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Roy-XXIII
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Djihad sur les Champs-Elysées !

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Roy-XXIII
Je manque cruellement d'émoticônes pour vous exprimer mon Hilarité Cher Catholique et Français
Catholique et Français
www.ledauphine.com/…/nous-sommes-en-… : cher "Roy-XXIII", il m'est arrivé à peu près la même chose en Angleterre il y a quelques années mais en beaucoup moins grave, heureusement : nous traversions en famille un magnifique parc zoologique privé; les gardiens anglais de ce foyer d'accueil que l'on appelle zoo nous avaient pourtant prévenus et interdit d'arrêter notre voiture là où étaient …Plus
www.ledauphine.com/…/nous-sommes-en-… : cher "Roy-XXIII", il m'est arrivé à peu près la même chose en Angleterre il y a quelques années mais en beaucoup moins grave, heureusement : nous traversions en famille un magnifique parc zoologique privé; les gardiens anglais de ce foyer d'accueil que l'on appelle zoo nous avaient pourtant prévenus et interdit d'arrêter notre voiture là où étaient rassemblés les singes africains. Mais vous savez bien comment sont les français : désobéissants et présomptueux, surtout lorsqu'ils visitent leurs ennemis héréditaires ! Et dès que nous vîmes le premier troupeau de cynocéphales, je m'empressais, tout réjoui, de stopper ma Peugeot pour saluer mes lointains cousins et les gratifier de quelques friandises, à défaut d'une aide au logement déjà gracieusement accordée par Sa Gracieuse Majesté. Bien mal m'en prit : les vilaines bêtes, probablement fraîchement immigrées en Europe et encore mal policées, se précipitèrent sur la voiture française avec force hurlements (mais je dois reconnaitre, en toute honnêteté, que je n'ai pas entendu d'"Allah Akbar"), montant sur le toit, essayant d'ouvrir les portes, passant leurs vilaines pattes velues par les fenêtres entre-ouvertes, faisant pipi sur la carrosserie et arrachant même les essuie-glaces, pourtant très utiles outre-Manche. Mon épouse et les enfants étaient terrorisés et j'eus tout de même le temps de redémarrer sans trop attendre, contrairement à ces pauvres gens de Romans sur Isère. Nous en rions maintenant que nous sommes rentrés en France mais ce fut tout de même une sacrée alerte et un bien mauvais souvenir !
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Roy-XXIII
Publié le 03/10/2015 ► Violences à Romans-sur-Isère : "Nous sommes en plein cauchemar !"
Elle a choisi de jeter sur le papier ses angoisses et son traumatisme. Cette jeune femme d’une vingtaine d’années, a été une des victimes du déchaînement de violence opéré le week-end dernier aux abords du quartier de La Monnaie. Révoltée, elle a choisi de nous confier son témoignage. Édifiant.
« Nous …Plus
Publié le 03/10/2015 ► Violences à Romans-sur-Isère : "Nous sommes en plein cauchemar !"

Elle a choisi de jeter sur le papier ses angoisses et son traumatisme. Cette jeune femme d’une vingtaine d’années, a été une des victimes du déchaînement de violence opéré le week-end dernier aux abords du quartier de La Monnaie. Révoltée, elle a choisi de nous confier son témoignage. Édifiant.

« Nous sommes cinq dans la voiture, ma cousine, mon cousin, ma mère, mon père et moi-même. Nous prenons la route. Minuit et quart, nous arrivons aux abords d’un rond-point. Au loin, nous distinguons une bande d’une trentaine de jeunes. J’ai le sentiment que quelque chose ne va pas. Mon père, au volant, s’avance doucement puis fini par s’arrêter au niveau du carrefour pour, “les laisser passer” dira-t-il après. La voiture à l’arrêt devient la cible de tous les regards. Je me rappelle avoir vu cette foule nous fixer avant de se rejet sur nous, armée de pierres, de bâtons et de battes de baseballs.
Et s’ils étaient toujours là ?
Telle une meute de loups enragés ils déversent sur nous une rage indomptable. J’entends les gros cailloux choquer la voiture, une fois, deux fois, trois fois, les vitres explosent, les bouts de verres éclatent sous mes yeux, le bruit est affreux. En face de moi, il y a cet homme, anonyme, sous sa capuche, qui se trouve devant notre voiture et qui ne dévie pas sa trajectoire malgré les tentatives de mon Papa pour redémarrer. Les coups de pied contre la carrosserie s’enchaînent, et les pierres pénètrent la voiture. Nous sommes en plein cauchemar, dans un autre monde, je me surprends à penser que nous allons mourir. Je sens un choc sur la tête puis nous réussissons à nous dégager de la meute. Je ne sais pas comment. Nous nous arrêtons quelques mètres plus loin, je hurle et pleurs pour que l’on redémarre. Et s’ils étaient toujours là ? Je suis prise d’une angoisse panique et mes sanglots m’étouffent, j’ai peur, terriblement peur. Nous arrivons chez mes cousins et nous constatons les dégâts. Mon oncle saigne au niveau de la tempe, une pierre l’a heurté. Mon œil est enflé. Par la suite nous nous rendons aux urgences sous le choc. Nous en ressortirons à quatre heures trente du matin avec des contusions multiples aux visages mais surtout un choc psychologique majeur. Nous allons porter plainte. Nous apprenons qu’il n’y a pas suffisamment de forces armées pour contrôler ces déboires, nous ne comprenons pas. Nous rentrons chez nous à six heures trente.
Les jours qui ont suivi ont été très difficiles pour moi. Traumatisée par ce que nous venions de vivre, j’étais dans l’incapacité de prendre mon véhicule et de me rendre à l’Université en Train et Tramway. Aujourd’hui, je me remets doucement mais les images de l’agression défilent encore devant mes yeux, et les trajets de nuits restent encore source d’angoisse.
En plus de l’impuissance dont nous sommes contraints face à la situation, nous éprouvons de la colère. L’information doit circuler, la violence gratuite est à punir. Nous nous sentons désormais en insécurité dans notre propre ville. Mais la lâcheté de ses hommes cagoulés va les protéger, ils ne pourront pas être retrouvés tant que rien ne sera mis en place pour les contrer. »
hawaii
Ci durni Francusi nawpuszczali islamu a teraz cała Europa ma problem. Kolaborowali z Hitlerem a teraz z islamem. Co za tchórzliwy naród. 🤐 Gdyby to Polska wpuściła muzułmańskiego konia trojańskiego to cała Europa odizolowałaby nas jak trędowatych byśmy sami radzili sobie z problemem, tak jak zostawili Polskę w 1939 r. A teraz France i Allemagne domagają się od Polaków SOLIDARNOŚCI w …Plus
Ci durni Francusi nawpuszczali islamu a teraz cała Europa ma problem. Kolaborowali z Hitlerem a teraz z islamem. Co za tchórzliwy naród. 🤐 Gdyby to Polska wpuściła muzułmańskiego konia trojańskiego to cała Europa odizolowałaby nas jak trędowatych byśmy sami radzili sobie z problemem, tak jak zostawili Polskę w 1939 r. A teraz France i Allemagne domagają się od Polaków SOLIDARNOŚCI w przyjmowaniu islamistów. Sami sobie radźcie! Polacy przygotują taki "djihad" nawałanicy muzułmańskiej jak le roi de Pologne Jean III Sobieski w bataille de Vienne w 1683 r. a islamiści uciekając zatrzymają się aż w Paris. 😀
Tomavilanova
L'immigration de masse en Europe est essentiellement composée de musulmans. Autrement dit, des personnes prêtes à tuer les chrétiens comme le prescrit le Coran. Et s'il est incontestable que le Rosaire est une arme puissante ne soyons pas présomptueux! Un bon chrétien catholique, aidé de son Rosaire, doit, si possible, être prêt à se défendre en cas de guerre. Notre Bon Dieu veut-il la mort …Plus
L'immigration de masse en Europe est essentiellement composée de musulmans. Autrement dit, des personnes prêtes à tuer les chrétiens comme le prescrit le Coran. Et s'il est incontestable que le Rosaire est une arme puissante ne soyons pas présomptueux! Un bon chrétien catholique, aidé de son Rosaire, doit, si possible, être prêt à se défendre en cas de guerre. Notre Bon Dieu veut-il la mort de son peuple? Non! Les Maccabées ne se sont pas laissés massacrer par le roi séleucide grec Antiochus IV Épiphane. Ils se sont défendus avec un grand courage. Il faut se préparer au pire!
Spina Christi 2
francois8 :
C'est par la prière et le Rosaire que les Chrétiens stoppèrent à Lépante l’expansionnisme musulman. Mais en même temps que la prière et le Rosaire, il y avait aussi 28.000 soldats chrétiens embarqués sur plus de 200 galères ! Une armée préparée, un plan de bataille longuement mûri et des hommes tous unis derrière le Pape contre l'envahisseur mahométan.
Je ne sais pas si les …
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francois8 :
C'est par la prière et le Rosaire que les Chrétiens stoppèrent à Lépante l’expansionnisme musulman. Mais en même temps que la prière et le Rosaire, il y avait aussi 28.000 soldats chrétiens embarqués sur plus de 200 galères ! Une armée préparée, un plan de bataille longuement mûri et des hommes tous unis derrière le Pape contre l'envahisseur mahométan.
Je ne sais pas si les valeureux soldats chrétiens alors, en tuant 30.000 mahométans et en coulant 117 galères, s'étaient posé la question de savoir si les musulmans étaient de bonnes ou de mauvaises personnes, ce que je crois en revanche c'est qu'ils défendaient le sort de l'Europe Catholique contre des gens qui s'étant "soumis" au Démon ne songeaient qu'à appliquer l'enseignement de mort de son coran.

Près d'un demi-millénaire plus tard, voilà que l'expansion et les conquêtes islamiques reprennent, certes avec des méthodes quelque peu ... "améliorées", mais le but étant le même, à savoir l'islamisation (l'éradication) de la Chrétienté, n'y a t'il pas lieu, en plus de la prière et du Rosaire, d'envisager au moins notre ... légitime défense*** ?
Ce qui n'empêche nullement dans le même temps de prier pour la conversion et le salut de nos ennemis.

Je ne sais pas si les musulmans sont des mauvaises personnes, il ne m'est pas permis d'en juger, mais il est certain que leurs oeuvres sont détestables (par exemple ce "djihad sur les Champs-Élysées") car inspirées de l'esprit mauvais de l'ange de l'enfer !

*** Sujet abordé par l'abbé Pagès que vous aviez alors "liké" !
Roy-XXIII
S'il vous plaît francois8 en quoi l'un empêche l'autre ?
francois8
vous devriez prier plutot que de ruminter des mauvaises choses , je parle aux chretiens . Notre Dieu veut que l'on se manifeste tous par la prier d'abord celui qu fera les mulsmans des chretiens , allons allons prier le rosaire c'est l'arme la plus puissante QUE dIEU A DONNE POUR VAINCRE L ENNEMI QUI NEST CELUI QUE VOUS PENSEZ MAIS BEL ET BIEN SATAN QUI EST LE SEUL ENNEMI DU BIEN DONC DE DIEU ET DE …Plus
vous devriez prier plutot que de ruminter des mauvaises choses , je parle aux chretiens . Notre Dieu veut que l'on se manifeste tous par la prier d'abord celui qu fera les mulsmans des chretiens , allons allons prier le rosaire c'est l'arme la plus puissante QUE dIEU A DONNE POUR VAINCRE L ENNEMI QUI NEST CELUI QUE VOUS PENSEZ MAIS BEL ET BIEN SATAN QUI EST LE SEUL ENNEMI DU BIEN DONC DE DIEU ET DE NOUS TOUS COMPRIS LES MUSULMANS; Si vous laissez faire en disant que les musulmans sont de mauvaises personnes vous vous trompez satan se sert d'eux a cause de leur veuglement mais si vous priez pour eux ils sortiront chrétiens car à celui qui croit en Dieu tout est possible. Allons prions ensemble.
Spina Christi 2
A ce propos, lire à le discours du Pape de l'Eglise Catholique à l'ONU.
Combien de fois le Nom de Jésus y apparait-il ?
ZERO fois !
Pas même dans la bénédiction finale où seul est évoqué un "Très Haut" qui serait commun aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans...

"Une fois encore, en suivant une tradition dont je me sens honoré, le Secrétaire Général des Nations Unies a invité le Pape à …Plus
A ce propos, lire à le discours du Pape de l'Eglise Catholique à l'ONU.

Combien de fois le Nom de Jésus y apparait-il ?

ZERO fois !

Pas même dans la bénédiction finale où seul est évoqué un "Très Haut" qui serait commun aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans...


"Une fois encore, en suivant une tradition dont je me sens honoré, le Secrétaire Général des Nations Unies a invité le Pape à s’adresser à cette honorable assemblée des nations. En mon nom propre et au nom de toute la communauté catholique, Monsieur Ban Ki-moon, je voudrais vous exprimer la plus sincère et cordiale gratitude. Je vous remercie aussi pour vos aimables paroles. Je salue également les Chefs d’Etat et de Gouvernement ici présents, les Ambassadeurs, les diplomates et les fonctionnaires politiques et techniques qui les accompagnent, le personnel des Nations Unies impliqué dans cette 70ème session de l’Assemblée Générale, le personnel de tous les programmes et agences de la famille de l’ONU, et tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, participent à cette réunion. A travers vous, je salue aussi les citoyens de toutes les nations représentées dans cette rencontre. Merci pour les efforts de tous et de chacun en faveur de l’humanité.
C’est la cinquième fois qu’un Pape visite les Nations Unies. Ainsi de mes prédécesseurs : Paul VI en 1965, Jean-Paul II en 1979 et en 1995 et mon prédécesseur immédiat, aujourd’hui le Pape émérite Benoît XVI, en 2008. Aucun d’eux n’a été avare d’expressions de reconnaissance pour l’Organisation, la considérant comme la réponse juridique et politique appropriée au moment historique caractérisé par le dépassement technologique des distances et des frontières et, apparemment, par le dépassement de toute limite naturelle de l’affirmation du pouvoir. Une réponse indispensable puisque le pouvoir technologique, aux mains d’idéologies nationalistes et faussement universalistes, est capable de provoquer de terribles atrocités. Je ne peux que m’associer à l’appréciation de mes prédécesseurs, en réaffirmant l’importance que l’Eglise catholique accorde à cette institution et l’espérance qu’elle met dans ses activités.
L’histoire de la communauté organisée des Etats représentée par les Nations Unies, qui célèbre ces jours-ci son 70ème anniversaire, est une histoire d’importants succès communs, dans une période d’accélération inhabituelle des événements. Sans prétendre à l’exhaustivité, on peut mentionner la codification et le développement du droit international, la construction de la législation internationale des droits humains, le perfectionnement du droit humanitaire, la résolution de nombreux conflits ainsi que des opérations de paix et de réconciliation, et tant d’autres acquis dans tous les domaines de portée internationale de l’activité humaine. Toutes ces réalisations sont des lumières en contraste avec l’obscurité du désordre causé par les ambitions incontrôlées et par les égoïsmes collectifs. Certes, les graves problèmes non résolus sont encore nombreux, mais il est évident que si toute cette activité internationale avait manqué, l’humanité pourrait n’avoir pas survécu à l’utilisation incontrôlée de ses propres potentialités. Chacun de ces progrès politiques, juridiques et techniques est un chemin d’accomplissement de l’idéal de fraternité humaine et un moyen pour sa plus grande réalisation.
Je rends hommage, pour cela, à tous les hommes et femmes qui ont servi loyalement, et dans un esprit de sacrifice, toute l’humanité durant ces 70 ans. En particulier, je voudrais rappeler aujourd’hui ceux qui ont donné leur vie pour la paix et la réconciliation des peuples, depuis Dag Hammarskjöld jusqu’aux très nombreux fonctionnaires de tous niveaux, décédés dans des missions humanitaires, dans des missions de paix et de réconciliation.
L’expérience de ces 70 années, au-delà de tous les acquis, montre que la réforme et l’adaptation aux temps est toujours nécessaire, progressant vers l’objectif ultime d’accorder à tous les peuples, sans exception, une participation et une incidence réelle et équitable dans les décisions. Cette nécessité de plus d’équité vaut en particulier pour les corps dotés d’une capacité d’exécution effective, comme c’est le cas du Conseil de Sécurité, des Organismes Financiers et des groupes ou mécanismes spécialement créés pour affronter les crises économiques. Cela aidera à limiter tout genre d’abus et d’usure surtout par rapport aux pays en voie de développement. Les Organismes Financiers Internationaux doivent veiller au développement durable des pays, et à ce qu’ils ne soient pas soumis, de façon asphyxiante, à des systèmes de crédits qui, loin de promouvoir le progrès, assujettissent les populations à des mécanismes de plus grande pauvreté, d’exclusion et de dépendance.
Le travail des Nations Unies, à partir des postulats du Préambule et des premiers articles de sa Charte constitutionnelle, peut être considéré comme le développement et la promotion de la primauté du droit, étant entendu que la justice est une condition indispensable pour atteindre l’idéal de la fraternité universelle. Dans ce contexte, il faut rappeler que la limitation du pouvoir est une idée implicite du concept de droit. Donner à chacun ce qui lui revient, en suivant la définition classique de la justice, signifie qu’aucun individu ou groupe humain ne peut se considérer tout-puissant, autorisé à passer par-dessus la dignité et les droits des autres personnes physiques ou de leurs regroupements sociaux. La distribution de fait du pouvoir (politique, économique, de défense, technologique, ou autre) entre une pluralité de sujets ainsi que la création d’un système juridique de régulation des prétentions et des intérêts, concrétise la limitation du pouvoir. Le panorama mondial aujourd’hui nous présente, cependant, beaucoup de faux droits, et – à la fois- de grands secteurs démunis, victimes plutôt d’un mauvais exercice du pouvoir : l’environnement naturel ainsi que le vaste monde de femmes et d’hommes exclus. Deux secteurs intimement liés entre eux, que les relations politiques et économiques prépondérantes ont fragilisés. Voilà pourquoi il faut affirmer avec force leurs droits, en renforçant la protection de l’environnement et en mettant un terme à l’exclusion.
Avant tout, il faut affirmer qu’il existe un vrai ‘‘droit de l’environnement’’ pour un double motif. En premier lieu, parce que nous, les êtres humains, nous faisons partie de l’environnement. Nous vivons en communion avec lui, car l’environnement comporte des limites éthiques que l’action humaine doit reconnaître et respecter. L’homme, même s’il est doté de « capacités inédites » qui « montrent une singularité qui transcende le domaine physique et biologique » (Encyclique Laudato si’, n. 81), est en même temps une portion de cet environnement. Il a un corps composé d’éléments physiques, chimiques et biologiques, et il peut survivre et se développer seulement si l’environnement écologique lui est favorable. Toute atteinte à l’environnement, par conséquent, est une atteinte à l’humanité. En second lieu, parce que chacune des créatures, surtout les créatures vivantes, a une valeur en soi, d’existence, de vie, de beauté et d’interdépendance avec les autres créatures. Nous les chrétiens, avec les autres religions monothéistes, nous croyons que l’Univers provient d’une décision d’amour du Créateur, qui permet à l’homme de se servir, avec respect, de la création pour le bien de ses semblables et pour la gloire du Créateur. Mais l’homme ne peut abuser de la création et encore moins n’est autorisé à la détruire. Pour toutes les croyances religieuses l’environnement est un bien fondamental (cf. Ibid, n. 81).
L’abus et la destruction de l’environnement sont en même temps accompagnés par un processus implacable d’exclusion. En effet, la soif égoïste et illimitée de pouvoir et de bien-être matériel conduit autant à abuser des ressources matérielles disponibles qu’à exclure les faibles et les personnes ayant moins de capacités, soit parce que dotées de capacités différentes (les handicapés), soit parce que privées des connaissances et des instruments techniques adéquats, ou encore parce qu’ayant une capacité insuffisante de décision politique. L’exclusion économique et sociale est une négation totale de la fraternité humaine et une très grave atteinte aux droits humains et à l’environnement. Les plus pauvres sont ceux qui souffrent le plus de ces atteintes pour un triple motif grave : ils sont marginalisés par la société, ils sont en même temps obligés de vivre des restes, et ils doivent subir injustement les conséquences des abus sur l’environnement. Ces phénomènes constituent la ‘‘culture de déchet’’ aujourd’hui si répandue et inconsciemment renforcée.
Le drame de toute cette situation d’exclusion et d’injustice, avec ces conséquences claires, me conduit, avec tout le peuple chrétien et avec tant d’autres, à prendre conscience aussi de ma grave responsabilité à ce sujet, et pour cette raison, j’élève la voix, me joignant à tous ceux qui souhaitent des solutions urgentes et efficaces. L’adoption de l’‘‘Agenda 2030 pour le Développement Durable’’ au Sommet mondial, qui commencera aujourd’hui même, est un signe important d’espérance. J’espère que la Conférence de Paris sur le changement climatique aboutira à des accords fondamentaux et efficaces.
Cependant, les engagements assumés solennellement ne suffisent pas, même s’ils constituent un pas nécessaire aux solutions. La définition classique de la justice, à laquelle je me suis référé plus haut, contient comme élément essentiel une volonté constante et permanente : Iustitia est constans et perpetua voluntas ius suum cuique tribuendi. Le monde réclame de tous les gouvernants une volonté effective, pratique, constante, des pas concrets et des mesures immédiates, pour préserver et améliorer l’environnement naturel et vaincre le plus tôt possible le phénomène de l’exclusion sociale et économique, avec ses tristes conséquences de traites d’êtres humains, de commerce d’organes et de tissus humains, d’exploitation sexuelle d’enfants, de travail esclave – y compris la prostitution -, de trafic de drogues et d’armes, de terrorisme et de crime international organisé. L’ampleur de ces situations et le nombre de vies innocentes qu’elles sacrifient sont tels que nous devons éviter toute tentation de tomber dans un nominalisme de déclarations à effet tranquillisant sur les consciences. Nous devons veiller à ce que nos institutions soient réellement efficaces dans la lutte contre tous ces fléaux.
La multiplicité et la complexité des problèmes exigent de compter sur des instruments techniques de mesure. Cela, cependant, comporte un double danger : se limiter au travail bureaucratique consistant à rédiger de longues listes de bonnes intentions – buts, objectifs et indicateurs statistiques – ou bien croire qu’une unique solution théorique et aprioriste donnera une réponse à tous les défis. À aucun moment, il ne faut oublier que l’action politique et économique est efficace seulement lorsqu’on l’entend comme une activité prudentielle, guidée par un concept immuable de justice, et qui ne perd jamais de vue, qu’avant et au-delà des plans comme des programmes il y a des femmes et des hommes concrets, égaux aux gouvernants, qui vivent, luttent et souffrent, et qui bien des fois se voient obligés de vivre dans la misère, privés de tout droit.
Pour que tous ces hommes et femmes concrets puissent échapper à l’extrême pauvreté, il faut leur permettre d’être de dignes acteurs de leur propre destin. Le développement humain intégral et le plein exercice de la dignité humaine ne peuvent être imposés. Ils doivent être édifiés et déployés par chacun, par chaque famille, en communion avec les autres hommes, et dans une juste relation avec tous les cercles où se développe la société humaine – amis, communautés, villages et communes, écoles, entreprises et syndicats, provinces, nations, entre autres. Cela suppose et exige le droit à l’éducation – également pour les filles (exclues dans certaines régions) -, droit qui est assuré en premier lieu par le respect et le renforcement du droit primordial de la famille à éduquer, et le droit des Eglises comme des regroupements sociaux à soutenir et à collaborer avec les familles dans la formation de leurs filles et de leurs fils. L’éducation, ainsi conçue, est la base pour la réalisation de l’Agenda 2030 et pour sauver l’environnement.
En même temps, les gouvernants doivent faire tout leur possible afin que tous puissent avoir les conditions matérielles et spirituelles minimum pour exercer leur dignité, comme pour fonder et entretenir une famille qui est la cellule de base de tout développement social. Ce minimum absolu a, sur le plan matériel, trois noms : toit, travail et terre ; et un nom sur le plan spirituel : la liberté de pensée, qui comprend la liberté religieuse, le droit à l’éducation et les autres droits civiques.
Pour toutes ces raisons, la mesure et l’indicateur les plus simples et les plus adéquats de l’exécution du nouvel Agenda pour le développement seront l’accès effectif, pratique et immédiat, de tous, aux biens matériels et spirituels indispensables : logement personnel, travail digne et convenablement rémunéré, alimentation adéquate et eau potable ; liberté religieuse, et, plus généralement, liberté de pensée et éducation. À la fois, ces piliers du développement humain intégral ont un fondement commun, qui est le droit à la vie, et, plus généralement, ce que nous pourrions appeler le droit à l’existence de la nature humaine elle-même.
La crise écologique, avec la destruction d’une bonne partie de la biodiversité, peut mettre en péril l’existence même de l’espèce humaine. Les conséquences néfastes d’une mauvaise gestion irresponsable de l’économie mondiale, guidée seulement par l’ambition du profit et du pouvoir, doivent être un appel à une sérieuse réflexion sur l’homme : « L’homme n’est pas seulement une liberté qui se crée de soi. L’homme ne se crée pas lui-même. Il est esprit et volonté, mais il est aussi nature » (Benoît XVI, Discours au parlement Fédéral d’Allemagne, 22 septembre 2011, cité dans Enc. Laudato Si’, n. 6). La création subit des préjudices « là où nous-mêmes sommes les dernières instances… Le gaspillage des ressources de la Création commence là où nous ne reconnaissons plus aucune instance au-dessus de nous, mais ne voyons plus que nous-mêmes » (Id., Discours au clergé du Diocèse de Bolzano-Bressanone, 6 août 2008, cité Ibid.). C’est pourquoi, la défense de l’environnement et la lutte contre l’exclusion exigent la reconnaissance d’une loi morale inscrite dans la nature humaine elle-même, qui comprend la distinction naturelle entre homme et femme (cf. Ibid, n. 155), et le respect absolu de la vie à toutes ses étapes et dans toutes ses dimensions (cf. Enc. Laudato Si’, nn. 123 ; 136).
Sans la reconnaissance de certaines limites éthiques naturelles à ne pas franchir, et sans la concrétisation immédiate de ces piliers du développement humain intégral, l’idéal de « préserver les générations futures du fléau de la guerre » (Charte des Nations Unies, Préambule) et de « favoriser le progrès social et instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande » court le risque de se transformer en un mirage inaccessible ou, pire encore, en paroles vides qui servent d’excuse à tous les abus et à toutes les corruptions, ou pour promouvoir une colonisation idéologique à travers l’imposition de modèles et de styles de vie anormaux, étrangers à l’identité des peuples et, en dernier ressort, irresponsables.
La guerre est la négation de tous les droits et une agression dramatique contre l’environnement. Si l’on veut un vrai développement humain intégral pour tous, on doit poursuivre inlassablement l’effort pour éviter la guerre entre les nations et entre les peuples.
A cette fin, il faut assurer l’incontestable état de droit et le recours inlassable à la négociation, aux bons offices et à l’arbitrage, comme proposé par la Charte des Nations Unies, vraie norme juridique fondamentale. L’expérience des 70 ans d’existence des Nations Unies, en général, et en particulier l’expérience des 15 premières années du troisième millénaire montrent aussi bien l’efficacité de la pleine application des normes internationales que l’inefficacité de leur inobservance. Si l’on respecte et applique la Charte des Nations Unies dans la transparence et en toute sincérité, sans arrière-pensées, comme point de référence obligatoire de justice et non comme instrument pour masquer des intentions inavouées, on obtient des résultats de paix. En revanche, lorsqu’on confond la norme avec un simple instrument, à utiliser quand cela convient et à éviter dans le cas contraire, on ouvre une véritable boîte de Pandore de forces incontrôlables, qui nuisent gravement aux populations démunies, à l’environnement culturel, voire à l’environnement biologique.
Le Préambule et le premier article de la Charte des Nations Unies montrent quels sont les ciments de la construction juridique internationale : la paix, la résolution pacifique des conflits et le développement de relations d’amitié entre les nations. La tendance toujours actuelle à la prolifération des armes, spécialement les armes de destruction massive comme les armes nucléaires, contraste fortement avec ces affirmations et les nie dans la pratique. Une éthique et un droit fondés sur la menace de destruction mutuelle – et probablement de toute l’humanité – sont contradictoires et constituent une manipulation de toute la construction des Nations Unies, qui finiraient par être ‘‘ Nations unies par la peur et la méfiance’’. Il faut oeuvrer pour un monde sans armes nucléaires, en appliquant pleinement l’esprit et la lettre du Traité de non-prolifération, en vue d’une prohibition totale de ces instruments.
Le récent accord sur la question nucléaire dans une région sensible de l’Asie et du Moyen Orient est une preuve des possibilités d’une bonne volonté politique et du droit, exercés de façon sincère, patiente et constante. Je forme le voeu que cet accord soit durable et efficace, et qu’il porte les fruits désirés avec la collaboration de toutes les parties impliquées.
En ce sens, ne manquent pas de rudes épreuves liées aux conséquences négatives des interventions politiques et militaires qui n’ont pas été coordonnées entre les membres de la communauté internationale. C’est pourquoi, tout en souhaitant ne pas avoir besoin de le faire, je ne peux m’empêcher de réitérer mes appels incessants concernant la douloureuse situation de tout le Moyen Orient, du nord de l’Afrique et d’autres pays africains, où les chrétiens, avec d’autres groupes culturels ou ethniques, y compris avec les membres de la religion majoritaire qui ne veulent pas se laisser gagner par la haine et la folie, ont été forcés à être témoins de la destruction de leurs lieux de culte, de leur patrimoine culturel et religieux, de leurs maisons comme de leurs propriétés, et ont été mis devant l’alternative de fuir ou bien de payer de leur propre vie, ou encore par l’esclavage, leur adhésion au bien et à la paix.
Ces réalités doivent constituer un sérieux appel à un examen de conscience de la part de ceux qui sont en charge de la conduite des affaires internationales. Non seulement dans les cas de persécution religieuse ou culturelle, mais aussi dans chaque situation de conflit, comme en Ukraine, en Syrie, en Irak, en Libye, au Sud Soudan et dans la région des Grands Lacs, avant les intérêts partisans, aussi légitimes soient-ils, il y a des visages concrets. Dans les guerres et les conflits, il y a des êtres humains concrets, des frères et des soeurs qui sont nôtres, des hommes et des femmes, des jeunes et des personnes âgées, des enfants qui pleurent, souffrent et meurent, des êtres humains transformés en objet mis au rebut alors qu’on ne fait que s’évertuer à énumérer des problèmes, des stratégies et des discussions.
Comme je le demandais au Secrétaire Général des Nations Unies dans ma lettre du 9 août 2014, « la compréhension la plus élémentaire de la dignité humaine […] contraint la communauté internationale, en particulier en vertu des normes et des mécanismes du droit international, à faire tout ce qui est en son pouvoir pour arrêter et prévenir d’ultérieures violences systématiques contre les minorités ethniques et religieuses » et pour protéger les populations innocentes.
Dans cette même ligne, je voudrais faire mention d’un autre genre de conflit pas toujours clairement déclaré mais qui, en silence, provoque la mort de millions de personnes. Un autre genre de guerre que vivent beaucoup de nos sociétés à travers le phénomène du narcotrafic. Une guerre ‘‘assumée’’ et faiblement combattue. Le narcotrafic, de par sa propre dynamique, est accompagné par la traite des personnes, le blanchiment des actifs, le trafic des armes, l’exploitation des enfants et par d’autres formes de corruption. Corruption qui a infiltré les divers niveaux de la vie sociale, politique, militaire, artistique et religieuse, en générant, dans beaucoup de cas, une structure parallèle qui met en péril la crédibilité de nos institutions.
J’ai commencé cette intervention en rappelant les visites de mes prédécesseurs. Je voudrais à présent que mes paroles soient surtout comme une suite des paroles conclusives du discours de Paul VI, prononcées il y a exactement 50 ans, mais qui sont d’une valeur perpétuelle. « Voici arrivée l’heure où s’impose une halte, un moment de recueillement, de réflexion, quasi de prière: repenser à notre commune origine, à notre histoire, à notre destin commun. Jamais comme aujourd’hui, […] n’a été aussi nécessaire l’appel à la conscience morale de l’homme. Car le péril ne vient, ni du progrès, ni de la science, qui, bien utilisés, pourront […] résoudre un grand nombre des graves problèmes qui assaillent l’humanité » (Discours à l’Organisation des Nations Unies à l’occasion du 20ème anniversaire de l’Organisation, 4 octobre 1965). Entre autres, sans doute, le génie humain, bien utilisé, aidera à affronter les graves défis de la dégradation écologique et de l’exclusion. Paul VI a poursuivi : «Le vrai péril se tient dans l’homme, qui dispose d’instruments toujours plus puissants, aptes aussi bien à la ruine qu’aux plus hautes conquêtes » (Ibid.).
La maison commune de tous les hommes doit continuer de s’élever sur une juste compréhension de la fraternité universelle et sur le respect de la sacralité de chaque vie humaine, de chaque homme et de chaque femme ; des pauvres, des personnes âgées, des enfants, des malades, des enfants à naître, des chômeurs, des abandonnés, de ceux qui sont jugés bons à exclure, parce qu’on ne les perçoit plus que comme des chiffres de l’une ou l’autre statistique. La maison commune de tous les hommes doit aussi s’édifier sur la compréhension d’une certaine sacralité de la nature créée.
Cette compréhension et ce respect exigent un niveau supérieur de sagesse, qui accepte la transcendance, renonce à la construction d’une élite toute puissante, et comprenne que le sens plénier de la vie individuelle et collective se révèle dans le service dévoué des autres et dans la prudente et respectueuse utilisation de la création, pour le bien commun. Pour reprendre les paroles de Paul VI, « l’édifice de la civilisation moderne doit se construire sur des principes spirituels, les seuls capables non seulement de le soutenir, mais aussi de l’éclairer » (Ibíd.).
Le Gaucho Martin Fierro, un classique de la littérature de mon pays natal, chante : « Les frères sont unis parce que c’est la loi primordiale. Qu’ils cultivent une vraie union en toute circonstance, parce que s’ils se querellent entre eux, ceux du dehors les dévoreront ».
Le monde contemporain, apparemment relié, expérimente une fragmentation sociale, croissante et soutenue, qui met en danger « tout fondement de la vie sociale » et par conséquent « finit par nous opposer les uns autres, chacun cherchant à préserver ses propres intérêts » (Enc. Laudato Si’, n. 229).
Le temps présent nous invite à privilégier des actions qui créent de nouveaux dynamismes dans la société jusqu’à ce qu’ils fructifient en événements historiques importants et positifs (cf. Exhort. ap. Evangelii gaudium, 223). Nous ne pouvons pas nous permettre de reporter pour plus tard ‘‘certains agendas’’. L’avenir exige de nous des décisions critiques et globales face aux conflits mondiaux qui augmentent le nombre des exclus et de ceux qui sont dans le besoin.
La louable construction juridique internationale de l’Organisation des Nations Unies et de toutes ses réalisations, perfectible comme toute oeuvre humaine et, en même temps, nécessaire, peut être le gage d’un avenir sûr et heureux pour les futures générations. Elle le sera si les représentants des Etats sauront laisser de côté des intérêts sectoriels et idéologiques, et chercher sincèrement le service du bien commun. Je demande à Dieu Tout-Puissant qu’il en soit ainsi, et je vous assure de mon soutien, de ma prière ainsi que du soutien et des prières de tous les fidèles de l’Eglise catholique, pour que cette institution, tous ses Etats membres et chacun de ses fonctionnaires rendent toujours un service efficace à l’humanité, un service respectueux de la diversité et qu’ils sachent renforcer, pour le bien commun, le meilleur de chaque peuple et de tout citoyen.
La bénédiction du Très-Haut, la paix et la prospérité à vous tous et à vos peuples. Merci !"
Catholique et Français
"...Je croyais pourtant que tous les catholiques étaient soumis à l'obéissance de leur chef..." : pas plus que les Evêques, le Pape n'a reçu du Ciel aucune permission de se mêler de ce qui est du ressort, au premier chef, du seul Gouvernement des Etats et des Nations (Diplomatie, Paix civile, Sécurité intérieure, Défense, contrôle des frontières et de l'immigration etc...). C'est l'occasion de …Plus
"...Je croyais pourtant que tous les catholiques étaient soumis à l'obéissance de leur chef..." : pas plus que les Evêques, le Pape n'a reçu du Ciel aucune permission de se mêler de ce qui est du ressort, au premier chef, du seul Gouvernement des Etats et des Nations (Diplomatie, Paix civile, Sécurité intérieure, Défense, contrôle des frontières et de l'immigration etc...). C'est l'occasion de citer, POUR UNE FOIS A BON ESCIENT, la Parole Sacrée de Notre-Seigneur : "Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu !"
Spina Christi 2
Dolo samedi, 19:16
Quand un leader catholique va t il organiser une manif contre l'islamisation de la france?
Y aurait bien François, mais lui organise plutôt des manif pour l'accueil des musulmans !
Tiens ! Une réflexion : je m'aperçois qu'on ne lit pas beaucoup de commentaires de "gétévistes" prônant, à la suite du Pape et de quelques évêques, un accueil franc et massif de tous ces "réfugiés …
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Dolo samedi, 19:16
Quand un leader catholique va t il organiser une manif contre l'islamisation de la france?

Y aurait bien François, mais lui organise plutôt des manif pour l'accueil des musulmans !

Tiens ! Une réflexion : je m'aperçois qu'on ne lit pas beaucoup de commentaires de "gétévistes" prônant, à la suite du Pape et de quelques évêques, un accueil franc et massif de tous ces "réfugiés syriens" !
A part les âneries du pseudo Henri Quichotte, il ne me semble pas même en avoir lu un seul !

Je croyais pourtant que tous les catholiques étaient soumis à l'obéissance de leur chef...
😈
Baptiste partage ceci
3
l islam.
...Plus
l islam.

...
apvs
IIIIIUUUUOOOOON !! ..... Un rond est un carré ....... IIIIIIIIUUUUOOOON !! J'ouvre mes chats cra-cra .... Ce sont mes frères , ils sont gentils mignons .....
perceval2507
Mais puisqu'on vous dit qu'ils sont une "richesse" pour notre France ! Les avez-vous entendu scander les appels aux germes de "vrai" et de "bon" ? Ressentez-vous cet "amour" et cette "tolérance" émaner de la foule en liesse ????? C'est si mignon une prière en pleine rue... Nous pourrions leur prêter nos églises vides tout de même... Après tout, ils adorent bien le même dieu que nous ! Si, si !…Plus
Mais puisqu'on vous dit qu'ils sont une "richesse" pour notre France ! Les avez-vous entendu scander les appels aux germes de "vrai" et de "bon" ? Ressentez-vous cet "amour" et cette "tolérance" émaner de la foule en liesse ????? C'est si mignon une prière en pleine rue... Nous pourrions leur prêter nos églises vides tout de même... Après tout, ils adorent bien le même dieu que nous ! Si, si ! C'est nostra aetate qui le dit !

Rââââââ... Que c'est beau...

😁
shazam
Madame l'hystérique : 🤬 on n'est pas la pour faire de la violence ! 🤬 On est là pour se faire respecteeeer ! Respectez-nous ! 🤬 (c'est demandé si gentiment... 😉 😘 )
Qui a envie de respecter - qui que ce soit d'ailleurs - qui manifeste de l'hystérie, de la violence verbale, fait de la provocation, pratique l'intimidation et sème la peur ? Pour y arriver, un effort humain ne suffit pas et …Plus
Madame l'hystérique : 🤬 on n'est pas la pour faire de la violence ! 🤬 On est là pour se faire respecteeeer ! Respectez-nous ! 🤬 (c'est demandé si gentiment... 😉 😘 )

Qui a envie de respecter - qui que ce soit d'ailleurs - qui manifeste de l'hystérie, de la violence verbale, fait de la provocation, pratique l'intimidation et sème la peur ? Pour y arriver, un effort humain ne suffit pas et la maturité non plus, il faut l'aide de (Celui qui est) plus Grand que soi.
apvs
Elle est incroyable, cette pauvre femme ! Personne ne l'agresse, mais c'est qui la victime ? Mais elle, bien entendu ...
Et le monde doit le savoir ! 🤮
Roy-XXIII
Et la suite on la connait 🤗
Catholique et Français
Dans les années qui précédèrent immédiatement la grande Révolution, cette partie des Champs Elysées, proche de la Place Louis XV, était le lieu de rendez-vous préféré de la faune de Paris : prostitué(e)s, homosexuels, couples aussitôt défaits que formés ou vicieux de toutes sortes se rendaient dans cet endroit pour y faire leurs petites affaires dans les fossés, les buissons ou sous les …Plus
Dans les années qui précédèrent immédiatement la grande Révolution, cette partie des Champs Elysées, proche de la Place Louis XV, était le lieu de rendez-vous préféré de la faune de Paris : prostitué(e)s, homosexuels, couples aussitôt défaits que formés ou vicieux de toutes sortes se rendaient dans cet endroit pour y faire leurs petites affaires dans les fossés, les buissons ou sous les arbres (lire "Flagrants Délits Sur Les Champs-Elysées (1777-1791)" par Ferdinand Federici, Garde Suisse. Mercure de France).