Le droit de vote est ce « pourboire » civilisationnel qu’on donne au larbin afin qu’il dise merci tout en se faisant écraser. Ainsi, l’homme post moderne, désormais « esclave participatif et consentant » a certes la possibilité d’influer (un peu) sur son pouvoir d’achat, voir même sur le prix de l’essence, mais en revanche, et considérant la nécessaire prostitution morale des hommes et femmes politiques qui veulent accéder au pouvoir, n’a aucun moyen sérieux de s’opposer à son propre génocide culturel organisé depuis la fausse révolution française.