possibilité, pourtant centrale de la sainteté de l'acte conjugal, semble vous avoir échappé : assouvir non pas son propre plaisir ou sa passion mais signifier et exprimer en l'espèce DE CONCERT ( et non pas en certaines occasions pour se "rendre" quelque "devoir" conjugal lorsque les volontés ne sont pas accordées et que la concupiscence de l'un ou l'autre prend hélas le dessus ) dans l'intimité de la chair la charité unissant les âmes, charité qui pousse, avec l'aide de la Grâce, non pas à chercher son propre plaisir mais à exprimer son amour en cherchant d'abord la joie et ensuite le plaisir de son conjoint. Le plaisir vénérien n'étant dans ce cas que SECONDAIRE dans l'acte conjugal par rapport à la joie de se donner mutuellement corps et âme, et le plaisir vénérien personnel ne venant qu'EN DERNIER, à supposer qu'il vienne, et sans être recherché pour lui-même.

Subséquemment, l'acte conjugal pendant la grossesse ainsi qu'après la ménopause de l'épouse, à certaines conditions, n'est pas forcément intrinsèquement désordonné, ne constitue pas forcément un péché véniel.

La vision que je défends ici est en accord avec le sens obvie desdites paroles de Pie XII [ " Les époux ne font rien de mal en recherchant ce plaisir et en en jouissant. Ils acceptent ce que le Créateur leur a destiné." ], ainsi qu'avec les développements récents du Magistère, lesquels ne s'accordent guère avec votre vision rigoriste et pessimiste de la sexualité humaine qui est une interprétation figée et tendancieuse du dogme de l'Eglise sur cette question. Entre votre rigorisme et le laxisme, se trouve la doctrine clarifiée actuelle de l'Eglise. Je ne suis pas un moderniste. D'après le Magistère, vos positions sont intégristes, càd qu'elles figent temporellement la compréhension du dogme, de la Tradition et de l'Ecriture. Rien d'étonnant à cela cher Monsieur puisque vous défendez "ex cathedra" la thèse survivantiste d'après quoi les derniers Papes seraient des imposteurs antichristiques !

Dogmes de l'Eglise qui connaissent souvent des développements et des clarifications importantes au cours du temps. Ainsi en est-il de celui relatif à la nécessité d'appartenir à l'Eglise catholique pour être sauvé. La compréhension de la lettre de ce dogme, de son sens littéral, s'est ainsi approfondie et nuancée au cours du temps. Depuis la proposition dogmatique ex cathedra d'Eugène IV ( Bulle Cantate Domino, 1441 ), jusqu'à l'énoncé autoritaire du dernier Concile Vatican II, en passant par le Catéchisme de S. Pie X.

Eugène IV, Bulle Cantate Domino, 1441 : « La sainte Église romaine croit fermement, professe et prêche qu’aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l’Eglise catholique, non seulement païens, mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront « dans le feu éternel qui est préparé par le diable et ses anges » Mt 25,41, à moins qu’avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ; … et que personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s’il verse son sang pour le nom du Christ, s’il n’est pas demeuré dans le sein et dans l’unité de l’Eglise catholique ».

Catéchisme de Saint Pie X : Mais celui qui, sans qu’il y ait de sa faute, se trouverait hors de l’Eglise, pourrait-il être sauvé ?

" Celui qui, se trouvant hors de l’Eglise sans qu’il y ait de sa faute ou de bonne foi, aurait reçu le baptême ou en aurait le désir au moins implicite ; qui chercherait en outre sincèrement la vérité et accomplirait de son mieux la volonté de Dieu, bien que séparé du corps de l’Eglise, serait uni à son âme et par suite dans la voie du salut. "

IIe Concile du Vatican : " Puisque le Christ est mort pour tous, et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associé(s) au mystère pascal ".