@Catholique et Français Vous êtes le plus grand menteur et calomniateur que la terre a porté comme feu votre mentor l'Abbé Georges de Nantes ! Vous pouvez tromper qui vous voulez mais certainement pas votre humble contradicteur. Menteur et hérétique de surcroît, triste sire !

Mgr Marc Stenger, évêque de Troyes, a rendu public le rejet du dernier recours en appel de l'abbé Georges de Nantes par le Tribunal de la signature apostolique pour "manque de fondement".

Ainsi Rome a confirmé la suspense a divinis et l'interdit prononcés en 1997 par Mgr Daucourt, alors évêque de Troyes, contre le fondateur de la CRC.

Ce jugement met un point final à la longue joute juridique qui a opposé, depuis plus de trente ans, la hiérarchie catholique à l'abbé de Nantes.

La suspense a divinis a privé le prêtre du droit de donner les sacrements, donc vous appartenez à une secte ! Il ne pouvait plus sanctifier, il était privé de sa fonction sacerdotale. C'est le 25 août 1966 que l'évêque de Troyes, Mgr Le Couëdic, prononça la suspense a divinis contre l'abbé de Nantes, en vertu du canon 2344 (1) : "Celui qui, directement ou indirectement, aura couvert d'injures le Saint-Père, un cardinal, etc. [...] en public, dans les journaux, discours ou libelles, ou qui aura excité des préventions ou des haines contre les actes, décrets, décisions, sentences des mêmes personnes, doit [...] être frappé de peines ou pénitences convenables, proportionnellement à la gravité de la faute et à réparation du scandale".

Une condamnation confirmée par la Congrégation pour la doctrine de la Foi le 9 août 1969 (2), reformulée explicitement par Mgr Daucourt en 1997 (3) et par la Congrégation pour la doctrine de la Foi en 1998 (4).
Si la suspense s'applique aux clercs, les fidèles qui veulent rester en pleine communion avec l'Eglise et la hiérarchie catholique sont tenus de ne plus recevoir de sacrements d'un prêtre soumis à une telle sanction ; de ne plus accepter un enseignement de ce prêtre comme étant un enseignement de l'Eglise, puisque cette mission lui a été retirée ; de ne plus accepter de se laisser diriger spirituellement par lui, puisqu'il n'en a plus les pouvoirs.

A cela s'ajoute pour l'abbé de Nantes, depuis 1997, une autre condamnation : l'interdit (voir l'article "Interdit pour trois motifs"), confirmé en appel en 1998 et en 2000.

Si la suspense ne concernait que les clercs, l'interdit, lui, pouvait concerner tous les baptisés chrétiens. L'interdit est une censure par laquelle certains biens sacrés sont interdits aux fidèles. A celui qui est interdit, il est défendu (canon 1332) de participer de quelque façon que ce soit, en tant que ministre, à la célébration du sacrifice de l'Eucharistie et aux autres cérémonies du culte quelles qu'elles soient (si la personne interdite veut transgresser cet interdit, elle doit en être écartée, ou bien il faut interrompre l'action liturgique) ; de célébrer les sacrements ou les sacramentaux ; et de recevoir les sacrements.

L'interdit frappant ici non plus la personne du prêtre mais le baptisé, l'abbé de Nantes ne pouvait plus ni donner de sacrements (sauf en cas de danger de mort) ni en recevoir pour lui-même. Cette sanction ne se substituait pas à la suspense, elle l'aggravait même, en affectant les biens spirituels de la personne en tant que baptisé.

Par ailleurs, tout fidèle qui suivrait volontairement et en toute connaissance de cause une personne frappée d'interdit par l'Eglise, se mettrait d'elle-même, subjectivement, en état d'interdit, et ne pourrait objectivement plus, dès lors, avoir accès aux sacrements.

La décision du Tribunal de la signature apostolique avait laissé aujourd'hui l'abbé Georges de Nantes sans plus aucun recours possible, sauf celui d'obéir à ce que l'Eglise lui demandait depuis plus de trente ans : rétracter ses erreurs et ses accusations d'hérésie contre le concile Vatican II et contre les papes Paul VI et Jean-Paul II. L'abbé Georges de Nantes est décédé en 2010 sans revenir sur ses déclarations et diffamations (il était beaucoup trop orgueilleux pour le faire). Je maintiens Catholique et Français que vous être un MENTEUR, un SOURNOIS de la pire espère (puisque vous me répondez de surcroît via une personne qui m'a bloquée) et que vous voilà débusqué définitivement en tant qu'HERETIQUE et APOSTAT. C'est pour vous qu'il faut prier !!!

@Roy-XXIII En l'absence de réponse, je résume rapidement votre pensée : je vous cite "zéro réponses". "L'abruti" vous signale juste que dans ce cas réponse(s) ne prend pas de s.
Alors je vais vous faire une réponse pleine de courtoisie tirée de l'Evangile que je vous prie de méditer : "Ne mentez pas les uns aux autres, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses oeuvres, et ayant revêtu l'homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l'image de celui qui l'a créé. Il n'y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre; mais Christ est tout et en tous."
Je vous demande juste de réfléchir à ce passage tiré des Colossiens (3.9). Il n'est jamais trop tard pour se remettre en cause, respecter la foi des autres et surtout rester poli ! Que Dieu vous bénisse !

@Roy-XXIII et Catholique et Français "Cinglé", "Crétin", "O abruti", vous me paraissez être des drôles de catholiques. En tout cas, vous maniez l'art de l'insulte mieux que moi... Vous me paraissez tellement petits intellectuellement et surtout spirituellement que je cesse tout échange avec vous ! Effectivement, parlez entre vous : c'est plus rassurant. Vous me faites penser au film de Jean-Pierre Mocky "Un drôle de paroissien" et je me permettrai ce trait d'humour en vous voyant bien tous les deux dans une parodie de ce film : "Un drôle de catholique", avec comme premier rôle Roy-XXIII (Bourvil) et en second rôle Catholique et Français (le sacristain mécontent) !

Je n'ai pas de quoi vous aider, mais je vous ai défendu contre une personne à l'intelligence inactive. Par contre, faites attention, il y a des loups qui viennent dans votre bergeries. Si vous connaissez quelqu'un qui connait bien le passé du pape, il est très important de savoir s'il est ou s'il n'est pas juif. S'il était juif, une prophétie se réaliserait, celle de Pierre II ou de Maria Waltorta. Je cherche à résoudre ce problème, mais à partir d'un certain moment, le passé du pape n'existe plus.