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Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme. VINCENT PEILLON est ministre de l'Education nationale ! 00:29 : "Il faut s'enfanter soi-même et donc faire le propre récit de sa naissance"; 02:19 : "On …More
Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme.
VINCENT PEILLON est ministre de l'Education nationale !
00:29 : "Il faut s'enfanter soi-même et donc faire le propre récit de sa naissance"; 02:19 : "On ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l'Eglise catholique. Donc il faut remplacer ça. [...] On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Comme on ne peut pas non plus acclimater le protestantisme en France comme on l'a fait dans d'autres démocraties, il faut inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine, qui doit accompagner la révolution matérielle, mais qui est la révolution spirituelle, c'est la laïcité. Et c'est pour ça d'ailleurs qu'au début du XXe siècle, on a pu parler de foi laïque, de religion laïque, et que la laïcité voulait …More
Jésus est Dieu
"Le Führer est inexorablement déterminé à anéantir les Eglises chrétiennes" (Josef Goebbels)
Extraits du dernier tome (paru) du journal du ministre de la Propagande du IIIe Reich :
plunkett.hautetfort.com/…/le-fuhrer-est-i…
Tallandier complète sa publication du Journal de Josef Goebbels (1923-1945), avec les années 1939-1942. Comme les deux autres tomes (1923-1938 et 1943-1945), celui-ci est …More
"Le Führer est inexorablement déterminé à anéantir les Eglises chrétiennes" (Josef Goebbels)
Extraits du dernier tome (paru) du journal du ministre de la Propagande du IIIe Reich :
plunkett.hautetfort.com/…/le-fuhrer-est-i…

Tallandier complète sa publication du Journal de Josef Goebbels (1923-1945), avec les années 1939-1942. Comme les deux autres tomes (1923-1938 et 1943-1945), celui-ci est un recueil de symptômes : étroitesse et mégalomanie, masochisme et fanatisme [1], émotivité et inhumanité, exaltation et nihilisme... Dans cette Weltanschauung pathologique n'existent ni vrai ni faux, ni bien ni mal ; seulement le culte de la « volonté », exacerbé jusqu'à la dénégation hystérique du réel.
Si nous en parlons aujourd'hui, c'est sous l'angle de la christianophobie nazie. Le IIIe Reich se sent en guerre profonde et permanente avec les confessions chrétiennes, particulièrement avec l'Eglise catholique, et le Journal en donne d'innombrables exemples :

« 27 décembre 1939 - Le pape a parlé à Noël. Discours plein d'attaques très sévères et dissimulées contre nous [2]. Toutes les forces de l'internationalisme sont contre nous. Nous devons les abattre. »
« 11 juillet 1941 - C'est une honte de devoir constater que le clergé catholique ouvre moralement la voie à l'ennemi, avec la lettre pastorale [3] qui a été lue dimanche dernier dans toutes les églises catholiques. Comme nous avons pu le constater jusqu'ici, le clergé tente une première percée avec cette lettre pastorale, avant d'attendre notre réaction et d'en tirer les conséquences pour l'avenir […] C'est dans un autre domaine que nous allons présenter la facture au clergé catholique. Nous interdisons ses revues, nous refusons les quantités de papier et les ouvriers nécessaires à la publication de ses livres, et nous le privons ainsi, peu à peu, de tout impact. »
« 23 juillet 1941 - Nous devons bien comprendre que l'Eglise catholique constitue une Internationale et qu'au moment critique, elle sera toujours contre nous. »
« 12 août 1941 – Je reçois chaque jour de nouveaux documents prouvant que la dernière lettre pastorale de l'Eglise catholique a eu des effets pratiquement dévastateurs aux Etats-Unis. Ces traîtres de l'Internationale noire mériteraient qu'on leur dépose la tête devant les pieds. »
« 23 octobre 1941 – Le SD me fait un rapport sur la situation où se trouve actuellement le pasteur Niemöller [interné à Dachau]... On affirme qu'il est en train de se convertir au catholicisme. Ce serait l'idéal ; car, dans ce cas, il ,ne serait plus un danger pour nous au sein du protestantisme, et nous avons de toute façon tellement d'opposants dans le clergé catholique qu'un de plus n'a aucune importance. »
« 14 décembre 1941 – Le clergé est antinational. Il espère la défaite allemande, afin de pouvoir éliminer le national-socialisme […] Le Führer fait les plus grands éloges de la religiosité japonaise, que l'on peut assimiler au véritable esprit nippon. Dommage que nous n'ayons rien de semblable. Par toute sa conception et sa structure intellectuelle, le christianisme sera toujours opposé à une vision nationale forte. C'est que son essence même est entièrement marquée par le judaïsme... En réalité, le christianisme est une doctrine de la déchéance. Pour un homme moderne, il ne mérite que le mépris intellectuel... L'évêque Galen [4], de Münster, en est un exemple typique. Le Führer est déterminé à faire table rase... lorsque la coupe sera pleine, l'éclair de la colère s'abattra subitement sur ces traîtres de princes de l'Eglise. […] L'Eglise protestante s'efforce, elle aussi, d'imiter la catholique. L'évêque [luthérien] Wurm, du Wurtemberg, a l'ambition de devenir un deuxième Galen. Nous nous en sortirons vraisemblablement beaucoup plus facilement avec les protestants qu'avec les catholiques […] Je n'arrive pas à comprendre comment une personne pensant de façon moderne peut, dans l'absolu, trouver dans le christianisme une doctrine adaptée à notre époque. »
« 18 décembre 1941 – Les généraux les plus pieux sont ceux qui réussissent le moins... Raeder est trop pieux : c'est pour cette raison que notre marine est si mauvaise. »
« 24 mai 1942 – Le Führer est inexorablement déterminé à anéantir les Eglises chrétiennes après la victoire. Au cours de l'hiver passé, elles se sont comportées d'une manière tellement ignominieuse, avec une telle méchanceté, elles ont frappé dans le dos avec une telle lâcheté et une telle infamie une nation combattante qui vivait son heure la plus accablante, elles lui ont asséné un coup de poignard si sournois qu'aucune réconciliation n'est plus possible avec elles... Le Führer voit poindre dans ce contexte une crise idéologique de premier ordre, comparable uniquement à la fin de l'Antiquité. »