Début de réponse à l'article infamant contre l'œuvre de Maria Valtorta
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Depuis son enfance jusqu’à l’âge adulte, le « Jésus » de Valtorta est décrit comme un individu sans grande dignité, agité, gourmand, et surtout, quasiment sans aucune conscience de sa mission, de sa messianité et de sa divinité, comme s’il ne la découvrait qu’au fur et à mesure de sa vie.
De la même façon, la « Marie » de Valtorta est présentée sans aucune dignité, mais comme une femme agitée, bavarde et mondaine. À l’instar du faux Jésus, la « Marie » de Valtorta est décrite comme étant partiellement ignorante de sa sainteté particulière, ce qui s’en ressent dans la manière par laquelle elle nous est présentée.
De plus, comme le remarquait Anselmo de la Cruz dans un excellent article, un autre aspect du Poème de l’homme-Dieu est son ton particulièrement graveleux, commun et vulgaire. On y trouve une certaine propension à parler de choses impures et on y décèle « une obsession sexuelle généralisée », selon le mot d’un critique catholique bien avisé.
En lecteur avisé de ce répugnant article, je m'arrête dès ce passage qui est manifestement un faux témoignage, et dénote une volonté de destruction, pire : de viol de cette oeuvre innocente, destinée à l'édification du lecteur, et non au remplacement de ce que la sainte Eglise a depuis toujours considéré avec raison comme la Tradition immuable et définitive, la Révélation transmise par les apôtres.
1e affirmation : rien, nada, c'est faux.
2e affirmation : idem.
3e affirmation : idem.
Quelle secrète soif de vengeance, quelle honteuse et obscure jalousie se cache en réalité dans cet article se donnant les apparences de la meilleure rhétorique, et voulant apparemment prévenir le lecteur, par des pseudo arguments imparables ? Seul l'auteur connaît cet obscur mystère.
Maria Valtorta, dont la plus grande crainte fut de pouvoir tromper même un tant soit peu le lecteur, de le faire dévier un tant soit peu du droit chemin,
elle qui du fond de son lit, ignorante de tout ouvrage spirituel, sans aucune formation, sut donner sans jamais une seule rature ( authentique ! ) cette oeuvre qui - de la parole même de cet article incendiaire de bas étage - rivalise avec n'importe quel cours de théologie de la meilleure faculté, elle qui y décrivit de nombreux lieux archéologiques liés aux Evangiles bien avant qu'ils ne soient redécouverts à la fin du XXe siècle,
elle dont l'œuvre ( si tant est qu'on puisse parler de "son" oeuvre ) montre une fidélité telle aux Evangiles, qu'à moins de la qualifier d'absolue, on est en deçà de la réalité,
Maria Valtorta, donc, mérite beaucoup mieux que ces considérations offensantes et déplorables, faites apparemment au nom de la Tradition, et en réalité saccageant allégrement la Tradition : CAR IL N'EST PAS DE TRADITION CHEZ LES CATHOLIQUES DE MENTIR COMME IL EST FAIT ICI !
La suite de ce triste exposé s'échine par exemple à faire croire qu'on verrait dans ces écrits un Jésus homosexuel : outre le caractère odieux de ce mensonge facilement démontable comme je l'ai fait en quelques lignes dans un précédent post ( voir ci-dessous en commentaire ) , il montre que SELON LUI, LE CHRIST SERAIT TOUT AUSSI BIEN DÉCRIT COMME HOMOSEXUEL DANS L'EVANGILE SELON SAINT JEAN !!!
Grand Dieu ! On y voit saint Jean appuyer ( lassivement, cela ne fait pas l'ombre d'un doute ! ) sa jolie tête blonde sur.... le cœur de Jésus ! Sans que Celui-ci ne le repousse ! Qu'avons-nous encore besoin de preuves ??!
Et bien nous en avons encore une, de preuve : Jean y est appelé ( tenez-vous bien, mes chers amis ) "CELUI QUE JESUS AIMAIT" ( !!! )
Horreur ! Impureté contre nature !
Et oui. Et ainsi, même ce qui est innocent et pur, si cela vient à tomber dans de perverses oreilles, peut bien être pris pour de la souillure. Tout est souillé pour qui est souillé : qu'il se souille encore et encore par ses calomnies.
C'est bien assez pour aujourd'hui. Si Dieu le veut, je répondrais une autre fois à ce cloaque d'impureté.
Que Dieu bénisse tous ceux qui cherchent la Vérité d'un cœur sincère, et qu'il bénisse aussi et convertissent ceux qui persistent à faire obstacle à l'extension de son Règne d'Amour dans tous les cœurs.
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Depuis son enfance jusqu’à l’âge adulte, le « Jésus » de Valtorta est décrit comme un individu sans grande dignité, agité, gourmand, et surtout, quasiment sans aucune conscience de sa mission, de sa messianité et de sa divinité, comme s’il ne la découvrait qu’au fur et à mesure de sa vie.
De la même façon, la « Marie » de Valtorta est présentée sans aucune dignité, mais comme une femme agitée, bavarde et mondaine. À l’instar du faux Jésus, la « Marie » de Valtorta est décrite comme étant partiellement ignorante de sa sainteté particulière, ce qui s’en ressent dans la manière par laquelle elle nous est présentée.
De plus, comme le remarquait Anselmo de la Cruz dans un excellent article, un autre aspect du Poème de l’homme-Dieu est son ton particulièrement graveleux, commun et vulgaire. On y trouve une certaine propension à parler de choses impures et on y décèle « une obsession sexuelle généralisée », selon le mot d’un critique catholique bien avisé.
En lecteur avisé de ce répugnant article, je m'arrête dès ce passage qui est manifestement un faux témoignage, et dénote une volonté de destruction, pire : de viol de cette oeuvre innocente, destinée à l'édification du lecteur, et non au remplacement de ce que la sainte Eglise a depuis toujours considéré avec raison comme la Tradition immuable et définitive, la Révélation transmise par les apôtres.
1e affirmation : rien, nada, c'est faux.
2e affirmation : idem.
3e affirmation : idem.
Quelle secrète soif de vengeance, quelle honteuse et obscure jalousie se cache en réalité dans cet article se donnant les apparences de la meilleure rhétorique, et voulant apparemment prévenir le lecteur, par des pseudo arguments imparables ? Seul l'auteur connaît cet obscur mystère.
Maria Valtorta, dont la plus grande crainte fut de pouvoir tromper même un tant soit peu le lecteur, de le faire dévier un tant soit peu du droit chemin,
elle qui du fond de son lit, ignorante de tout ouvrage spirituel, sans aucune formation, sut donner sans jamais une seule rature ( authentique ! ) cette oeuvre qui - de la parole même de cet article incendiaire de bas étage - rivalise avec n'importe quel cours de théologie de la meilleure faculté, elle qui y décrivit de nombreux lieux archéologiques liés aux Evangiles bien avant qu'ils ne soient redécouverts à la fin du XXe siècle,
elle dont l'œuvre ( si tant est qu'on puisse parler de "son" oeuvre ) montre une fidélité telle aux Evangiles, qu'à moins de la qualifier d'absolue, on est en deçà de la réalité,
Maria Valtorta, donc, mérite beaucoup mieux que ces considérations offensantes et déplorables, faites apparemment au nom de la Tradition, et en réalité saccageant allégrement la Tradition : CAR IL N'EST PAS DE TRADITION CHEZ LES CATHOLIQUES DE MENTIR COMME IL EST FAIT ICI !
La suite de ce triste exposé s'échine par exemple à faire croire qu'on verrait dans ces écrits un Jésus homosexuel : outre le caractère odieux de ce mensonge facilement démontable comme je l'ai fait en quelques lignes dans un précédent post ( voir ci-dessous en commentaire ) , il montre que SELON LUI, LE CHRIST SERAIT TOUT AUSSI BIEN DÉCRIT COMME HOMOSEXUEL DANS L'EVANGILE SELON SAINT JEAN !!!
Grand Dieu ! On y voit saint Jean appuyer ( lassivement, cela ne fait pas l'ombre d'un doute ! ) sa jolie tête blonde sur.... le cœur de Jésus ! Sans que Celui-ci ne le repousse ! Qu'avons-nous encore besoin de preuves ??!
Et bien nous en avons encore une, de preuve : Jean y est appelé ( tenez-vous bien, mes chers amis ) "CELUI QUE JESUS AIMAIT" ( !!! )
Horreur ! Impureté contre nature !
Et oui. Et ainsi, même ce qui est innocent et pur, si cela vient à tomber dans de perverses oreilles, peut bien être pris pour de la souillure. Tout est souillé pour qui est souillé : qu'il se souille encore et encore par ses calomnies.
C'est bien assez pour aujourd'hui. Si Dieu le veut, je répondrais une autre fois à ce cloaque d'impureté.
Que Dieu bénisse tous ceux qui cherchent la Vérité d'un cœur sincère, et qu'il bénisse aussi et convertissent ceux qui persistent à faire obstacle à l'extension de son Règne d'Amour dans tous les cœurs.